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Lys-Saint-Georges

commune française du département de l'Indre

Lys-Saint-Georges [lis sɛ̃ ʒɔʁʒ] est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Lys-Saint-Georges
Lys-Saint-Georges
La mairie en 2014.
Blason de Lys-Saint-Georges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement La Châtre
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Bouzanne
Maire
Mandat
Olivier Michot
2020-2026
Code postal 36230
Code commune 36108
Démographie
Gentilé Olliciens
Population
municipale
205 hab. (2021 en évolution de −14,23 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Population
agglomération
85 674 hab. (2010)
Géographie
Coordonnées 46° 38′ 34″ nord, 1° 49′ 27″ est
Altitude Min. 156 m
Max. 224 m
Superficie 12,98 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neuvy-Saint-Sépulchre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Lys-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : France
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Lys-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : Indre
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Lys-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Lys-Saint-Georges
Liens
Site web lys-saint-georges.fr

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : Tranzault (2 km), Jeu-les-Bois (4 km), Neuvy-Saint-Sépulchre (5 km), Buxières-d'Aillac (5 km) et Mers-sur-Indre (5 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Neuvy-Saint-Sépulchre (5 km), La Châtre (14 km), Châteauroux (21 km), Issoudun (36 km) et Le Blanc (58 km).

Carte 
Localisation de la commune de Lys-Saint-Georges

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Plessis, l'Anglée, la Perrière, le Rocher, Fondeville et les Granges[2].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible [3].

Le territoire communal est arrosé par les rivières Bouzanne[2] et Gourdon.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 804 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,6 mm[7],[8].

Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 19, 69, 69A, 69C et 74[9].

Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares de Châteauroux[9] (24 km) et Argenton-sur-Creuse[9] (29 km).

Lys-Saint-Georges est desservie par la ligne F du Réseau de mobilité interurbaine[10].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[9], à 29 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 46[2].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Lys-Saint-Georges est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,1 %), terres arables (15,7 %), forêts (15,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), eaux continentales[Note 2] (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

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Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[16] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 158
Résidences principales 73,8 %
Résidences secondaires 15,1 %
Logements vacants 11,1 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 84,7 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lys-Saint-Georges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif d'Ardentes, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lys-Saint-Georges.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 155 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 154 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Vicaria obliciacensis sous les Mérovingiens, Parrochia de Olitio, parrochia Sancti Georgii de Olicio en 1310, parrochia de Olicio en 1434[Note 3],[22], Oulix en 1485.

Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Lys-le-Peletier[23].

Ses habitants sont appelés les Olliciens[Note 4].

Histoire

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La communauté de Lys est touchée par la crise démographique du début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 73 feux en 1709 à 66 en 1726[24]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[25].

Personnages connus

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Ludovic SFORZA, duc de Milan capturé par Louis XII en 1500, au cours des guerres d'Italie, est détenu au donjon du château de Lys-Saint-Georges pendant quelques années[26].

Paul-François Bertrand du Lys, dernier seigneur du lieu, disparu après avoir été soupçonné du meurtre du curé Claude Rahon en 1737[27].

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement de La Châtre, du canton de Neuvy-Saint-Sépulchre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes du Val de Bouzanne[12].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1965 1996 Pierre Jamet   Agriculteur
1996[28],[29] mars 2014 Gérald Marterer ? Retraité
mars 2014[30] 2020 Christian Villeteau DVD[31] Médecin chef de service IRSA de l'Indre
2020 En cours Olivier Michot    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 205 habitants[Note 5], en évolution de −14,23 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
412402415454468456433406403
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
415423443447469463457466479
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
460436431363341312289270251
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
218180161171180213220257224
2021 - - - - - - - -
205--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.

Manifestations culturelles et festivités

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Équipement culturel

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Médias

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La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Économie

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La commune se situe dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de La Châtre[12].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[38].

Une auberge nommée La Forge, se trouve dans la commune.

Culture locale et patrimoine

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de Lys-Saint-Georges  Blason
Parti : au 1er d’azur à la fleur de lis d’or, au 2e de gueules au lion d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Dans le pouillé de Bourges.
  4. Ce nom a été choisi par les habitants et validé par le conseil municipal en 2006. Ce nom est issu de l'ancien nom de Lys-Saint-Georges : Ollicium.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b et c « Lys-Saint-Georges » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Lys-Saint-Georges et Jeu-les-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. a b c et d « Lys-Saint-Georges », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  10. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Lys-Saint-Georges ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châteauroux », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Site de l'Insee : Lys-Saint-Georges, consulté le 6 septembre 2016.
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lys-Saint-Georges », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  22. A. Picard et fils, Congrès archéologique de France, vol. 142, , p. 162, consulté le 20 janvier 2017.
  23. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, (lire en ligne).
  24. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 169.
  25. Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
  26. « Site de la municipalité », sur lys-saint-georges.fr (consulté le ).
  27. Abbé Lamodiere, curé de Lys de 1856 à 1867, Notice sur le Lys-Saint-Georges, , Volume 142 éd., p. 171
  28. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  29. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  31. Site du Monde.fr : Lys-Saint-Georges, consulté le 21 septembre 2016.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  37. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  38. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  39. « Un dimanche patrimonial et artistique », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ .