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Tiercé (Maine-et-Loire)

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Tiercé
Tiercé (Maine-et-Loire)
La mairie.
Image illustrative de l’article Tiercé (Maine-et-Loire)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Jacques Girard
2020-2026
Code postal 49125
Code commune 49347
Démographie
Gentilé Tiercéen
Population
municipale
4 487 hab. (2021 en évolution de +3,79 % par rapport à 2015)
Densité 133 hab./km2
Population
agglomération
7 638 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 47° 36′ 56″ nord, 0° 27′ 58″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 73 m
Superficie 33,7 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Tiercé
(ville-centre)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tiercé
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Tiercé
Liens
Site web Ville de Tiercé

Tiercé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Situé dans la région des Basses vallées angevines, entre Sarthe et Loir, Tiercé est le centre administratif et commercial de la région.

Géographie

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Localisation

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Cette commune angevine de l'ouest de la France se situe dans le Baugeois, à 17 km au nord d'Angers[1], sur la route D 52 qui va de Briollay (sud-ouest) à Étriché (nord-est)[2].

Elle se trouve entre les rivières la Sarthe et le Loir, au cœur des Basses vallées angevines[2]. Son territoire est essentiellement rural.

Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie de 13 à 73 mètres[3]. Son territoire, situé en limite du Massif armoricain, est constitué de terrains du crétacé et du tertiaire, et d'alluvions sur les bords de la Sarthe[4].

Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[5], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Son territoire s'étend sur près de 34 km2 (3 370 hectares)[6],[7].

Hydrographie

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La commune est bordée à l'ouest par la Sarthe (rivière) et à l'est par le Loir (rivière)[2]. À proximité de la Sarthe, les prairies sont souvent inondées en hiver[8].

On trouve également deux étangs, de Sélène et de Péné, et plusieurs petits canaux creusés au cours des travaux d'assèchement[8], dont la Grande Boire des Landes[2].

La Sarthe (rivière) prend sa source dans l'Orne et termine son cours par un tronçon de 44 km en Anjou[9]. Elle forme, en confluant avec la Mayenne, la Maine qui se jette dans la Loire.
Le Loir (rivière) prend naissance en Eure-et-Loir et dessine en Anjou de larges méandres sur une longueur de 43 km[9], avant de se jeter dans la Sarthe (rive gauche) au nord d'Angers.
Leurs crues déposent sur le sol un limon qui enrichit la couche d'alluvions de leurs vallées[10].

Dès le XVe siècle la navigation est importante sur la Sarthe et le Loir. Des passages sont aménagés dans les barrages, les « portes marinières ». Des barques pouvaient ainsi remonter assez loin sur ces cours d’eau. Par la suite, le développement du chemin de fer fut fatal à la navigation fluviale[11].

Le système hydrographique de Tiercé se situe dans les Basses vallées angevines, plaines alluviales inondables, situées le long des cours d'eau du Loir, de la Mayenne et de la Sarthe. Cette zone humide s'étend sur environ 4 500 ha, à des altitudes très basses variant de 14 mètres en aval à 19 mètres en amont. Elle constitue le plus vaste système de confluence du bassin de la Loire[12].

Protections sur la commune

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Outre des protections sur des bâtiments (monuments historiques et inventaires), la commune de Tiercé figure à l'inscription[10] de

  • Natura 2000 pour les zones de protection spéciale des Basses vallées angevines et prairies de la Baumette, et pour les sites d'importance communautaire des Basses vallées angevines, aval de la rivière Mayenne et prairies de la Baumette ;
  • Inventaires, zone importante pour la conservation des oiseaux (ZICO) sur les Basses vallées angevines (marais de basse-Maine et ile de Saint-Aubin), et zone naturelle d'intérêt écologique floristique faunistique (ZNIEFF) pour les zones humides de la boucle du Loir, pour les Basses vallées angevines, les prairies alluviales de la Mayenne, de la Sarthe et du Loir, pour la vallée du Loir, pour les Basses vallées angevines, pour les bois et landes des Allards, pour l'étang de Sélène et l'étang de la Houssaye ;
  • Eau et milieux aquatiques, zone humide d'importance nationale pour les Basses vallées angevines, secteur d'application de la convention de Ramsar pour les Basses vallées angevines, marais de basse-Maine et de Saint-Aubin, et schémas d'aménagement et de gestion des eaux pour le Loir et l'aval de la Sarthe.

Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[13].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 651 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Montreuil-sur-Loir à 5 km à vol d'oiseau[16], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 697,3 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Voies de communication et transports

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La commune de Tiercé est desservie, du nord au sud, par la route D 52 (Étriché - Briollay), et d'ouest en est par la route D 74 (Cheffes - Montreuil sur Loire)[2].

La commune est également desservie par une ligne d’autobus, la ligne 412, Angers - Tiercé - Juvardeil, du réseau interurbain de Pays de la loire, Aleop, qui passe par Briollay, Tiercé et Cheffes[20].

On y trouve aussi une gare ferroviaire, située sur la ligne électrifiée Le Mans - Angers[21].

Aux alentours

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Communes aux alentours : Cheffes (3 km), Étriché (4 km), Montreuil-sur-Loir (5 km), Juvardeil (5 km), Soucelles (6 km), Briollay (6 km), Villevêque (7 km), Écuillé (7 km), Soulaire-et-Bourg (7 km) et Châteauneuf-sur-Sarthe (7 km)[1].

Au , Tiercé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tiercé[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[23],[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[24]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,1 %), terres arables (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), forêts (8,3 %), zones urbanisées (6,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), zones humides intérieures (1 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Formes anciennes du nom : Teceium en 1236, Tysceium en 1244, Teyceium en 1263, Parochia de Tieche en 1272, Tieceium en 1296, Treceyum en 1326, Priotatus curatus de Tierceio, Tierceium en 1362, Terce, Tierce en 1370[28], Tiercé en 1793 et 1801[6].

Deux origines possibles expliquent l'étymologie de Tiercé, soit d'après le nom d'homme latin Tessius, suivi du suffixe -acum (le domaine de Tessius), soit d'après le nom d'homme Theodoricus. Les formes anciennes permettent de rejeter l'origine qui viendrait d'une troisième borne d'un chemin antique remontant d'Angers[29].

Nom des habitants (gentilé) : les Tiercéens[29].

Une cure et un prieuré sont constitués au XIIIe siècle, ce dernier dépendant de l'abbaye de Toussaint d'Angers[8],[30].

Les barons de Briollay jouissaient des honneurs seigneuriaux dans l'église, pour leur terre de la Motte en Tiercé[8].

Ancien Régime

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Carte de l'Anjou au XVIIIe siècle.
Carte de l'Anjou au XVIIIe siècle.
(Cliquez pour agrandir)

En 1497 a lieu un tremblement de terre, qui détruit le clocher de l'ancienne église. Il est reconstruit en 1537 par Jean de l'Espine.

Le fief de Soucelles (commune de Tiercé), relève de la terre du Petit-Fontaine en Cellières, réunie depuis le XVe siècle à Juvardeil[31].

À la fin du XVIIIe siècle (royaume de France), Tiercé relève de archiprêtré de La Flèche et du grenier à sel d'Angers[8].

Époque contemporaine

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À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, en 1790 Tiercé est chef-lieu du canton de Tiercé (Briollay de 1801 à 1875), dépendant du district de Châteauneuf, puis en 1800 de l'arrondissement de Segré et en 1819 de celui d'Angers[6].

Au moment de la chouannerie, le tirage au sort pour la levée en masse de 1793 eut lieu à Tiercé le 13 mars[8]. Pour faire face à la baisse subite des effectifs de l'armée révolutionnaire française, la Convention décide en 1793 la levée en masse de trois cent mille hommes. Elle consiste à faire désigner ou à enrôler par le tirage au sort des hommes de tous les départements. Cette levée provoque un fort mécontentement paysan et des émeutes.
La commune sera agitée par l'insurrection, de 1794 à 1800.

Au XIXe siècle apparait la ligne de chemin de fer Angers-Sablé, mise en service le 7 décembre 1863.
C'est à cette époque que plusieurs bâtiments sont construits : l'église Saint-Marcel-de-Chalon (1861), l'école laïque de garçons (1866), le presbytère (1870), ainsi que la mairie (1877), jusqu'alors située dans le prieuré-cure acquis en 1835[8].

En 1971, les écoles publiques de garçons et de filles fusionnent pour former un groupe primaire mixte de six classes, installé dans l'école laïque de garçons. L'école maternelle date de 1979[8].

Politique et administration

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Administration municipale

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La commune est créée à la Révolution (Tiercé)[6]. Le conseil municipal est composé de 27 élus[32].

Liste des maires successifs[33]
Période Identité Étiquette Qualité
14 janvier 1790 novembre 1792 Pierre Poulain   Précédemment syndic
novembre 1792 9 germinal an IV Julien Besnier    
19 juillet 1800 9 ventôse an XI Jacques Desalay    
9 ventôse an XI mai 1808 Pierre Poulain    
mai 1808 12 février 1830 Jacques Poisson de Gastines    
18 août 1830 13 avril 1832 Pierre Duffay    
14 avril 1832 20 juillet 1837 Adrien-Pierre Poulain I    
20 juillet 1837   François Arthur   Non installé dans ses fonctions
8 décembre 1837 mars 1848 Adrien-Pierre Poulain II    
18 mars 1848 22 juin 1849 René Poirier    
27 juin 1849 7 juillet 1852 Michel Maillard    
8 juillet 1852 17 août 1858 Ernest de Coislin    
18 août 1858 15 avril 1865 Maurice-Victor Daligny    
6 mai 1865 21 novembre 1867 Joseph Rousseau    
17 janvier 1868 20 septembre 1870 Jean Jacquelot    
1er octobre 1870 28 mars 1871 Hervé   Maire de la « commission municipale »
14 mai 1871 24 octobre 1896 Théodore-Philippe Berthelot de Villeneuve    
20 décembre 1896 20 mai 1900 Pierre Guichard    
20 mai 1900 novembre 1912 Désiré Richou fils    
11 décembre 1912 31 novembre 1919 Alfred Bordereau    
31 novembre 1919 27 mai 1937 André de Maillé de La Tour-Landry    
20 juin 1937 5 juillet 1944 Arthur-Pierre Bachelot    
15 juillet 1944 août 1944 Jean-Baptiste Arreckx    
septembre 1944 2 juillet 1946 Arthur-Pierre Bachelot RI Conseiller général (1945 → 1954)
2 juillet 1946 25 mars 1959 René Rezé   Maire honoraire
25 mars 1959 26 mars 1965 Charles de Broglie    
26 mars 1965 26 mars 1971 Paul Plouzin   Pompier
26 mars 1971 juin 1995 Yves de Fromont de Bouaille   Directeur de la Caisse de réassurance agricole
de Maine-et-Loire, maire honoraire
juin 1995 mars 2001 Bernard Guyard DVD Directeur d'école retraité
Conseiller général (1994 → 2001)
mars 2001 mars 2008 René Bruneteau DVD-UMP Retraité de l'armée de l'air
mars 2008 mai 2020 André Seguin[34],[35] DVD Retraité de l'enseignement
mai 2020 En cours
(au 30 mai 2020)
Jean-Jacques Girard[36] DVD Agriculteur, ancien premier adjoint
Président de la CC Anjou Loir et Sarthe (2017 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats

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Comptes de la commune

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Les comptes de la commune de Tiercé (Maine-et-Loire) de l'année 2013[37]
Chiffres clés En milliers d'Euros En euros par habitant Chiffres 2000
Total des produits de fonctionnement (A) 4 157 962 3 813
Total des charges de fonctionnement (B) 3 135 725 3 418
Résultat comptable (R=A-B) 1 023 237 396
Total des ressources d'investissement (C) 867 201 1 887
Total des emplois d'investissement (D) 1 819 421 2 252
Besoin ou capacité de financement des investissements (E=D-C) 952 220 365
Encours de la dette au 31/12 3 110 720 2 940
Annuité de la dette 306 71 613
Budget principal seul - Population légale en vigueur au 1er janvier de l'exercice 2013 : 4 322 habitants
Les taux de fiscalité 2013[38]
Fiscalité locale Taux
Taxe d'habitation (y compris THLV) 18,91 %
Foncier bâti 34,32 %
Foncier non bâti 50,79 %
Cotisation foncière des entreprises 0,00 %
Taux votés pour l'année 2013[39].

Jumelage et partenariat

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Depuis 2006, les communes de Tiercé et de Ojdula (Roumanie) entretiennent des relations d’amitiés finalisées par la signature d’une charte de jumelage en 2007.

Intercommunalité

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Tiercé est membre de la communauté de communes Anjou Loir et Sarthe dont elle est le chef-lieu ; intercommunalité créée le tel que définit par le schéma départemental de coopération intercommunale de février 2016[40],[41].

La commune était auparavant intégrée à la communauté de communes Loir-et-Sarthe (CCLS). Cette structure intercommunale (SIVM) de la région de Tiercé regroupait six communes jusqu'en décembre 2011, puis quatre[42], Baracé, Cheffes, Étriché et Tiercé[43]. Située à Cheffes, elle couvrait plusieurs domaines comme le développement économique, l'aménagement de l'espace communautaire, la voirie, le tourisme et la culture[44]. Cette intercommunalité était membre du syndicat mixte Pays Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire regroupant six communautés de communes[44].

Autres groupements

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Outre son adhésion au SIVM, la commune adhère au SICTOM Loir et Sarthe (traitements des déchets)[45] et au syndicat de gestion des eaux (SIAEP) Loir et Sarthe[46].

Créé en 1978, le SICTOM Loir et Sarthe regroupe quarante deux communes en 2007[47], puis quarante en 2012[42], avec pour compétences la collecte des ordures ménagères, la collecte des déchets d’emballages recyclables, des papiers et du verre, la gestion de quatre déchèteries (Châteauneuf, Durtal, Seiches et Tiercé), le compostage des déchets végétaux, le suivi des boues de station d’épuration, la suppression et réhabilitation des anciens dépotoirs, l'enlèvement des carcasses de voitures, etc.[47].

Autres circonscriptions

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Tiercé fait partie du canton de Tiercé (chef-lieu) et de l'arrondissement d'Angers[6],[48].

Jusqu'en 2014 le canton comporte huit communes (Briollay, Cheffes, Écuillé, Feneu, Montreuil-sur-Loir, Soucelles, Soulaire-et-Bourg et Tiercé), sous sa forme constituée en 1875 (Tiercé en 1790, Briollay en 1801)[6]. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. Le canton passe alors de huit à trente-quatre communes, Tiercé en restant le chef-lieu (bureau distributeur), avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[49].

La commune fait partie de la première circonscription de Maine-et-Loire, composée de cinq cantons, trois d'Angers, celui de Châteauneuf-sur-Sarthe et celui de Tiercé. C'est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Instances judiciaires

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Il n'y a pas d'administrations judiciaires à Tiercé.

Le Tribunal d'instance, le Tribunal de grande instance, la Cour d'appel, le Tribunal pour enfants, le Conseil de prud'hommes, le Tribunal de commerce, se situent à Angers, tandis que le Tribunal administratif et la Cour administrative d'appel se situent à Nantes[50].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].

En 2021, la commune comptait 4 487 habitants[Note 4], en évolution de +3,79 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1311 2021 9212 0642 0232 0131 9891 9982 026
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1292 1492 2502 1472 2012 1252 0682 0702 025
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9972 0101 9351 7901 8281 8281 8181 9261 933
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 9681 9682 0252 6273 0473 6053 8763 9804 255
2014 2019 2021 - - - - - -
4 3144 4324 487------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,1 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 138 hommes pour 2 269 femmes, soit un taux de 51,49 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[55]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
2,6 
8,7 
75-89 ans
10,6 
17,2 
60-74 ans
18,1 
21,9 
45-59 ans
19,7 
16,8 
30-44 ans
17,7 
15,0 
15-29 ans
13,5 
19,4 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[56]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Outre les services municipaux, les services publics présents sur la commune de Tiercé sont une brigade de gendarmerie, une caserne de sapeurs-pompiers volontaires, une trésorerie, une poste, plusieurs écoles[57], un accueil péri-scolaire, un restaurant scolaire, une bibliothèque, un cinéma, des équipements sportifs, un centre communal d'action sociale (CCAS)[46].

Enseignement

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Située dans l'académie de Nantes, la commune compte deux écoles maternelles (école maternelle publique Marie Laurencin, école maternelle privée Notre-Dame) et primaire (école primaire publique Le Rondeau, école primaire privée Notre-Dame)[46]. Il n'y a pas de collège sur la commune ; les enfants vont pour la plupart à ceux de Châteauneuf-sur-Sarthe (7 km)[1].

La commune de Tiercé dispose de plusieurs équipements sportifs : deux salles de sport (Marcel-Cerdan et Pierre-de-Coubertin), trois terrains de football, un dojo, une salle de boxe, une salle de tir, une salle de musculation, un centre nautique, un terrain de pétanque, deux terrains de tennis, une salle de tennis de table, etc[46].

On y pratique également la boule de fort, jeu typique de l'Anjou inscrit au patrimoine ligérien et très répandu dans le Baugeois : société La Gare, cercle Saint-Marcel et société l'Union[58].

On trouve sur la commune plusieurs professionnels de la santé : médecins généralistes, infirmiers, orthophonistes, psychiatre, dentistes, puéricultrice, kinésithérapeutes, pharmacies, laboratoire d'analyse médicale, etc. On y trouve aussi un logement foyer (65 pavillons) et une maison de retraite (EHPAD)[46]. Les autres structures médicales se trouvent à Angers (17 km)[1], où l'on trouve notamment le centre hospitalier universitaire[59].

Écologie et recyclage

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La collecte des ordures ménagères (collecte sélective) est gérée par le SICTOM Loir et Sarthe. On trouve quatre déchèteries sur son territoire : Châteauneuf, Durtal, Seiches et Tiercé[47].

On trouve également sur la commune une station d'épuration des eaux usées[44].

Revenus de la population et fiscalité

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En 2009, le revenu fiscal médian par ménage sur Tiercé était de 18 562 , pour une moyenne sur le département de 17 211 [60].

Tissu économique

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En 2009, sur les 301 établissements présents sur la commune, 14 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 18 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 51 % de celui du commerce et des services et 16 % du secteur de l'administration et de la santé[61]. Fin 2015, sur les 356 établissements actifs, 8 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 56 % de celui du commerce et des services et 19 % du secteur de l'administration et de la santé[62].

Centre administratif et commercial de la région, sur 338 établissements présents sur la commune à fin 2013, 10 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 55 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[7].

Agriculture

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On trouve sur la commune de Tiercé plusieurs activités agricoles, comme l'horticulture, l'arboriculture ou la pisciculture[63].

Créée en 1992, on trouve au sud de Tiercé la zone horticole du Rocher, dont une partie du territoire se situe aussi sur la commune de Briollay. Sa gestion a été confiée au syndicat mixte Zone horticole du Rocher[64].

Tiercé se trouve dans la région viticole du Val de Loire.

Liste des appellations présentes sur le territoire[65] :

  • AOC AOP Anjou gamay, AOC AOP Anjou gamay nouveau ou primeur, IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton,
  • IGP Bœuf du Maine, AOC AOP Maine-Anjou, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Volailles d’Ancenis, IGP Œufs de Loué.

Commerces et services

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On trouve sur la commune de Tiercé plusieurs commerces et artisanats dans de nombreux domaine comme l'alimentation (deux supermarchés), la boucherie et la charcuterie (deux commerces), la boulangerie et pâtisserie (deux commerces), la restauration (bar, brasserie, restaurant, pizzeria), l'hébergement, le prêt à porter, la banque et l'assurance, l'optique, la coiffure, la réparation automobile, la jardinerie, la maçonnerie, la couverture, l'électricité, la plomberie, etc[63].

On y trouve aussi plusieurs activités industrielles, comme la chaudronnerie, la fabrication de moules, la mécanique de précision, la métallerie, la tôlerie industrielle, etc[63].

La commune comprend deux zones d'activités : la zone d'activités de l'Osier et des Bertins, et la zone d'activités des Landes[64].

Activité économique de la région

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Ville importante de la région, Tiercé se trouve au cœur de l'activité économique du canton.

Sur le territoire cantonal on trouve 902 établissements à la fin 2010, répartis pour 18 % du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % dans celui de l'industrie, 12 % dans la construction, 48 % dans celui du commerce et des services et 14 % dans le secteur de l'administration et de la santé[66].

Seuls 5 % des établissements comptent plus de 10 salariés, pour 8 % sur l'ensemble du département[66].

Culture et patrimoine

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Église Saint-Marcel.
Église Saint-Marcel.

Lieux et monuments

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Même si la commune de Tiercé ne comporte pas de monuments historiques[67], elle comporte plusieurs édifices inscrits au patrimoine[68] :

  • Château de Cimbré XIXe siècle, propriété privée qui fut une possession à une époque de la famille L'Enfant de la Patrière ;
  • École laïque de garçon du XIXe siècle, œuvre de l'architecte Bibard, bâtie entre 1865 et 1866[8] ;
  • Église paroissiale Saint-Marcel-de-Chalon du XIXe siècle, œuvre des architectes Richou et Bibard, bâtie entre 1856 et 1861, vaste édifice à clocher-porche de 55 mètres de haut, avec flèche de pierre inspirée du XIVe siècle[8] ;
  • Mairie du XIXe siècle, œuvre de l'architecte Bibard, bâtie entre 1874 et 1877, abritait jusqu'en 1958 le prêtoire de la justice de paix, rez-de-chaussée remanié en 1982[8] ;
  • Manoir de la Grande-Marcillière des XVe, XVIe et XVIIe siècles ;
  • Plusieurs demeures et maisons des XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Plusieurs fermes des XVIIe et XVIIIe siècles.

Autres lieux et monuments[46],[8] :

  • Chapelle de l'Oratoire, petit édifice néo-gothique bâti en 1894 ;
  • Chapelle de Maquillé, bâtie en 1696 par René Grandon, dédiée à saint René, acquis par la commune en 1993 ;
  • Four à chanvre ;
  • Plusieurs circuits de randonnées, dont le GRP des Basses vallées angevines, qui va d'Angers à Châteauneuf-sur-Sarthe en longeant les deux rives de la Sarthe.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 514-520.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 3 (N-Z), Angers, Lachèse & Dolbeau, , 1re éd. (lire en ligne), p. 586-588.
  • Louis Maucourt, Tiercé : frontière des appâtis et de la chouannerie, Angers, Impr. Paquereau technographis, , 453 p. (ISBN 2-907831-03-8).
  • Maxime Mortreau, Les Dépôts céramiques claudio-néroniens issus des fossés d'enclos du sanctuaire gallo-romain Chemin des halles : les Tardivières à Tiercé (Maine-et-Loire), SFECAG, .

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Tiercé comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Tiercé (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 9 décembre 2011 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  2. a b c d et e IGN et BRGM, Géoportail Tiercé (Maine-et-Loire), consulté le 9 décembre 2011.
  3. IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  4. Pierre-Aimé Millet de La Turtaudière, Indicateur de Maine-et-Loire, ou Indicateur par communes de ce que chacune d'elles renferme sous les rapports de la géographie, des productions naturelles, des monuments historiques, de l'industrie et du commerce, t. 1, Angers, Cosnier et Lachèse, (BNF 30948266), p. 372.
  5. Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Les régions naturelles, le climat », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  6. a b c d e et f EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Tiercé (Maine-et-Loire), consultée le 9 décembre 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  7. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Tiercé (49), consultées le 4 septembre 2016.
  8. a b c d e f g h i j k et l Célestin Port 1996, p. 514-520.
  9. a et b Fédération départementale Pêche et Protection du milieu aquatique, Les bassins versants de la Sarthe et du Loir, consulté le 12 décembre 2011.
  10. a et b DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, Liste des zonages recensés sur la commune de Tiercé, consulté le 9 décembre 2011.
  11. P. George, F. Guillot et J. Hugonnot, Trois rivières de bocage : Mayenne - Sarthe - Loir, Aurillac, Éditions U.S.H.A., coll. « Les belles rivières de France », , 151 p.
  12. LPO Anjou, Les Basses Vallées Angevines, consulté le 12 décembre 2011.
  13. Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 12 décembre 2011.
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. Réseau interurbain de Maine-et-Loire, AnjouBus, consulté le 12 décembre 2011.
  21. Destineo, Transports en Pays de la Loire, consulté le 13 décembre 2011.
  22. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Tiercé », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Tiercé ».
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  28. Célestin Port 1878, p. 586-588 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  29. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 197.
  30. Barthélemy Roger, Revue de l'Anjou - Histoire de l'Anjou, Cosnier et Lachèse (Angers), 1852, t. 1, p. 171.
  31. Société historique et archéologique du Maine, Revue historique et archéologique du Maine, vol. 10, Imprimerie Monnoyer, 1881, p. 134.
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  36. « Tiercé. Jean-Jacques Girard succède à A. Seguin », sur Ouest-France, (consulté le ).
  37. « Les comptes des communes », Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie et Ministère du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État. Consulté le 13 décembre 2011, mis à jour le 2 novembre 2014 - « Définition des rubriques », sur le site du Ministère de l’Économie et des Finances.
  38. « Les comptes des communes, Fiscalité », Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie et Ministère du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État. Consulté le 13 décembre 2011, mis à jour le 28 octobre 2012.
  39. La taxe professionnelle a été remplacée en 2010 par la contribution économique territoriale (CET), composée de la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE).
    Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance).
  40. Direction générale des collectivités locales (DGCL), « CC Anjou Loir et Sarthe (no  SIREN : 200068955) », sur Base nationale sur l'intercommunalité (BANATIC), (consulté le ).
  41. Direction de la réglementation et des collectivités locales, « Schéma départemental de coopération intercommunale de Maine-et-Loire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Préfecture de Maine-et-Loire, .
  42. a et b Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté préfectoral no 2011-912 du 22 décembre 2011, RAA du 27 décembre 2011.
  43. Insee, Composition de l'EPCI de Loir et Sarthe (244900759), consulté le 15 août 2013.
  44. a b et c C.C. Loir et Sarthe, Site de la communauté de communes, consulté le 13 décembre 2011.
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  54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  58. Gérard Linden, La boule de fort par noms et par mots, Le Coudray-Macouard, Cheminements, , 302 p. (ISBN 9782844785466, BNF 41078603), p. 171.
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  65. INAO, Fiche de Tiercé (49), consulté le 14 décembre 2011 — L'appellation d'origine contrôlée (AOC) est un label officiel français qui garantit l'origine de produits alimentaires traditionnels français. Il est reconnu comme faisant partie des Appellations d'origine protégée européennes (AOP). L'indication géographique protégée (IGP) est un label européen de qualité.
  66. a et b Insee, Statistiques locales du canton de Tiercé (4933), mis à jour le 3 février 2013.
  67. Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine, Tiercé (Maine-et-Loire), consulté le 11 décembre 2011.
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