[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Merlimont

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Merlimont
Merlimont
La plage en 2019.
Blason de Merlimont
Blason
Merlimont
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Mary Bonvoisin
2020-2026
Code postal 62155
Code commune 62571
Démographie
Gentilé Merlimontois
Population
municipale
3 367 hab. (2021 en évolution de +2,15 % par rapport à 2015)
Densité 157 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 23″ nord, 1° 36′ 54″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 47 m
Superficie 21,49 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Berck
(banlieue)
Aire d'attraction Berck
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Étaples
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Merlimont
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Merlimont
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Merlimont
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Merlimont
Liens
Site web www.merlimont.fr

Merlimont est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Elle est membre de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois et fait partie de l'unité urbaine, de l'aire d'attraction des villes, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Berck.

La commune, également station balnéaire de la Côte d'Opale, possède les plus hautes dunes de la région naturelle du Marquenterre, qui culminent à près de 50 mètres.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Merlimont est située au sud-ouest du département du Pas-de-Calais, entre Le Touquet-Paris-Plage et Berck, à 41 km au sud de Boulogne-sur-Mer[1] ainsi qu'à environ 12 km de Montreuil-sur-Mer[2], 73 km de Calais[3], 92 km d'Arras[4], 144 km de Lille[5] et 224 km de Paris[6] par la route.

La commune, située sur les rivages de la Manche, entre les baies de Canche et d'Authie, est aussi une station balnéaire de la Côte d'Opale, qualificatif dû à la couleur donnée par les reflets irisés du soleil couchant sur la mer. C'est Édouard Lévêque, peintre, écrivain, botaniste et membre de la société académique du Touquet-Paris-Plage, qui est l'inventeur de cette appellation en 1911[7] de la Côte d'Opale.

La commune est répartie sur deux sites : « la Plage » à l'ouest et « le Village » à l'est[8]. Elle fait partie de la région naturelle du Marquenterre.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes et, à l'ouest, de la Manche :

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Superficie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 21,49 km2 ; son altitude varie de 3 à 47 mètres[9].

Merlimont au sud-ouest du bassin de la Canche.

La commune bénéficie de la présence d'un vaste massif dunaire, considéré comme l'un des plus beaux de France et certaines dunes culminent à près de 50 mètres, comme celle, proche de la plaine du Croc Neuf, qui culmine à 47 mètres[10]. Ce massif dunaire supporte une mosaïque de milieux ouverts, plus ou moins secs ou humides jusqu'à un faciès forestier subnaturel et littoral[11]. La forêt est en partie artificielle, plantée sur d'anciennes garennes[12]. Le boisement, de résineux notamment, installé au début du XXe siècle, interagit avec la dune naturelle. Une partie du massif est en réserve biologique domaniale.
Ce massif, qui a probablement beaucoup évolué au gré des avancées et reculs du trait de côte et des modulations du climat depuis la dernière glaciation[13], est un élément important de la trame verte et bleue nationale et régionale. Dans un contexte de dérèglement climatique et de montée du niveau moyen de la mer, il joue aussi un rôle important en matière de lutte contre le recul du trait de côte du fait de l'érosion éolienne et marine. À cause du substrat sableux et de la proximité de l'océan, elle pourrait être plus vulnérable au changement climatique[14].

Descriptif du littoral
[modifier | modifier le code]

La commune de Merlimont est située sur un littoral, composé de paysage dunaires, de 30 kilomètres entre le sud d’Équihen-Plage et le nord de Berck.

On peut distinguer cinq grands types de milieux naturels qui sont, d’ouest en est, depuis la mer : les estrans et les estuaires, les cordons dunaires, la plaine humide des bas champs, les anciennes dunes plaquées sur les falaises et les falaises fossiles du rebord du plateau d’Artois.

Ces espaces dunaires occupent l’ensemble de la façade littorale sur une profondeur dans les terres (de l’ouest vers l’est) pouvant atteindre quatre kilomètres comme au niveau de la commune d'Étaples. On y observe des dunes nues et des dunes boisées artificiellement comme Hardelot et le Touquet-Paris-Plage[15].

Histoire de la formation du littoral
[modifier | modifier le code]

L’histoire des paysages dunaires et estuaires d’opale est une succession de transgressions et de régressions marines du bassin parisien.

Il y a 170 millions d’années, au Jurassique, le boulonnais est un golfe et le milieu de sédimentation assez proche d’aujourd’hui. À −90 millions d’années, la mer Crétacé envahit le continent et dépose d’épaisses couches de sédiments. À −45 millions d’années, l’anticlinal de l’Artois commence à se soulever et sépare définitivement le bassin parisien de celui de Londres-Bruxelles. Ce soulèvement crée les premières côtes à falaise. À −2,5 millions d’années, les littoraux de la mer du Nord et de la Manche sont au niveau des Pays-Bas et de la Normandie. À −500 000 ans, au Pléistocène moyen, le pas de Calais est ouvert, probablement lié à un effondrement de blocs entre des jeux de faille qui crée l’ouverture du détroit, créant une fosse entre les îles Britanniques et l’Europe. À −18 000 ans, lors de la dernière période glaciaire, le niveau de la mer était 130 mètres plus bas et le détroit était à sec. Puis survient, avec la fonte des glaces, la transgression flandrienne qui entraine l’élévation de la mer et l’inondation du détroit. C’est partir de cette période que les dépôts sableux de la plaine maritime se mettent en place. À −10 000 ans, à l’Holocène, début du réchauffement, la mer est encore à environ 65 mètres au-dessous du niveau actuel. À −8 500 ans, la jonction entre la mer du Nord et la Manche est réalisée puis, il y a 5 000 ans, le niveau de la mer s’établit sensiblement au niveau actuel.

Ensuite recommence une évolution littorale des falaises et des marais littoraux, aboutissant par érosion et colmatage à la situation actuelle. Les dunes littorales forment un seul ensemble entre Équihen et le nord de la baie de la Canche. Elles continuent d’envahir, du Moyen Âge jusque récemment, le relief intérieur en constituant des dunes plaquées sur les falaises fossiles (collines d’Artois) et enfin, les résurgences de sources au pied des coteaux, qui proviennent de la nappe de craie, sont à l’origine de nombreux ruisseaux et zones humides dans les bas-champs.

La station balnéaire Merlimont-Plage est située sur cet espace dunaire[15].

Les bas-Champs
[modifier | modifier le code]

La zone humide arrière littorale appelée bas champs (4 à 5 mètres d’altitude) occupent une bande étroite, d’est en ouest, de 3 kilomètres et, du nord au sud, de 15 kilomètres, essentiellement situés entre Canche et Authie, bien que l’on trouve une étroite zone humide à l’arrière des dunes du nord d’Étaples. Ces marais arrières-littoraux font partie des deux vallées fluviales, comme au niveau de la Canche avec une importante zone humide entre Étaples et Montreuil. Elles recueillent les eaux des collines de l’est, résurgences de la nappe de la craie. Ces eaux trouvent leur chemin entre les dunes infranchissables et les falaises fossiles, et qui, comme la grande Tringue, vont se jeter dans la Canche. Ces zones humides et marais constituent une zone de nourrissage pour les oiseaux migrateurs utilisant le rail littoral, comme les marais de Balençon de Merlimont[15].

La commune de Cucq est située le long de ces bas champs, comme l'est la route départementale D 940.

Site géologique

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se situe sur un site géologique : les dunes "picardes" de Merlimont-Berck, classées trois étoiles, d'une superficie de 13 km2. Le site se compose de deux cordons dunaires, allongés nord-sud parallèlement à la côte. Ils sont séparés par une vaste dépression sableuse, plus ou moins humide selon les fluctuations de la nappe superficielle alimentée par les précipitations, elle-même reliée à la nappe plus profonde de la craie[16].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune, située dans le bassin Artois-Picardie, est traversée, à l'est de la commune dans le marais de Balençon, par la rivière la Grande Tringue, née sur le territoire de la commune d'Airon-Saint-Vaast, d'une longueur de 12,7 km[17] et qui, avant de rejoindre l'estuaire de la Canche, reçoit à Cucq, en rive droite, l'apport d'un affluent assez important : la Petite Tringue[18]. C'est dans la commune que le Bras d'or prend sa source et se jette dans la Grande Tringue au niveau de la commune de Saint-Josse[19].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Merlimont[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 810 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 7 km à vol d'oiseau[22], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].

La commune s'inscrit dans le « paysage des dunes et estuaires d’Opale » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[26].

Ce paysage, qui concerne 23 communes, s’étend le long de la côte sur environ 30 kilomètres, de la baie d’Authie à Équihen-Plage, et sur deux à quatre kilomètres de large. Les paysages des dunes et des estuaires cèdent la place aux abrupts des falaises, au niveau d’Equihen-Plage. Les dunes littorales se sont constituées récemment, depuis le Moyen Âge, et ont envahi le relief intérieur en constituant des dunes plaquées sur les falaises fossiles, spécificité locale. Les résurgences de sources au pied de ces falaises proviennent de la nappe de la craie et sont à l’origine de nombreux ruisseaux et zones humides dans les Bas-Champs, surtout visibles entre Étaples et Rang-du-Fliers.

Ce paysage des dunes et estuaires d’Opale est constitué : d’un peu plus de 40% de dunes et de plages, dont 28% d’espaces dunaires, dont certains sont boisés comme à Hardelot-Plage et au Touquet-Paris-Plage ; de 22 et 25% au niveau de la baie d’Authie et des Bas Champs, Bas Champs majoritairement en prairies ; de 20% par les communes et d’un peu plus de 5% par les cours d’eau et les marais arrière-littoraux, entre Merlimont et Rang-du-Fliers, comme le marais de Balançon défini réseau Natura 2000[27].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Milieux naturels

[modifier | modifier le code]
La plage en direction de Stella-Plage.

La commune bénéficie d'une ouverture sur la Manche : la plage part du sud de Stella-Plage jusqu'au nord de Berck. C'est une plage, bordée de dunes, d'environ trois kilomètres d'un sable très fin, sur laquelle se sont développées depuis plus d'un siècle les activités du char à voile. Compte tenu de son orientation ouest, le soleil couchant offre de magnifiques étendues de lumière rougeoyante sur plusieurs kilomètres.

À la suite du recul du trait de côte depuis plusieurs décennies, des travaux sont prévus en 2021 afin de limiter ce recul au moyen d'enrochement et de pose transversale de pieux en bois puis la plage sera rechargée en sable. Ces épis permettront d'interrompre le transit littoral et donc de conserver le sable sur la plage[28].

Espaces protégés et gérés

[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[29].

Dans ce cadre, la commune fait partie de trois espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 3] :

  • les prairies humides de la Grande Tringue, d'une superficie de 267 hectares et d'une altitude variant de 1 à 10 mètres[33] ;
  • les dunes de Merlimont, d'une superficie de 1 435 hectares et d'une altitude variant de −3 à +46 mètres[34],[35] ;
  • le marais de Balançon, d'une superficie de 784 hectares et d'une altitude variant de 0 à 20 mètres. Ce site appartient à un ensemble des tourbières arrière-littorales s’étendant sur de vastes surfaces de part et d’autre de l’Authie[36] ;
  • le communal de Merlimont, d'une superficie de 220 hectares et d'une altitude variant de 9 à 40 mètres[37] ;
  • les dunes de Stella-Plage, d'une superficie de 236 hectares et d'une altitude variant de −3 à +33 mètres[38].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Sites Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[39].

Sur la commune, deux sites Natura 2000 de type A sont définis en zone de protection spéciale (ZPS) :

  • Les dunes de Merlimont, au sud de la commune, classé en 2006[40] ;
  • Les marais de Balençon, à l'est de la commune, classé en 1991[41].

et deux sites Natura 2000 de type B définis en site d'importance communautaire (SIC) :

  • les dunes et marais arrière-littoraux de la plaine maritime picarde[42] ;
  • la baie de la Canche et le couloir des trois estuaires, d’une superficie de 333,06 km2 et d'une altitude variant de −23 à 0 mètres. Ce site se délimite à partir du trait de côte, s'étend jusqu'à la limite des trois milles nautiques, limité au sud par le phare d'Ault et au nord par le village de Sainte-Cécile, sur la commune de Camiers[43].

Biodiversité

[modifier | modifier le code]

L'inventaire national du patrimoine naturel permet de découvrir les espèces présentes[44], les espèces protégées[45] ainsi que le statut biologique (indigène, introduite dont envahissante…) des espèces recensées sur la commune de Preures[46].

Au , Merlimont est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[47]. Elle appartient à l'unité urbaine de Berck[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[48],[Insee 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Berck, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[Insee 1]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[49],[50].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[51]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[52].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces forestiers, des zones humides et des milieux à végétation arbustive ou herbacée (58,3 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2018 est la suivante : forêts (22 %), zones humides intérieures et côtières (20,6%), milieux à végétation arbustive ou herbacée (15,7 %), zones urbanisées (14,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (12,6 %), prairies (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), terres arables (0,6 %)[53]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

[modifier | modifier le code]

La commune est constituée de trois parties : Merlimont centre, appelé aussi Merlimont village ou bourg, de la station balnéaire de Merlimont-Plage à l'ouest et du hameau d'Épy au sud.

Sur le territoire de la commune, on trouve les lieux-dits, à Merlimont centre, du nord au sud : le chemin de Cucq ; la plaine à baudets ; les prés Jean-Bart ; le moulin ; le communal ; les dix hagues ; les prés morus ; la pourière pâtis ; le chemin de la mer ; le croc Sergent ; le mont à l'épine ; le bout de bas ; le bout de haut ; les haguettes ; le chemin des vaches ; la canarderie ; la plaine Bouchard ; les grands pâtis ; la plaine du croc neuf ; les prés du seigneur et la grande canarderie, et sur Merlimont-Plage, toujours du nord au sud, la huttière ; Garden plage ; le domaine du lac et les Garennes[54].

Le hameau d'Epy, Espicq qui, sous l'Ancien Régime, dépendait de la paroisse d'Airon-Notre-Dame, semble avoir été rattaché à Merlimont entre 1790 et l'an II[55].

Par ordonnance royale du , le hameau de Capelle est distrait de Merlimont et rattaché à la commune de Saint-Josse[55].

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

En 2017, on dénombre à Merlimont 5 323 logements se répartissant en 28,5 % de résidences principales, 68,7 % de résidences secondaires et 2,8 % de logements vacants, répartis en 1 794 appartements (33,7 %) et 3 526 maisons (66,2 %). En l'espace de cinq ans, entre 2012 et 2017, le nombre d'appartements a augmenté de 7,2 % soit + 121, et le nombre de maisons a diminué de 1,5 % soit - 53.

Les constructions des résidences principales, jusqu'en 2015, s'échelonnent comme suit : 2,6 % ont été construites avant 1919, 4,6 % entre 1919 et 1945, 19,1 % entre 1946 et 1970, 32 % entre 1971 et 1990, 24,4 % entre 1991 et 2005 et 17,3 % de 2006 à 2014.

En 2016, parmi ces résidences principales, 74,1 % sont occupées par leurs propriétaires, 23,4 % par des locataires (dont 1,5 % pour des logements HLM loués vides) et 2,5 % par des occupants à titre gratuit[Insee 2].

Au , la commune disposait de 453 emplacements de camping-caravaning, répartis en 273 emplacements dans un trois étoiles et de 180 emplacements dans un deux étoiles.

La commune disposait également de 602 places de lit dans deux hébergements type village vacances - Maison familiale[Insee 3].

Planification de l'aménagement

[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les parties d'aménagement de l'espace au sein d'un schéma de cohérence territoriale (SCoT), un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle.

Le schéma de cohérence territoriale (SCOT) du pays maritime et rural du Montreuillois a été approuvé par délibération du [56].

En matière de planification, la commune dispose d'un plan local d'urbanisme (PLU) approuvé le [57].

La Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) a engagé une démarche de planification de l’urbanisme à l’échelle de son territoire, sous la forme d’un PLU intercommunal (PLUi), en collaboration étroite avec les 46 communes. Le PLUi est un document de planification urbaine qui administre, à l’échelle des communes, les possibilités de construction et d’usage des sols. Il se substituera aux anciens documents d’urbanisme (PLU, POS, CC).

Le PLUI-H, regroupement du PLUi, plan local d'urbanisme intercommunal, et du PLH, programme local de l'habitat, traduit un projet commun de développement urbain et d’aménagement du territoire communautaire pour les 10-15 ans à venir. Il est bâti dans un objectif de développement durable et d’équilibre des espaces, de cohérence et d’optimisation des politiques publiques, visant à promouvoir une dynamique d’agglomération tout en préservant les spécificités de chaque commune.

Ce PLUI-H se déroule en 4 phases :

  • Phase 1, 2019 à 2020, état des lieux, diagnostic et enjeux ;
  • Phase 2, 2020 à 2022, projet d'aménagement et de développement durable ;
  • Phase 3, 2022 à 2024, règlement et zonage :
  • Phase 4, 2024 à 2025, avis des personnes publiques associées et enquêtes publiques[58].

Projets d'aménagement

[modifier | modifier le code]

Au niveau de la commune, 2020 a vu l'achèvement de la première phase des travaux de la place de la Haye. La maison des associations a laissé place à un espace de stationnement végétalisé. 59 places ont été créées dont 2 pour les personnes à mobilité réduite à proximité du mail central et 2 permettant la recharge de véhicules hybrides électriques (VHE). Des sanitaires publics ont été installés. Cette zone est équipée de deux bornes pour le Wifi public.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]
Merlimont (carte générale) - Voies de communication (routières et ferroviaire)

Voies de communication

[modifier | modifier le code]

La commune se situe sur la route départementale D 940 qui longe le littoral de Calais au nord à Berck au sud. La route départementale D 144 E3, venant de Saint-Josse, traverse d'est en ouest Merlimont jusqu'à la plage.

Les sorties no 25 et no 26 de l'autoroute A16, mise en service le , qui desservent la commune, desservent également les communes d'Étaples et de Rang-du-Fliers (trajet de h 30 en venant du nord de Paris et h 20 depuis Dunkerque).

Transport ferroviaire

[modifier | modifier le code]

La commune, située sur l'axe Paris-Amiens-Boulogne, qui est desservie par les réseaux TGV, TERGV (vers Calais et Lille) et TER est relié, par la ligne de bus 513, à la gare d'Étaples - Le Touquet et se trouve également à proximité de la gare de Rang-du-Fliers - Verton.

Au cours du premier quart du XXe siècle, de 1909 à 1929, une ligne de chemin de fer relie Berck à Paris-Plage, la commune de Merlimont dispose d'une gare sur la ligne[59].

Transport aérien

[modifier | modifier le code]

La commune est située à proximité de l'aéroport du Touquet-Côte d'Opale situé à 10 km.

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 1A et 1B du réseau de transport de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM).

Voies de la commune

[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Le risque sismique est « très faible » sur l'ensemble du territoire communal (zone 1 sur 5 du zonage mis en place en )[60], la majorité des communes du Pas-de-Calais étant en risque « faible » (zone 2 sur 5).

Les centrales nucléaires françaises les plus proches, productrices de la grande majorité de l'électricité fournie à la commune, sont celles de Gravelines et Penly (chacune à environ 60 km au nord et au sud), à noter que la centrale de Dungeness, en Angleterre, est située à 69 km.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Mellemont (1253), Mellimont (1369), Merlimont-lez-Saint-Josse-sur-la-Mer (1464), Merlymont (1479), Meelimont (1559), Merlimont (XVIIIe siècle)[61],[62].

Ernest Nègre donne comme origine toponymique l'oïl mesle, melle « nèfle », ayant subi l'attraction de merle, suivi du suffixe -mont évoquant la topographie du lieu[63].

Merlimont se trouvait sur la dune de Guigneux et formait avec Berck, Épy et Verton, une enclave d'Artois dans le comté de Ponthieu, et qui, bénéficiait de privilèges et d'exemption du comté[Note 7].

Le domaine de Merlimont relevait du comté de Ponthieu et de la châtellenie de Beaurain. Les comtes de Saint-Pol en étaient les propriétaires à la fin du XIIe siècle. Jeanne de Fiennes l'eut en douaire avec son mariage avec Jean de Chatillon (1343) et leur fille, Mahaut de Châtillon, porta Merlimont dans la maison de Luxembourg. Guy de Luxembourg, comte de Ligny et de Saint-Pol, laisse pour héritier messire Walleran, dont la succession passe à sa sœur Jeanne, comtesse d’Orgières. L'héritier de Jeanne, son neveu Pierre de Luxembourg eut un fils, Jacques, seigneur de Merlimont, mort en 1487[64].

Temps modernes

[modifier | modifier le code]

Au début du XVIe siècle, à la suite de terribles tempêtes, les habitants sont obligés de se déplacer un peu plus vers l'intérieur, à proximité d'une chapelle desservie par les moines de Saint-Josse.

Nicolas de Werchin, sénéchal du Hainaut, servit aveu de la seigneurie de Merlimont au comte de Rœulx, châtelain de Beaurain en 1509. Il la possédait du chef de sa femme, Yolande de Luxembourg. Il exerce la haute, la moyenne et la basse justice. Il possède en outre les marais de Balançon et les garennes entre Berck et Cucq. Dans les comptes rendus rapportés à Nicolas de Werchin, on trouve les noms de famille comme Jehan Noel dit le Secq, Jehan Noiret dit l'aîné, Jehan Guillebert dit le breton, Jehan Guillebert dit le muet, Gardin Paillette, Jehan de Fauquembergue, Jean de la Wascongne, Colart Bouchard…

Isabeau de Werchin (Isabelle de Barbençon-Werchin), héritière de La Hestre et de Merlimont, fille de Nicolas de Werchin et de Yolande de Luxembourg-Ligny, épouse Jean de Trazegnies, Charles de Trazegnies, un descendant, vend la baronnie de Merlimont à Claude Bernaut mais sa cousine germaine, Marguerite d'Argenteau en fait le retrait lignager, le pour la somme de 3 820 livres.

Marguerite d'Argenteau, devenue baronne de Merlimont, épouse messire Robert de Forceville, chevalier, qui, après que le roi Henri III ait donné la vicomté de Merlimont, par lettres du mois d', à Jérôme de Fertin afin de récompenser ses services militaires, devient vicomte de Merlimont après avoir racheté ses lettres à Flour de Fertin le , les descendants de Robert de Forceville prirent les titres de baron et de vicomte de Merlimont. Ses descendants prirent les titres de barons et de vicomte de Merlimont. La révolution de 1789 les dépouilla de la plus grande partie de leur domaine, le reste fut aliéné en 1859. Le moulin de Forceville et le crocq de monsieur, où la tradition veut qu'ils aient eu leur château, sont les seuls souvenirs des anciens seigneurs de Merlimont[64].

Révolution française et Empire

[modifier | modifier le code]

Merlimont, qui était rattachée à la paroisse de Cucq, est érigée en commune lors de la nouvelle organisation territoriale issue de la loi du 14 décembre 1789 après la Révolution française[64].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Le XIXe siècle

[modifier | modifier le code]

Un lazaret est établi en 1843 à Merlimont et une société est fondée dont le but est de secourir tous les naufragés du littoral de l'arrondissement de Montreuil[64].

Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, les garennes de Merlimont, soit un peu plus de 800 ha, sont la propriété du comte Ernest de la Haye.

Le XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Vers 1900, les héritiers du comte Ernest de la Haye vendent une partie des garennes à Cesare Trezza di Musella, promoteur et président de la chambre de commerce italienne à Paris, officier de l'ordre national de la Légion d'honneur[65]. Celui-ci, après avoir fondé une société immobilière, crée un lotissement composé de parcelles qu'il propose à la vente, les premiers chalets sont construits[66].

Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]
Le premier ministre de Terre-Neuve à Merlimont.

Pendant la Première Guerre mondiale, Merlimont voit l'installation, en 1917, par les anglais, d'une école de tanks (Tank Corps Gunnery School), celle-ci est située sur la droite de la route qui va de Merlimont à Merlimont-Plage et le terrain d'entraînement est situé dans les dunes, entre Merlimont et le Touquet-Paris-Plage. Des batteries anglaises sont installées entre l'église et la mer, et tirent en direction de Stella-Plage pendant les exercices des chars. Le Premier ministre de Terre-Neuve, Edward Patrick Morris (en) vient visiter le site en juillet 1918. Une fois la guerre finie, les Anglais laissent un tank au carrefour de Merlimont et de la route de Berck, les canons de ce tank ont servi à la décoration du monument aux morts de la commune. Un camp de prisonniers est également installé à proximité de la gare de l'ancienne ligne de chemin de fer de Berck à Paris-Plage. Un champ d'aviation est aussi créé par les Anglais, au lieu-dit Bellevue, à la sortie de Merlimont, sur la route de Berck. C'est à peu près à cet endroit que sera établi le champ d'atterrissage de la ligne Paris-Londres qui amènera, les touristes anglais, au Touquet-Paris-Plage avant l'ouverture, en 1936, de l'aéroport du Touquet-Paris-Plage[67],[68].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
La mairie.

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

[modifier | modifier le code]

Merlimont est membre, depuis le , de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siège est basé à Montreuil-sur-Mer.

Circonscriptions administratives

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du canton de Montreuil, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est à nouveau rattachée au canton d'Étaples, qui est alors modifié, passant de 19 à 15 communes[69].

Circonscriptions électorales

[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Merlimont, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[70], pour un mandat de six ans renouvelable[71]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 23[72]. Les 23 conseillers municipaux, issus de la liste conduite par Mary Bonvoisin, sont élus au premier tour avec un taux de participation de 36,94 %[73].

Dans les communes de 1 000 habitants et plus, les conseillers sont élus au suffrage direct à la fois pour un mandat de conseiller municipal et pour un mandat de conseiller communautaire[74]. Les 3 sièges attribués à la commune au sein de la CA2BM sont élus dès le premier tour et issus de la liste menée par Mary Bonvoisin (LR)[73].

  • Maire sortant : Mary Bonvoisin (Les Républicains)
  • 23 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2021 en évolution de +2,15 % par rapport à 2015 : 3367 habitants)
  • 3 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CA des Deux Baies en Montreuillois)
Résultats des municipales de 2020 à Merlimont
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Mary Bonvoisin LR 1 007 88,57 23 3
Votes valides 1 007 88,57
Votes blancs 52 4,57
Votes nuls 78 6,86
Total 1 137 100 23 3
Abstention 1 941 63,06
Inscrits / participation 3 078 36,94

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 mai 1953 Joseph Daubrège    
mai 1953 mars 1965 Marc Facompré SFIO Inspecteur des Postes et télécommunications
mars 1965 janvier 1988 Albert-Raymond Guilbert
(1915-1988)
  Directeur d'école
Décédé en fonction
février 1988 mars 2001 Guy Paillard[75],[76]
(1930-2018)
  Dirigeant d'une entreprise de menuiserie, maire honoraire
Premier adjoint au maire (1983 → 1988)
Chevalier de l'Ordre national du Mérite (2006)
mars 2001 mars 2016[77],[78] Jean-François Rapin[79],[80],[81] RPR puis
UMP-LR
Médecin généraliste
Adjoint au maire (1995 → 2001)
Sénateur du Pas-de-Calais (2016[82] → )
Conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais (2004 → 2015)
Conseiller régional des Hauts-de-France (2015 → )
Vice-président de la CC Mer et Terres d'Opale (2014 → 2016)
Démissionnaire à la suite de sa désignation comme sénateur
avril 2016 En cours
(au 29 mars 2022)
Mary Bonvoisin[83] LR Assistante sociale scolaire[84],[73]
Ancienne première adjointe au maire d'Étaples (2008)
Vice-présidente de la CA des Deux Baies en Montreuillois (2017 → )
Élue à la suite d'une élection municipale partielle
Réélue pour le mandat 2020-2026[85],[86]

Instances de démocratie participative

[modifier | modifier le code]

La commune met en place, en 2023, un conseil communal des jeunes (CCJ) composé de sept enfants[87].

La commune de Merlimont n'est jumelée avec aucune ville.

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Eau et déchets

[modifier | modifier le code]

Prélèvements en eau et usages

[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune a prélevé 1 676 m3, d'origine à 100 % souterraine[88].

Services en production et distribution d'eau potable, assainissement collectif, assainissement non collectif

[modifier | modifier le code]

La Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) est compétente en matière de gestion, production et distribution de l'eau potable de la commune en gestion délégué, elle gère également l'assainissement collectif en gestion délégué et l'assainissement non collectif géré en régie[89].

Sur le territoire de la commune de Cucq, au bord de la Canche et proche du pont d'Étaples, se trouve la station d'épuration qui traite, depuis le début des années 1980, les eaux usées de la commune, du Touquet, d’Étaples et de Cucq, soit deux millions de mètres cubes traités puis rejetés dans le milieu naturel. Cette station a bénéficié d'importants travaux de modernisation de 2007 à 2009, pour améliorer la qualité des eaux de la Canche et du bord de mer, et est dimensionnée pour supporter l'afflux de touristes en période estivale[90],[91].

Tarifs de l'eau

[modifier | modifier le code]

au les tarifs sont les suivants :

  • Eau potable, pour une facture de 120 m3, le m3 est facturé 1,98 euro.
  • Assainissement collectif, pour une facture de 120 m3, le m3 est facturé 3,43 euros.
  • Assainissement non-collectif, pour un diagnostic de bon fonctionnement et d'entretien, le montant facturé est de 100 euros[89].

Gestion des déchets

[modifier | modifier le code]

La gestion des déchets est organisée par la CA2BM[92].

La commune est à proximité des déchèteries de Berck (5 km) et de Verton (6 km)[93].

Un site de compostage est situé à Cucq (4 km) dont le maître d'ouvrage est Agriopale Services[94].

Espaces publics

[modifier | modifier le code]

La commune est labellisée « 3 fleurs » au concours des villes et villages fleuris[95].

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune de Merlimont est située dans l'académie de Lille.

La ville administre deux écoles communales du primaire : l'école élémentaire avec 142 élèves (2021) et l'école maternelle Opaline avec 75 élèves (2021)[96].

Espaces publics

[modifier | modifier le code]

Sur le plan touristique, deux niveaux de classement sont prévus pour les communes qui développent une politique touristique sur leur territoire. Le premier niveau se matérialise par l’obtention de la dénomination en « commune touristique » et délivrée par un arrêté préfectoral pris pour une durée de cinq ans. Le second niveau, plus élevé que le premier, se matérialise par le classement en « station classée de tourisme », attribué par décret pour une durée de douze ans.

La commune de Merlimont est labellisée commune touristique[97].

Postes et télécommunications

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un bureau de poste situé au no 77 rue Auguste-Biblocq.

Depuis début août 2020, dans le cadre d'un programme co-financé par l'Union européenne, un nouveau service de Wi-Fi public « WIFI4UE_MERLIMONT » est opérationnel sur la commune et disponible aux endroits suivants :

  • Poste de secours (plusieurs bornes seront déployées sur toute la digue une fois les travaux de réhabilitation du front de mer terminés) ;
  • Place de la Chapelle, près du bureau d’informations touristiques ;
  • Place de la Gare, près du skate parc avec une extension dans la salle polyvalente ;
  • Verger à côté de la bibliothèque (face aux entrées des écoles) ;
  • Place du commerce ;
  • Place de la Haye, à côté du city stade[98],[99].

Les Merlimontois bénéficient des services du centre hospitalier de l'arrondissement de Montreuil (CHAM), situé à Rang-du-Fliers, à 10 km de Merlimont. Cet établissement né en 1980 s'est agrandi depuis, particulièrement en septembre 2009. Il s'est étendu sans cesse et offre aujourd'hui plus de 900 lits et places[100].

Justice, sécurité, secours et défense

[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal de proximité de Montreuil, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel d'Amiens et de Douai, du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer et du tribunal paritaire des baux ruraux de Boulogne-sur-Mer, Calais et Montreuil[101].

La commune dispose :

La commune est à proximité du centre d'incendie et de secours (CIS) de Berck (7 km)[105].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Merlimontois[106] et ceux qui y sont nés les Ménomes[107].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[108]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[109].

En 2021, la commune comptait 3 367 habitants[Note 8], en évolution de +2,15 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
640651694812851870765756759
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
743753715747728693664681650
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6326817187718258939207761 037
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0951 3101 6191 8322 2122 6062 8962 9943 092
2014 2019 2021 - - - - - -
3 2893 4013 367------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee à partir de 2006[110].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 638 hommes pour 1 736 femmes, soit un taux de 51,45 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[111]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,0 
7,5 
75-89 ans
9,5 
25,3 
60-74 ans
25,4 
21,4 
45-59 ans
20,5 
15,1 
30-44 ans
16,8 
14,5 
15-29 ans
12,2 
15,7 
0-14 ans
14,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[112]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

La commune propose, tout au long de l'année, différentes animations et festivals : le Festi'Vintage, en avril, expositions de véhicules anciens, de cartes postales anciennes… ; le Festi'Nature, en mai, animations autour de la nature ; la Complice, en août, course nature chronométrée semi-nocturne en solo ou duo mixte ; le Festi'Moules, en septembre, repas et dégustations rythmée par des concerts ; le Festi'Sport, en octobre, animations et initiations autour du sport traditionnel et du sport adapté au handicap ; le Festi'Gaming, en novembre, salon du retrogaming avec des espaces de jeux vidéo anciens et récents, du cosplay, des tournois de jeux vidéos[113].

Sports et loisirs

[modifier | modifier le code]

Sports nautiques

[modifier | modifier le code]

La commune, avec son front de mer et sa vaste plage, est naturellement tournée vers les sports nautiques qui sont organisés par le « club nautique de Merlimont ». Celui-ci offre la possibilité de pratiquer de nombreuses activités comme le bateau, la pêche, le scooter des mers, le kayak de mer, le paddle, le pédalo mais surtout avec l'activité, qui a fait connaître Merlimont, le char à voile, activité qui a commencé dans la première moitié du XXe siècle. L'histoire de ce sport a commencé, à Merlimont, avec Henry Demoury qui s'y installe, comme constructeur de char à voile, dans les années 1920[114],[115].

Autres sports

[modifier | modifier le code]

La commune propose différentes activités, sportives et de détentes, associatives : le « Tennis club de Merlimont », rue de la Station, avec trois courts extérieurs et un court couvert, qui organise 2 tournois dans l’année ; le « Football Club de Merlimont » au stade municipal rue des Fauvettes ; les arts martiaux et self-défense avec l'« Aiki-Jujutsu » et le kick-boxing et self-défense avec le « Team Bdt », salle Noémie Dufour rue de la Vieille-Place[116].

La commune de Merlimont est voisine du parc d'attractions Bagatelle, plus vieux parc français, qui existe depuis 1955, composé de 34 attractions et qui s'étend sur 26 hectares, parc situé sur la commune de Rang-du-Fliers[Note 9]. Ce parc a attiré 316 000 personnes en 2018.

Sentiers pédestres

[modifier | modifier le code]
  • La commune dispose de plusieurs sentiers nature et découverte et d'un parcours sportif :
    • Le sentier des aubépines ;
    • Le sentier du Cochevis[117] ;
    • Le sentier de la dune parabolique, proche d'un site classé, en 2006, zone de protection spéciale (ZPS) du réseau Natura 2000 de l'inventaire national du patrimoine naturel (INPN)[40];
    • Le sentier des fauvettes ;
    • Le sentier de la forêt[117] ;
    • Le sentier des marais de Balençon, sur le site classé, en 1991, zone de protection spéciale (ZPS) du réseau Natura 2000 de l'inventaire national du patrimoine naturel (INPN)[118] ;
    • Parcours sportif[117].
  • Le sentier de grande randonnée GR 120 ou GR littoral (partie du sentier européen E9 allant du Portugal à l'Estonie et la Russie), appelé aussi sentier des douaniers, traverse la commune en longeant la côte[119].
  • Trois PR (Promenades & Randonnées) traverse la commune, le premier, venant du nord, rejoint le GR 120 à Merlimont-Plage, le second, du nord au sud, passe par le centre de Merlimont au lieu-dit le Bout de Haut et le troisième, passe également par le centre la commune, au lieu-dit le Bout de Bas, ces deux derniers, via le hameau d'Épy, rejoignent la commune d'Airon-Notre-Dame[120].

Pistes cyclables

[modifier | modifier le code]

La piste cyclable « La Vélomaritime », partie côtière française de la « Véloroute de l’Europe - EuroVelo 4 », qui relie Roscoff en France à Kiev en Ukraine sur 5 100 km, est en projet pour la traversée de la commune et doit relier les pistes cyclables, déjà existantes, au nord de Stella-Plage et celles au sud de Merlimont[121],[122],[123].

Vie associative

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une grande diversité d'associations :

  • En extérieur : « Amicale Des Estivants », jeu de boules ; « Bollaert Boys », organisation de déplacement pour supporteurs du Racing Club de Lens ; Le « Fishing Club », pour la pêche en mer ; le « Quiller Club », jeu de quilles ; « Randopale », organisation de randonnées ; « Société De Chasse » ; « 11' Carapate », pour visiter, découvrir, déguster, s’évader et voyager ;
  • En intérieur : « Les Amis de Merlimont » pour le plaisir d'être ensemble et rompre la solitude ; « L'Atelier Citoyen » dont le but est de réunir des citoyens pour s’informer, débattre et agir dans une optique citoyenne et solidaire en relation avec des sujets de société ; « Bien Vivre Son Corps », cours de gymnastique ; « Cousu Main », aide et conseil dans les travaux de couture ; « Country Line Dancers », danse en ligne ; « Cybert Point », initiation et plaisirs de l’informatique ; « Danza Salsa », cours de danse cubaine ; « Effet Mer », troupe de théâtre amateur ; « L’Échiquier Merlimontois », jeu d'échecs ; « Loisir et Créativité », travail de la faïence, du grès, de la porcelaine et peinture ; « Merlimont Passion » pour partager une idée ou un projet ; « Où Sont Mes Clefs ? », aide aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ; « Profil Sport », différentes techniques de gymnastique ;
  • En extérieur et intérieur : « Les Amis de La Chapelle », conservation, animation et rayonnement de la chapelle Notre-Dame-des-Anges ; « Les Anciens Combattants » ; « club d’astronomie Equinoxe » ; « Manifest'action », promouvoir et aider à l’organisation de manifestations locales[116].

La commune dispose de deux lieux de culte, l'église Saint-Nicolas, rue Auguste Biblocq, à Merlimont et l'église Notre-Dame-des-Anges, avenue de la plage, à Merlimont.

Le territoire de la commune est rattaché à la paroisse de la « Sainte Famille en terre d'Opale » au sein du doyenné de Berck-Montreuil, dépendant du diocèse d'Arras. Ce doyenné couvre 68 communes[124].

La première église de Merlimont, annexe de Cucq, était bâtie dans le marais entre Capelle et Merlimont, mais elle tombe en ruine pendant la révolution française, ce qui oblige les habitants d'aller aux office de la paroisse de Cucq. Une ordonnance du érige une chapelle grâce aux dons de la population, Mgr le Dauphin et par la duchesse de Berry. L'abbé Cauwet, nommé en 1856, entreprend de la remplacer. La première pierre de l'église est posée le par M. Boulanger, curé-doyen de Saint-Jacques d'Amiens. Elle est consacrée le par Mgr Lequette[64].

Le quotidien régional La Voix du Nord publie une édition locale pour le Montreuillois[125].

La commune est couverte par les programmes de France 3 Nord-Pas-de-Calais. Jusqu'en 2014, on pouvait également recevoir les programmes d'Opal'TV. Actuellement, la commune est également couverte par BFM Grand Littoral[126].

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

En 2018, le revenu fiscal médian par ménage, de Merlimont, est de 22 210 , pour un revenu fiscal médian en métropole de 21 730 .

En 2018, 43 % des foyers fiscaux ne sont pas imposables[Insee 4].

Merlimont fait partie, selon l'INSEE, de l'unité urbaine, de l'aire d'attraction des villes, de la zone d’emploi et du bassin de vie de Berck[Insee 1].

Dans la catégorie des 15 à 64 ans, la commune est composée de 26,9 % d'inactifs (25,7 % pour la métropole), qui se décompose en retraités et pré-retraités (12 %) et élèves, étudiants et stagiaires non rémunérés (11,3 %) et autres inactifs (6,8 %).

Répartition de la population de 15 ans ou plus selon la catégorie socioprofessionnelle 2017[127]
Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d'entreprise
Cadres, professions
intellectuelles
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers Retraités Autres personnes sans activité professionnelle
Merlimont 0 % 4,9 % 5,8 % 13,0 % 19,5 % 9,3 % 36,1 % 11,3 %
Métropole 0,8 % 3,5 % 9,5 % 14,2 % 16,1 % 12,2 % 27,2 % 16,5 %
Répartition des emplois selon le secteur d'activité 2017[128]
Agriculture Industrie Construction Commerce,
transports,
services divers
Administration publique,
enseignement,
santé, action sociale
Merlimont 0 % 2,4 % 11,4 % 62,6 % 23,6 %
Métropole 2,6 % 12,2 % 6,4 % 46,8 % 32 %

En 2017, le taux de chômage est de 11,9 % alors qu'il était de 14,5 % en 2012. Sur 100 actifs, 79 travaillent dans une autre commune que leur commune de résidence[Insee 5].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

Au , Merlimont comptait 270 établissements (hors agriculture) : 9 dans l'industrie, 42 dans la construction, 96 dans le commerce-transports-services divers, 9 dans l'activité financières et l'assurance, 18 dans l'activité immobilière, 46 dans l'activité spécialisée, scientifique et technique et activité de service administratif et de soutien, 28 dans le secteur administratif et 22 dans les autres activités de services[Insee 6].

En 2019, 45 entreprises ont été créées[Insee 7].

Un marché de plein-air hebdomadaire, en période hivernale (du au ), se déroule les vendredis, secteur plage, place de la Chapelle (au niveau de l'Office de Tourisme) et les samedis, secteur village, place de la Haye (route départementale) et en période estivale (du au ) tous les lundis et vendredis, place de la Gare (parking de la salle polyvalente)[129].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Constructions inscrites au patrimoine architectural du ministère de la Culture

[modifier | modifier le code]
  • 12 constructions sont inscrites au patrimoine architectural du ministère de la Culture, 11 villas et une église, réalisées par les entrepreneurs Darroquy et Fleuret et par les architectes René Collard, Louis Quételart, Lucien Dufour et Robert Bonnefont :
    • Villa Belle Etoile, 4 boulevard de la Manche[130] ;
    • Villa Nic aux Flots, 13 avenue du Calvaire[131] ;
    • Villa Le Grelot, 65 avenue de Flandres et 19 avenue de Londres[132] ;
    • Villa Le Simoun, 24 avenue de Londres[133] ;
    • ensemble de sept maisons, au 4, 6, 8, 10, 12, 14 et 16 rue de Tourville[134] ;
    • Villa Nic'au Vent, 44 boulevard de la Manche[135] ;
    • Villa Providentia, 30 avenue d'Artois[136] ;
    • Villa Chaperon Rouge, 361 allée Madeleine[137] ;
    • Villa Les Vagues, 1 avenue du Centre[138] ;
    • L'église Notre-Dame-des-Anges, avenue de la Plage[139].

Autres constructions notables

[modifier | modifier le code]

Merlimont-Plage

[modifier | modifier le code]

Merlimont-Plage autrefois

[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une bibliothèque municipale et d'une salle polyvalente, la salle Albert Guilbert.

Merlimont dans les arts

[modifier | modifier le code]

Des scènes de films ont été tournées à Merlimont :

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Henri Fernoux (1842-1907), architecte parisien, une rue de la commune porte son nom ;
  • Emmanuel Damoye (1847-1916), peintre français, Le Moulin de Merlimont, peint en 1879, collection du musée d'Orsay[144] ;
  • Jules Déchin (1869-1947), sculpteur français, il a une résidence secondaire à Merlimont villa Providentia, avenue d'Artois, où il a un atelier. Il réalise le monument aux morts ainsi que deux statues, Jeanne d'Arc et Saint Louis de Gonzague, visible à l'église Notre-Dame-des-Anges de Merlimont-Plage[145] ;
  • René Collard (1892-1950), architecte français installé à Merlimont, entre 1934 et 1938, qui réalise un ensemble de sept maisons formant une composition urbaine, au 4, 6, 8, 10, 12, 14 et 16 rue de Tourville[134].
  • Jean-François Rapin (1966-), médecin, ancien maire de Merlimont, sénateur français, président de la Commission des Affaires européennes au Sénat.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Merlimont Blason
D'argent à cinq coquilles de gueules, à la champagne ondée d'azur[146].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Berck comprend deux villes-centres (Berck et Étaples) et cinq communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. En 1661, le franc quartier de Merlimont profitait encore de ces avantages car il dépendait autrefois du comté de Saint-Pol.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. La boite postale est néanmoins domiciliée à Merlimont. La superficie se répartit avec environ un tiers sur Rang-du-Fliers, dont la zone d'entrée ainsi que le parking, et deux tiers sur Berck
  10. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  11. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Merlimont ».
  2. « Dossier complet de Merlimont en 2017, rubrique Logement en 2017 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  3. « Dossier complet - commune de Merlimont rubrique Tourisme au 1er janvier 2021 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  4. « Dossier complet - commune de Merlimont - Revenus et pauvreté des ménages en 2018 - REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ) et « Dossier complet - France métropolitaine - Revenus et pauvreté des ménages en 2018 - REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  5. « Dossier complet - commune de Merlimont - EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  6. « Dossier complet - commune de Merlimont - DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2018 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  7. « Dossier complet - commune de Merlimont - DEN T4 - Créations d'établissements par secteur d'activité en 2019 », sur le site de l'Insee (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Merlimont et Boulogne-sur-Mer », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Merlimont et Montreuil », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Merlimont et Calais », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  4. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Merlimont et Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  5. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Merlimont et Lille », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  6. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Merlimont et Paris », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  7. Le Touquet-Paris-Plage à l’aube de son nouveau siècle, éditions Flandres-Artois-Côte d’Opale, , p. 22.
  8. Site de la mairie consulté le 29 mai 2014
  9. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  10. « Altitude de la dune, 47 mètres » sur Géoportail (consulté le 23 mars 2021)..
  11. Petit-Berghem Y., 1998. La forêt littorale de Merlimont : une forêt subnaturelle des dépressions humides des dunes du Nord de la France, Cahiers de Géographie physique, Université des Sciences et Technologies de Lille, 12, 47-67, 7 fig.
  12. Petit-Berghem Y., 1998. Le boisement des garennes dunaires du Nord de la France, La Forêt Privée, 239, 15-29.
  13. Petit-Berghem Y., 2004. Le rôle du climat dans la genèse et l'évolution des forêts dunaires françaises, Actes du 17e colloque de l’AIC « Climat, mémoire du temps…Les relations climat-espace-société », Caen, 8-11 septembre 2004, 70-73.
  14. Petit-Berghem Y., 2010. Les forêts littorales face aux changements environnementaux. Actes du colloque « Des milieux aux territoires forestiers : itinéraires biogéographiques » (Sous la direction de Marc Galochet et Eric Glon), Mélanges en l’honneur de Jean-Jacques Dubois, Artois Presses Université, 355-370.
  15. a b et c « paysages dunaires et estuaires d’opale », sur Le site de l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, (consulté le ).
  16. « Site géologique NPC0011 - Dunes "picardes" de Merlimont-Berck », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. Fiche de la Grande Tringue sur le site du SANDRE.
  18. Sandre, « Fiche cours d'eau - Petite Tringue (E5490800 ) » (consulté le )
  19. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras d'or (E5490750 ) » (consulté le )
  20. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. « Orthodromie entre Merlimont et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  23. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  26. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  27. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysage des dunes et estuaires d’Opale », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Requalification du front de mer », sur merlimont.fr (consulté le ).
  29. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  30. « Espace protégé FR1100146 - dunes de Berck », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  31. « espace protégé FR1100439 - Dunes De Stella Merlimont », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  32. « espace protégé FR2300153 - Côte d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  33. « ZNIEFF 310030022 - Prairies humides de la Grande Tringue », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  34. « ZNIEFF 310007234 - dunes de Merlimont », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  35. Yvonne Battiau-Queney, Jérôme Fauchois, Philippe Lanoy-Ratel et Arnaud Seguin, Hommes et Terres du Nord : Un patrimoine paysager à protéger : les dunes littorales de Merlimont et de Berck (Pas-de-Calais), (lire en ligne), p. 21 à 30.
  36. « ZNIEFF 310007236 - marais de Balançon », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  37. « ZNIEFF 310013284 - Le Communal de Merlimont », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  38. « ZNIEFF 310013725 - les dunes de Stella-Plage », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  39. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  40. a et b « Dunes de Merlimont », sur Site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  41. « Natura 2000 FR3110083 - Marais de Balançon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  42. « Natura 2000 FR3100481 - dunes et marais arrière-littoraux de la plaine maritime picarde », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  43. « Natura 2000 FR3102005 - Baie de Canche et couloir des trois estuaires », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  44. « espèces présentes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  45. « espèces protégées », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  46. « statut biologique des espèces recensées », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  47. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  48. « Unité urbaine 2020 de Berck », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  49. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Berck », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  50. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  51. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  52. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  53. « CORINE Land Cover | Données et études statistiques - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site de l'inventaire biophysique de l’occupation des sols et de son évolution (consulté le ).
  54. « Lieux-dits et hameaux », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  55. a b et c « La commune de Merlimont », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
  56. « Bilan à 6 ans du SCoT du Montreuillois », sur Le site de la CA2BM, (consulté le ).
  57. « Urbanisme - Les documents de communes », sur ca2bm.fr (consulté le ).
  58. « Le PLUI-H »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Le site de la CA2BM (consulté le ).
  59. Notice no IA62001506, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « Zonage sismique en France », sur planseisme.fr, (consulté le ).
  61. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 252
  62. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  63. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1251.
  64. a b c d et e Daniel Haigneré (1824-1893), Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais, Arrondissement de Montreuil, Sueur-Charruey, , 418 p. (lire en ligne), p. 341.
  65. « Dossier LH de Cesare Trezza di Musella », sur Archives nationales Base de données Léonore (consulté le ).
  66. Ch. L., « Chemin de fer : "Ici, Merlimont-Plage !" », sur merlimont-memoire-patrimoine.fr (consulté le ).
  67. Jean Descamps, Le Touquet-Paris-Plage pendant la guerre 1914-1918, Imprimerie Duvivier à Tourcoing, , 131 p. (ISBN 978-2-36469-131-5), p. 88.
  68. « Merlimont, mémoire et patrimoine », sur merlimont-memoire-patrimoine.fr (consulté le ).
  69. « Liste des communes composant le canton d'Étaples (6224) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  70. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
  71. « Election des conseillers municipaux et du maire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la DGCL (consulté le ).
  72. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
  73. a b et c « Résultats du 1er tour pour Merlimont », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  74. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  75. « Maire de la commune pendant dix-huit ans, Guy Paillard est décédé : Arrivé à Merlimont en 1947, Guy Paillard n’a jamais quitté la commune. Il en fut maire de 1983 à 2001. Il est décédé samedi à 88 ans. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  76. « Mémoire d'histoire : Guy Paillard, une vie merlimontoise » [PDF], sur merlimont.fr, Aime ma ville, , p. 11.
  77. Olivier Merlin, « Merlimont : qui sera maire après le départ de Jean-François Rapin ? », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  78. P.L., « Merlimont : Il y aura une élection municipale complète : Sans surprise Jean-François Rapin a annoncé l’abandon de son mandat de maire de Merlimont. Une décision qui renverra les Merlimontois aux urnes », Le journal de Montreuil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  79. Fabrice Leviel, « Bilan des maires à Merlimont avec Jean-François Rapin : « Après le centre-ville, on va s’occuper du côté plage » : À six mois des élections municipales, c’est le moment de jeter un œil dans le rétro des maires dans notre série « Le bilan des maires ». Aujourd’hui, Jean-François Rapin (UMP) aux commandes de Merlimont depuis 2001 et qui postulera en mars pour un troisième mandat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  80. « Merlimont : Jean-François Rapin réélu pour un troisième mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  81. Anthony Berteloot, « Les projets du maire de Merlimont : rénover le secteur plage : Jean-François Rapin, 48 ans, sans concurrence d’autre liste, a été réélu pour un troisième mandat de suite à Merlimont. Après une transformation du « village », les prochaines années seront consacrées à donner un gros coup de neuf au secteur plage. Dans un contexte financier tendu. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  82. Olivier Merlin, « Merlimont : le nouveau sénateur Jean-François Rapin a 20 mois pour convaincre : Depuis mardi, le Merlimontois Jean-François Rapin remplace Natacha Bouchart au palais du Luxembourg. Un mandat parlementaire pris en cours de route qu’il compte mettre à profit pour agir concrètement sur le littoral. Le Montreuillois n’avait pas eu de sénateur depuis 24 ans », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  83. Les élus, sur merlimont.fr
  84. Fabrice Leviel, « Merlimont : la liste de Mary Bonvoisin élue sans surprise », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  85. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  86. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  87. Dominique Douchin, « Nouveauté : Merlimont installe un conseil municipal des jeunes », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  88. « Volume d'eau prélevé en 2018 », sur Le site de la Banque nationale des prélèvements en eau (BNPE) (consulté le ).
  89. a et b « Gestion de l'eau », sur L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  90. Élodie Adjoudj, « Patrimoine industriel: et si vous poussiez les portes de la station d’épuration samedi ? », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  91. Cécile Legrand-Steeland (photogr. Johan Ben Azzouz), « Quand la station d’épuration de Cucq, équipement méconnu mais essentiel, se laisse visiter », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  92. « Gestionnaire des déchets », sur Le site de Sinoe (consulté le ).
  93. « Déchèterie », sur Le site de Sinoe (consulté le ).
  94. « Site de compostage », sur Le site de Sinoe (consulté le ).
  95. « label de la commune », sur concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
  96. « Liste des écoles de Merlimont », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  97. « Label station classée de tourisme commune touristique », sur entreprises.gouv.fr Le portail de la Direction générale des Entreprises (consulté le ).
  98. « Le Wi-Fi gratuit dans l'Union européenne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ec.europa.eu (consulté le ).
  99. « Le WIFI4UE public est arrivé dans la commune », sur Le site de la commune de Merlimont (consulté le ).
  100. « Les chiffres », sur le site du centre hospitalier de l'arrondissement de Montreuil (consulté le ).
  101. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
  102. « Police municipale », sur Le site de la mairie de Merlimont (consulté le ).
  103. « Brigade de gendarmerie de Merlimont », sur lannuaire.service-public.fr (consulté le ).
  104. « Compétence territoriale gendarmerie et police nationales », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  105. « CIS du Pas-de-Calais », sur Le site du centre départemental d'incendie et de secours (consulté le ).
  106. « Pas-de-Calais → Merlimont », sur le site habitants.fr (consulté le ).
  107. André Accart, Les sobriquets des habitants du Pas de Calais, Les éditions Nord Avril, (2006) (ISBN 2915800057).
  108. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  109. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  110. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  111. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Merlimont (62571) », (consulté le ).
  112. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  113. « Festivals et animations », sur Le site de la commune de Merlimont. (consulté le ).
  114. « Le club nautique De Merlimont », sur site du club nautique de Merlimont (consulté le ).
  115. Bruno Henri, « Histoire du char dans la famille Demoury », sur le-tour-d-afrique.over-blog.net (consulté le ).
  116. a et b « Associations sports, détentes et loisirs », sur Le site officiel de la commune de Merlimont (consulté le ).
  117. a b et c « Les sentiers nature de Merlimont », sur merlimont.fr (consulté le ).
  118. « Les marais de Balençon », sur Site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  119. « Visualisation de la carte topographique pour Merlimont. » sur Géoportail (consulté le 18 mars 2021.)..
  120. « PR (promenades et randonnées) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  121. « Le Touquet-Paris-Plage / Berck - La Vélomaritime / EuroVélo 4 », sur francevelotourisme.com (consulté le ).
  122. « Le réseau de pistes cyclables »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ca2bm.fr (consulté le ).
  123. « EuroVelo 4 - Véloroute de l'Europe Centrale », sur eurovelo.com (consulté le ).
  124. « Doyenné de Berck Montreuil », sur Diocèse d'Arras (consulté le ).
  125. « Actualités Montreuil », sur le site du quotidien régional La Voix du Nord (consulté le ).
  126. Déborah Adoh, « Grand Littoral TV devient BFM Grand Littoral », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  127. Sources des données (INSEE) : « Dossier complet - commune de Merlimont - POP T5 - Population de 15 ans ou plus selon la catégorie socioprofessionnelle », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ) et « Dossier complet - France métropolitaine - POP T5 - Population de 15 ans ou plus selon la catégorie socioprofessionnelle », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  128. Sources des données (INSEE) : « Dossier complet - commune de Merlimont - EMP T8 - Emplois selon le secteur d'activité », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ) et « Dossier complet - France métropolitaine - EMP T8 - Emplois selon le secteur d'activité », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  129. « Jours et emplacement des marchés », sur merlimont.fr (consulté le ).
  130. Notice no IA62000474, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  131. Notice no IA62000476, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  132. Notice no IA62000479, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  133. Notice no IA62000480, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  134. a et b Notice no IA62000471, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  135. Notice no IA62000473, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  136. Notice no IA62000477, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  137. Notice no IA62000482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  138. Notice no IA62000475, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  139. Notice no IA62000472, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  140. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  141. Dominique Douchin, « Après un mois de travaux, le monument aux morts de Merlimont retrouve sa place », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  142. a et b « Films tournés à Merlimont » (consulté le ).
  143. « Le 7e art à Merlimont ! », sur Le site de Merlimont (consulté le ).
  144. « Le Moulin de Merlimont », notice sur le site du musée d'Orsay
  145. Ch. L., « Le monument aux morts de Merlimont », sur merlimont-memoire-patrimoine.fr (consulté le ).
  146. « Merlimont - Archives départementales du Pas-de-Calais », sur archivespasdecalais.fr (consulté le ).
  147. (BNF 36267663).