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Vicks

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vicks
logo de Vicks

Création Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs Lunsford Richardson (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social CincinnatiVoir et modifier les données sur Wikidata
Actionnaires Procter & GambleVoir et modifier les données sur Wikidata
Produits Vicks VapoRubVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web vicks.comVoir et modifier les données sur Wikidata

Vicks est une marque américaine de médicaments en vente libre, filiale de Procter & Gamble. Lancée en 1890 aux États-Unis[1], Vicks fabrique le NyQuil et le DayQuil, mais également des médicaments pour la toux comme des pastilles, le VapoRub et d'autres traitements dont le mode d'administration est l'inhalation (Vicks Sinex). Dans les pays germanophones, le nom Vicks a été changé en Wick afin d'éviter une connotation sexuelle (wichs en allemand, prononcé comme Vicks, signifiant « branle-toi » en français).

En 1890, un pharmacien nommé Lunsford Richardson reprend la boutique de médicaments de son beau-frère, le Dr. John Vick, en Caroline du Nord, et commence à vendre des produits sous la marque Vick's. Dans les années 1930, l'entreprise familiale fusionne avec William S. Merrell Chemical Company pour donner le groupe Richardson-Merrel, qui devient dans les années 1970 le troisième groupe pharmaceutique mondial[2].

En 1980, Dow Chemical rachète Richardson-Merrel[3] mais se débarrasse de toutes les activités de produits en vente libre, regroupés au sein de la société indépendante Richardson-Vicks. Cette dernière est rachetée par Procter & Gamble en 1985[4].

La marque a été vendue pour le marché japonais à Taisho Pharmaceutical en .

Notes et références

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  1. « Vicks Vaporub : un baume centenaire », leparisien.fr,‎ 2012-02-13cet07:00:00+01:00 (lire en ligne, consulté le )
  2. « LE PÉTROLE HAHN " AMÉRICANISÉ " », sur lemonde.fr, (consulté le )
  3. « Dow Chemical devient un des plus grands fabricants mondiaux de médicaments », sur lemonde.fr, (consulté le )
  4. « Le laboratoire Lachartre verse du baume sur l'emploi blésois », sur lesechos.fr, (consulté le )