Chabottes
Chabottes | |||||
Chabottes village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Hautes-Alpes | ||||
Arrondissement | Gap | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Champsaur-Valgaudemar | ||||
Maire Mandat |
Roland Aymerich 2020-2026 |
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Code postal | 05260 | ||||
Code commune | 05029 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chabottins | ||||
Population municipale |
934 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 94 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 38′ 38″ nord, 6° 10′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 1 028 m Max. 1 347 m |
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Superficie | 9,96 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Gap (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Bonnet-en-Champsaur | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Chabottes est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Chabottins.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]La commune de Chabottes est située dans la haute vallée du Drac, au cœur du Champsaur, au sud-ouest du massif des Écrins. Abritée au nord par le massif du Vieux Chaillol, elle jouit d’un climat intermédiaire entre le climat méditerranéen de montagne des Alpes du Sud et celui plus froid et humide des Alpes du Nord. La commune est traversée d'est en ouest par le Drac, qui sépare le coteau de la rive droite, où se situe le chef-lieu, et la large plaine agricole de la rive gauche, traversée par la route départementale 944, principal accès au haut Champsaur (Pont-du-Fossé, Champoléon, Orcières). Il est à noter qu'en aval de Chabottes, jusqu'à Grenoble, plus aucune commune ne s'étend de part et d'autre du Drac.
La commune de Chabottes est incluse dans la zone périphérique du parc national des Écrins.
Chabottes est situé à 18 kilomètres au nord de Gap, préfecture des Hautes-Alpes, et à 9 kilomètres à l'est du chef-lieu de canton Saint-Bonnet-en-Champsaur.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]- Buissard
- Saint-Michel-de-Chaillol
- Saint-Jean-Saint-Nicolas
- Saint-Léger-les-Mélèzes
- Ancelle
- Forest-Saint-Julien
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le principal axe de communication de la commune est la route départementale 944 reliant Gap à Orcières. Cet axe important se situe sur la rive gauche du Drac et passe par les hameaux de Basse-Plaine et Haute-Plaine. Le chef-lieu, situé sur les pentes de la rive droite, est relié à cette route par la section terminale de la départementale 945 en provenance de Saint-Bonnet-en-Champsaur. Il est aussi traversé par la départementale 43 qui le relie à Saint-Michel-de-Chaillol au nord et à Chabottones et Pont-du-Fossé à l'est.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 053 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Jean-St-Nicolas », sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 943,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,7 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Chabottes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gap, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,3 %), forêts (31 %), terres arables (22,8 %), zones urbanisées (6,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,2 %), prairies (2,4 %)[12].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes de Chabotis en l274[13], Locus de Chabotis en 1307, Chabottes dès 1516[14].
Le nom Chabottes est la francisation directe du nom occitan vivaro-alpin chabota, qui désigne une cabane en pierres sèches en forme de ruche traditionnelle, parfois recouverte de chaume[réf. nécessaire], comparable aux bories provençales. La forme plurielle indique une multiplicité de telles constructions.
On retrouve le même toponyme notamment à Poligny et à Ribiers[14]. Diminutif : Chabottonnes, nom d'un village voisin de Chabottes[15]. Variante provençale : le Cabot, quartier de Marseille[16]..
Histoire
[modifier | modifier le code]Chabottes est située sur un ancien chemin préhistorique[réf. nécessaire].
Chabottes fut très tôt évangélisée par les moines de l'abbaye de la Novalaise. Au Xe siècle, ce sont ceux de Cluny qui prirent le relais, laissant néanmoins la fondation de la paroisse à l'abbaye auvergnate de Saint-Chaffre.
La seigneurie de Chabottes dépendait au Moyen Âge à la fois du Dauphin et du seigneur de Montorcier. En 1339, le dauphin Humbert II donna à son écuyer Étienne de Roux les moulins de Chabottes, une infrastructure au revenu important pour l'époque. Ce dernier les unit à un fief créé pour lui sous le nom de Prégentil, dont le manoir se trouve sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas.
Durant son histoire, la commune de Chabottes fut souvent secouée par les conflits, d'abord en 1369 avec son pillage par une troupe de « routiers » provençaux, puis durant les guerres de religion et enfin en 1692 avec les armées du duc de Savoie, qui mirent à sac toute la région.
Comme nombre de communes haut-alpines, Chabottes a été le refuge de huguenots fuyant la répression instituée par Louis XIV.
En 1789, la population de cette commune était de 550 âmes réparties sur 996 hectares de terres, puis monta à 714 habitants à la fin du XIXe siècle. La population locale déclina lentement par la suite, à cause de l'exode rural puis de la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Politique
[modifier | modifier le code]En 2017, Christiane Mioletti, maire de Chabottes, a été démise de ses fonctions par le préfet après sa condamnation à trois ans d'inéligibilité et quatre mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Gap pour favoritisme dans l'attribution d'un marché public[17],[18]. Christiane Mioletti n'a pas fait appel[19].
Ce jugement est la conclusion d'une affaire qui a débuté en 2014. Outre la maire, les patrons de deux entreprises ont été condamnés pour avoir bénéficié de favoritisme. L'un d'eux siégeait au conseil municipal[20].
Roland Aymerich a été élu maire en décembre 2017.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2021, la commune comptait 934 habitants[Note 3], en évolution de +11,99 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dépend de l'académie d'Aix-Marseille. Les élèves de Chabottes commencent leur scolarité à l'école primaire du village, qui regroupe 119 enfants[28].
Santé
[modifier | modifier le code]Culte
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]La commune de Chabottes compte plusieurs infrastructures sportives dont un stade, un mur d'escalade et un terrain de moto-cross.
Économie
[modifier | modifier le code]Son activité s’équilibre entre l’agriculture, le tourisme, le commerce et l'artisanat.
Cette commune de 996 hectares, située à une altitude comprise entre 1050 et 1 350 mètres se divise en deux parties bien distinctes : la plaine, agricole, secteur de cultures bocagères, et le coteau, de moyenne montagne, où se trouvent les alpages. Elle fait partie des zones de production de l'agneau de Sisteron, des vins Hautes-Alpes IGP, y compris primeurs et des vins de la Méditerranée, ainsi que des pommes des Alpes de Haute-Durance[29].
Depuis 1962, on peut constater une remontée de la population, due en grande partie à l’essor du tourisme hivernal, lié au développement des stations de sports d'hiver du haut Champsaur (Saint-Léger-les-Mélèzes, Chaillol, Orcières 1850, etc.), mais aussi au tourisme estival (le « plan d’eau du Champsaur » sur la commune voisine de Saint-Julien-en-Champsaur, les nombreux itinéraires de randonnée pédestre ou en VTT, les sites d'escalade).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La chapelle de la Nativité de la Vierge Marie, construite en 1659 à la Haute-Plaine, entourée d'un cimetière, inscrite à l'inventaire complémentaire des monuments historiques[30]
- L'église paroissiale de la Nativité, construite entre 1853 et 1855 aux Estèves, inscrite à l'inventaire complémentaire des monuments historiques[31].
- L'église paroissiale de l'Assomption, construite entre 1864 et 1884, au village, inscrite à l'inventaire complémentaire des monuments historiques[32].
- Le calvaire monumental, de 1934, dominant le village.
- Le monumental « aqueduc des gorges » en maçonnerie, construit dans la seconde moitié du XIXe siècle au-dessus de Pont-de-Frappe pour faire passer le canal de Pont-du-Fossé par-dessus le ruisseau d'Ancelle.
- La Croix de la Passion, du XIXe siècle, au Villard[33]
- La Maison Davin, du XVIIe siècle, aux Thomés[34]
- Plusieurs chapelles funéraires du XVIIe siècle, au cimetière de la Plaine[35]
-
L'église paroissiale.
-
Le calvaire.
-
L'aqueduc des gorges.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La commune de Chabottes a vu naître le [36], au hameau du Fangeas (appelé château de Phanjas par certaines biographies), François Para du Phanjas[37], jésuite et philosophe, auteur entre autres ouvrages des Principes de la saine philosophie conciliés avec ceux de la religion (1774). L'abbé Para est mort à Paris en 1797.
- Jean Faure, dit Faure du Serre, né au hameau des Michauds le , et retiré à Saint-Michel-de-Chaillol après une carrière préfectorale contrariée par ses convictions ultra-royalistes, s'est fait connaître par ses pièces en vers, épiques ou héroï-comiques, inspirées par les événements dont il était le témoin.
- Jean-Yves Dusserre, (1953-2014), homme politique, conseiller général du canton de Saint-Bonnet-en-Champsaur, président du conseil général des Hautes-Alpes puis sénateur des Hautes-Alpes.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à l'inscription COMMUNE DE CHABOTTES de sable soutenu d'une plaine de gueules, au chef retrait du même[38]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean Ranguis, Histoire du Mandement de Montorcier, 1905, réimpression Vollaire, Gap 1978, pages 101 à 111 et 224 à 231.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Chabottes sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chabottes et Saint-Jean-Saint-Nicolas », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Jean-St-Nicolas », sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Jean-St-Nicolas », sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gap », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises, page 1402.
- Joseph Roman, Dictionnaire topographique du Département des Hautes-Alpes, 1884-2000, p.27.
- Xavier de Fourvières, Lou pichot tresor, éd. Marcel Petit, Raphèle-les-Arles, 1944-45 (sans ISBN), page 121.
- Robert Bouvier, Origine des quartiers de Marseille, éd. Jean-Michel Garçon, Marseille, 1988, (ISBN 2-9502847-0-1), page 31.
- « Hautes-Alpes : la maire de Chabottes condamné à 3 ans d'inéligibilité et 4 mois de prison avec sursis pour favoritisme. Elle s'exprimera sous peu », sur D!CI TV & Radio (consulté le ).
- « CHABOTTES », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- « Hautes-Alpes : Christiane Mioletti a tranché. Elle n'est plus maire de Chabottes, ne fera pas appel de sa condamnation et ne se représentera pas », sur D!CI TV & Radio (consulté le ).
- Brian Orsini, « Alpes : Le maire de Chabottes a-t-il fait du favoritisme ? », La Provence, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des maires du département des Hautes-Alpes (mise à jour 15 mai 2014) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- école primaire du village
- Produits agricoles IGP ou AOC
- Notice no IA00070601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00070598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00070596, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00070605, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00070604, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00070602, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le père Para du Phanjas (1724-1797) », sur Blogspot.fr (consulté le ).
- Para du Fanzas pour Jean Ranguis
- « Champsaur », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).