Ursula Burns

Fonction
Directrice générale; Xerox
depuis 2009
Naissance	20 septembre 1958 (66 ans); Manhattan
Nationalité	américaine
Domicile	Manhattan
Formation	École d'ingénierie Tandon de l'université de New York (baccalauréat universitaire ès sciences) (1980); Université Columbia (maîtrise (en)); Cathedral High School (en); Columbia School of Engineering and Applied Science (en)
Activités	Ingénieure, cheffe d'entreprise
A travaillé pour	Xerox (depuis 1980)
Membre de	ExxonMobil (2012-2023); American Express; Université de Rochester; Institut de technologie du Massachusetts; The Business Council (en); National Association of Manufacturers; Boston Scientific; FIRST robotics (en); Académie américaine des arts et des sciences
Distinctions	Diplôme honorifique (2012); Prix Kate-Gleason (2014)

Cet article est une ébauche concernant une femme d'affaires américaine.

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Ursula M. Burns, née le 20 septembre 1958, est depuis le 27 mars 2018 la CEO de VEON, après en avoir été la présidente du conseil de surveillance depuis juillet 2017^[1].

Elle était auparavant la présidente du conseil et CEO de Xerox, qu'elle intégra comme stagiaire avant d'en gravir tous les échelons, de 2009 à 2017^[2].

En 2018, elle était membre des conseils d’administration d’American Express, d’Exxon Mobil, de Nestlé et de Uber^[1].

Le magazine Forbes l'a classé 9^e des cinquante femmes les plus puissantes du monde en 2010^[3]. Ursula Burns est membre du comité exécutif la Business Roundtable.

Notes et références

↑ ^{a et b} « VEON nomme Ursula Burns au poste de Présidente Exécutive après le départ du CEO Jean-Yves Charlier », 27 mars 2018 (consulté le 13 juin 2019)
↑ Le Figaro, « Les femmes les plus riches du secteur high-tech », Le Figaro,‎ 8 juillet 2014 (lire en ligne, consulté le 14 août 2020).
↑ (en) « 50 Most Powerful Women », sur Forbes

[:0-1] {a et b} « VEON nomme Ursula Burns au poste de Présidente Exécutive après le départ du CEO Jean-Yves Charlier », 27 mars 2018 (consulté le 13 juin 2019)

[2] Le Figaro, « Les femmes les plus riches du secteur high-tech », Le Figaro,‎ 8 juillet 2014 (lire en ligne, consulté le 14 août 2020).

[3] (en) « 50 Most Powerful Women », sur Forbes

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