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Énencourt-Léage

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Énencourt-Léage
Énencourt-Léage
La mairie d'Énencourt-Léage.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Francis David
2020-2026
Code postal 60590
Code commune 60208
Démographie
Gentilé Énencourtois, Énencourtoises
Population
municipale
119 hab. (2021 en évolution de −15,6 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 17″ nord, 1° 50′ 51″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 142 m
Superficie 4,46 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Énencourt-Léage
Géolocalisation sur la carte : France
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Énencourt-Léage
Géolocalisation sur la carte : Oise
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Énencourt-Léage
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Énencourt-Léage

Énencourt-Léage est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Ambiance du village : une rue.

Énencourt-Léage est un village rural du Vexin français situé dans la vallée de l'Aunette, à 7 km au nord-est de Gisors, à 8 km au nord-ouest de Chaumont-en-Vexin, à 22 km au sud-ouest de Beauvais et à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Rouen.

Le territoire communal est tangenté au sud-est par l'ancienne route nationale 181 (actuelle RD 981) qui relie Beauvais à Gisors.

Louis Graves indiquait en 1827 que le territoire communal, « généralement exposé à l'ouest, s'étend à droite et à gauche de la vallée ; il n'y a point d'eau dans la plaine[1] ».

Communes limitrophes

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Communes limitrophes d’Énencourt-Léage
Flavacourt Boutencourt
Villers-sur-Trie Énencourt-Léage Jaméricourt
Trie-Château Trie-la-Ville

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aunette[2],[Carte 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 759 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records JAMERICOURT (60) - alt : 113m, lat : 49°18'23"N, lon : 1°52'46"E
Records établis sur la période du 01-02-1990 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,4 3,1 4,5 7,5 10,3 12,3 12,4 10 7,7 4,4 2 6,4
Température moyenne (°C) 4,1 4,6 7,3 9,8 13,1 16,2 18,7 18,5 15,4 11,7 7,4 4,6 11
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,8 11,6 15,2 18,6 22,1 25,1 24,7 20,8 15,7 10,4 7,1 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−14,8
09.01.09
−14,6
07.02.12
−9,6
01.03.05
−6
06.04.21
−1,8
06.05.19
−0,7
05.06.1991
2,6
04.07.1990
2,7
28.08.1998
0,1
30.09.18
−4,1
28.10.03
−8,6
24.11.1998
−11,1
29.12.1996
−14,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,6
27.01.03
19,4
24.02.1990
24,7
31.03.21
27,2
29.04.10
31
27.05.05
37,6
27.06.11
41,8
25.07.19
39,8
12.08.03
34,8
09.09.23
28,6
01.10.11
21,2
01.11.14
16,6
07.12.00
41,8
2019
Précipitations (mm) 60,5 49,8 50,7 49,3 59,1 54,1 61 56,4 47,9 63,1 64,4 79,4 695,7
Source : « Fiche 60322001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Énencourt-Léage est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,4 %), forêts (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), prairies (5,3 %)[10]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 73, alors qu'il était de 70 en 2014 et de 69 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 69,9 % étaient des résidences principales, 21,9 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Énencourt-Léage en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (21,9 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 92,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Énencourt-Léage en 2019.
Typologie Énencourt-Léage[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 69,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 21,9 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 8,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6105, 6136 et 6145 du réseau interurbain de l'Oise[11].

Le nom est attesté sous la forme Ernencuria aquosa en 1237[12] et Esnencort en 1241[13]. Hernencourt en 1178 désignait Énencourt-le-Sec[13]

Comme pour le village proche d'Énencourt-le-Sec, il s'agit d'un nom d'homme germanique Herinand ou Ern et du latin cōrtem « domaine » (dérivé de cohors). L'appellation médiévale signifiait donc « le domaine d'Hérinand » (ou « le domaine d'Ern »)[12],[13]. Ern, variante d'Arin, se rattache au vieux haut allemand aro et au gotique ara « aigle »[12].

L'eage (du latin aquaticum « aquatique[14] ») devenu Léage c'est-à-dire « l'aquatique », « l'humide », le village étant situé dans la vallée de l'Aunette par opposition à Énencourt-le-Sec située sur le plateau à l'est de cette vallée[12].

Énencourt-Léage est certainement d'origine très ancienne. En effet on a retrouvé sur son territoire des pointes, de lances ou de flèches, en cuivre que les experts situent vers 2500 avant Jésus-Christ[réf. nécessaire].

Enencourt-Léage était une seigneurie qui a appartenu à la famille de Fouilleuse, puis à Anne-Geneviève de Bourbon-Condé, duchesse de Longueville, et ensuite par aux princes de Conti jusqu'en 1781, date où ils l'ont vendu[15]

La commune de Villers-sur-Trie, instituée par la Révolution française, est fugacement rattachée à Énencourt-Léage de 1825 à 1832[16].

En 1827, on trouvait dans la commune « une filature de coton, une chamoiserie, deux moulins, une briqueterie et un four à chaux » et on y fabriquait des dentelles noires pour les manufactures de Chantilly[1]. En 1859, on notait deux moulins sur l'Aunette, dont l'un à l'extrémité est du territoire, une chamoiserie, deux briqueteries, un four à chaux, et une ancienne filature alors inutilisée[15].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Chaumont-en-Vexin[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Énencourt-Léage est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2008 Jean-Luc Boudoux    
mars 2008 En cours
(au 2 décembre 2021)
Francis David   Conseiller d'orientation - psychologue
Réélu pour le mandat 2020-2026[17],[18]

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 119 habitants[Note 2], en évolution de −15,6 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
120128142110496180173201186
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
162140162137150148162175190
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
175175174164151129100110128
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
91604277120115120115121
2014 2019 2021 - - - - - -
139124119------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le pic de 1831 correspond à la période où Villers-sur-Trie et Énencourt-Léage étaient fuionnées.

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 62 hommes pour 68 femmes, soit un taux de 52,31 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,5 
5,1 
75-89 ans
3,1 
23,7 
60-74 ans
24,6 
28,8 
45-59 ans
30,8 
8,5 
30-44 ans
12,3 
23,7 
15-29 ans
18,5 
10,2 
0-14 ans
9,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Énencourt-Léage compte deux monuments historiques sur son territoire :

  • Église Saint-Martin (inscrite monument historique en 2004[24]) : Elle date essentiellement du XVIIe siècle mais a conservé quelques éléments de l'ancienne église du XIe siècle.
    Une rue passe sous le chœur, dans un passage voûté.
    Le mobilier de l'église est exceptionnel, avec ses fonts baptismaux du XVIIe siècle, de nombreuses statues datant du XVIe au XVIIIe siècle, lutrin, bancs, confessionnal, chaire et lambris du XVIIIe siècle et notamment le maître autel dont le retable date environ de 1770 couronné de palmes, comporte une représentation en bas-relief des Saintes Femmes arrivant au tombeau[25].

.

  • Ferme (inscrite monument historique en 2004[26]) : Elle comporte des parties des XVIIe et XVIIIe siècles.
Le monument aux morts.

On peut également signaler :

  • Lavoir couvert sur l'Aunette.
  • Monument aux morts

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Énencourt-Léage Blason
D'azur à la bande ondée d'argent, chargée de trois quintefeuilles de gueules, accompagnée de deux fleurs de lis d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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  • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Énencourt-Léage, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 113-115

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Énencourt-Léage » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Énencourt-Léage » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Énencourt-Léage - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Énencourt-Léage - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 288-290, sur Google Livres.
  2. « Fiche communale d'Énencourt-Léage », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Énencourt-Léage et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. « Transports en commun à Énencourt-Léage », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  12. a b c et d Maurice Lebègue, Les noms des communes du département de l'Oise, Amiens, Société de Linguistique Picarde, , p. 86.
  13. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  14. Félix Gaffiot, Dictionnaire illustré latin-français, Paris, Hachette, (lire en ligne), p. 150.
  15. a et b Jean-Baptiste Frion, Nouveau précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Beauvais, Achille Desjardins, , 218 p. (lire en ligne), p. 136-137, sur Google Livres..
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Enencourt-Léage », Cartes de France (consulté le ).
  18. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Énencourt-Léage (60208) », (consulté le ).
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  24. « Église Saint-Martin », notice no PA60000063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Dominique Vermand, « Enencourt-Léage, église Saint-Martin : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  26. « Ferme », notice no PA60000062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.