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Jeux du Commonwealth de 2010

19e édition des Jeux du Commonwealth

Les XIXes Jeux du Commonwealth de 2010 ont eu lieu à Delhi en Inde du 3 au 14 octobre 2010. La cérémonie d'ouverture du 3 octobre s'est déroulée au Jawaharlal Nehru Stadium, site principal de ces Jeux. C'était la première fois qu'ils avaient lieu en Inde et la deuxième fois en Asie, après Kuala Lumpur (Malaisie).

Jeux du Commonwealth de 2010
Description de l'image Logo Jeux du Commonwealth 2010.svg.

Généralités
Lieu(x) Delhi (Inde)
Date 3 au
Participants 72 pays du Commonwealth
Disciplines 17 disciplines
Site web officiel www.cwgdelhi2010.org

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Leur préparation a été critiquée par les médias qui ont mis en cause les pluies abondantes et les inondations, les problèmes d'infrastructures, les retards de construction et l'insuffisance des installations sanitaires dans le village des athlètes, le retrait de sportifs renommés et les accusations de corruption à large échelle. Néanmoins, aucun pays n'a annulé sa participation, les jeux ont commencé à la date prévue et la qualité de la cérémonie d'ouverture a largement contribué à améliorer l'image de la compétition. Plusieurs pays qui s'étaient montrés très réservés sur les préparatifs ont finalement fait l'éloge de l'Inde. Jacques Rogge, président du Comité international olympique, a déclaré que cette réalisation était d'excellent augure pour une future candidature du pays à l'organisation des Jeux olympiques.

Le lendemain de la cérémonie de clôture, le gouvernement indien a annoncé la formation d'un comité d'enquête sur les accusations de corruption et mauvaise organisation qui avaient entaché leur préparation[1],[2]. Suresh Kalmadi, président du comité d'organisation, a été arrêté fin avril 2011 sous l'accusation de corruption[3],[4].

Candidature

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Les deux candidatures majeures aux Jeux du Commonwealth 2010 étaient celles de Delhi et d'Hamilton (Ontario, Canada). En , lors de l'assemblée générale de la Fédération des Jeux du Commonwealth à Montego Bay (Jamaïque), Delhi a remporté le scrutin par 46 voix contre 22, voyant ainsi sa candidature retenue dès sa première soumission.

L'Inde fait pencher la balance en sa faveur au second tour de l'élection en promettant d'allouer 100 000 US$ à chaque pays participant, ainsi que la restauration, l'hébergement et les transports. Par ailleurs, la réussite des premiers Jeux afro-asiatiques à Hyderabad en 2003 est perçue comme la preuve que l'Inde possède les ressources, les infrastructures et le savoir-faire nécessaires pour accueillir un grand évènement sportif. L'Inde bénéficie en outre du soutien de Latif Butt, ancien vice-président du Conseil olympique asiatique.

Organisation

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Comité d'organisation

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En , constatant que la construction des deux tiers des sites avait pris du retard[5], le comité d'organisation est réaménagé, avec à sa tête Jarnail Singh, ancien Secrétaire d'état du Gouvernement indien, et Suresh Kalmadi, président de l'Association olympique indienne. Le Business Club of India est créé en au travers d'un partenariat entre le Comité d'organisation, la Confédération de l'industrie indienne et la Fédération des chambres de commerce et d'industrie indiennes. Il a pour rôle de promouvoir les Jeux du Commonwealth et l'économie indienne au niveau international.

L'estimation du budget initial, réalisée par l'Association olympique indienne en 2003, est de 358 millions de dollars américains. Il est revu à la hausse en 2010 à environ 2,5 milliards de dollars, sans compter les améliorations des infrastructures non sportives telles que l'aéroport, les routes et l'embellissement de la ville[6]. Le magazine Business Today estime le coût total à 6,77 milliards de dollars, ce qui fait des Jeux du Commonwealth de 2010 les plus chers jamais organisés[7].

Des organisations non gouvernementales, dont le Housing and Land Right Network (HLRN), dénoncent cette dérive budgétaire, craignant que ce soient les basses classes qui soient principalement mises à contribution pour combler le déficit de la ville[8].

Problèmes et controverses

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Les préparatifs des Jeux du Commonwealth de 2010 sont émaillés de nombreux problèmes tant en matière de délais, d'accidents, de corruption que de sécurité.

L'Inde s'attelle tardivement, début 2008[9], aux travaux nécessaires au déroulement des Jeux. En , le président de la Fédération des Jeux, Mike Fennell, estime que les retards sont tels qu'ils remettent en question la tenue des compétitions[10]. En , un organisme chargé de veiller à la conformité des installations signale des problèmes de construction et des faux certificats de qualité. Le , une passerelle s'effondre, blessant 27 ouvriers dont 4 grièvement, et le lendemain une partie du faux plafond du stade Jawaharlal Nehru s'affaisse[11]. Ces deux accidents révèlent également les conditions de travail extrêmement pénibles et le peu de sécurité sur les chantiers[12]. Des délégués de plusieurs nations arrivés en avance déclarent que les conditions d'hygiène et sanitaire du village des athlètes sont désastreuses et compromettent leur participation[13].

Les gaspillages ne sont pas rares ; des équipements sont loués à des tarifs exorbitants alors qu'il aurait été plus avantageux de les acheter[6]. La Commission de surveillance centrale dénombre 16 projets suspects de corruption et de violation de procédure pour une somme d'environ 300 millions d'euros et impliquant les autorités fédérales et locales et des entreprises publiques. Le directeur adjoint du comité d'organisation des jeux, T S Darbari, et un autre responsable du comité, Sanjay Mahendroo, sont renvoyés à la demande du Ministre des sports[14]. Dès la fin des Jeux, le Premier ministre indien, Manmohan Singh, ordonne la constitution d'une commission pour enquêter sur la corruption et les irrégularités[15].

En , un groupe islamiste pakistanais affilié à Al-Qaïda menace les sportifs et les spectateurs. Le , une fusillade contre un car de touristes à Delhi blesse deux Taïwanais et le gouvernement australien se dit inquiet[13]. Les autorités indiennes prennent la question très au sérieux et déploient 100 000 policiers dans la capitale[16].

Par ailleurs, les travaux d'aménagement et d'« embellissement » de la ville amènent les autorités à prendre des mesures fortement critiquées par les défenseurs des droits de l'homme telles que le déplacement forcé vers leur État d'origine d'environ 120 000 mendiants et sans-abris ainsi que la démolition de nombreuses habitations de fortune[17].

Infrastructures

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Pour accueillir les Jeux du Commonwealth de 2010, Delhi a construit plusieurs équipements sportifs et en a amélioré d'autres. Elle a également bâti un village des athlètes et notablement développé ses infrastructures en général.

 
Le Jawaharlal Nehru Stadium agrandi.

Les compétitions sportives se déroulent dans douze sites. Certains sont des constructions nouvelles, tels que le stade de l'Université de Delhi (rugby à sept), le stand de tir Dr Karni Singh, le complexe sportif de Siri Fort (badminton, squash), le complexe sportif Thyagaraj (netball) et le complexe sportif Yamuna (tir à l'arc, tennis de table). D'autres ont été considérablement agrandis et modernisés comme le complexe sportif Indira-Gandhi (cyclisme, gymnastique, catch) ou encore le Jawaharlal Nehru Stadium (athlétisme, boulingrin, haltérophilie) réduit à 60 000 spectateurs. Enfin, certains équipements préexistants sont également utilisés : le CRPF Shooting Range (tir), la piscine Dr S.P. Mukherjee, le stade national Major Dhyan Chand (hockey), le terrain de tennis R.K. Khanna et le stade couvert Talkatora (boxe).

Les athlètes disposent de vingt autres équipements pour leur entraînement.

Village des athlètes

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Le village assure l'hébergement des sportifs et des délégations officielles du au . Il est situé sur la rive orientale de la Yamuna, à proximité des sites de compétition et d'entraînement, et s'étend sur 63,5 hectares. Il comprend cinq zones : la zone d'hébergement, la zone internationale (services et loisirs), la zone d'entraînement (15 hectares), la restauration et la zone opérationnelle. C'est un espace entièrement non fumeur et totalement accessible aux athlètes handicapés[18]. La zone d'hébergement est divisée en quatre secteurs dont le style reprend les caractéristiques d'ethnies ou de fêtes traditionnelles indiennes : warli (rouge), gond (bleu), madhubani (vert) et sanjhi (pourpre).

Cependant son achèvement tardif et chaotique a suscité de nombreuses critiques. Il a été qualifié de « répugnant et inhabitable », certains sanitaires étant inutilisables, des portes montées à l'envers et le sol jonché de gravas[19]. Mais le village est nettoyé et terminé à temps pour l'ouverture des jeux.

Green Games

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Autres aménagements

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Métro de Delhi
 
Aéroport international Indira-Gandhi

Pour accueillir de façon satisfaisante les XIXè Jeux du Commonwealth et devenir « une capitale de classe mondiale », Delhi se dote de nouveaux moyens de transport. Le réseau du métro, long de 65 kilomètres, est prolongé de 125 kilomètres. Des bus modernes, à air climatisé, sont achetés. Enfin, l'aéroport international Indira-Gandhi est agrandi par un troisième terminal de grande taille qui accueille les vols intérieurs et internationaux[20]. Le réseau routier est également amélioré par la construction de nouvelles voies, de ponts, de passages souterrains et de passerelles. Des corridors de circulation sont réservés aux participants aux Jeux afin de faciliter leurs déplacements[20]. Pour éviter les habituelles coupures d'électricité, la capacité énergétique de la ville est accrue, passant de 4 000 à 7 000 MW[21].

La qualité de l'accueil des sportifs et des touristes est également l'objet de l'attention des autorités. Elles organisent des formations à l'apprentissage de l'anglais, mais aussi de la politesse et sur l'emplacement des sites patrimoniaux, à destination des personnes les plus fréquemment en contact avec les visiteurs étrangers : chauffeurs de taxi, serveurs et service d'ordre[22]. Les policiers reçoivent non seulement des cours dans la langue de Shakespeare, mais sont aussi sélectionnés en fonction de leur physique afin de contribuer au « prestige national » selon le commissaire Kewal Singh[23].

Symboles

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Queen's baton

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Le Queen's baton, équivalent de la flamme olympique, quitte le palais de Buckingham en pour parcourir les 71 pays participants aux Jeux du Commonwealth au travers d'un relais de 170 000 kilomètres[24]. Il entre en Inde par les villes frontières de Wagah (Pakistan) et Attari (Inde), puis traverse les 28 États indiens à bord de rickshaws, de bus et du métro, pour atteindre Delhi le [25]. La tradition du relais, qui remonte à 1958, lors des jeux de Cardiff, symbolise l'union et la diversité des pays du Commonwealth.

Dessiné par Michael Foley, le bâton mesure 66,4 centimètres de haut, 3,4 centimètres à la base et 8,6 centimètres à son sommet. Il est en aluminium recouvert de terres de différentes couleurs provenant de tout le territoire indien et renferme un coffret orné de pierres précieuses contenant le message de la reine Élisabeth II[24]. Gravé au laser sur une feuille d'or 18 carats, ce message a été lu par le prince Charles lors de la cérémonie d'ouverture.

Le Queen's baton est également un objet technologique. Il est équipé d'une caméra intégrée filmant le voyage ; d'une balise permettant de le suivre en temps réel ; de 71 diodes électroluminescentes, symbolisant les 71 pays participant aux jeux, qui changent de couleur pour composer le drapeau du pays traversé ; et enfin, d'un système de messagerie recevant les encouragements aux athlètes participant au relais[24].

Mascotte, slogan, chanson

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Shera est la mascotte officielle des Jeux du Commonwealth de 2010. Elle a été conçue par l'agence de design Idiom Design and Consulting, basée à Bangalore. C'est un tigre du Bengale anthropomorphe en costume de sport ; son nom provient du mot Sher, qui signifie tigre en hindi. Le tigre du Bengale est l'animal national de l'Inde. Dans la mythologie hindoue, il est le vahana (la monture) de la déesse Dourga, incarnation de la Shakti (l'énergie dynamique féminine), victorieuse du démon Mahîshâsura. C'est aussi un animal en danger.

Le slogan des jeux est « Come out and play », ce qui signifie Sortez dehors et jouez.

La chanson officielle, basée sur ce slogan, est Jiyo Utho Bado Jeeto (जियो उठो बढ़ो जीतो), composée et interprétée par Allah Rakha Rahman. Elle est en hindi, avec quelques mots en anglais. Dédiée à Gandhi, elle a été présentée le , avec un succès mitigé[26]. Une version plus courte (2:18 au lieu de 4:16) est sortie le et l'a remplacée comme chanson officielle des jeux[27].

Déroulement des Jeux

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Cérémonie d'ouverture

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Cérémonie d'ouverture au Jawaharlal Nehru Stadium

La cérémonie d'ouverture des Jeux s'est déroulée le au stade Jawaharlal Nehru, sous la présidence du prince Charles, représentant la reine Élisabeth II absente pour la première fois, et de la présidente de la République indienne, Pratibha Patil.

Environ 60 000 personnes assistent au spectacle qui réunit 7 000 exécutants, dont de nombreux écoliers[28]. Toutes les délégations étrangères sont chaleureusement accueillies mais ce sont les sportifs pakistanais qui recueillent l'ovation la plus enthousiaste, « reçus comme de vieux frères perdus » selon The Times of India[29]. Les chants et les danses très colorés, alliant tradition et modernité, sont vivement appréciés, tout particulièrement Rhytms of India interprété par 800 percussionnistes et AR Rahman, dont l'hymne des Jeux remporte moins de succès que ses chansons Chaya Chaya (Dil Se) et Jai Ho (Slumdog Millionaire) également dans le spectacle[30].

Outre la présidente de la république, plusieurs personnalités indiennes assistent à la cérémonie : Manmohan Singh, Premier ministre ; Abdul Kalam, ancien président de la république ; Sonia Gandhi, présidente du Parti du Congrès et Sheila Dikshit, ministre en chef de Delhi. Ils sont tous applaudis contrairement à Suresh Kalmadi, président du comité organisateur, hué par le public[31]. Après une série de retards, d'accidents et de scandales, cette cérémonie réussie et sous haute surveillance (100 000 policiers et paramilitaires, avions de combat et hélicoptères) « laisse le public optimiste et rétablit la fierté du pays »[30].

Épreuves

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Troisième plus grande compétition sportive après les Jeux olympiques et la Coupe du monde de football, les Jeux du Commonwealth de 2010 rassemblent 71 pays et environ 7 000 sportifs pour le partage de 828 médailles. L'Australie domine largement ses rivaux alors que l'Inde (38 médailles d'or) devance de peu l'Angleterre (37 médailles d'or) après une joute serrée, suivies par le Canada. Malgré les stades vides de spectateurs, la confiance dans l'organisation et les installations reprend progressivement et l'attention revient sur les épreuves sportives[32].

Les Jeux donnent lieu à quelques belles performances sportives telles que le triplé kényan au 800 mètres avec Boaz Lalang, Richard Kiplagat et Abraham Kiplagat[33] ou la victoire au 100 mètres nage libre en 47 s 98 de Brent Hayden, premier nageur de la saison à descendre sous la barre des 48 secondes en maillot (c'est-à-dire sans combinaison)[34].

On remarque l'absence de plusieurs sportifs notables, Usain Bolt, David Rudisha. Certains avancent des raisons de santé, tels Caster Semenya, Mbulaeni Mulaudzi[35], Christine Ohuruogu et Lisa Dobriskey ; d'autres craignent pour leur sécurité comme Geraint Thomas, Dani Samuels et Phillips Idowu[36]. Enfin, David Sarkisian[37], Rani Yadav[38], Oludamola Osayomi, Samuel Okon[39] et Folashade Abugan[40] sont disqualifiés pour dopage tandis que neuf sportifs, dont le lutteur Rajiv Tomar, sont exclus dès le mois de septembre de la délégation indienne pour la même raison[41].

17 disciplines sont planifiées pour les Jeux du Commonwealth :

Tableau des médailles

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  • Pays hôte
Rang Nation Or Argent Bronze Total
1 Drapeau de l'Australie  Australie 74 55 48 177
2 Drapeau de l'Inde  Inde 38 27 36 101
3 Drapeau de l'Angleterre  Angleterre 37 59 46 142
4 Drapeau du Canada  Canada 26 17 32 75
5 Drapeau d'Afrique du Sud  Afrique du Sud 12 11 10 33
6 Drapeau du Kenya  Kenya 12 11 9 32
7 Drapeau de la Malaisie  Malaisie 12 10 13 35
8 Drapeau de Singapour  Singapour 11 11 9 31
9 Drapeau du Nigeria  Nigeria 11 10 14 35
10 Drapeau de l'Écosse  Écosse 9 10 7 26
Total 272 274 282 828

Pays participants

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Les 71 délégations présentes

Fidji était interdit de Jeux du Commonwealth et le Tokelau n'y participait pas.

Notes et références

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  1. (en) « CWG: Probe panel to report in 3 months », Times of India,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. (en) « Centre orders probe into CWG issues », The Hindu, (consulté le )
  3. Suresh Kalmadi, architecte du fiasco des Jeux du Commonwealth, par Adrien Mauruc, 27 avril 2011
  4. (en) Delhi Commonwealth Games chief Suresh Kalmadi remanded, BBCNews, 5 mai 2011
  5. (en) India admits 2010 Games problems, site de la BBC, 15 septembre 2009
  6. a et b (en) Payoffs & bribes cast a shadow on CWG, Ravi Shankar and Mihir Srivastava, India Today, 16 août 2010
  7. (en) Still game, Manu Kaushik, Business Today, 1er septembre 2010
  8. Le livre noir des Jeux du Commonwealth de New Delhi, Antoine Guinard, Aujourd'hui l'Inde, 20 mai 2010
  9. Les "Jeux de la honte" ternissent la réputation de l'Inde, Penny Macrae (AFP) sur Aujourd'hui l'Inde, 29 septembre 2010
  10. Préparatifs sous pression pour les jeux du Commonwealth à New Delhi, Anna Guzzini, Aujourd'hui l'Inde, 21 septembre 2009
  11. Jeux du Commonwealth: un faux plafond s'effondre dans un stade, AFP sur Aujourd'hui l'Inde, 22 septembre 2010
  12. Débâcle des Jeux du Commonwealth : à qui la faute ? , Julien Bouissou sur Lemonde.fr, 24 septembre 2010
  13. a et b Les infrastructures, nouveau sujet de polémique des Jeux du Commonwealth, AFP sur Aujourd'hui l'Inde, 21 septembre 2010
  14. Jeux du Commonwealth : sous les gravats, la corruption, Esther Oyarzun, Aujourd'hui l'Inde, 4 août 2010
  15. (en) Games over, PM orders probe into corruption charges sur Hindustantimes.com, 15 octobre 2010
  16. Une semaine seulement pour sécuriser les Jeux du Commonwealth…, Esther Oyarzun sur Aujourd'hui l'Inde, 2 septembre 2010
  17. (en) Have A Budget For Beggars, Shantanu Guha Ray dans Tehelka du 20 mars 2010[1]
  18. (en) Site officiel des Jeux du Commonwealth de 2010/Games Village
  19. L'Équipe, 3 octobre 2010
  20. a et b Delhi : le rendez-vous manqué des jeux, Patrick de Jacquelot dans Les Échos, 7 octobre 2010
  21. (en) Delhi will have surplus power by 2010, Rajeev Ranjan Roy sur Indiaenews.com, 21 mars 2008
  22. (en) Lessons in English and etiquette ahead of Commonwealth Games, Rajeev Ranjan Roy sur Indiaenews.com, 3 mars 2008
  23. La police indienne soigne sa ligne pour les Jeux du Commonwealth sur Aujourd'hui l'Inde, 29 juin 2010
  24. a b et c Le long voyage du Bâton des jeux du Commonwealth, Françoise Angrand sur Suite101.fr, 15 septembre 2010
  25. Le Queen’s Baton est arrivé en Inde ! sur Aujourd'hui l'Inde, 30 juin 2010
  26. (en) http://www.indiaglitz.com/channels/hindi/article/59795.html
  27. (en) http://www.deccanherald.com/content/97053/rahmans-games-anthem-now-more.html
  28. (en) Commonwealth Games open in Delhi with security tight sur le site de la BBC, 3 octobre 2010
  29. (en) Commonwealth Games: Finally, Delhi dazzles, Bobilli Vijay Kumar sur Indiatimes.com, 4 octobre 2010
  30. a et b (en) Commonwealth Games off to colourful start, Rakesh Rao sur Thehindu.com, 3 octobre 2010
  31. Jeux du Commonwealth : "finalement l’Inde éblouit", Pierre Chauvel sur Aujourd'hui l'Inde, 4 octobre 2010
  32. Eclaircie à Delhi, AFP sur L'Équipe, 5 octobre 2010
  33. Triplé kényan, L'Équipe, 10 octobre 2010
  34. Hayden frappe fort, L'Équipe, 7 octobre 2010
  35. Mulaudzi renonce, L'Équipe, 29 septembre 2010
  36. Delhi n'est pas prête, L'Équipe, 25 septembre 2010
  37. Sarkisian positif, L'Équipe, 5 octobre 2010
  38. Un 3e cas de dopage, AFP dans L'Équipe, 12 octobre 2010
  39. Oludamola privée de son titre, AFP dans L'Équipe, 13 octobre 2010
  40. Abugan disqualifée, AFP dans L'Équipe, 15 octobre 2010
  41. Inde : scandales de dopage à la veille des Jeux du Commonwealth, Esther Oyarzun sur Aujourd'hui l'Inde, 8 septembre 2010

Liens externes

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