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Étymologie

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Composé de pemp (« cinq »), ha (« et »), tri (« trois ») et ugent (« vingt »), littéralement « cinq et trois-vingt ».

Adjectif numéral

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pemp ha tri-ugent \ˈpem(b)‿a tri.ˈyː.ɡɛnt\

  1. Soixante-cinq.
    • Pemp bloaz ha tri-ugent goude levrioù an Tad Maner, hag eo deut diwarno doare-skrivañ Treger-Leon-Kerne, rannyezh Wened a voe savet lezennoù eviti ivez e geriadur Per A Châlons, person Sarzhav, hag en hini « M. de l'A. ». — (Kelenerien OBER, Lennegezh vrezhonek Breizh-Vihan, in Gwalarn, no 161, janvier 1944, page 44)
      Soixante-cinq ans après les livres du Père Maunoir, desquels provient l’orthographe Treger-Leon-Kerne, des règles furent établies pour le dialecte vannetais aussi dans le dictionnaire de Pierre de Châlons, curé de Sarzeau, et dans celui de « M. de l'A. ».

Note :

  • Le nom qualifié par cet adjectif se place généralement entre pemp et ha tri-ugent.

Locution nominale

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pemp ha tri-ugent \ˈpem(b)‿a tri.ˈyː.ɡɛnt\

  1. Soixante-cinq, nombre 65.
Précédé
de pevar ha tri-ugent masculin
peder ha tri-ugent féminin
Cardinaux en breton Suivi
de cʼhwecʼh ha tri-ugent