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Famille de Grammont

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de Grammont
Image illustrative de l’article Famille de Grammont
Armes de la famille.

Blasonnement Écartelé : aux 1 et 4, de gueules au sautoir d'or, qui est de Granges ; aux 2 et 3, d'azur à trois bustes de femme de carnation couronnées d'or à l'antique, qui est de Grammont[1],[2].
Devise Lo soy que soy
Branches de Grammont-Fallon
de Grammont-Châtillon
de Grammont-Conflandey
de Grammont-Melisey
de Grammont-Vezet
de Grammont-Vellechevreux
Période XIIIe siècle-XXIe siècle
Pays ou province d’origine Franche-Comté
Allégeance Comtes de Bourgogne
Maison de Habsbourg
Drapeau de l'Espagne Espagne
Drapeau de la France France
Fiefs tenus Grammont, Villersexel, Châtillon, Conflandey, Melisey, Vezet, Vellechevreux, Fallon, etc.
Charges Chevalier d'honneur au parlement de Besançon
Ambassadeur
Député
Fonctions militaires Lieutenants généraux des armées du roi
Fonctions ecclésiastiques 3 Archevêques de Besançon
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour en 1786 et 1787

La famille de Grammont est une famille subsistante de la noblesse française de noblesse chevaleresque originaire de Franche-Comté[3], issue au XIIIe siècle de la maison féodale de Granges.

Elle a donné des chevaliers croisés, 45 chevalier de l'ordre de Saint-Georges du Comté de Bourgogne, des chevaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[N. 1], des chevaliers de Saint-Louis, des lieutenants-généraux, un ambassadeur, un député de la Haute-Saône, trois archevêques de Besançon, etc.

La famille de Grammont forma plusieurs branches dont il ne subsiste qu'une seule, titrée marquis de Grammont par érection de la terre de Villersexel en marquisat sous le nom de Grammont par lettres de décembre 1718[8]. Cette branche fut autorisée en 1949 à ajouter à son nom celui de Crillon, à la suite d'une alliance avec la fille du dernier duc de Crillon. Une branche subsisterait en Autriche[9].

La famille de Grammont est issue de la maison de Granges, « puissante race baronniale des temps féodaux » (Roger de Lurion, 1890)[1].

Granges, actuellement dans le département de la Haute-Saône, correspond « une seigneurie à château située au bailliage d'Amont [du] Comté de Bourgogne et composée de 33 villages »[10]. « L'étendue de cette terre, prouve que ses premiers seigneurs, [étaient] de l'ancien baronnage de la Franche-Comté »[10].

« Gui seigneur de Granges contribua à la fondation de l'abbaye du Lieu-Croissant [... en] 1134 »[10].

Guyot de Granges, auteur de la maison de Grammont qui vivait au début du XIIIe siècle, est le père de Guillaume de Granges, chevalier, nommé fils de Guyot de Granges dans un titre de 1278, par lequel il acquiert ce que Gui, fils de Renaud de Villersexel, possédait sous son fief à Accolans et autres lieux[10]. Renaud de Bourgogne lui permit avec Henri de Granges son frère, chanoine et archidiacre de Besançon, d'acquérir ce que Guyot leur neveu tenait en fief de lui à Grammont[10]. II épousa Isabelle Dame d'Uzelles, suivant un acte de l'an 1278. Ils eurent deux fils de leur mariage, Gui alias Guyot qui suit et Jean abbé de Lieu-Croissant[10].

Guyot de Granges II, qualifié chevalier et fils de Guillaume, dans la concession que fit en 1308, Hugue de Bourgogne à Rainaud comte d« Montbéliard son frère, de la mouvance de Grammont ; & Gui de Granges en fie hommage au Comte de Montbéliard en 13H, suivant son testament de 1335. Il avait épousé Marguerite de Vare. Ils eurent de leur mariage, Guillaume et Guyot qui suivent, Henri chevalier de Rhodes mort en 1366, Guillaume et Simon religieux, Jeanne & Guie dames de Remiremont. Gui de Granges fut inhumé dans l'abbaye des trois rois (Abbaye de Lieu-Croissant où l'on voyait son tombeau au XVIIIe siècle[10].

Guillaume II et Guyot de Granges, sont dénommés fils de Gui de Granges, dans le partage qu'ils firent du château de Grammont en 1338.

C'est d'eux que sont descendues les différentes branches de la maison de Grammont.

Gui leur père se nomma simplement de Grammont, dans le partage qu'il fit de cette terre en 1311, et sire de Grammont dans un titre de 1330. L'on trouve aussi dans un acte de l'an I340 que Guillaume & Guyot se nommaient de Grammont, sans faire précéder le nom de Granges. C'est à cette époque qu'ils quittèrent l'ancien nom de leur famille.

Guillaume de Granges, sire de Grammont, chevalier, mourut en 1355 et fut inhumé dans l'église de Lieu-Croissant. De son mariage avec Guillemette de la Guiche, il eut Guillaume de Grammont, qui suit, d'où sont issues les différentes branches de la famille de Grammont[10] :

  • La branche de Grammont-Fallon, éteinte avec Gabriel de Grammont, tué à Fontaine Française en 1595[2]
  • La branche de Grammont-Châtillon, éteinte au XVIIIe siècle[2]
  • La branche de Grammont-Conflandey, éteinte en 1700[2]
  • La branche de Grammont-Vezet, éteinte[2]
  • La branche de Grammont-Vellechevreux, éteinte[2]
  • La branche de Grammont-Melisey, titrée marquis de Grammont en 1718[2] par érection de la terre de Villersexel en marquisat sous le nom de Grammont[8], seule subsistante de nos jours

Par lettres patentes du du roi d'Espagne, la terre de Grammont (Haute-Saône) est érigée en comté de Grammont, en faveur de Claude-François de Grammont, chevalier d'honneur au Parlement de Dole[10].

En 1718, la seigneurie de Villersexel (Haute-Saône) est érigée en marquisat sous le nom de Grammont pour Michel-Dorothée de Grammont, lieutenant général des armées du roi, chevalier d'honneur au Parlement de Besançon[8].

La famille de Grammont a reçu les Honneurs de la Cour en 1786 et 1787, sur preuves d'une filiation suivie depuis 1410[11].

Elle a été admise en 1940 à l'Association d'entraide de la noblesse française[12].

Généalogie

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La généalogie des différentes branches éteintes de la famille de Grammont est donnée par Étienne-Ignace Dunod de Charnage dans Histoire des Séquanois et de la province séquanoise (1737)[10].

Généalogie de la branche subsistante (branche de Grammont-Melisey, marquis de Villersexel en 1718)[10],[2] :

  • Guyot de Granges II, chevalier, seigneur en partie de Grammont, mort en 1366 et inhumé en l'abbaye des Trois-Rois (Abbaye de Lieu-Croissant), marié à N de La Pierre de Ferrette. Dont :
    • Guyot de Grammont III, seigneur de Nomay, Ougney, Gesans, etc. qui épousa en premières noces Isabelle de Vellechevreux, dont :
      • Thomas de Grammont, chevalier, seigneur de Vellechevreux, chambellan du duc Jean Sans Peur, mort en 1438. De son mariage avec Marie de Saux il eut entre autres Thiébaud.
        • Thiébaud de Grammont, chevalier, mort après 1486. Marié en 1443 à Jeanne de Grenans, dont :
          • Perceval de Grammont, mort en 1515, marié à Catherine de Montmarin, dont :
            • Étienne de Grammont, mort en 1578, marié en 1551 à Catherine de Montureux, dame de Melisey, dont :
              • Antoine de Grammont, seigneur de Melisey, mort au siège de Gertrudemberg, marié en 1573 à Fernandine de La Roche dont :
                • Antide de Grammont, baron de Melisey, colonel d'infanterie, gouverneur de Dole et de Salins, mort en 1653. Marié à Reine de Felletet, dont entre autres :
                  • Claude de Grammont, prieur de Champlitte.
                  • Antoine-Pierre de Grammont, archevêque de Besançon, mort en 1698.
                  • Laurent-Théodule de Grammont, baron de Melisey, gouverneur du château de Joux, lieutenant-colonel de cavalerie, commandant en second lors du siège de Gray de 1668, marié en 1642 à Jeanne-Françoise de Poitiers dont entre autres :
                    • François-Joseph de Grammont, archevêque de Besançon, mort en 1717.
                    • Ferdinand, comte de Grammont, baron de Faucogney, lieutenant-général des armées du roi, mort en 1718, marié à Suzanne du Bellay, dont entre autres :
                    • Michel de Grammont, marquis de Grammont (1718), lieutenant-général des armées du roi, marié à Barbe-Maurice de Berbis, comtesse de Dracy, dont entre autres :
                      • Pierre, marquis de Grammont (1708-1795), chevalier de Saint-Louis et de Saint-Georges, mestre de camp d'un régiment de cavalerie à son nom, comparant à l'assemblée de la noblesse à Besançon en 1789, marié en 1735 à Mlle de Brion et en secondes noces à Henriette de Vaudrey, il ne laissa que des filles.
                      • Ferdinand, marquis de Grammont (1707-1797), chevalier de Malte de minorité en 1715[4],[13], chevalier de Saint-Louis, chevalier de Saint-Georges, lieutenant-général en 1780, grand bailli de la noblesse de Bourgogne, comparait à l'assemblée de la noblesse à Autun en 1789. Marié en 1749 à Marie Aglaé de Fresnoy, puis à Mlle de Durfort de Civrac et en 1760 à Marthe de Scorailles, dont :
                        • Alexandre-François, marquis de Grammont (1765-1841), chevalier de Saint-Louis et de Saint-Georges. Admis aux Honneurs de la Cour en 1787, marié en 1786 à Rosalie de Noailles (sœur d'Adrienne, et belle-sœur de La Fayette et du vicomte de Noailles), dont :
                          • Pierre Théodule, comte de Grammont (1790-1820) qui ne laissa qu'une fille de Mlle de Carvoisin.
                          • Ferdinand, marquis de Grammont (1805-1889), député de la Haute-Saône, marié en 1829 à Ernestine Berton des Balbes de Crillon dont :
                            • Félix Théodule, marquis Grammont (1831-1920), marié en 1857 à Alexandrine de Nicolay, dont :
                              • Antoine, marquis de Grammont (1861-1944), lieutenant de cavalerie, marié en 1889 à Jeanne Marie de Maillé de La Tour-Landry dont :
                                • François, marquis de Grammont (1906-1945), capitaine, mort en déportation au camp de concentration de Dachau, mort pour la France. Marié en 1934 à Paule Rose Zénaïde Cécile Suchet d'Albufera, dont une fille.
                              • François-Joseph Aymard Marie Théodule (1865-1940), marié en 1893 avec Marguerite Constance Louise Marie princesse de Croy dont :
                                • Emmanuel, marquis marquis de Grammont (1897-1978), marié en 1927 avec Anne Marie Léonie Marguerite Budes de Guébriant, dont :
                                  • Bernard, marquis de Grammont (1932)
                                • Michel, comte de Grammont Crillon (1901-1972), maire de Choisy au Bac, autorisé en 1949 à relever le nom de son aïeule Ernestine de Crillon, marié en 1931 avec Henriette Espérance Marie des Acres de l'Aigle. Dont trois filles et :
                                  • Charles Emmanuel de Grammont Crillon (1934-2023), sans postérité[14].
  • Château de Granges (Haute-Saône) : en 1308, Guy de Granges fit construire à Granges un château sur le plateau de 3 ha qui couvre la motte. Il fit hommage de son fief au comte Renaud de Montbéliard. Le château fut assiégé, pris, brûlé et en partie démoli par les Suisses après la bataille d'Héricourt le .
  • Château de Grammont (Haute-Saône) : après la prise de Besançon en 1674, Louis XIV fit démanteler les châteaux de Franche Comté, celui de Grammont fut rasé.
  • château de Villersexel (Haute-Saône) à partir de 1699, le château de Villersexel, hérité de la famille de Rye, fut le nouveau lieu de résidence de la famille de Grammont.
  • Château de Dracy-lès-Couches (Saône-et-Loire) par alliance au début du XVIIIe siècle avec la famille de Berbis-Dracy.
  • Château du Franc-Port, aujourd'hui château des Bonshommes, à Choisy au Bac (Oise), par alliance avec la famille des Acres de L'Aigle.

Ecartelé : au 1 et 4, de gueules au sautoir d'or qui est de Granges; au 2 et 3, d'azur à trois bustes de femme de carnation couronnées d'or à l'antique qui est de Grammont[1]
Devise : Lo soy que soy[1]
Cri : Dieu aide au gardien des rois[1]
Adage : Beauté de Grammont[1]

Les trois bustes et la devise des armes de Grammont font allusion aux trois têtes des rois mages qui auraient été déposées, suivant une tradition, au monastère de l'abbaye de Lieu-Croissant, appelé ensuite l'abbaye des Trois-Rois, dont les seigneurs de Granges et de Grammont étaient les protecteurs, et où ils avaient leur sépulture. Selon d'autres auteurs, les trois bustes rappelleraient les exploits d'un chevalier de cette maison qui aurait défendu trois reines attaquées par les Sarrazins. Cette dernière tradition parait tout à fait fabuleuse[15].

Des membres de la famille de Grammont ont porté les titres de :

Ainsi que :

Personnalités

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Les principales alliances de la famille de Grammont sont[1] : d'Uzelles, de Varre, de La Guiche, de Fallon, d'Andelot-Coligny, de Granges, d'Arbon, de Saint-Aubin, de Fétigny, de Beaumotte, Perrenot de Granvelle, d'Achey, de Joux, de Laubespin, de Plaine, de La Palu, de Binans, de Poitiers (2 fois), d'Andelot-Cromary, de La Rochelle, du Châtelet, de Montagu-Boutavent, de La Pierre de Ferrette, de Vellechevreux, d'Arcey, de Neufchâtel, de Loray, de Vezet, de Quingey, de Saulx (2 fois), de Grenant, de Montmarin, de Cicon, de Vellefaux, de Méligny, de Montureux, de Ray de La Roche, Felletet, du Bellay, de Berbis, de Fouvent, de Brion, de Domprel, de Montfort-Taillant, de Mailleroncourt, de Crévecoeur, d'Anglure, de Coucy-Vervins, d'Oiselay, du Hautoy, d'Arguel, d'Amange, de Saint-Mauris-Châtenois (2 fois), de Citey, de Chassey, de La Roche, de Scorailles, d'Iselin de Lasnans, de Toulongeon, de Noailles, de Carvoisin, de Nicolay, de Maillé, de Croy, de Watteville, de Scey-Montbéliard, de Damas, de La Chambre-Seyssel, de Valengin, de Sully, de Beauveau-Craon, de Mérode, de Dreux-Brézé.

Notes et références

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  1. Chevaliers de Malte de la famille de Grammont : l’abbé de Vertot dans Histoire des Chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem donne les dates d’admission dans l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem de quatre membres de la famille de Grammont, de Franche-Comté avec un description des armes de la famille de Grammont : Pierre de Grammont, 23 janvier 1553 (page 6) ; Claude-François de Grammont, 20 mai 1685 (page 44) ; Emmanuel-Gaspard de Grammont, 20 mai 1685 (page 45) ; Ferdinand de Grammont, de minorité, 1715 (page 197)[4]. Ces chevaliers de la famille de Grammont sont également donnés par Louis de La Roque dans son Catalogue des chevaliers de Malte (1890)[5].
    L’Inventaire des archives du département du Jura donne à la côte E 199 (1633-1737) : « levée des scellées au domicile mortuaire de Claude-François de Grammont, chevalier de Malte, décédé au château de Chambéria » et « testament de Claude-François de Grammont, chevalier de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem »[6].
    « Par son testament du 16 mars 1738, Claude-François de Grammont, chevalier de Malte » possesseur du fief de Binans fonda cinq lits dans l'hôtel-Dieu de Lons-leSaunier, à charge par cet établissement de recevoir les pauvres malades de Revigny[7].

Références

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  1. a b c d e f g h et i Roger de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté, Impr. de P. Jacquin, Besançon, 1890, pages 359-360.
  2. a b c d e f g h et i Henri Jougla de Morenas, Raoul de Warren, Grand armorial de France, vol. 4, Société du Grand armorial de France, (lire en ligne [PDF]), p. 205.
  3. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, Éditions Robert Laffont, 2007, page 96
  4. a et b Abbé de Vertot, Histoire des Chevaliers Hospitaliers de S. Jean de Jerusalem : appellez depuis les chevaliers de Rhodes, et aujourd'hui les chevaliers de Malte, Volume 4, 1726 : page 6 : Pierre de Grammont, 23 janvier 1553 ; page 44 : Claude-François de Grammont, 20 mai 1685 ; page 45 : Emmanuel-Gaspard de Grammont, 20 mai 1685 ; page 197 : Ferdinand de Grammont, de minorité, 1715.
  5. Louis de La Roque, Catalogue des chevaliers de Malte appelés successivement Chevaliers de l'ordre militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte: 1099-1890, A. Desaide, 1891, page 107.
  6. Rousset, Inventaire sommaire des archives départementales. Département du Jura, 1870, page 25.
  7. Alphonse Rousset, Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent, classés par département: département du Jura, Bintot, 1837, page 427.
  8. a b et c Borel d'Hauterive, Albert Révérend Annuaire de la pairie et de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Volume 4, 1846, page 204.
  9. Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 497.
  10. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v et w Étienne-Ignace Dunod de Charnage, Histoire des Séquanois et de la province séquanoise, De Fay, (présentation en ligne), p. 478 à 494
  11. François Bluche , Les Honneurs de la Cour, Paris, Les Cahiers nobles n° 11, , 44 p., p. 9
  12. Jean de Vaulchier - Jacques Aimable de Saulieu - Jean de Bodinat, Armorial de l'ANF, Lathuile, ANF - Editions du Gui, , 915 p. (ISBN 2-9517417-3-1), p. 258
  13. Table générale alphabétique et raisonnée du journal historique de Verdun, (lire en ligne), p. 313 : « Marie-Flore Aglaé de Fresnoy (…) épouse de Ferdinand de Grammont brigadier de cavalerie, qui avoit été chevalier de Malte »
  14. Jean Gallian, « Généalogie des familles nobles - de Grammont Crillon », sur jean.gallian.free.fr, (consulté le )
  15. Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, (lire en ligne), p. 147-148[réf. obsolète].

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Bibliographie

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  • François-Ignace Dunod de Charnage, Histoire des Séquanois et de la province séquanoise, des Bourguignons et du premier (seconde, troisième et quatrième) royaume de Bourgogne, chez De Fay, (lire en ligne), p. 478 à 494.
  • Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, , p. 102 à 106.
  • Henri Jougla de Morenas, Raoul de Warren, Grand armorial de France, vol. 4, Société du Grand armorial de France, (lire en ligne [PDF]), p. 205.

Articles connexes

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Liens externes

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