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Isigny-le-Buat

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Isigny-le-Buat
Isigny-le-Buat
Mairie d'Isigny-le-Buat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Jessie Orvain
2020-2026
Code postal 50540
Code commune 50256
Démographie
Gentilé Isignois
Population
municipale
3 182 hab. (2021 en évolution de −3,55 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 08″ nord, 1° 10′ 17″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 215 m
Superficie 73,31 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isigny-le-Buat
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Isigny-le-Buat
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Isigny-le-Buat
Liens
Site web www.isigny-le-buat.com

Isigny-le-Buat est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 3 182 habitants[Note 1].

Géographie

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Cette commune est située à 30 km à l'est du mont Saint-Michel. Couvrant 7 331 hectares, son territoire était le plus étendu des communes de Basse-Normandie avant la création de Tinchebray-Bocage le .

Isigny-le-Buat et ses communes associées.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 934 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-du-Harcouët à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 929,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Isigny-le-Buat est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,3 %), terres arables (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,6 %), forêts (4,1 %), zones urbanisées (2,5 %), eaux continentales[Note 2] (0,7 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la commune est créé par l'union de celui des deux anciennes communes, Isigny (Isigny-les-Bois)[14] et Le Buat.

Isigny est désignée en latin médiéval sous les formes de Isienio vers 1120, de Iseneio 1168, Ysigné vers 1191, Isigneio en 1214, Ysigney en 1488[15],[16].

François de Beaurepaire propose le nom de domaine gallo-roman *Isiniacum, basé sur le nom de personne germanique Iso (cité par Marie-Thérèse Morlet)[15]. Il y a plusieurs noms de ce type dans la Manche. En outre, on trouve Isigny-sur-Mer (Calvados), Saint-Lubin-d'Isigny (Eure-et-Loir), Isigné (Sarthe), Isenay (Nièvre) et peut-être Isignacum, un lieu non identifié du Gard[15]. Cependant, on rencontre ce type de toponyme : nom de personne germanique plus suffixe -(i)acum principalement au nord de la France, plus germanisé. Dans ce cas, il s'agit du suffixe -INIACU, forme allongée de -acum, basé à l'origine sur des anthroponymes terminés en -in qui a acquis une autonomie.

Le Buat signifie en ancien français, un « lavoir »[17], peut-être « un canal, un conduit d'eau ».

Le gentilé est Isignois.

Le nom de la commune vient de la fusion en 1969 des communes d'Isigny et du Buat.

En 1973, la commune a encore fusionné avec Les Biards, Chalandrey, La Mancellière, Le Mesnil-Bœufs, Le Mesnil-Thébault, Montgothier, Montigny, Naftel et Vezins, qui ont gardé le statut de communes associées.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1969 1973 Auguste Pinel   Négociant
Ancien maire d'Isigny (1962 → 1968)
1973 mars 1999
(démission)
Bernard Pinel DVD puis
UDF-PR
Négociant en meubles
Conseiller général d'Isigny-le-Buat (1967 → 2004)
mars 1999[18] mars 2008 Maurice Orvain DVD Premier adjoint au maire (1995 → 1999)
mars 2008[19] mai 2020 Érick Goupil[20] DVD puis UDI Magasinier cariste
mai 2020[21] En cours Jessie Orvain DVD Exploitante agricole
Conseillère départementale d'Isigny-le-Buat (2021 → )
2e vice-présidente de la CA Mont-Saint-Michel-Normandie (2020 → )

Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et cinq adjoints[20]. Neuf de ces conseillers sont respectivement maires délégués des communes associées des Biards, de Chalandrey, de La Mancellière, du Mesnil-Bœufs, du Mesnil-Thébault, de Montgothier, de Montigny, de Naftel et de Vezins.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 3 182 habitants[Note 3], en évolution de −3,55 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Avant les fusions et associations de 1969 et 1973

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Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
Les Biards[C 1] 1 180 1 104 1 163 1 042 1 164 1 073 1 040 1 021 1 057 1 042 976 951 911
Le Buat[C 2] 400 356 396 426 372 385 398 420 409 417 414 405 401
Chalandrey[C 3] 685 577 670 706 701 660 653 706 726 653 609 579 548
Isigny[24] 400 353 376 385 372 361 351 341 351 343 342 317 324
La Mancellière[C 4] 560 493 543 587 592 581 619 660 637 592 606 395 542
Le Mesnil-Bœufs[C 5] 460 391 416 421 429 402 418 401 420 402 416 405 390
Le Mesnil-Thébault [C 6] 550 503 547 513 561 542 569 574 583 575 546 535 510
Montgothier[C 7] 580 558 616 651 650 662 665 679 667 678 644 654 578
Montigny[C 8] 620 469 685 705 608 625 607 600 602 620 602 537 534
Naftel[C 9] 240 260 225 269 260 248 273 276 256 268 240 243 250
Vezins[C 10] 712 644 668 599 631 565 607 616 656 651 631 653 595
Total 6 187 5 708 6 305 6 304 6 340 6 140 6 200 6 294 6 364 6 241 6 026 5 674 5 583
Année 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
Les Biards 880 845 801 779 735 702 706 695 635 640 699 679 652 581 564 508
Le Buat 404 424 451 420 403 385 388 399 354 366 369 359 357 358 322 294
Chalandrey 566 547 565 528 520 465 460 457 413 420 409 395 434 425 401 364
Isigny 311 336 337 314 320 313 311 322 286 290 310 297 296 250 267 267
La Mancellière 530 505 510 534 532 515 505 478 422 375 391 381 391 359 334 320
Le Mesnil-Bœufs 400 351 350 360 352 315 293 320 275 296 297 312 311 304 281 240
Le Mesnil-Thébault 501 512 505 462 448 434 424 427 392 377 355 372 333 370 355 317
Montgothier 566 538 510 529 512 484 485 462 381 422 425 406 378 364 350 333
Montigny 538 521 511 519 516 501 497 474 451 469 456 499 486 427 384 352
Naftel 260 240 260 226 226 215 217 204 222 203 228 229 210 206 186 181
Vezins 591 580 523 516 524 522 509 471 383 404 595 441 444 441 406 361
Total 5 547 5 399 5 323 5 187 5 088 4 851 4 795 4 709 4 214 4 262 4 534 4 370 4 292 4 085 3 850 3 537

Après les fusions et associations de 1969 et 1973

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Évolution de la population  [ modifier ]
1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
3 1503 1473 2073 0503 1863 1803 2823 2993 170
2021 - - - - - - - -
3 182--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Population des communes associées

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Population municipale 2020[26] :

Communes hab.
Les Biards 416
Chalandrey 299
Isigny-le-Buat 824
La Mancellière 274
Le Mesnil-Bœufs 181
Le Mesnil-Thébault 277
Montgothier 235
Montigny 233
Naftel 174
Vezins 257

Ferroviaire

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Gare d'Isigny-le-Buat.

La commune se trouve sur l'ancienne ligne Domfront - Avranches de chemin de fer.

  • Société beurrière d'Isigny-le-Buat (Lactalis).
  • Électropoli.
  • Sirec.
  • Mgpi.
  • Groupe Lactatraite & Lactaproflex.
  • Ouest remorques .
  • Vivagri SAS.
  • Lemaitre services automobiles.
  • Lemonnier.
  • Transports Daligault.

Les déchets métalliques à haute teneur en aluminium en provenance de la métropole de Strasbourg sont traités dans la commune[27].

Lieux patrimoniaux

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Patrimoine religieux

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  • Chapelle Notre-Dame-de-la-Miséricorde-et-du-Rosaire de Pain-d'Avaine (XVIe siècle), dans le bourg d'Isigny. Restaurée en 1986 et rouverte au culte. Exposition statuaire d'art religieux.
  • Église Saint-Martin d'Isigny du XVIe siècle (1574) rénovée en 1985, extérieure au bourg. Le clocher et le toit de la nef sont couvert d'essente de châtaignier. Elle abrite une chaire à prêcher (1737), un groupe sculpté figurant le baptême de Jésus (XIXe), un Chemin de croix (XIXe).
  • Église Saint-Jean du Buat (XVIIIe siècle).
  • Église Saint-Martin des Biards dont le clocher en bâtière du XVIe siècle est inscrit à l'inventaire des monuments historiques[28].
  • Église Saint-Pierre de Naftel abrite une croix en pierre du XVe siècle et une Vierge à l'Enfant (vers 1500) classées au titre objet.
  • Église Saint-Martin de Chalandrey (XVIIIe siècle) dont les bancs proviennent de l'abbaye de Savigny.
  • Église Notre-Dame de Montigny. Elle abrite une croix de procession du XVIIIe siècle classée au titre objet aux monuments historiques[29].
  • Église Notre-Dame de Montgothier (XVIIIe siècle).
  • Église Saint-Brice du Mesnil-Bœufs (XVe siècle).
  • Église Notre-Dame de Vezins (XVIIe siècle).
  • Église Saint-Pierre du Mesnil-Thébault (XIXe siècle).
  • Église Saint-Pierre de La Mancellière en partie du XVe siècle, tour du XIXe siècle.

Patrimoine civil

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  • Château de La Mancellière.
  • Manoir de la Faverie, appartenant au XIXe siècle à la famille Le Marié, reconnaissable aux trois mains sculptées figurant au-dessus de la porte principale[30].
  • Logis de Montgothier (XVIIIe siècle) inscrit à l'inventaire des monuments historiques[31].
  • Château d'Isigny dit le Logis (XVIe – XIXe siècles). Ancienne forteresse du Moyen Âge à deux ponts-levis entouré de douves et d'étangs. Propriété de Jean de Brécey seigneur d'Isigny et de Montigny, fidèle au roi Henri IV durant la Ligue (1589-1591). Cette place forte reçut trente soldats lors du siège d'Avranches en 1589. La princesse d'Harcourt vend en 1701 les terres d'Isigny à la famille Godard d'Isigny, puis par succession à la famille Le Roy de Brée et Foisil de 1701 jusqu'au début du XXIe siècle. Le logis est restauré et ses étangs asséchés vers 1890 par Henri Foisil[réf. nécessaire].
  • Château du Bois-Tyrel.
  • Manoir des Bouteillières à Chalandrey (XVe siècle), possession de la famille de Bordes de Chalandrey[32].
  • Ferme du Bois et son chêne de 400 ans, classé aux monuments historiques.
  • Barrages de Vezins et La-Roche-Qui-Boit. Retenue d'eau de 18 km de long, navigable sauf à proximité du barrage. Lieux de pêche au blanc réputés (brochet, sandre, carpe). Ce sont les étendues d'eau les plus importantes de la Manche. Une base de loisirs, propriété de la commune, y est implantée : la base de la Mazure. Une association gère ces activités de loisirs essentiellement basées sur l'eau et l'hydroélectricité, l'accueil de classes vertes. En , l'État décide de ne pas reconduire la concession au bénéfice d'EDF et décide la destruction des deux barrages.

Activité et manifestations

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L'Étoile sportive d'Isigny-le-Buat fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[33].

Manifestation

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  • Les Féériques de Montgothier, spectacle de sons et lumières créé en 1993 par Antoine Gautier-Sauvagnac, présentant, chaque samedi soir de juillet et d'août, dans les jardins d'une vieille bâtisse normande du XVIIIe siècle, une série de tableaux évoquant l'histoire, les traditions et le folklore de la région. Huit cents bénévoles, originaires du canton d'Isigny-le-Buat, y participent en costumes. Grâce à une tribune panoramique érigée en 2005, 4 000 personnes peuvent assister au spectacle chaque soir de représentation. L'association est en sommeil depuis .

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Isigny-le-Buat et Saint-Hilaire-du-Harcouët », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Hilaire-du-H » (commune de Saint-Hilaire-du-Harcouët) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Hilaire-du-H » (commune de Saint-Hilaire-du-Harcouët) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Hippolyte Sauvage, « Canton d'Isigny-les-Bois : Isigny-les-Bois », Revue historique, archéologique et monumentale de l'arrondissement de Mortain, tome 2, impr. d'Élie fils, Saint-Lô, 1882, p. 50-46.
  15. a b et c François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 141-142.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, Genève, 1996, Page 765 (ISBN 2600001336).
  17. Cahier des Annales de Normandie - René Lepelley - Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche) - page 562.
  18. « Maurice Orvain se retire du jeu », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  19. « Erick Goupil est le nouveau maire de la commune canton », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  20. a et b Réélection 2014 : « Isigny-le-Buat (50540) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  21. « Jessie Orvain succède à Érick Goupil en tant que maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Insee : population légale 2023 - recensement 2020 » [PDF] (consulté le ).
  27. « Luxembourg, Allemagne, Slovaquie… Où partent les déchets des Strasbourgeois ? », sur Rue89 Strasbourg, .
  28. « Église des Biards », notice no PA00110434, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Croix de procession », notice no PM50000555.
  30. « Monographie de la paroisse de la Mancellière au diocèse d'Avranches », in: Mémoires de la société d'archéologie d'Avranches et de Mortain, t.XI, années 1892-1893, p. 21.
  31. « Logis de Montgothier », notice no PA00110435, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Gautier 2014, p. 144.
  33. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Et.S. Isigny-le-Buat » (consulté le ).

Références à Cassini

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 115-116.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 262.

Articles connexes

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Liens externes

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