[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Toulouse olympique XIII

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Toulouse Olympique XIII
Logo du Toulouse Olympique XIII
Généralités
Surnoms TO XIII
Noms précédents Spacers de Toulouse
Fondation
Statut professionnel Professionnel
Couleurs Blanc et bleu marine
Stade Stade Ernest-Wallon
(19 000 places)
Siège 114, rue des Troènes
31200 Toulouse
Championnat actuel Championship
Président Olivier Dubois
Entraîneur Sylvain Houles
Site web www.to13.com
Palmarès principal
National[1] Championship (1)
Championnat de France (6)
Coupe de France (1)
Coupe de France à XV (1)

Maillots

Domicile

Extérieur

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
Saison 2022 du Toulouse olympique XIII
0
Le Toulouse olympique XIII en .
Le Toulouse olympique XIII en .
Finale 1964 de la Coupe de France, remportée par Villeneuve face au Toulouse Olympique.

Le Toulouse Olympique XIII (TO XIII) est un club français de rugby à XIII basé à Toulouse et présidé par Olivier Dubois. L'équipe première, entraînée par le Français Sylvain Houles nommé en 2013, évolue en Championship depuis 2023.

Le club est créé en 1937, club historique français, et compte six titres de Championnat de France (1965, 1973, 1975, 2000, 2014 et 2015) et un titre de Coupe de France en 2014. Toulouse est également l'auteur d'une épopée en Coupe d'Angleterre en 2005 lors d'invitations faites aux clubs français avec une demi-finale disputée contre Leeds.

Désirant atteindre le rang de professionnel avec en ligne de mire la Super League, le club décide en 2016 de rejoindre le Championnat anglais au troisième échelon et de gravir les marches vers la Super League, chose faite lors de son succès 34-12 contre Featherstone en 2021, lui permettant d'être le second club français de Super League aux côtés des Dragons Catalans basés à Perpignan.

A travers son histoire, de grands noms du rugby à XIII sont liés au club tels que Frantz Sahuc, Jean Galia, Vincent Cantoni, Joseph Guiraud, Pierre Lacaze, Georges Aillères, Roger Garrigue, Charles Zalduendo et plus récemment Fabrice Estebanez, Mark Kheirallah, Johnathon Ford, Rémi Casty et Tony Gigot.

Troisième titre de Championnat de France, remporté en 1975.

1937: Création du club

[modifier | modifier le code]

En la Ligue française de rugby à XIII décide d'implanter le rugby à XIII à Toulouse en achetant un terrain avenue des Minimes. Le projet est porté par Jean Galia qui annonce vouloir faire de Toulouse une place du rugby à XIII français. En octobre 1937, la construction d'un stade à cet endroit d'une contenance de 16 000 places fait de celui-ci le seul stade à l'intérieur de l'ancienne limite de l'octroi de Toulouse avec pour prévision une inauguration en décembre 1937 pour des rencontres internationales et devenant alors le stade résident du Toulouse olympique[2]. Il est nommé Stade des Minimes.

Le club du Toulouse olympique est créé quant à lui le . La première recrue est Frantz Sahuc, international français de rugby à XV et joueur du Stade toulousain[3] puis sont annoncés Sylvain Bès, Comte (Stade bordelais), Suarès et Alexandre Salat (T.O.E.C.), Jones (Bordeaux XIII), J. Stones (Salford), Bénazet (Stade toulousain), Cazal (Quillan)[4]. Le premier match du TO, avec en son sein Alexandre Salat, Frantz Sahuc, Benezet et André Gau, se déroula le contre Albi pour une défaite 44-14, suivie d'une défaite 6-15 contre Bordeaux le . En 1938 le Toulouse olympique fusionne avec l'autre club toulousain, le Galia Club toulousain.

En 1939 le TO atteint la finale de la Coupe de France. Pendant les années de guerre le TO est contraint de jouer au rugby à XV, à la suite de l’interdiction du rugby à XIII par le gouvernement de Vichy. Après un court apprentissage le TO défie, en , le SU Agen de Guy Basquet et Albert Ferrasse en demi-finale de Coupe de France de rugby à XV.

Après-guerre : poursuite sur une belle lancée

[modifier | modifier le code]

Après la Libération le club continua sur cette belle lancée, affrontant à deux reprises l'AS Carcassonne en finale du championnat avec dans son effectif deux jeunes très prometteurs Pérez et Duffort[5]. Suivit une éclipse d'une décennie. Une nouvelle forte équipe apparut avec Pierre Lacaze et Georges Aillères[6].

1995 : intégration dans les « Spacers »

[modifier | modifier le code]

En 1995 le Toulouse olympique intègre le club omnisports des Spacers et change d'appellation. En 2000 le club remporte le championnat après 25 ans de disette et ambitionne de jouer la Super League Europe. En 2003 leur candidature est rejetée par la Rugby Football League au profit de l'Union Treiziste Catalane.

En 2005, le TO bat, en quart de finale de la Challenge Cup, le club anglais de Super League des Widnes Vikings. En demi-finale le club toulousain perd face aux champions du monde des clubs, les Leeds Rhinos.

En 2006 la RFL décide d'élargir la Super League, à partir de la saison 2009, à 14 franchises. Le Toulouse olympique XIII échoue en cette entreprise au profit d'un club gallois, les Crusaders. Toulouse ne jouera pas en Super League. Les Toulousains sont tout de même invités à jouer dans un grand championnat. Le Championship est un championnat composé d'équipes professionnelles et semi-professionnelles anglaises. Il constitue la compétition de deuxième niveau, juste en dessous de la Super League européenne. En 2011 le TO XIII, menacé de relégation a fait son retour en championnat de France Élite 1 pour la saison 2011-2012.

2014 : Le doublé

[modifier | modifier le code]
Toulouse reçoit son titre de Championnat de France en 2014.

La saison 2013-2014 est l'une des plus abouties de l'histoire du club puisqu'il réalise pour la première fois le doublé Championnat-Coupe de France. Sous l'impulsion entre autres de l'Australien Mark Kheirallah venu des Sydney Roosters au poste de demi de mêlée puis replacé au poste d'arrière, Toulouse écarte en Coupe de France Baho, Saint-Estève XIII catalan et Palau avant de s'imposer en finale contre Carcassonne 46-10 au stade Albert Domec.

En Championnat, Toulouse retrouve la finale pour la première fois depuis huit ans. Après une première phase où Toulouse subit le rythme de Limoux, le club prend la tête du Championnat du fil de la saison parvenant à terminer première de la seconde phase. En phase finale, Toulouse bat Villeneuve-sur-Lot 30-14 avant de s'imposer en finale 38-12 contre Lézignan. Il s'agit du cinquième titre de Championnat de France de l'histoire du club.

Ce doublé du club vient au bon moment puisque son ambition reste d'intégrer en 2016 la Super League et d'y rejoindre les Dragons Catalans (unique franchise française basée à Perpignan)[7]. Pour ce faire, le club a demandé à la Mairie de Toulouse de rénover le stade des Minimes pour porter sa capacité à plus de 10 000 spectateurs, la décision revient à la Rugby Football League (organisatrice de ce championnat professionnel britannique) qui est prévu pour l'été 2014[8].

2016 : Retour dans le championnat anglais

[modifier | modifier le code]

Après leur sixième sacre en Championnat de France en 2015 et quatre ans après une première expérience en Championship (anti-chambre de la Super League), le Toulouse olympique XIII représente une candidature pour intégrer le championnat anglais, à savoir le troisième échelon la League 1[9]. Restructurés, les échelons anglais ne fonctionnent plus sous franchise mais avec des promotions et relégations, Toulouse voyant dans ce cas une plus large possibilité d'intégrer un jour la Super League selon son président Bernard Sarrazain[10]. Cette première saison 2016 en League 1 est une véritable réussite sportive puisqu'en saison régulière, Toulouse remporte dix-neuf des vingt matchs ajouté à un match nul. Invaincu, il se présente en finale contre les Hornets de Rochdale, son dauphin en saison régulière. Toutefois, cette finale tourne à l'avantage de Rochdale qui s'impose 24-22. Finalement, Toulouse décroche le deuxième billet pour la promotion en Championship après ses victoires contre York (62-10) et Barrow (32-22).

De nombreux joueurs du club sont présents lors de la Coupe du monde 2017 : Bastien Ader, Clément Boyer et Mark Kheirallah (France) ainsi que les frères Andrew et Kane Bentley (Écosse).

Le club flirte avec les premières places du classement du Championship les saisons suivantes, se classant souvent deuxième au classement, mais échoue aux portes de la promotion en Superleague en 2018.

Pour l'année 2019, un observateur britannique, Garry Schofield, espère que le club consolide sa position de leader dans le championnat , car Toulouse « apporte beaucoup à la compétition » mais pense que le club ne pourra pas atteindre encore la Super League[11].

2018 : Non-participation à la Coupe d'Angleterre

[modifier | modifier le code]

Le club, comme celui de Toronto, n'est pas admis à disputer la compétition en 2019. En effet, craignant que le bon parcours de l'équipe ne provoque un manque à gagner en billetterie, la RFL lui demande, comme aux clubs de Toronto et des Dragons catalans, la somme de 750 000 £ pour participer à l'édition de 2019. Le club, comme Toronto, refuse de régler cette somme, qui représenterait des frais importants en sus de ceux que le club doit engager pour la logistique[12].

2019 : un entraînement « de luxe » pour le Toulouse Olympique

[modifier | modifier le code]

En 2019, une des équipes finalistes au Mondial des Clubs , les Sydney Roosters, s'entraînent avec les joueurs du Toulouse Olympique à l'INSEP de Paris. Il s'agit d'une séance commune d'entraînement entre les deux équipes, avant que les Australiens ne disputent la finale contre Wigan le [13]. Cette séance, organisée par un ancien joueur et entraîneur de Toulouse, Trent Robinson[14], est relativement médiatisée faisant naître de solides espoirs de maintien[15].

2019-2020 : La question du stade

[modifier | modifier le code]

Le stade des Minimes ou stade Arnauné est le stade traditionnel du club, mais ce dernier doit l'abandonner provisoirement en 2017 en raison de travaux qui y sont entrepris par la ville de Toulouse. Le club dispute alors ses matchs à Blagnac (stade Ernest-Argelès) ou de manière exceptionnelle au stade Ernest-Wallon, comme pour la réception de Toronto en 2019 ; ce match est non seulement une réussite sur le plan sportif, le club battant largement le leader canadien[16], mais aussi sur le plan financier puisqu'on enregistre environ 6 000 spectateurs[17].

Le club doit « récupérer » son stade traditionnel en 2020, cependant des problèmes de contentieux administratif (annulation de permis de construire) laissent planer un doute sur cette reprise effective de possession à la date prévue[18].

2022 : Découverte de la Super League

[modifier | modifier le code]

Grâce à sa victoire en Championship en 2021, le Toulouse olympique XIII dispute en 2022 la Super League où se trouve l'autre club français de Perpignan, les Dragons Catalans. L'intersaison est marquée par les mesures de pass sanitaire liées au COVID et les départs de joueurs qui ont marqué le club à l'image de Mark Kheirallah et Johnathon Ford, et la retraite de Rémi Casty. Le début de saison est émaillé de défaites avec les honneurs avant de réussir l'exploit de battre lors de la sixième journée le le triple vainqueur de la Super League en titre St Helens au stade Ernest-Wallon 22-20[19].

Toulouse, longtemps cantonné à la dernière place du classement, connaît un sursaut courant juillet en signant trois victoires d'affilée contre Hull KR, Wakefield et Leeds, lui permettant alors d'espérer un maintien en Super League. Le club devance alors Wakefield et entame la dernière ligne droite de la saison avec cet objectif. Toutefois, Wakefield parvient alors à faire de bons résultats et Toulouse ne réédite pas ses performances et acte sa descente lors de leur défaite contre les Dragons Catalans le .

2023-2024 : Changement de direction

[modifier | modifier le code]

Fin 2023, on apprend que Bernard Sarrazain cède la direction du club à Olivier Dubois[20],[21].

Championnats de France Championnats d'Angleterre Coupe de France Coupe d'Angleterre
  • Championship (2e division)
    • Titre :
    • Saison régulière :
    • Phase finale :
      • Vainqueur (1) : 2017 (Championship Shield).
  • League One (3e division)
    • Saison régulière :
      • Champion (1) : 2016.
  • Demi-finaliste (1) : 2005.
Rugby à XV
Championnat de France Coupe de France
  • Demi-Finaliste (1) : 1944.
  • Vainqueur (1) : 1944.

Liste des entraîneurs

[modifier | modifier le code]

Liste des présidents

[modifier | modifier le code]
Effectif du Toulouse olympique XIII
Equipe première Staff

Entraîneur

Assistants


Légende:
  • (c) Capitaine
  • (vc) Vice-capitaine


Bilan du club toutes saisons et toutes compétitions confondues

[modifier | modifier le code]
Année Saison régulière
Championnat de France
Phase finale
Championnat de France
Coupe de France
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
1938 8e Quart-de-finale 1 0 0 1 7 17 Quart-de-finale
1939 6e Non qualifié - - - - - - Finaliste
1940 9e Non qualifié - - - - - - Quart-de-finale
1941 à 1944 - Le Rugby à XIII est interdit fin par le Gouvernement de Vichy et sa Révolution nationale.
1945 Finale 3 2 0 1 Quart-de-finale
1946 2e Finale 2 1 0 1 6 15 Quart-de-finale
1947 4e Barrage 1 0 0 1 6 23 Quart-de-finale
1948 14e Non qualifié - - - - - - Demi-finale
1949 - Non qualifié - - - - - -
1950 Forfait Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1951 13e Non qualifié - - - - - - Quart-de-finale
1952 7e Non qualifié - - - - - - Quart-de-finale
1953 9e Non qualifié - - - - - - Quart-de-finale
1954 9e Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1955 13e Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1956 8e Non qualifié - - - - - - Demi-finale
1957 8e 38 Non qualifié - - - - - - Quart-de-finale
1958 Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1959 11e 38 Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1960 9e 42 Non qualifié - - - - - - Demi-finale
1961 10e 37 Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1962 5e 54 Quart-de-finale 1 0 0 1 10 20 Finaliste
1963 8e Barrage 1 0 0 1 2 7 Finaliste
1964 2e 67 Finale 3 2 0 1 30 15 Finaliste
1965 4e 59 Champion 4 3 0 0 83 19 Demi-finale
1966 11e 46 Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1967 2e 70 Barrage 1 0 0 1 7 13 Huitième de finale
1968 12e 42 Barrage 1 0 0 1 6 20 Finaliste
1969 11e 42 Barrage 1 0 0 1 2 12 Quart-de-finale
1970 8e 44 Quart-de-finale 2 1 0 1 21 15 Huitième de finale
1971 3e 59 Demi-finale 2 1 0 1 17 22 Quart-de-finale
1972 5e Demi-finale 2 1 0 1 20 13 Huitième de finale
1973 5e Champion 4 4 0 0 80 16 Huitième de finale
1974 7e Quart-de-finale 2 1 0 1 19 23 Huitième de finale
1975 6e 47 Champion 4 4 0 0 87 35 Quart-de-finale
1976 4e 49 Quart-de-finale 1 0 0 1 2 19 Finaliste
1977 7e 45 Quart-de-finale 2 1 0 1 8 19 Quart-de-finale
1978 2e 64 Demi-finale 2 1 0 1 28 12 Huitième de finale
1979 2e 58 Demi-finale 2 1 0 1 18 23 Huitième de finale
1980 10e Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1981 13e Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1982 - - Huitième de finale
1983 - - Huitième de finale
1984 6e 57 Demi-finale 2 1 0 1 19 26 Demi-finale
1985 3e 60 Demi-finale 2 1 0 1 18 18 Huitième de finale
1986 4e 30 Quart-de-finale 1 0 0 1 5 7 Quart-de-finale
1987 5e 47 Quart-de-finale 2 1 0 1 32 50 Quart-de-finale
1988 8e 44 Quart-de-finale 2 1 0 1 54 59 Huitième de finale
1989 3e 47 Quart-de-finale 1 0 0 1 14 20 Huitième de finale
1990 8e Quart-de-finale 1 0 0 1 16 32
1991 - - - - - - - -
1992 - - - - - - - -
1993 - - - - - - - - Huitième de finale
1994 12e Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1995 ? Non qualifié - - - - - - Huitième de finale
1996 ? Non qualifié - - - - - - Demi-finale
1997 11e 28 14 7 1 6 Non qualifié - - - - - -
1998 6e 43 22 10 1 11 Quart de finale 2 1 0 1 38 66 Huitième de finale
1999 5e 50 22 15 0 7 Demi-finale 4 2 0 2 95 82 Huitième de finale
2000 4e 51 Champion 5 4 0 1 134 64 Huitième de finale
2001 3e 46 20 13 0 7 Finale 5 3 0 2 133 98 Demi-finale
2002 4e 46 20 13 0 7 Demi-finale 4 2 0 2 79 53 Quart-de-finale
2003 5e 42 Barrage 1 0 0 2 62 77 Demi-finale
2004 3e 55 Barrage 1 0 0 1 20 40 Demi-finale
2005 2e 55 Finaliste 1 1 0 1 62 84 Demi-finale
2006 2e 52 20 16 0 4 832 268 Finaliste 2 1 0 1 63 33 Demi-finale
2007 2e 51 20 15 1 4 643 333 Demi-finale 1 0 0 1 13 24 Huitième de finale
2008 7e 36 20 12 0 8 353 518 1er tour 1 0 0 1 10 40 Quart de finale
Année Saison régulière
Championship
Phase finale
Championship
Challenge Cup
2009 10e 30 20 9 0 11 556 582 Non qualifié - - - - - - 3e tour
2010 8e 27 20 8 0 12 486 649 Non qualifié - - - - - - 4e tour
2011 10e 15 20 4 0 16 358 663 Non qualifié - - - - - - 3e tour
Année Saison régulière
Championnat de France
Phase finale
Championnat de France
Coupe de France
2012 5e 42 18 12 0 6 442 352 Quart de finale 1 0 0 1 4 28 Quart de finale
2013 5e 35 17 9 0 8 370 305 Demi-finale 2 1 0 1 53 53 Demi-finale
2014 1re 46 20 12 3 5 548 314 Victoire 2 2 0 0 68 26 Victoire
2015 1re 51 20 14 2 4 598 370 Victoire 2 2 0 0 41 32 Quart de finale
Année Saison régulière
League 1
Phase finale
League 1
Challenge Cup
2016 1re 41 21 20 0 1 990 276 Victoire[22] 3 2 0 1 116 46 Huitième de finale
Année Saison régulière
Championship
Championship Shield
Championship
Challenge Cup
2017 5e 30 23 15 0 8 720 466 Vainqueur 9 6 0 1 340 175 5e tour
Année Saison régulière
Championship
The Qualifiers
Championship/Super League
Challenge Cup
2018 3e 33 23 16 1 6 900 438 6e 7 3 0 4 156 190 Non inscrit
Année Saison régulière
Championship
Phase finale
Championship
Challenge Cup
2019 2e 40 27 20 0 7 877 446 Finale préliminaire 3 1 0 2 80 82 Non inscrit
2020 Édition annulée et titre non décerné en raison de la pandémie de Covid-19 en France
2021 1er 28 14 14 0 0 698 124 Champion 2 2 0 0 85 24 Non inscrit
Année Saison régulière
Super League
Phase finale
Super League
Challenge Cup
2022 12e 10 27 5 0 27 421 745 Non qualifié 0 0 0 0 0 0 Non inscrit
Année Saison régulière
Championship
Phase finale
Championship
Challenge Cup
2023 2e 38 27 19 0 8 834 385 Finaliste 2 1 0 1 52 38 Non inscrit
2024 2e 37 26 18 1 7 782 384 Finaliste 2 1 0 1 21 56 Non inscrit
  • Mise à jour le .

À la fin des années 1990, le club est l'un des premiers à avoir un site internet officiel sur la toile, avec les clubs de Montpellier, Limoux et la Réole. En effet, le premier site internet officiel du club fut conçu par deux élèves du Lycée Jean-Moulin [23].

En 2017, pour célébrer les 80 ans du Toulouse Olympique, le club prend l’initiative de publier un livre d'or, « Le Livre d'Or des 80 ans du Toulouse Olympique », qui fait l'objet d'une double publication en « papier »[24] et numérique[25], celle-ci utilisant la réalité augmentée.

Le club est suivi principalement par la Dépêche du Midi, dans son édition toulousaine. Mais son rang dans le rugby à XIII européen fait que des magazines comme Midi Olympique, Rugby League World et Rugby Leaguer & League Express lui consacrent une couverture conséquente.

La diffusion des matchs du club à la télévision (ou en multi-écrans) est très variable.

Ainsi, lors de la participation du club en Super League, en 2022, très peu de matchs ont été retransmis. Quand le club dispute le Championship, ses matchs sont parfois diffusés sur l'application britannique « OurRL ».

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. Le jeu à treize va démarrer à Toulouse !, l'Auto, le 12 octobre 1937.
  3. Les "mystérieux" toulousains débutent demain à Albi, L'Auto, le 23 octobre 1937.
  4. Sylvain Bès et d'autres "as" à Toulouse ?, L'Auto, le 24 octobre 1937.
  5. Demelin et Campistrous 2008, p. 68
  6. André Passamar, L'encyclopédie de Treize Magazine, Toulouse, Sud-Ouest Presse impression, 2ème trimestre 1984, 169 p. (ASIN B0014I5GK6), « Toulouse, Olympique de », p. 146
  7. Après le doublé, le TO XIII vise la Super League , 20minutes.fr, le .
  8. Le TO XIII doit patienter, 20minutes.fr, le .
  9. Toulouse double la mise, le Midi Olympique, p. 28, Didier Navarre, le .
  10. La League One est un passage obligée, le Midi Olympique, p. 27, Didier Navarre, le .
  11. (en) Garry Schofield, « Pulling no punches : 4 Toulouse Olympique », Rugby Leaguer&League Express,‎ , p. 9 (ISSN 0962-1547)
  12. (en) Matthew Shaw et Ash Hope, « Cup Half Empty : The RFL had tongues wagging earlier this month when they subtly annouced that Toronto Wolfpack and Toulouse Olympique would not participating in the Challenge Cup », Rugby League World, no 453,‎ , p. 18-21 (ISSN 1466-0105)
  13. Didier Navarre, « Toulouse : à l'épreuve des Roosters mercredi. », Midi Olympique (édition rouge),‎ , p. 33
  14. P.Ph., « Toulouse va s'entraîner avec les Sydney Roosters », sur lequipe.fr, L’Équipe,
  15. « [Vidéo] Rugby Pack : Spécial Toulouse Olympique – Sydney Roosters », sur Treizemondial.fr,
  16. VA., « Championship : le Toulouse XIII s'invite au stade Ernest Wallon où il bat le leader canadien Toronto », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  17. Jérémy, « Toulouse s’offre le Wolfpack, et avec la manière ! », sur treizemondial.fr,  : « Devant plus de 6000 spectateurs, quelle belle après-midi à Ernest-Wallon ! »
  18. Didier Navarre, « Quel stade pour le TO ? : Depuis 2016, Toulouse délocalise ses matchs à Blagnac. Une solution devrait être proposée à ses dirigeants l'année prochaine », Midi Olympique (édition rouge),‎ , p. 36
  19. Énorme performance de Toulouse qui domine St Helens en Super League, lequipe.fr, le 19 mars 2022.
  20. « Olivier DUBOIS succède a Bernard SARRAZAIN | La Table Ovale », sur La Table Ovale, (consulté le )
  21. Bryan Faham, « Le TO XIII change de tête et veut miser sur la formation des jeunes », sur Le Journal Toulousain, (consulté le )
  22. Toulouse ne remporte pas le titre du championnat, étant battu par Rochdale en finale, mais parvient à remporter le match de promotion en Championship.
  23. Pierre Carcau, « Internet : les sites français », Treize Magazine, no 210,‎ , p. 21 (ISSN 0220-5807) :

    « Il est des initiatives qui font plaisir. Comme celle de deux élèves du Lycée Jean-Moulin de Toulouse, qui, sous la direction de leur enseignant Daniel Taillefer, ont conçu un site sur le club de la ville rose »

  24. Toulouse Olympique XIII (préf. Bernard Sarrazain), Livre d'Or des 80 ans du Toulouse Olympique, Toulouse, Art Events Production, , 127 p.
  25. « Livre d'Or des 80 ans du Toulouse Olympique », sur livredorto13.com (consulté le )

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • [Demelin et Campistrous 2008] Michel Demelin, Quand le XIII enflammait la France : Histoire du rugby, Paris, Éditions Talaïa, , 109 p. (ISBN 2-9522036-7-9) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes

[modifier | modifier le code]