Hénonville
Hénonville | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC des Sablons | ||||
Maire Mandat |
Hervé Le Marec 2020-2026 |
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Code postal | 60119 | ||||
Code commune | 60309 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hénonvillois, Hénonvilloises | ||||
Population municipale |
902 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 132 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 12′ 28″ nord, 2° 03′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 80 m Max. 151 m |
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Superficie | 6,84 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chaumont-en-Vexin | ||||
Législatives | 3e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairiehenonville.fr/ | ||||
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Hénonville est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Hénonville est un bourg périurbain picard de l'Oise, limitrophe du Val-d'Oise, implanté sur le flanc du coteau qui marque la limite entre le Vexin français et le Pays de Thelle.
Il est traversé par le sentier de grande randonnée GR 11.
En 1837, Louis Graves indique que son « territoire, de forme à-peu-près triangulaire, s'appuie à l'est vers les coteaux de Neuvillebosc, et descend au nord dans la plaine d'Amblainville et de Méru. Le chef-lieu est, placé à-peu-près au centre, au pied de la colline qui occupe le région méridionale du canton, sur l'ancienne route de Beauvais à Pontoise. Il. comprend trois rues principales qui formaient autrefois des villages distincts. ll n'y a pas d'eau courante dans l'étendue du pays[1] ».
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Amblainville, Ivry-le-Temple, Neuville-Bosc, Villeneuve-les-Sablons et Berville.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est située entre les buttes de Rosne et de la vallée de la Troësne.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Troesne[2],[Carte 1].
La Troesne, d'une longueur de 27 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Epte à Gisors, après avoir traversé douze communes[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Hénonville est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,1 %), forêts (17,1 %), zones urbanisées (9,2 %), prairies (4,5 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 370, alors qu'il était de 364 en 2013 et de 332 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 88 % étaient des résidences principales, 1,9 % des résidences secondaires et 10,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,7 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hénonville en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,9 %) inférieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,1 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Hénonville[I 2] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 88 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,9 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,1 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par la ligne E du réseau Sablons Bus et par les lignes 6112, 6121, 6131 et 6132 du réseau interurbain de l'Oise[12].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Henonvilla en 1100 ; Henoldivilla en 1180 ; Henouvilla vers 1230[13].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé de l'anthroponyme germanique Hanolt[14], dont la finale -olt, devenu -ou a été confondue par nasalisation avec la désinence -on de l'ancien cas régime des noms de personnes.
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Des briques romaines ont été trouvées au lieu-dit Les Tuileaux, entre Hénonville et Le Villeneuve[1].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La tradition indiquait au XIXe siècle qu'un combat sanglant avait eu lieu au Clos des Anglais, un champ situé vers Berville[1].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Au début du XVIIIe siècle, le domaine appartient à François Ogier, grand audiencier de France, dont le fils devient en 1722 conseiller au parlement de Paris à l'âge de dix-huit ans[1].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En 1832, la commune compte un lavoir public, des carrières et une grézière[1].
En 1905 est mise en service la gare de Hénonville, du chemin de fer de Méru à Labosse, un chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. La ligne ferme en 1934[15],[16].
-
Horaires de la ligne en mai 1914.
-
La gare.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un centre d'hébergement des déportés et réfugiés juifs est installé au château d'Hénonville. Le camp est administré par le Joint, l'ORT et l'Agoudat Israel de 1946 à 1952. Ce camp regroupait une Yechiva lituanienne, un centre pour orphelins juifs et un kibbutz[17],[18],[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Méru[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Chaumont-en-Vexin.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Hénonville est membre de la communauté de communes des Sablons, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]-
La poste.
-
L'école.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2021, la commune comptait 902 habitants[Note 3], en évolution de +9,07 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 425 hommes pour 425 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Hénonville compte deux monuments historiques sur son territoire :
- Château d'Hénonville (classé monument historique par arrêté du [33]) :
Un premier château, attesté au XIIIe siècle, est démoli sous la Grande Jacquerie et reconstruit en 1554. Il est rebâti en 1722 pour Pierre-François Ogier, Grand Audiencier de France (propriétaire en 1714).
Les fondations sont en grande partie celles du château d'origine, et l'on trouve au second étage, derrière des boiseries, des vestiges d'une tour médiévale. Le château est modernisé entre 1765 et 1771 par l'architecte parisien Jean Benoît Vincent Barré pour Jean-Marie Roslin d'Ivry, qui est l'un des premiers collectionneurs de Fragonard. Barré conserve les quatre tours d'angle, comme l'avait fait Germain Boffrand au château d'Haroué en Lorraine. Roslin d'Ivry a décoré son château de toiles de François Boucher comme Les Lavandières (New York, Metropolitan Museum of Art).
En 1900, le château est acheté par la famille Bamberger. En 1939, M. Bamberger, ruiné, vide le château qui est occupé en 1940 par les Allemands, puis par les Américains en 1944. En 1946, M. Lejbel y installe pour l'Association d'enfants des déportés israélites. Après avoir appartenu à M. et Mme Van Themsche entre 1952 et 1975, il est racheté par la commune. Celle-ci l'a restauré et aménagé en lieu de réception, de cérémonies et de séminaires[34].
- Croix de cimetière du XIVe siècle (classé monument historique par arrêté du [35],[36])
On peut également mentionner :
- Église de la Trinité du XIIe au XVIe siècle, comprenant des éléments de nombreuses époques, comprenant un bas-côté nord du XIVe siècle au riche remplage. Après la Guerre de Cent Ans sont repris en style Renaissance les piles de la croisée, réalisés la réfection des voûtes avec liernes et tiercerons, construits deux chapelles de part et d'autre du chœur et le porche en façade.
Le mobilier comprend une Vierge à l'Enfant du XIVe siècle, une chaire à prêcher mobile du XVIIIe siècle et un orgue à rouleaux du début du XIXe siècle[37].
- Pigeonnier du XIIIe siècle
- Mémorial de la Ferme du Coudray en mémoire de l'équipage d'une « forteresse volante » de la 8e Air Force tombée le .
-
Liste des Morts pour la France
-
Monument aux morts, au cimetière.
Hénonville dans les arts et la culture
[modifier | modifier le code]Le baron d'Ivry possédait le château en février 1825 et y a invité à une chasse à courre son protégé le jeune peintre Alexandre-Gabriel Decamps (1803-1860). Celui-ci y a fait une étude Le vieux garde-chasse Gassois à Hénonville conservée au MUDO - Musée de l'Oise à Beauvais[38].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- René Dubos, (1901-1982) agronome, biologiste et écologue américain d'origine française, qui a passé son enfance au village.
- Iser Solomon (1880-1939). Une rue du village honore ce médecin franco-roumain, radiologue en chef de l'hôpital Saint-Antoine, pionnier de la radiologie et de la radiothérapie en France, propriétaire d'une maison 1 rue Bamberger, qui a été conseiller municipal de la commune[39].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Hénonville, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 175-177
- Pierre Durvin, Hénonville, quelques pages d'histoire, Les amis du château d'Hénonville, 1998.
- Pierre Durvin et Robert Degrez, Hénonville, l'église, Les amis du château d'Hénonville, 1998.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Site personnel consacré à la commune.
- « Dossier complet : Commune de Hénonville (60309) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « Hénonville » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Hénonville » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Hénonville ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Hénonville - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Hénonville - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Méru, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 53-54, sur Google Livres.
- « Fiche communale d'Hénonville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « la Troesne »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hénonville et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Hénonville », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 348b.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- Henri Domengie et José Banaudo, Les petits trains de jadis : Nord de la France, vol. 9, Breil-sur-Roya, Éditions du Cabri, , 251 p. (ISBN 2908816296)
- Claude Wagner, Voies métriques en Picardie : Histoire des voies ferrés d'intérêt local dans l'Oise, Auray, Éd. LR Press, , 280 p. (ISBN 978-2-903651-74-9), p. 138-155..
- Catherine Nicault, « L'utopie sioniste du « nouveau Juif » et la jeunesse juive dans la France de l'après-guerre : Contribution à l'histoire de l'Alyah française », Les Cahiers de la Shoah, vol. 5, nos 2001/1, , p. 105-169 (ISSN 1965-0523, lire en ligne, consulté le ), sur Cairn.info.
- Laure Fourtage, « Les organisations juives d'aide sociale et l'insertion professionnelle dans l'immédiat après-guerre », Archives juives, vol. 45, nos 2012/1, , p. 10-26 (ISSN 1965-0531, lire en ligne, consulté le ), sur Cairn.info.
- Photos : (en) Roman Vishniac, « Hénonville Displaced Persons camp, Picardy, France », International Center of Photography, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Le maire et trois adjoints ne se représentent pas », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Gérard Pacaud installé dans le fauteuil de maire », L'Écho du Thelle, no 524, , p. 8.
- P. C., « Le maire d'Hénonville démissionne : « Je ne veux pas y laisser ma santé » », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « Hervé le Marec est devenu le nouveau maire d'Hénonville », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Hervé le Marec a été élu vendredi soir nouveau maire d'Hénonville. En avril, Gérard Pacaud, le premier magistrat, avait démissionné, peu de temps après la démission de trois adjoints, entraînant des élections partielles ».
- Adrien Deschepper, « Un maire agressé d'un coup de tête par un agriculteur dans sa commune de l'Oise : Hervé Le Marec, maire de la commune d'Hénonville dans l'Oise, a été agressé par un agriculteur alors qu'il était présent sur un chantier dans son village, le 10 juillet dernier », Actu Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Sandrine Raffin, « Hénonville : Hervé le Marec en lice pour un second mandat : De nombreux chantiers sont en cours dans la commune, en cette fin de mandat. Assez pour motiver le maire sortant, Hervé le Marec à briguer un second mandat », L'Écho du Thelle, (lire en ligne, consulté le ) « Désigné 1eradjoint du nouveau maire Gérard Pacaud en 2014, il n'envisageait de lui succéder qu'en 2020. Mais à la suite de la démission de ce dernier, il sera finalement élu maire plus tôt que prévu, lors des élections partielles en juin 2016 ».
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Hénonville (60309) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Château », notice no PA00114712, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'avenir très privé du château communal », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Croix », notice no PA00114713, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Roland Vasseur, « Richesse du patrimoine : croix de cimetière des XIIIe et XIVe siècles en Vexin français : La Croix d'Hénonville », Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val d'Oise et du Vexin, Pontoise, nos 51-54, , p. 34-36 (ISSN 1148-8077).
- Dominique Vermand, « Hénonville, église de la Trinité : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- « Le vieux garde-chasse Gassois à Hénonville (Oise) », notice no 07980023263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
- « Iser Solomon », Les personnages ayant vécu à Hénonville, sur amis-chateau-henonville.fr (consulté le ).