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Averdoingt

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Averdoingt
Averdoingt
L'église Saint-Léger, monument historique.
Blason de Averdoingt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Damien Montel
2020-2026
Code postal 62127
Code commune 62061
Démographie
Gentilé Averdoingtois
Population
municipale
291 hab. (2021 en évolution de +0,34 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 43″ nord, 2° 26′ 34″ est
Altitude Min. 123 m
Max. 156 m
Superficie 8,33 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Averdoingt
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Averdoingt
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Averdoingt
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Averdoingt

Averdoingt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Averdoingtois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 8,33 km2 ; son altitude varie de 123 à 156 mètres[1].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Averdoingt[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 873 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu'ils sont définis dans l'atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[9].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d'attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l'est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d'eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d'une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d'Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l'absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l'occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[10].

Au , Averdoingt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,5 %), prairies (17,1 %), forêts (8,6 %), zones urbanisées (3,9 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Haverdoeng (1072), Averdun (1142), Averdoung (1152), Averdon (1141-1150)[16], Averdoing (1793) et Averdoingt depuis 1801[1].

Du gaulois eburo, « if » » et du radical indo-européen *dhun-, associant un relief et un habitat défendu « dune », à l’origine d’une racine celtique *dhuno dont le premier sens aurait été « clôture, zone enclose », d’où le gaulois dūnum qui a pris le sens de « citadelle, enceinte fortifiée » et, par métonymie, celui de « colline, mont » puisque la plupart des citadelles étaient bâties sur des hauteurs.

Le 25 février 1582, est rendue une sentence de noblesse en faveur de Charles Gaultier, demeurant à Averdoing, bailli général des terres et seigneuries de Beaurepaire, Beaumont, Caucourt, fils de Jean, à son trépas greffier du bailliage de Lens; ce dernier, était fils de Louis lui-même frère de maître Jacques Gaultier, en son temps chapelain domestique de Charles V empereur (Charles Quint), qui avait obtenu des lettres d'anoblissement tant pour lui que pour ses frères Louis et Guillaume Gaultier, le 6 août 1524, et dont le dit Charles demande l'enregistrement[17].

Jacques Bridoul III (1652-1727), écuyer, est seigneur d'Averdoing et du Burgau. Fils de Jacques Bridoul II, écuyer, seigneur de Burgau, licencié en droit, bourgeois de Lille, conseiller assesseur en la gouvernance de Lille, confirmé dans sa noblesse en mars 1676 et de Marie-Madeleine de Lannoy, il est baptisé à Lille le , devient bourgeois de Lille le et meurt à Lille le . Il prend pour femme à Lille le Anne-Marie-Catherine Lefebvre-Delattre, fille de Charles II , seigneur de Biache, et de Jossine le Petit. Elle meurt à Lille le [18],[19].

Pendant la Première Guerre mondiale, en et , des troupes françaises établissent leur cantonnement dans la commune située à l'arrière du front de l'Artois[20].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

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La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. À l'initiative des intercommunalités concernées[23], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [25],[26].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [27].

Circonscriptions administratives

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La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Aubigny-en-Artois [1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001[28] En cours
(au 31 janvier 2022)
Damien Montel UMP Agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31]

Équipements et services publics

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Équipements

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La commune s'est dotée en 2015 une salle multi-activités de plus de 300 m2 juxtaposée à l'ancien café « Chez Dudu », racheté par la commune lors de sa fermeture en 2008[32].

Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[33].

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Averdoingtois[34].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 291 habitants[Note 4], en évolution de +0,34 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
359306367389389395372383402
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
400399381383378362362338321
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
311319292337325305286288266
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
222221208207244251263266285
2018 2021 - - - - - - -
294291-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 146 hommes pour 148 femmes, soit un taux de 50,34 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,7 
7,5 
75-89 ans
7,4 
13,7 
60-74 ans
14,9 
17,8 
45-59 ans
18,9 
28,8 
30-44 ans
21,6 
13,0 
15-29 ans
12,8 
18,5 
0-14 ans
21,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Revenus de la population et fiscalité

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En 2019, dans la commune, il y a 107 ménages fiscaux qui comprennent 283 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 5] de 22 260 euros, soit supérieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[40],[41].

Entreprises et commerces

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Le café, qui est le dernier commerce du village a été cédé par la commune en 2014 à un jeune commerçant, qui le fait revivre avec de nombreuses animations et une extension de son activité vers la brasserie certains soirs et les jeux à gratter[42],[43].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monument historique

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Autres lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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  • Charles Aimé Joseph Daverdoing (1813)1895), peintre, mort à Averdoingt.

Héraldique

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Armes d'Averdoingt

Les armes d'Averdoingt se blasonnent ainsi :
D'argent au lion de sinople[46].

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[47] :

  • G. Bouttemy, Notices historiques sur Averdoingt, Ternas et Bailleul-aux-Cornailles, Saint-Pol-sur-Ternoise, Imprimerie F. Becquart, 1877.
  • G. Patou, Averdoingt dans l'histoire, Arras, Imprimerie centrale de l'Artois, 2004.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d'unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d'équivalence (dite de l'OCE) tient compte des économies d'échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. « Réseau hydrographique d'Averdoingt » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Fiche communale d'Averdoingt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Averdoingt et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne).
  17. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 5.
  18. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.348 (lire en ligne).
  19. Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 655, lire en ligne.
  20. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  21. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C'est l'actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s'arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l'« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  24. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  25. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  26. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  28. David Derieux, « Le bilan des maires » à Averdoingt : le café a été sauvé, une salle d'évolution en cours de construction : Maire depuis 2001, Damien Montel ne sait pas encore s'il briguera un troisième mandat en mars prochain. Retour avec lui sur l'actualité des dernières années dans le village, notamment le chantier en cours de construction d'une salle d'évolution. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. « Averdoingt : la nouvelle salle multi-activités, lieu de vie au cœur du village : Le maire Damien Montel et l'équipe municipale n'étaient pas peu fiers, samedi matin, d'inaugurer la salle multi-activités qu'ils viennent de faire construire et qui offre de nombreuses possibilités pour maintenir un lieu de vie et d'animation au cœur du village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  33. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  34. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Averdoingt (62061) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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  42. « Simon Montel veut « faire vivre » La Détente, dernier commerce d'Averdoingt : Les cafés dans les villages, c'est une espèce en voie de disparition, une denrée rare. Mais à Averdoingt, il en reste un de café, La Détente, avec à sa tête un jeune entrepreneur, Simon Montel. Un enfant du village, qui a repris l'affaire il y a quelques mois », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  43. « Averdoingt : deux ans de bistrot plus tard, Simon Montel fait le bilan de «La Détente» », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
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