porc
Apparence
Pandôo
[Sepe]porc \pɔʁ\ linô kôlï
- (Nyama) ngûru
- Il pense avec d’amers regrets à son pouvoir évanoui, aux empiffreries de viande de porc que lui fournissaient les nigauds, aux vaches grasses à tout jamais remplacées par des vaches maigres. — (« Missions d'Asie » na Annales de la propagation de la foi , chez l’Éditeur des Annales, 1908, volumes 80-82, lêmbëtï 88)
- On n’entend plus que les cris des volailles et des porcs saignés ; les cheminées fument, tout Ramscapelle s’emplit de la joyeuse animation d’un marché oriental. — (Marguerite Baulu, La Bataille de l'Yser , Paris, Perrin & Cie, 1918, lêmbëtï 354)
- Avec leurs pommes de terre, leurs châtaignes et leur seigle, les paysans du Ségala engraissent de nombreux troupeaux de porcs dont ils tirent beaucoup d’argent. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde , 1931)
- Mais le porc est un animal admirable, intelligent, sensible, capable d’une affection sincère et exclusive pour son maître. — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire , 2010, J’ai lu, lêmbëtï 135)
- (Zonga) pulûsu (zo)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï
Kataläan
[Sepe]Pandôo
[Sepe]porc \sêndagô ?\ linô kôlï
- (Nyama) gaduru
Pandôo
[Sepe]porc \ˈpoɾk\
- (Nyama) gaduru