[go: up one dir, main page]

Saint-Gladie-Arrive-Munein

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Saint-Gladie-Arrive-Munein (en béarnais Sent-Gladia-Arriba-Munenh ou Sén-Gladie-Arribe-Munégn) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Gladie-Arrive-Munein
Saint-Gladie-Arrive-Munein
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Gilbert Larroude
2020-2026
Code postal 64390
Code commune 64480
Démographie
Gentilé Saint-Gladiens
Population
municipale
198 hab. (2021 en évolution de −1,49 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 22′ 54″ nord, 0° 55′ 52″ ouest
Altitude Min. 53 m
Max. 201 m
Superficie 6,53 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Gladie-Arrive-Munein
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Gladie-Arrive-Munein
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Saint-Gladie-Arrive-Munein
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Gladie-Arrive-Munein

Géographie

modifier

Localisation

modifier
Carte 
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 77 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 39 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Guinarthe-Parenties (1,4 km), Osserain-Rivareyte (1,6 km), Sauveterre-de-Béarn (2,2 km), Espiute (2,8 km), Andrein (2,8 km), Barraute-Camu (3,0 km), Autevielle-Saint-Martin-Bideren (3,4 km), Burgaronne (3,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Gladie-Arrive-Munein fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

modifier

Les communes limitrophes sont Barraute-Camu, Domezain-Berraute, Espiute, Etcharry, Guinarthe-Parenties, Montfort, Osserain-Rivareyte, Sauveterre-de-Béarn et Tabaille-Usquain.

Hydrographie

modifier
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Gladie-Arrive-Munein.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Saison, le ruisseau Haubiel et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[10].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

  • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 279 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[16]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records ST-GLADIE (64) - alt : 73 m 43° 22′ 48″ N, 0° 56′ 00″ O
Statistiques établies sur la période 1986-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1986 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 2,5 4,6 6,5 10,4 13,4 15,2 15,3 12,3 9,4 5,2 2,7 8,3
Température moyenne (°C) 7 8 10,6 12,3 16,4 19,2 21,3 21,5 18,6 15,2 10,2 7,4 14
Température maximale moyenne (°C) 11,9 13,4 16,7 18,1 22,3 25,1 27,3 27,7 24,9 21 15,2 12,2 19,7
Record de froid (°C)
date du record
−8
07.01.17
−11
12.02.12
−9
01.03.05
−3,5
04.04.1996
0
06.05.19
4,5
02.06.1987
7
21.07.01
6
29.08.1998
2
30.09.1988
−2
16.10.09
−9
23.11.1988
−10,5
25.12.01
−11
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
25
01.01.22
27
16.02.20
30
21.03.1990
32,5
28.04.10
37
28.05.01
41
21.06.03
40,7
30.07.20
42
01.08.04
39,5
12.09.16
35
04.10.04
28,7
01.11.20
24
19.12.15
42
2004
Précipitations (mm) 117,6 104,3 101,1 126,5 111,2 80,8 67,1 79,7 97,4 123,5 154,9 129,2 1 293,3
Source : « Fiche 64480001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

modifier

Réseau Natura 2000

modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[18],[Carte 2] :

  • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[19] ;
  • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[20].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[22].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Saint-Gladie-Arrive-Munein est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[24],[25].

Occupation des sols

modifier
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,4 %), zones agricoles hétérogènes (22,8 %), forêts (8,2 %), prairies (4,6 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

modifier

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Saison. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1998, 2009 et 2016[29],[27].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gladie-Arrive-Munein.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 35,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[31].

Toponymie

modifier

Attestations anciennes

modifier

Le toponyme Saint-Gladie apparaît sous les formes Sanctus-Lidorus (XIIe siècle[32], collection Duchesne volume CXIV[33]), Sent-Ledie et Sent-Ledier (respectivement 1384[32] et 1385[32], notaires de Navarrenx[34]), Sent-Ladie (1385[32], censier de Béarn[35]), Sent-Ladier et Nostre-Done de Sent-Ladie (respectivement 1391[32] et 1413[32], notaires de Navarrenx[34]), Sanladie et Sent-Ladia (respectivement 1538[32] et 1540[32], réformation de Béarn[36]) et Saint-Jean-Baptiste de Saint-Gladie (1655[32], insinuations du diocèse d'Oloron[37]).

Le toponyme Arrive apparaît sous les formes Arive (1385[32], censier de Béarn[35]), Arribe, Aribe, Arriba et Ribbe (respectivement 1538[32], 1546[32] et 1548[32] pour les deux dernières formes, réformation de Béarn[36]) et Arrive sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[38]).

Michel Grosclaude[38] indique que le toponyme est d’origine gasconne, arriba (du latin ripam) désignant une « terre en bordure d’un cours d’eau ».

Le toponyme Munein apparaît sous les formes Munen (XIe siècle[32], d'après Pierre de Marca[39]), Munenh (1385[32], censier de Béarn[35]), Monehn (1472[32], notaires de Labastide-Villefranche[40]), Memein (1793[41] ou an II) et Muncin (1801[41], Bulletin des lois).

Autres toponymes

modifier

L'hydronyme Lafaure apparaît sous les formes la Phaura en 1538[32] (réformation de Béarn[36]) et la Phaure et 1863[32].

Graphie béarnaise

modifier

Son nom béarnais est Sent-Gladia-Arriba-Munenh[42] ou Sén-Gladie-Arribe-Munégn[43].

Histoire

modifier

Paul Raymond[32] note que les communes de Saint-Gladie et de Munein comptaient chacune une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1385, Saint-Gladie comptait 14 feux, Arrive 9 et Munein 10. Toutes trois dépendaient du bailliage de Sauveterre.

Saint-Gladie, Arrive et Munein se sont réunies le .

Politique et administration

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2008 Victor Loustaunau    
2008 En cours Gilbert Larroude    

Intercommunalité

modifier

La commune fait partie de cinq structures intercommunales[44] :

  • le centre intercommunal d'action sociale de Sauveterre-de-Béarn ;
  • la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le SIGOM ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

En 2021, la commune comptait 198 habitants[Note 8], en évolution de −1,49 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
172105152175112145451449365
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
413369373381396400396380361
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
361345357312292262273260218
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
220230240224209206187187175
2014 2019 2021 - - - - - -
200198198------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

modifier
Bourg St-Girons en Béarn place mairie 
Bourg de St-Girons en Béarn, place de la mairie.

Patrimoine civil

modifier

Patrimoine religieux

modifier
 
L'église Saint-Jean-Baptiste.

L'église Saint-Jean-Baptiste[49] date des XIIe et XIVe siècles.

Équipements

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Léon Bérard (1876-1960), ministre de la Justice, académicien, a vécu son enfance à Saint-Gladie. Il repose dans le cimetière, au pied de l'église.

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Gladie-Arrive-Munein » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Gladie-Arrive-Munein et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Gladie-Arrive-Munein et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Gladie-Arrive-Munein et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. Sandre, « le Saison ».
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  12. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  16. « Fiche du Poste 64480001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  32. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  33. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  34. a et b Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. a b et c Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  36. a b et c Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  37. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
  39. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  40. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  41. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Munein », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  42. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  43. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  44. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste

Voir aussi

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :