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Villers-au-Tertre

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Villers-au-Tertre
Villers-au-Tertre
Une entrée de la commune.
Blason de Villers-au-Tertre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Douaisis
Maire
Mandat
Patrick Mercier
2020-2026
Code postal 59234
Code commune 59620
Démographie
Population
municipale
667 hab. (2021 en évolution de +8,46 % par rapport à 2015)
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 10″ nord, 3° 11′ 00″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 86 m
Superficie 4,57 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives Dix-septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Villers-au-Tertre
Géolocalisation sur la carte : France
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Villers-au-Tertre
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Villers-au-Tertre
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Villers-au-Tertre

Villers-au-Tertre est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie

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Villers-au-Tertre dans son canton et son arrondissement

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Villers-au-Tertre
Erchin
Villers-au-Tertre Monchecourt
Bugnicourt Fressain

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par et un autre petit cours d'eau[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Villers-au-Tertre[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Villers-au-Tertre est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,5 %), zones urbanisées (7,3 %), forêts (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la ligne 19 du réseau de transport Évéole.

Aucune trace ne permet d'attester l'occupation du site avant le Moyen Âge. Le village est cité pour la première fois en 1184 sous le nom de Vileir. Elle est en effet le théâtre de l'affrontement de Robert de Wavrin et Philippe d'Alsace qui assiège le château. Villers-au-Tertre obtient son patronyme définitif à la fin du XIIIe siècle[14].

Une charte du mois d' de l'abbaye d'Anchin cite « Jou Mahieux d'Aubi sire de Villers-au Tertre ». Le nom d'Aubi viendrait de la famille de Saint-Aubin (de Douai), dont le premier auteur connu est Guy en 1161, puis Wauthier son fils, Barthélémy et enfin Alaume de Villers (chartes de 1231 et 1250). Ce dernier n'eut qu'une fille nommée Marie qui se maria au seigneur de Manchicourt et c'est son frère Hellin, dit du Saulchoy, qui reprit la seigneurie de Villers-au-Tertre[14].

Elle passe ensuite aux maisons de Lallaing (1435) , à la maison de Sainte Aldegonde-Noircarmes (1557) et à Claude Le Blanc (1720)[14].

Cette seigneurie restera dans la famille jusqu'à la fin de l'ancien régime avec Charles-Louis de Villers-du-Tertre, dont la fille Françoise-Olympe-Julie apporta cette baronnie à Louis-Charles-Auguste le Prévost, comte de Gagemon, capitaine d'E.M. du 3e corps de l'armée de Russie en 1812. À la mort de Françoise-Olympe, la baronnie revint à son cousin Alphonse-François de Wavrin Villers-au-Tertre, premier pair du Cambraisis, comte de Villers-au-Tertre et du St Empire, qui en fut le dernier seigneur. Après la révolution, Alphonse-François de Wavrin Villers-au-Tertre s'installa à Houdeng-Aimeries, dans le Hainaut.

Héraldique

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armes de Villers-au-Tertre

Les armes de Villers-au-Tertre se blasonnent ainsi : D'azur à un écusson d'argent, accompagné de onze billettes du même mises en orle.

D'après "les Souvenir de la Flandre Wallonne", p. 141.t.1, Alaume serait le fils de Mathieu d'Aubi, seigneur de Villers-au-Tertre en 1242 et portait un écu en abîme accompagné de 11 billettes en orle placées 4,2,2,2,1. Demay dans son recueil des sceaux donne les mêmes armes (no 1715). Cette famille qui s'appelait "de Saulchoy" descendait de Gossuin de Wavrin et d'Ada du Rœulx. ce Gossuin avait dû fuir la Flandre parce qu'il avait tué un sergent du comte de Flandre et était venu se réfugier en Hainaut sous la protection de Baudouin V. Cette famille prit les armes des Aubi c'est-à-dire d'azur à l'écu d'argent accompagné de 11 billettes de même.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Lors du premier tour des élections municipales le , on dénombre 501 inscrits, dont 354 votants et 351 suffrages exprimés. Le maire sortant Patrick Mercier recueille notamment 180 voix[15]. Il est réélu maire le .

Liste des maires

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Maire de 1802 à 1807 : Bazin[16],[17].

La tombe de Désiré et Joseph Thieullet dans le cimetière de Villers-au-Tertre.
La mairie.
Titulaires de la fonction de maire de Villers-au-TertreVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Jean-Baptiste Gay (d)23 ans et 7 mois
Daniel Collignon (d)13 ans
Patrick Mercier (d)[18],[19]
(né le )
En cours17 ans indépendant
Désiré Thieullet (d)
(mort le )
Joseph Thieullet (d)
(mort le )

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 667 habitants[Note 3], en évolution de +8,46 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
333368358431448449446455402
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
387422398402377408445452444
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
484518525460538546564513489
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
483456454481621655608608619
2021 - - - - - - - -
667--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 317 hommes pour 326 femmes, soit un taux de 50,7 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,3 
5,9 
75-89 ans
6,4 
18,1 
60-74 ans
14,7 
20,0 
45-59 ans
23,3 
20,6 
30-44 ans
21,3 
16,0 
15-29 ans
17,2 
18,6 
0-14 ans
16,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Lieux et monuments

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  • Le secteur pavé Adrien Petit est un chemin pavé de 1400 mètres qui débute au nord-ouest du village de Fressain près de la chapelle et finit à l'entrée du village de Villers-au-Tertre en face du nouveau cimetière. Ce tronçon inauguré en juin dernier, porte le nom du coureur Adrien Petit et a été emprunté par les coureurs du Tour de France lors de la 5è étape le 6 juillet 2022.
  • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
  • Le cimetière.
  • Mont Tilleul, place centrale du village
  • Le , la nouvelle Mairie s'est installée sur le Mont Tilleul, à côté de l'Église Saint Pierre-Saint Paul.
  • Chapelle Notre Dame de Bonne-Espérance.
  • École maternelle.
  • École primaire.
  • Bibliothèque.
  • Plateau sportif, aire de jeux.
  • La Ferme du Tertre
  • Foyer des Jeunes et d'Éducation Populaire

Personnalités

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Géants du Marquis de Traisnel, Claude-Constant-Esprit Jouvenel des Ursins d'Harville (1723-1794), et de son épouse Antoinette Goyon de Matignon (1725-1770) en sortie au mont Tilleul samedi 4 juillet 2020. Géants réalisés respectivement en 1986, 2003

Famille de Villers-au-Tertre

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La famille de Villers-au-Tertre est une ancienne famille noble. Elle compte notamment :

  • Hellin de Villers-au-Tertre, chevalier, vivant au XIIIe siècle.
  • Aliaume de Villers-au-Tertre, seigneur de Villers-au-Tertre, frère de Hellin, vivant en 1287.
  • Antoine de Villers-au-Tertre, oncle de Jean-Baptiste qui suit, chevalier, seigneur de Lihove. Avec son frère, père de Jean-Baptiste, il a joué un rôle majeur dans la prise de la ville de Cambrai en 1595. Il a convaincu le roi d'Espagne d'en faire le siège, en sachant que ses accointances avec la population permettrait d'obliger le maréchal de France Jean de Montluc de Balagny à se rendre.
  • Jean-Baptiste de Villers-au-Tertre, écuyer, seigneur de Cambrin, est fait chevalier par lettres données à Madrid le 26 mars 1632. Il a porté les armes au service de son roi à ses propres frais dans l'infanterie espagnole, dans la compagnie du capitaine Jean Ortis, au régiment de don Diego de Messea[26].
  • Albert-Joseph-Michel de Wavrin Villers-au-Tertre, chevalier, seigneur de Serain, Fagnolet, capitaine au régiment de Flandre, dit le marquis de Villers-au-Tertre, épouse en 1765 Marie Philippine Joseph de Quellerie de Chanteraine (1740-1819), fille du comte François-Emmanuel de Quellerie de Chanteraine, seigneur de Chanteraine, Quiéry, Boursies, Vadencourt, Courchelettes, chevalier d'honneur à la cour du Parlement de Flandres et de Marie-Françoise Cardon de Rollancourt. Marie-Philippine-Joseph, née en 1740, morte en 1819, est dame de Vadencourt[27].
  • Marie-Françoise-Louise-Joseph de Villers-au-Tertre, est l'épouse de Constant-Marie-Joseph, comte de Malet de Coupigny au moment de la Révolution française[28].

Autres personnalités

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Fait divers

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Fin , le propriétaire d'un pavillon a découvert les ossements de deux nouveau-nés en voulant planter un arbre. Par la suite, six autres nouveau-nés ont été découverts au domicile des anciens propriétaires[29].

Villers-au-Tertre a pour géants le marquis de Traisnel et Marie-Antoinette de Goyon de Matignon[30].

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Villers-au-Tertre » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Villers-au-Tertre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  2. « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Villers-au-Tertre et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-au-Tertre ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 77-78
  15. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Villers-au-Tertre », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 10.
  16. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 279, lire en ligne.
  17. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 154-155. Images 184-185.
  18. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Villers-au-Tertre : sans étiquette »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  19. P. V., « Villers-au-Tertre : Patrick Mercier repart pour un dernier mandat « de transition » », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Mardi, le conseil municipal d’installation a réinvesti à l’unanimité Patrick Mercier dans les fonctions de maire qu’il occupe depuis 2007. L’édile a mentionné qu’il pourrait « passer la main » avant la fin de son dernier mandat. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-au-Tertre (59620) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  26. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 37, lire en ligne.
  27. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 35-36.
  28. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 55-60.
  29. « Villers-au-Tertre : la mère reconnaît avoir étouffé huit de ses enfants », sur leparisien.fr, Le Parisien, .
  30. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15