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Mozilla Foundation

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Mozilla Foundation
Logo de l'organisation

Devise : « Nous œuvrons à améliorer Internet[1]. »

Situation
Création
Type Fondation à but non lucratif (501c3)
Siège San Francisco, Californie, Drapeau des États-Unis États-Unis
Coordonnées 37° 47′ 22″ N, 122° 23′ 20″ O
Langue Anglais
Budget 329.5 million $ (2014)[2]
Organisation
Membres Mitchell Baker (Présidente)
Mark Surman (en) (Directeur exécutif)
Dirigeant Mitchell Baker, présidente du conseil d'administration
Personnes clés Brian Behlendorf, Brendan Eich, Joichi Ito, Mitch Kapor
Organisations affiliées Mozilla Corporation

Site web www.mozilla.org/foundation/

Carte

La Mozilla Foundation (en français, « fondation Mozilla ») est un organisme à but non lucratif établi en . Elle gère la communauté Mozilla qui développe et publie les produits Mozilla tous libres d'accès et respectant le « Manifeste Mozilla » publié en 2007 par Mitchell Baker afin de « préserver le choix et l'innovation sur Internet ». Les logiciels phares sont, entre autres, le navigateur web Firefox pour ordinateurs, tablettes et mobiles, le logiciel de courrier Thunderbird, Firefox OS (projet abandonné) et le gestionnaire de bugs Bugzilla.

Elle héberge également le Mozilla Developer Network, un centre très populaire de documentation et d'apprentissage pour les développeurs web.

Siège social de la Fondation Mozilla au 650 Castro Street, Mountain View, Californie.

Nom de code d'un navigateur

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La Mozilla Foundation succède à Netscape Communications Corporation en tant qu'entité chapeautant Mozilla.org.

Historiquement, le nom Mozilla a été utilisé au sein de l'entreprise Netscape Communications comme nom de code pour le navigateur web Netscape Navigator.

Ce nom, proposé par Jamie Zawinski, est en fait la contraction du nom « Mosaic killer » (littéralement « tueur de Mosaic ») ; killer étant orthographié killa pour correspondre à la prononciation du mot dans le langage courant[3]. Ce nom traduit l'espoir de ses concepteurs que leur navigateur détrônerait NCSA Mosaic, le navigateur web le plus populaire à l'époque. Il fait également référence au monstre Godzilla[4]

Création de la fondation

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Alors sise à Mountain View en Californie, la fondation est créée le , aidée par America Online (AOL) via un don de deux millions de dollars sur deux ans, des transferts de propriété intellectuelle et de matériel ainsi qu'un support en moyens humains[5].

Évolutions

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En , Jascha Kaykas-Wolff[6] rejoint Mozilla Foundation en tant que « Chief Marketing Officer ». Il met en place le « marketing agile » qui porte ses fruits en 2016. Chaque Mozillien n'est plus focalisé sur son propre champ d'action mais a une vision de toute la chaîne. Le « marketing agile » est considéré comme trois fois plus performant pour la société qui l'utilise face à ses concurrents[7].

Licenciements

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En octobre 2024, la Mozilla Foundation licencie 30 % de ses effectifs sur 120 employés, accusant une "avalanche constante de changements [dans le monde de la technologie]", ce que le chef des communications Brandon Borrman confirme à TechCrunch. La directrice exécutive Nabiha Syed a annoncé la nouvelle aux concernés le 30 octobre et explique que les divisions de défense des droits, qui luttait pour un internet libre et ouvert, et de programmes mondiaux "ne font plus partie de [la] structure"[8],[9],[10].

Création de filiales

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Mozilla Corporation

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Le , la Mozilla Foundation crée la Mozilla Corporation[11]. Société détenue à 100 % par la Mozilla Foundation, elle emploie désormais les salariés de celle-ci. Elle garde sa mission de « préserver le choix et l'innovation sur l'Internet » tout en élargissant ses possibilités de partenariat et de clientèle. C'est Mitchell Baker qui en prend la présidence, Frank Hecker reprenant la tête de la Mozilla Foundation[12].

Suite internet libre multiplateforme

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Les développements de 1998 à 2003 sont repris sous le nom de Mozilla Application Suite. Il s'agit d'une suite Internet libre multiplate-forme notamment composée d'un navigateur web, d'un client de messagerie, d'un lecteur de nouvelles, d'un éditeur HTML et d'un client IRC. Cette suite est reprise en 2005 par SeaMonkey.

Mitchell Baker, présidente du conseil d'administration de Mozilla.

Mozilla Messaging

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La fondation crée le une filiale à but non lucratif, Mozilla Messaging, pour accélérer le développement et le marketing du client de messagerie libre Mozilla Thunderbird. Après plusieurs années d'améliorations de Thunderbird, l'équipe de développement est intégrée en avril 2011 aux Mozilla Labs et la société Messaging dissoute[réf. nécessaire].

MZLA Technologies Corporation

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Le 28 janvier 2020, Philipp Kewisch annonce dans un blog « qu'a partir d'aujourd'hui » le projet Thunderbird sera dirigé par une filiale (MZLA Technologies Corporation) détenue à 100 % par la Mozilla Foundation dans le but de permettre plus de « flexibilité et d'agilité » au projet. La création de la filiale permettra également à Mozilla Thunderbird de collecter des revenus par le biais de partenariats et de dons non caritatifs et d'offrir aux utilisateurs des services et produits qu'il n'était pas possible de fournir sous l'égide de la fondation Mozilla[13].

Contrats avec les moteurs de recherche

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De 2004 à 2014, les accords passés avec Google pour mettre son moteur de recherche par défaut sur le navigateur Firefox ont représenté jusqu'à 90 %[14] des royalties touchées par la fondation.

Diversification de par le monde

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Par la suite, Mozilla fait le choix de ne pas renouveler cet accord exclusif et de passer plusieurs accords dans différents pays. Yahoo! devient ainsi le moteur de recherche par défaut pour les États-Unis, Yandex pour la Russie et Baidu pour la Chine[15]. Cette décision eut un impact immédiat sur les parts de marchés respectives de Google et Yahoo! : ce dernier a récupéré 3 % des parts de Google en un an[16].

En Europe cependant, Google demeure le choix par défaut du navigateur web. En , Google et la Mozilla Foundation annoncent que la première versera 300 millions de dollars par an pendant trois ans pour que le moteur de recherche par défaut du navigateur Mozilla Firefox reste Google[17],[18].

Ce choix de diversification s'avère pertinent : Mozilla a augmenté en 2015 son chiffre d'affaires de 28 %[19] notamment grâce au contrat signé jusqu'en avec Yahoo États-Unis[20].

Le , Mozilla rompt le contrat avec Yahoo! Fondé sur un partage de revenus publicitaires, l’accord, signé fin 2014, faisait de Yahoo! le moteur de recherche par défaut pour les internautes américains utilisateurs de Firefox. Le contrat devait initialement durer jusqu'en 2019[21],[22].

En 2016, la fondation Mozilla conclut un accord avec le moteur de recherche Qwant, promoteur de la même philosophie que la fondation, notamment en matière de protection de l'internaute sur le Web et le respect de la vie privée[23],[24].

Soutien aux projets open source et logiciel libre

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La fondation participe aux événements mondiaux de promotion des logiciels libres comme le Capitole du libre[25] et l'Ubuntu Party[26], ou open source comme le Paris Open Source Summit[27].

En 2015, la fondation lance son programme Mozilla Open Source Support (MOSS) doté d'un million de dollars pour soutenir une dizaine de projets open source et logiciel libre[28]. La fondation a versé au deuxième trimestre 2016 585 000 dollars dont 200 000 attribués à PyPy, une implémentation alternative de Python[29].

Antennes locales

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La fondation est aussi financée grâce à des dons privés.

Des antennes locales ont été ouvertes, comme Mozilla Europe ou Mozilla Japon.

En 2021, il ne reste plus que six Mozilla spaces[30] sur les douze ayant existé auparavant : San Francisco, Pékin, Berlin, Paris, Portland (Oregon) et Toronto.

Un monument dédié aux contributeurs de Mozilla est exposé au Mozilla space de San Francisco[31]. Depuis fin 2020, le siège social de Mozilla se trouve dans ses bureaux de San Francisco[32].

Structure organisationnelle

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Le conseil d'administration de la fondation Mozilla (« Board of Directors ») est composé de huit membres[33] :

La fondation a aussi une vingtaine d'employés payés pour développer Mozilla et aider à la coordination des actions de l'organisation. En plus des employés salariés, la fondation loue de temps en temps des services de contractuels comme Blake Ross. Le comité qui fait fonctionner la Mozilla Foundation est connu sous le nom « staff de mozilla.org ». Il est composé à la fois d'employés de la fondation et de bénévoles.

Protection des données et de la vie privée

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En 2016, Mozilla rejoint la démarche de Microsoft contre le projet du gouvernement américain visant à accéder aux données d'utilisateurs sans que ceux-ci en soient informés[34].

La fondation a fait face à de nombreuses critiques de ses utilisateurs et de sa communauté en décembre 2017 lorsqu'elle a inclus dans les modules complémentaires de Firefox en version anglaise— sans que ce soit sollicité par l'utilisateur et donc de manière secrète — l'extension Looking Glass « ma réalité est différente de la tienne », faisant ainsi la promotion publicitaire de la série Mr. Robot. Mozilla, face aux critiques, a retiré l'extension de Firefox et publié le code source pour rassurer définitivement sa communauté dont une partie craignait une dérive de pistage promotionnelle et commerciale[35] contraire au positionnement de Mozilla en faveur de la protection de la vie privée et du consentement de l'utilisateur[36].

En à la suite de l'affaire Cambridge Analytica, Mozilla lance une pétition pour la protection des données privées par défaut de la part de Facebook[37].

La fondation annonce en son partenariat avec Women Who Tech[38] pour le Women Startup Challenge Europe[39]. Mitchell Baker fait partie du jury chargé d’évaluer les présentations des start-ups qui ont le mieux intégré les notions de vie privée, de transparence et de responsabilité dans leur travail[40].

Mozilla Information Trust Initiative (MITI)

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La fondation lance Mozilla Information Trust Initiative[Quoi ?] (MITI) en 2017 pour préserver la crédibilité et la santé d'internet en combattant la pollution de l'information sur le web et les fake news[41].

Mozilla demande une participation accrue des organisations avec lesquelles elle travaille déjà : médias, ressources éducatives en ligne, programmes de recherche, soutien à des conférences et forums, etc. Par la suite est également prévue « une série de hackathons en partenariat avec des rédactions aux États-Unis et en Allemagne, [pour inventer] des outils qui pourraient redonner confiance aux utilisateurs dans les informations en ligne »[42].

Mozilla s'appuie sur le réseau mondial issu de son navigateur Firefox pour réaliser cet ambitieux projet[43] autour de quatre axes : le produit, l’éducation, la recherche, et les interventions créatives[44].

Étude sur l'appréhension du tout connecté

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En , la fondation lance une grande consultation en ligne sur le ressenti des internautes face à l'avenir du tout connecté. Elle reçoit 189 770 réponses du monde entier.

Leur étude montre une méfiance des internautes sur l'avenir du tout connecté, près de la moitié des sondés craignant pour leur vie privée et un quart redoutant la perte des contacts humains. Les objets les plus connectés sont les smartphones (85,7 %), les ordinateurs portables (4,8 %) et les routeurs Wi-Fi (84,1 %). Les objets en devenir sont les voitures connectées (8,2 %), les appareils électroménagers (7,7 %) et les enceintes intelligentes (5,7 %)[45],[46].

Neutralité du Net

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En 2017, l'administration Trump œuvre à la suppression de la neutralité du Net dans les textes. En , la Commission fédérale des communications (FCC) adopte le To Restore the Internet Freedom Act[47] : elle abandonne son pouvoir de sanction au profit de l’autorégulation du marché avec d'éventuels rappels à l’ordre de la Federal Trade Commission (FTC)[48].

Le , la fondation Mozilla annonce son acte d'accusation à l’encontre de la FCC, cosigné par plusieurs associations et entreprises. Elle reproche à la FCC de méconnaître le fonctionnement d’Internet et écrit : « Qu'elle repose sur des contorsions sémantiques ou simplement sur un manque de compréhension inhérent, la FCC affirme que les FAI n'ont tout simplement pas besoin de fournir sans interférence des sites Web que vous demandez »[49].

Identité visuelle

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Analyse de sites Web sécurité et confidentialité

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Mozilla a mis officiellement son projet Observatory by Mozilla[50] en libre accès en 2016. Ce projet a été conçu toujours avec la même philosophie open source « nous œuvrons à améliorer le Web »[3] pour aider principalement les professionnels à configurer et tester leurs sites en toute sécurité. Le constat de la non-utilisation des nombreuses technologies d'Internet mises à disposition pour des échanges sécurisés a persuadé Mozilla d'assurer ce service[51].

Bulletin de santé d'internet

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La fondation publie en un prototype du bulletin de santé d'internet[52] la version 1.0 sortira d'octobre à . Le bulletin publié sur une base régulière analyse les éléments « utiles et néfastes à notre principale ressource mondiale » : ouverture, accès à Internet, liberté d'expression, sécurité et respect de la vie privée, etc[53].

La fondation fait le même constat lors de son bulletin de santé 2018 sur cinq grands axes déficients en protection et accessibilité : « vie privée et sécurité, ouverture, inclusion numérique, éducation au Web et décentralisation »[54].

Techniques de développement

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Mozilla application framework

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Mozilla application framework ou « Plate-forme Mozilla » est un framework permettant de mettre au point des logiciels multiplateformes, c’est-à-dire pouvant tourner sous plusieurs systèmes d’exploitation. Ce framework se compose principalement du moteur de rendu Gecko mais aussi de XUL (pour la partie interface graphique), de Necko (bibliothèque logicielle destinée à la gestion du réseau), et d’autres composants. Tous les navigateurs de type Mozilla sont basés sur ce framework.

Mozilla codebase

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Les codes sources des projets de logiciels Mozilla tels que Firefox, Thunderbird, et XULRunner sont gérés de façon collective dans un dépôt CVS unique. Cet ensemble de codes sources, d'une taille importante, est désigné sous le nom de « Mozilla codebase », « Mozilla source code » ou simplement « Mozilla ».

Au moment de sa sortie, cet ensemble de codes sources fut placé sous licence NPL (Netscape Public License). Lors du passage en version 1.1, la licence NPL prit le nom de « Mozilla Public License » (MPL). La FSF (Free Software Foundation) et d'autres soulignèrent alors le fait qu'un logiciel ne pouvait pas être à la fois sous licence GPL et sous licence MPL pour cause d'incompatibilité au niveau juridique. Par conséquent, il fut recommandé aux développeurs de ne pas utiliser la licence MPL[55]. Pour résoudre ce problème, la Fondation Mozilla a revu la licence des codes sources en 2003 et les a placés sous trois licences : GPL, LGPL et MPL[56].

Produits phares

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Projets natifs

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  • Navigateur web pour smartphone sous Microsoft Windows Mobile Minimo (pour « Mini Mozilla »)
  • Extension IRC à Firefox ChatZilla

Logiciels de développement

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Autres logiciels et technologies

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Produits hébergés

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Produits dérivés

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  • Éditeur de page web Nvu, produit dérivé de l'éditeur de Mozilla Suite écrit par la société Disruptive Innovations et sponsorisé par la société Linspire.

Évolutions

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  • La fondation acquiert en 2017 le service de marque-pages Pocket (anciennement Read It Later), qui permet la gestion et la lecture d'articles hors-ligne[58]. Ce service de lecture différée doit améliorer et accroître la présence de Firefox sur mobile[59].

Notes et références

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  1. Mission de la fondation, sur mozilla.org
  2. [PDF] Mozilla_Audited_Financials_2014, sur static.mozilla.com
  3. a et b (en) History of the browser user-agent string, WebAIM, 3 septembre 2008.
  4. « NSCP dorm », sur Jamie Zawinski (consulté le ).
  5. (en) Mozilla.org announces launch of the Mozilla Foundation to lead open-source browser efforts, Mozilla Press Center, 15 juillet 2003.
  6. (en-US) « Start Up Marketing Gurus - Panel Event - SFAMA » (consulté le ).
  7. Ariane Gaudefroy, « Le marketing agile selon Mozilla » (consulté le ) : « Face à l’accélération du temps, l’agilité des organisations est devenue une nécessité, à la fois pour réagir plus vite, comprendre comment les choses évoluent et mieux anticiper […] Cette méthode permet à chacun d’avoir une vision de toute la chaîne, ce qui est beaucoup plus motivant que de rester focalisé sur son propre champ d’action. ».
  8. (en-US) Zack Whittaker, « Mozilla Foundation lays off 30% staff, drops advocacy division », sur TechCrunch, (consulté le )
  9. (en) Gaby Del Valle, « Mozilla is eliminating its advocacy division, which fought for a free and open web », sur The Verge, (consulté le )
  10. Jean-Yves Alric, « La fondation Mozilla, maman de Firefox, licencie 30% de ses équipes et signe la fin d'une époque », sur Presse-citron, (consulté le )
  11. (en) « Mozilla Foundation forms new organization to further the creation of free, open source internet software, including the award-winning Mozilla Firefox browser », Mozilla Press Center, .
  12. 01net, « Tristan Nitot (Fondation Mozilla) : Nous créons une entreprise, mais Firefox reste gratuit », sur 01net (consulté le ) : « La Mozilla Foundation détiendra la totalité de la Mozilla Corporation, les marques (Firefox, Thunderbird…) ainsi que le code source. Mozilla Corporation, qui sera enregistrée aux États-Unis et accueillera les employés américains de la Mozilla Foundation, elle, se voit confier le développement, la promotion et la distribution des logiciels. Son idée sera de gagner de l'argent, mais pas à tout prix. ».
  13. (en) Philipp Kewisch, « Thunderbird’s New Home - announcement » Accès libre, sur blog.thunderbird.net, .
  14. (en) Independent Auditors’ Report and Consolidated Financial Statements (2013 & 2014) [PDF], Mozilla Foundation and Subsidiaire, 25 septembre 2015, p. 21.
  15. (en) Chris Beard, « New Search Strategy for Firefox: Promoting Choice & Innovation », sur The Mozilla Blog, .
  16. Jérôme Marin, « Google perd du terrain au profit de… Yahoo », blog(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Silicon 2.0, Le Monde, .
  17. (en) Kara Swisher, « Google Will Pay Mozilla Almost $300M Per Year in Search Deal, Besting Microsoft and Yahoo », All Things Digital, .
  18. (en) Liz Gannes, « Google Renews Firefox Search Royalty Deal », All Things Digital, .
  19. Stéphane Moussie, « Mozilla s'en sort très bien financièrement sans Google », MacGeneration,‎ , p. 1 : En nouant des contrats avec 12 autres moteurs de recherche à travers le monde, le créateur de Firefox a vu son chiffre d’affaires de 2015 bondir de 28 % à 421 millions de dollars. (lire en ligne, consulté le )
  20. Jérôme G., « Mozilla : l'éditeur de Firefox se porte bien sans Google », Génération-NT,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « Firefox : après trois ans d'absence, Google redevient le moteur de recherche par défaut », France Soir, (consulté le ).
  22. « Google mise sur Firefox », Les Échos, (consulté le ).
  23. vincent@nextinpact.com, « Qwant et Mozilla s'associent pour proposer une version spéciale de Firefox »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ) : « Une philosophie commune et un braquage des projecteurs. Il s’agit surtout pour Qwant de communiquer et de mettre en avant les liens qui unissent les deux entreprises : « La fondation Mozilla est reconnue pour son engagement en faveur de ses valeurs. L’ouverture, le choix et le respect de la vie privée sont également celles pour lesquelles œuvre Qwant, en particulier en refusant de pister les internautes à chacun de leurs clics et en défendant la stricte neutralité des résultats de recherche. Firefox pour Qwant incarne ainsi l’engagement de ces deux acteurs à promouvoir un Web meilleur ». ».
  24. 01net, « Mozilla lance un navigateur Firefox à l'effigie de Qwant » (consulté le ) : « Concrètement, Mozilla va désormais proposer une version de son navigateur, spécialement développée autour de Qwant, qui sera utilisé comme moteur de recherche et qui « protège l'internaute contre le pistage sur le web », en supprimant notamment les cookies, ces petits programmes laissés sur l'ordinateur lors de la visite de sites. Par ailleurs, cette version dispose d'un bouton Qwant au travers duquel l'utilisateur pourra accéder à ses carnets et à ses favoris. « C'est un partenariat mondial, qui nous permet de passer à la vitesse supérieure », s'est félicité M. Léandri. ».
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  59. Vincent Fagot, « Mozilla fait l’acquisition de Pocket, un service de lecture différée », Le Monde,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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