Wikipédia:Oracle/semaine 4 2011
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Chèques taxés à l'étranger
[modifier le code]Bonjour, on vient de m'apprendre, à ma grande surprise, que tout paiement par chèque était taxé (voire même très taxé m'a-t-on dit) à l'étranger. En l'occurence cette discussion a eu lieu en parlant de l'Italie, donc un état à la fois européen et ayant adopté l'euro. Alors on peut déjà laisser tomber les éventuelles commissions de change. En fait, cela me surprend d'autant plus que je crois savoir que la communauté européenne met tout en œuvre depuis des années pour faciliter les échanges et faire tomber les formalités entre pays. Alors j'aimerais bien savoir tout d'abord si cette histoire est vraie et si oui si vous savez de quelles taxes il s'agit, si elles sont prélevées par la banque qui encaisse ou les impôts (ou les deux)? Merci beaucoup, cordialement, --Floflo (d) 24 janvier 2011 à 00:12 (CET)
- Les chèques français seront « taxés » par les banques italiennes, etc. Ça ne me paraît pas du tout illogique, mais j’ai sans doute vécu trop longtemps à l’époque pré-€ pour bien comprendre ta surprise...
- La raison en est, si j’ai bien compris, que les banques, pays par pays, utilisent un mécanisme particulier (dont le nom m’échappe) pour les chèques : des accords permettent de créditer/débiter les comptes concernés sans échanger d’argent entre les banques ; la circulation se faisant dans tous les sens, on a grosso modo équilibre ; de temps en temps, on régularise. Un tel mécanisme n’existe pas à l’échelle européenne. rv1729 24 janvier 2011 à 07:36 (CET) Il ne s’agit donc pas de taxes, mais de frais d’encaissement.
- Merci. J’ai vainement cherché des trucs comme « caisse compensatoire », « fonds compensatoire »... j’étais loin et proche à la fois. rv1729 24 janvier 2011 à 08:54 (CET)
- Ok, merci, je ne connaissais pas ce mécanisme ! Thanks --Floflo (d) 25 janvier 2011 à 12:21 (CET)
- Mieux vaut donc si c'est possible utiliser une carte bancaire : les règles de la zone euro obligent à appliquer les même conditions dans toute la zone euro que dans le pays d'origine, tant pour les paiements que pour les retraits[réf. nécessaire]. --MGuf (d) 25 janvier 2011 à 12:51 (CET)
- Voir aussi Single Euro Payments Area - Drongou (d) 29 janvier 2011 à 02:26 (CET)
- Mieux vaut donc si c'est possible utiliser une carte bancaire : les règles de la zone euro obligent à appliquer les même conditions dans toute la zone euro que dans le pays d'origine, tant pour les paiements que pour les retraits[réf. nécessaire]. --MGuf (d) 25 janvier 2011 à 12:51 (CET)
- Ok, merci, je ne connaissais pas ce mécanisme ! Thanks --Floflo (d) 25 janvier 2011 à 12:21 (CET)
Il est fort tard et je n'ai plus la force de chercher. Les anglophones la font remonter à 700 av. JC, nous à 500 av. JC qui a raison? Bonne nuit. Skiff (d) 24 janvier 2011 à 01:06 (CET)
- Pas encore fait de recherches sérieuses sur la question mais en première approche tous les interwikis visités donnent le VIIe, non significatif car une erreur peut s'être propagée de wiki en wiki, mais surtout on lit dans l'article de WP-FR « Durant le VIe siècle av. J.-C., alors que [etc.] », ce qui est contradictoire... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 24 janvier 2011 à 01:48 (CET)
- L'article indique que Rome conclut en 493 le fœdus cassianum avec la ligue latine. Elle existait donc avant cette date, et comme Rome ne s'est pas fait en un jour, la ligue latine non plus; le Ve siècle n'est donc pas bon. Dhatier jasons-z-en 24 janvier 2011 à 02:22 (CET)
- En complément. cet ouvrage ainsi que cette page (illisible si on ne sélectionne pas le texte, écrit en noir sur noir...) donnent comme début de la ligue le VIIIe, et comme nom de la ligue le septimontium. D'autres recherches donnent VIIIe ou VIIe siècle av. J.-C.. En tous les cas, le VIIe est une meilleure date que le Ve siècle av. J.-C.. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 24 janvier 2011 à 02:42 (CET)
- Merci à tous pour vos lumières. Skiff (d) 27 janvier 2011 à 00:46 (CET)
- En complément. cet ouvrage ainsi que cette page (illisible si on ne sélectionne pas le texte, écrit en noir sur noir...) donnent comme début de la ligue le VIIIe, et comme nom de la ligue le septimontium. D'autres recherches donnent VIIIe ou VIIe siècle av. J.-C.. En tous les cas, le VIIe est une meilleure date que le Ve siècle av. J.-C.. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 24 janvier 2011 à 02:42 (CET)
- L'article indique que Rome conclut en 493 le fœdus cassianum avec la ligue latine. Elle existait donc avant cette date, et comme Rome ne s'est pas fait en un jour, la ligue latine non plus; le Ve siècle n'est donc pas bon. Dhatier jasons-z-en 24 janvier 2011 à 02:22 (CET)
bonjour s'il vous plait j'ai des dificultés a comprendre ce que c'est que la théorie de la pertinence a l'attente des reponses favorable recevez mes remerciements — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.170.116.31 (discuter), le 24 janvier 2011 à 09:14
- … cette page explique peut-être mieux que l'article de WP, et elle donne des exemples. — Hautbois [canqueter] 24 janvier 2011 à 10:27 (CET)
- Un parcours des diverses pages qui traitent de la question montre que la page de WP-FR sur le sujet est incohérente car traitant de tout autre chose que ce qu'indique son titre. Pour l'article anglais comme pour ceux allemand, italien et polonais, il s'agit d'une théorie due à Dan Sperber et Deirdre Wilson et qui se rapporte au cognitivisme même si ça n'est pas sans lien avec la philosophie analytique, spécifiquement dans son aspect philosophie du langage, courant auquel se rattache Paul Grice.
- En ce qui concerne Paul Grice, il n'a pas de théorie sur la question, seulement une assertion, « soyez pertinent » ("be relevant"), qu'il n'a pas vraiment développée et qui en tout cas n'a pas grand rapport avec ce qu'en dit le premier paragraphe de notre article. Tel que présenté, ça ressemble plutôt à l'analyse de la grammaire générative et transformationnelle (ou GGT), extrêmement formaliste, sur les énoncés grammaticalement bien formés qui sont réputés être sémantiquement corrects indépendamment du contenu sémantique. L'énoncé « la souris mange le chat » est « sémantiquement correct » pour la GGT alors qu'un cognitiviste, qui tient compte de la cohérence des énoncés avec sa référence externe (le réalisme de l'énoncé) n'en dira pas autant.
- Pour avoir une assez bonne idée – me semble-t-il – tant de la théorie de Sperber et Deirdre que de ce qui la sépare des conceptions de Grice, j'ai trouvé un site qui présente des vidéos où Sperber parle de cette question, Anthropologie cognitive, langage et communication, évolution (2). -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 25 janvier 2011 à 08:23 (CET)
- Quel embrouillamini ! Où vas-tu chercher tout ça ? En fait, il s'agit surtout de pragmatique linguistique et il y a un lien direct entre Grice et Sperber et Wilson, comme l'explique d'ailleurs Sperber lui-même dans tes vidéos. L'article de:Relevanztheorie auquel tu fais référence est également très clair là-dessus. L'article en français n'est donc pas particulièrement incohérent, même s'il est manifestement incomplet et un peu hors-sujet si on considère que « théorie de la pertinence » désigne plus particulièrement les travaux de Sperber et Wilson. Dans tous les cas, tout ça n'a pas grand rapport avec les grammaires génératives qu'il est d'ailleurs particulièrement curieux d'opposer au cognitivisme. GL (d) 27 janvier 2011 à 09:40 (CET)
- Je ne me trouve pas spécialement embrouillé mais bon, ça serait triste sinon -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 janvier 2011 à 21:59 (CET)
- Quel embrouillamini ! Où vas-tu chercher tout ça ? En fait, il s'agit surtout de pragmatique linguistique et il y a un lien direct entre Grice et Sperber et Wilson, comme l'explique d'ailleurs Sperber lui-même dans tes vidéos. L'article de:Relevanztheorie auquel tu fais référence est également très clair là-dessus. L'article en français n'est donc pas particulièrement incohérent, même s'il est manifestement incomplet et un peu hors-sujet si on considère que « théorie de la pertinence » désigne plus particulièrement les travaux de Sperber et Wilson. Dans tous les cas, tout ça n'a pas grand rapport avec les grammaires génératives qu'il est d'ailleurs particulièrement curieux d'opposer au cognitivisme. GL (d) 27 janvier 2011 à 09:40 (CET)
médiathèque d'Oloron Sainte Marie , équerre d'argent 2010
[modifier le code]Bonjour,
La médiatèque d'Oloron Sainte Marie, équerre d'argent 2010, est inaccessible aux handicapés, d'une manière indépendante pour eux, comme le prescrivent les Normes Françaises du handicap. La commission du Handicap de la Communauté de Communes du Piémont Oloronais (CCPO), maître d'ouvrage de la médiathèque, planche sur le problème, et bute sur les questions suivantes:
- )- Est-il exact que la règlementation européenne impose une entrée du public unique dans une médiatèque?
- )- Dans ce cas, dans quel texte officiel trouver cette prescription restrictive ?
- )- Dans ce même cas, qu'en est-il de la réglementation européenne du handicap et des règles d'accés-handicapé dans une médiathèque ?
- )- Au cas où, à la médiatèque d'Oloron, l'entrée unique obligatoire européenne ne permettrait pas une solution de rattrapage satisfaisante,peut-on envisager une entrée secondaire exclusive pour les handicapés, par dérogation à la règle européenne de "l'entrée unique"?
Ces questions résultent des débats de la dernière réunion de la Commission- Accessibilité de la CCPO du 20 janvier écoulé. Merci de bien vouloir nous éclairer, du mieux possible.
- whao, ce genre de truc c'est
- Cela dit, je doute que la réglementation européenne se préoccupe de ce genre de truc, et je connais au moins une médiathèque récente qui n'est accessible aux handicapés à roulettes que via un ascenseur spécifique (il me semble que le monument qui l'abrite est, sauf erreur, à l'inventaire supplémentaire des bâtiments historiques, alors j'imagine que coller une rampe sur les marches qui constituent l'entrée normale était impossible)
- Tout au plus est-il interdit de reléguer les handicapés, en leur octroyant une entrée miteuse. Mais c'est tout autant du droit français qu'européen. Voyez peut-être avec la HALDE, ce genre de règles c'est leur affaire.
- gem (d) 24 janvier 2011 à 15:08 (CET)
- En règle générale, la réglementation européenne n'est pas directement applicable en France, il faut une loi (française) d'application.
- Voir Loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, en particulier son chapitre 3.
- Point à vérifier : si une médiathèque est considérée comme un établissement participant à un service public (ce que tendrait à supporter certaines jurisprudences), les handicapés doivent pouvoir avoir accès en tant que "citoyens" (égalité du traitement, etc.) et peuvent conduire à imposer des accès spécialisés y compris à des bâtiments existants. En revanche, si ce n'est qu'un service commercial, les contraintes d'accès des handicapés en tant que "clients" sont moindres.
- Très souvent les contraintes du code de l'urbanisme ne sont applicables qu'à des constructions neuves, ou des grosses rénovations. Les vieux bâtiments sont ce qu'ils sont, et il ne faut pas se laisser impressionner par les experts qui disent qu'ils ne sont pas aux normes (parce que dans ces cas, les normes ne sont pas applicables).
- Biem (d) 24 janvier 2011 à 18:58 (CET)
Vente de livres électroniques
[modifier le code]Bonjour,
Je souhaiterais vendre un livre dans un format électronique sur l'ensemble de la francophonie. Par quelles plateformes puis-je passer (je pense au Kindle Store, à l'équivalent de la Fnac mais il y en a peut-être d'autres...) ? Quels sont leurs avantages / contraintes ? Dans votre infinie sagesse, auriez-vous quelques idées / conseils / recommandations concernant la vente en ligne d'ebooks ?
Bien cordialement,
Une future auteure célèbre
- http://lulu.com fait ça. rv1729 24 janvier 2011 à 15:49 (CET)
- http://www.inlibroveritas.net/ fait ça aussi. Jobert (d) 24 janvier 2011 à 17:40 (CET)
- Attention, il y a des dizaines de sites dans ce genre et beaucoup ressemblent à l'arnaque de l'édition à compte d'auteur (qui n'est pas toujours une arnaque, mais souvent). Il fut savoir si vous voulez être votre propre éditrice, si vous voulez avoir un éditeur qui fait le travail (si, si, c'est du travail), et en plus gagner des sous, et en plus être célèbre… Bon courage. Morburre (d) 25 janvier 2011 à 07:56 (CET)
- http://www.inlibroveritas.net/ fait ça aussi. Jobert (d) 24 janvier 2011 à 17:40 (CET)
- Faire aussi un tour du côté de l'article 'Édition électronique' bien que l'article devrait être amélioré. (suivre aussi les liens) -- Xofc [me contacter] 25 janvier 2011 à 10:21 (CET)
Inscription en grec
[modifier le code]Bonsoir. Est-ce qu'un hélléniste pourrait me dire ce qui est écrit après la signature (en grec) de l'artiste britanique John Deare, voir cette sculpture exposée au Louvre [1] Merci Philippe Nusbaumer (d) 24 janvier 2011 à 17:37 (CET)
- Google est ton ami : http://www.google.fr/search?q=%CE%95%CE%A0%CE%9F%CE%99%CE%95%CE%99
- rv1729 24 janvier 2011 à 17:47 (CET) John Deare l’a fait
- Merci à rv de l'avoir fait. Philippe Nusbaumer (d) 24 janvier 2011 à 17:55 (CET)
Suis-je considéré conjoints de fait, inévitablement, lorsque j'habite avec une personne depuis 12 mois?
[modifier le code]Ayant habité, depuis plus de 12 mois avec une femme, revenu Canada cherche a me considéré conjoint de fait, pourtant nous possédons chacun notre chambre et n'avons aucune relation intime. Suis-je considéré conjoints de fait, inévitablement, lorsque j'habite avec une personne depuis plus 12 mois?
- La définition de conjoint de fait selon la loi canadienne est indiquée ici : [2]. Maintenant, il vous reste à prouver que vous n'avez pas de « relation conjugale » avec cette dame, ce qui n'est pas évident. Si vous vous adressez à l'ombudsman des contribuables, il aura peut-être traité des cas semblables au vôtre et j'espère qu'il pourra indiquer la façon de procéder.
Mais
Dhatier jasons-z-en 25 janvier 2011 à 01:00 (CET)
- ouais enfin, le témoignage de Madame doit suffire, comme preuve d'absence de relations conjugales. Il suffit donc de produire son témoignage. Si ARC persistait malgré ça à vous considérer comme conjoint de fait (improbable, à mon avis), là, il sera temps de questionner l'ombudsman.
- Inversement, si Madame affirme que vous êtes conjoint de fait (et donc que vous avez des relations conjugales) alors que vous le niez, la question fiscale devient tout à coup relativement mineure, par rapport à celle de la nature la relation qui vous lie à cette dame.
- gem (d) 25 janvier 2011 à 18:45 (CET)
Les chinois pourquoi aiment-ils le « lip-sync » ?
[modifier le code]Bonjour à tous. J'ai vu la controverse de la chanson chinoise « 我的祖国 » (Ma Patrie en français, si on lit l'anglais on peut s'informer ici). Ça m'a guidé au fichier au droit, et à celui-ci de YouTube, de bien mieux qualité. Il me semble que la femme dans la vidéo ne chante pas, mais quelqu'un d'autre chante et elle pratique le « Playback ». J'ai noté aussi que dans plusieurs vielles vidéos chinoises, les chanteurs (et parfois même les locuteurs !) font comme ça aussi. Pourquoi ? Merci. 24.92.70.160 (d) 25 janvier 2011 à 00:30 (CET)
- … la quasi totalité des chanteurs (dans le monde entier, pas seulement en Chine) utilisent le playback lors du tournage d'un film ou d'un clip-vidéo. Pour ceux qui souhaiteraient le faire, les conditions de tournage ne permettent pas de restituer la qualité du « son studio » qu'ils ont souvent travaillé pendant des mois et auquel s'attend l'auditeur comparativement au CD. (On peut même ajouter un peu méchamment que certains sont incapables de reproduire ce son « en live »). Les artistes travaillent leur playback pour que cela ne se voit pas, et sont maintenant aidés par l'informatique qui recale les fautes de rythmes et de justesse (Auto-Tune par exemple est un logiciel qui réajuste les fausses notes en direct, un équaliseur fait ressortir les fréquences qui mettent en valeur la voix, une reverb va adoucir et même, si on en abuse, noyer les défauts et le reste… bref, c'est l'ingénieur du son qui maîtrise l'enregistrement, pas le chanteur). Seules quelques (très) rares émissions de TV comme Taratata ont gardé leurs enregistrements en direct… avec une armée d'ingénieurs du son. — Hautbois [canqueter] 25 janvier 2011 à 05:15 (CET)
- J'ai pas vu la vidéo (je n'ai pas le courage de lancer le tunnel sous la muraille de Chine pour voir Youtube) mais j'ai un doute dans la formulation. « quelqu'un d'autre chante ». Heu, non, normalement c'est la même personne. Si il y a deux personnes différentes, alors on parle de doublage, pas de playback. Bertrouf 25 janvier 2011 à 08:53 (CET)
- Le lip-sync (en français, synchronisation labiale) n'est pas une mode récente mais une très vieille pratique, qui se fait dans les deux sens : quand l'enregistrement sonore est préalable, on appellera ça playback (en bon français ), quand l'image vient en premier, ça sera de la postsynchronisation, dont le doublage n'est qu'un cas particulier (pour exemple, tous les films de Fellini sont sonorisés en postsynchronisation et il n'a jamais utilisé la prise de son directe).
- Le lip-sync tel qu'on l'entend aujourd'hui (synchronisation labiale de type playback avec une voix autre que celle de la personne qu'on voit articuler) est à-peu-près aussi ancien que le cinéma sonore. Dans ses débuts le cinéma parlant a produit beaucoup de comédies musicales, à commencer par le premier parlant diffusé commercialement, Le Chanteur de jazz. Et dès les débuts s'est posé le problème des acteurs populaires qui chantaient moyennement bien et des bons chanteurs qui faisaient de piètres acteurs, d'où l'usage assez courant de faire doubler les séquences chantées par une autre voix que celle des acteurs.
- Plus récemment (pas de date certaine mais du moins, pas avant les années 1960) est apparue une nouvelle pratique le lip-sync dans la chanson de variété : la personne qui fait le playback n'est pas celle qui a enregistré la chanson. Cela est devenu possible à la fois du fait d'améliorations techniques et du fait que certains « artistes » ne font plus de carrière scénique, ce qui facilite grandement ce genre de subterfuges. Parmi les groupes connus, Boney M et (moindrement) Milli Vanilli ont en commun (outre leur producteur Frank Farian) que les voix ou une partie des voix ne sont pas celles des personnes qu'on voit en clip ou sur scène.
- Il y a des gradations dans ce domaine, du demi-subterfuge (chanteurs qui ne font que du playback, même sur scène, inversion entre les voix des chanteurs d'avant-scène et des choristes) au subterfuge complet, comme pour Boney M. Un cas connu (pour les anciens) est celui de Stone (de Stone et Charden), qui chante presque juste sur ses disques grâce au miracle du re-recording, et horriblement faux en direct, ce qu'elle évita de faire assez longtemps. Malheureusement pour nos oreilles, désormais elle chante en direct... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 25 janvier 2011 à 09:32 (CET)
- … le cas le plus représentatif, àmha, est celui de Plastic Bertrand qui doit sa carrière à une autre voix ! Suivant la cour d'appel de Bruxelles, il est l'« interprète légal » et non le « chanteur réel ». C'est beau, la vie. — Hautbois [canqueter] 25 janvier 2011 à 10:16 (CET)
- C'est dans l'« air » du temps que de dire que les Chinois aiment ... Plutôt qu'ils n'aiment pas ! -Mikeread (d) 25 janvier 2011 à 11:26 (CET)
- … le cas le plus représentatif, àmha, est celui de Plastic Bertrand qui doit sa carrière à une autre voix ! Suivant la cour d'appel de Bruxelles, il est l'« interprète légal » et non le « chanteur réel ». C'est beau, la vie. — Hautbois [canqueter] 25 janvier 2011 à 10:16 (CET)
- J'ai pas vu la vidéo (je n'ai pas le courage de lancer le tunnel sous la muraille de Chine pour voir Youtube) mais j'ai un doute dans la formulation. « quelqu'un d'autre chante ». Heu, non, normalement c'est la même personne. Si il y a deux personnes différentes, alors on parle de doublage, pas de playback. Bertrouf 25 janvier 2011 à 08:53 (CET)
Peacekeeper, ce dimanche
[modifier le code]Bonjour à tous. Sur l'image du jours d'avant hier, on peut voir plusieurs faisceaux lumineux. La légende précise que Sur cette photographie à long temps de pose, sont visualisées les trajectoires de rentrée dans l'atmosphère de huit têtes nucléaires. Sa veut dire quoi ? Que ces bombes là produisent plusieurs explosions ? Gyrostat - DitS'Cuté 25 janvier 2011 à 19:09 (CET)
- Le texte anglais est beaucoup plus explicite. Il mène à en:Multiple independently targetable reentry vehicle, et en français l’article lié est Mirvage. rv1729 25 janvier 2011 à 19:33 (CET)
- Merci Mais alors, les têtes nucléaires sont en échauffement jusqu'à leur arrivés au sol ? Gyrostat - DitS'Cuté 26 janvier 2011 à 18:03 (CET) Je pensais aussi à cette photo
- En effet. Mais elles possèdent un bouclier thermique (comme sur les vaisseaux spatiaux) qui les protège de la chaleur lors de la descente. Duch (d) 27 janvier 2011 à 21:51 (CET)
- Impressionnant Merci pour vos réponses Gyrostat - DitS'Cuté 28 janvier 2011 à 23:18 (CET)
- En effet. Mais elles possèdent un bouclier thermique (comme sur les vaisseaux spatiaux) qui les protège de la chaleur lors de la descente. Duch (d) 27 janvier 2011 à 21:51 (CET)
A propos d'une incompréhension dans " Explosion_Atomique / Effets sur le reste de la population mondiale (retombées globales) "
[modifier le code]Bonjour,
Dans cette section de Wikipedia, on peut lire à la première ligne "Entre 1945 et 1971, les essais nucléaires atmosphériques ont libéré plus de cinq cents mégatonnes." Ma question est minime: Les essais nucléaires atmosphériques ont libéré plus de cinq cents mégatonnes de quoi ?
Je suis désolé si cela peut vous paraître dérisoire, mais je ne sais pas si c'est moi qui ne comprend pas la phrase, ou s'il manque réellement une information dans cette dernière.
Merci !
- Je dirais de "particules radioactives"... JackPotte ($♠) 25 janvier 2011 à 21:30 (CET)
- Non : voir mégatonne ; c'est à dire que le total de ce qui a pété représente une puissance nucléaire de 500 mégatonnes (de TNT), soit environ 2,09×1018 joules. --MGuf (d) 25 janvier 2011 à 21:52 (CET)
Merci encore.
- Je me suis permis de faire une modification mineure ici Explosion_atomique#Effets sur le reste de la population mondiale (retombées globales) incluant le sigle TNT + lien vers Trinitrotoluène.--Joël DESHAIES (d) 26 janvier 2011 à 13:35 (CET)
- J'ai fait une modification mineure de la modification mineure, pour rendre la phrase correcte.
Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 17:32 (CET) - Merci, c'est en effet plus clair. Ces informations étaient toutefois présentes dès l'introduction de l'article Explosion_atomique. --MGuf (d) 26 janvier 2011 à 13:43 (CET)
- J'ai fait une modification mineure de la modification mineure, pour rendre la phrase correcte.
Terme littéraire
[modifier le code]Comment appelle-t-on un personnage qui n'est ni un protagoniste ni un antagoniste, mais entre les deux ? Par exemple un personnage qui change de statut dans l'œuvre, qui passe d'obstacle à allié.--— Globulenoire [?] 25 janvier 2011 à 21:29 (CET)
- Ne trouvant pas de terme didactique j'ai envie de dire "opportuniste". JackPotte ($♠) 25 janvier 2011 à 21:36 (CET)
- conflit - Protagoniste et antagoniste, contrairement aux apparences, ne sont pas vraiment des antonymes. Un protagoniste peut avoir un antagoniste qui est lui-même un protagoniste. Je ne sais pas s’il existe des termes plus spécifiques, mais je ne compterais pas sur ceux-là. Morburre (d) 25 janvier 2011 à 21:41 (CET)
- Deutéragoniste? Et voyez w:en:Deuteragonist. --Antiquary (d) 26 janvier 2011 à 00:16 (CET)
- Tout simplement un acteur (de l'histoire). Bertrouf 26 janvier 2011 à 03:26 (CET)
- En sémiotique et plus spécialement en narratologie on parlerait de passage du statut d’adjuvant à celui d’opposant (ou l'inverse selon les cas), ces deux fonctions étant des actants pris en charge dans le cadre du récit par des acteurs, ou protagonistes comme déjà dit. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 26 janvier 2011 à 04:13 (CET)
- Merci à tous de m'avoir répondu. Je crois que je vais préférer la réponse d'Olivier Hammam.--— Globulenoire [?] 26 janvier 2011 à 18:02 (CET)
- En sémiotique et plus spécialement en narratologie on parlerait de passage du statut d’adjuvant à celui d’opposant (ou l'inverse selon les cas), ces deux fonctions étant des actants pris en charge dans le cadre du récit par des acteurs, ou protagonistes comme déjà dit. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 26 janvier 2011 à 04:13 (CET)
- Tout simplement un acteur (de l'histoire). Bertrouf 26 janvier 2011 à 03:26 (CET)
Pour comprendre
[modifier le code]Bonsoir. Il y a peu d'années, j'ai pris un rendez-vous auprès d'un prêtre catholique pour une personne proche qui devait subir une opération chirurgicale importante et qui craignait d'y décéder. Cette personne désirait se confesser et obtenir rémission de ses péchés pour mourir en paix si l'opération ne se passait pas bien. Je l'ai conduite à l'église et l'ai attendue pour l'emmener ensuite à l'hôpital. (J'avoue avoir été étonnée du laps de temps d'attente : à peine dix minutes. Ce qui, pour moi, aurait été nettement insuffisant pour exposer une infime partie des péchés que, selon cette religion, j'ai dû commettre.) Le fait est que je risque fort de me retrouver dans la même situation à brève échéance et j'aimerais comprendre ; que prévoit le catholicisme quant à cette confession devant un risque de mort ? Prend-il en compte la situation de quelqu'un qui peut encore se déplacer (être déplacer) ou non ? Cela induit-il des différences ? Lesquelles ? Quelles sont les traditions/rites à respecter pour que le croyant trouve un apaisement dans le secours de sa religion catholique au cours d'une maladie qu'il renie (ou dans la fin prévisible (pour ses proches) de sa vie) ? Que l'Oracle ne se casse pas la tête : de sérieux liens internet me suffiront. Merci déjà, --Égoïté (d) 25 janvier 2011 à 23:14 (CET)
- Il faut commencer par Onction des malades. Bon courage, --gede (d) 26 janvier 2011 à 01:11 (CET)
- Tu devrais apprécier la lecture de Cybercuré. Bertrouf 26 janvier 2011 à 03:23 (CET)
- Merci à vous, --Égoïté (d) 26 janvier 2011 à 07:24 (CET)
- Tu devrais apprécier la lecture de Cybercuré. Bertrouf 26 janvier 2011 à 03:23 (CET)
désolé, pas pu m'en empêcher... Courage quand même ! --Serged/♥ 26 janvier 2011 à 08:33 (CET)
- (idem) et, dans une veine légère également, il y a plusieurs épisodes des Simpson qui abordent ce thème... Je ne les retrouve pas comme ça, même à partir de en:Religion in The Simpsons ou [3]. Et je reconnais qu'il faut être fan de la série pour apprécier, mais c'est vraiment très bon... (Dans un épisode, Homer mange du Fugu préparé par un incompétent, Hibert lui passe une brochure 'So, you gona die'; dans un autre Abraham déprime et veut se faire euthanasier; un autre où Flanders perd sa femme; quelqu'un (Homer ou Lisa?) cherche 'la bonne religion'; Homer parle avec Dieu et veut connaître le sens de la vie ('Homer, tu peux bien attendre 3 mois...')). -- Xofc [me contacter] 26 janvier 2011 à 09:36 (CET)
- Là-haut, Il sait tout, Il voit tout et Il comprend vite. On peut penser que c'est l'intention qui compte. Ceci dit, en compulsant les archives de vingt siècles de théologie, on doit trouver tout et son contraire. Espérons que les médecins auront, eux, passé plus de dix minutes sur le sujet. Morburre (d) 26 janvier 2011 à 11:33 (CET)
Bonjour.
Une première référence importante pour comprendre la confession se trouve dans la Genèse, chapitre 4 , avec l’histoire de Caïn : après le meurtre d’Abel, c’est lui-même qui dit « Ma peine est trop lourde à porter (etc) », mais il faut bien voir que c’est Caïn qui se condamne lui-même. Dieu respecte son auto-condamnation mais « mit un signe sur Caïn, afin que le premier venu ne le frappât point ». Ce passage nous montre que le principal juge qui nous fait prisonnier sous le poids du pêché, c’est nous-mêmes. Dieu n’attend pas la punition du pêcheur, mais la restauration d’une relation aimante ; c’est notre honte personnelle qui nous conduit à nous cacher des autres et de lui ; le problème est avant tout de nous libérer de ce poids pour nous rétablir dans sa relation – mais comment ?
L’autre point important sur la confession est l’évangile du Fils Prodigue (Luc 15 :11-32): le fils réfléchit sur ce qu’il a fait, décide de revenir vers son père et tâcher de se faire pardonner, prépare un beau discours, mais quand il met son plan à exécution il n’a même pas le temps de placer tout son discours : son père fait la fête et lui pardonne avant même qu’il ait pu finir de parler. Le point important est la démarche de contrition, il n’est pas nécessaire d’aller jusqu’au bout d’une sorte de procédure juridique pour marquer la réconciliation.
Le prêtre catholique qui reçoit une confession est là in personna Christi, avant tout, pour représenter Dieu, le père du Fils prodigue, qui s’écrie en jubilant « mon fils était perdu et le voilà retrouvé » avant même que le fils ait eu le temps d’en placer une. Le but de la confession n'est pas de réciter tous ses pêchés, mais de se réconcilier avec Dieu. Pour ça, il faut évidemment ne pas s'enfermer dans ses erreurs, donc se reconnaître comme pêcheur, et montrer qu'on le regrette sincèrement : ça suffit pour qu'un prêtre puisse donner une absolution valable.
La confession est évidemment liée à la crainte de la mort. Autrefois, avant que la confession ne soit mise en place, il n’y avait pas de mécanisme permettant de marquer cette réconciliation : le baptême était sensé blanchir de tous ses pêchés, mais ensuite il fallait rester propre. Du coup, les catéchumènes étaient tentés de ne se faire baptiser qu’à l’article de la mort, pour pouvoir mourir en état de grâce – ce qui n’est évidemment pas terrible comme approche. Une meilleure perception de l’état du chrétien comme « en marche vers la sainteté » (donc, sujet à la faute) a conduit à créer le statut de pénitent (grosse pénitence solennelle pour les grosses fautes), puis à la confession moderne.
Ceci étant, comme le signale Gede, c’est l’Onction des malades qui a spécifiquement la fonction de donner au chrétien le secours de la religion au cours d’une maladie grave ou face à la mort.
Cordialement, Michelet-密是力 (d) 26 janvier 2011 à 16:56 (CET)
- <toujours en mode plus ou moins iconoclaste> Si, après avoir lu Pour en finir avec Dieu, le Divin n'est plus une option, il y a aussi des trucs comme 'PatientsLikeMe' pour ne plus être seul(e) face au toubib local. Cela ne semble pas être un simple site d'automédication, on trouve des références sur GoogleBooks et GoogleScholar. L'idée est d'en discuter sérieusement avec d'autres personnes dans le même cas et d'être un peu moins seul(e) devant le problème. </mode iconoclaste>. -- Xofc [me contacter] 27 janvier 2011 à 11:50 (CET)
@ égoïté : demande à ton Dieu : il devrait te répondre, n'est-ce pas ? --Warp3 (d) 30 janvier 2011 à 02:25 (CET)
- Attaque personnelle d’une rare bêtise, on devrait l’encadrer. rv1729 30 janvier 2011 à 15:13 (CET)
traduction espagnole pour une expression américaine
[modifier le code]l'expression est "Jane Doe" merci à l'avance...
- Ce n'est pas vraiment une expression, mais un nom propre ?! Peut-être Jane Doe ? Cordialement -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 07:44 (CET)
- On avance ! En effet : "Jane Doe" correspond pour les anglophones, à l'expression "Madame X" pour désigner une personne de façon anonyme. Voir article John Doe voir es:John Doe cliquez sur "Sin Nombre" (mais apparemment l'article espagnol nous dit : "es la denominacion usada en inglès ..." et ne donne pas d'équivalent dans sa propre langue et l'article espagnol invite à cliquer sur "Sin Nombre" ... donc ... ça n'existe probablement pas, venant d'une langue très attentive aux expressions US. Lire es:Sin nombre#Nombres indeterminados en el Derecho mais ça ne donne pas d'équivalent vraiment. Plus loin dans l'article es:Sin nombre on approche (voir dans l'article la note -referencias- ici [1]): "Fulano, Zutano, Mengano y Perengano[1] , además de sus equivalentes femeninos (fulana, zutana, mengana y perengana) y sus variantes y diminutivos (Fulanito, Fulano de Tal, Fulanito de tal, Zutanito, Menganito, Menganito de cual, etc.). También se utilizan los nombres Sultano, Pepe Pérez, Perico (el) de los palotes, Jaimito, Don Nadie, Juan Nadie y Pepe Luis." ! (Ne reste plus qu'a attendre un hispanisant tel Doalex). Cordialement -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 07:52 (CET)
- Il me semble que « John/Jane Doe » ou son correspondant anglais « Johh/Jane Smith » n'a pas de traduction à proprement parler, sinon, comme pour la France ou le Québec, une équivalence, « Jean/Jeanne ou Marie Dupont », « Jacques ou Jean/Marie Martin », « Jean/Jeanne ou Marie Gagnon » « Jean/Marie Tremblay ». Ça doit probablement être quelque comme « José/Maria Garcia ». Ce qui serait traduisible est plutôt l'expression « Ms/Mr Everyman / Everywoman / Everybody », ou le plus courant « Ms/Mr so and so », « Mme/M. tout-le-monde », qui doit mieux correspondre à « Sin Nombre ». -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 26 janvier 2011 à 09:01 (CET)
- Fulano n’est pas mal, je l’ai déjà rencontré au fil de mes lectures. rv1729 26 janvier 2011 à 09:21 (CET)
- l'article espagnol (qui n'a d'ailleurs pas d'équivalent chez nous) précise pour la France : es:Sin nombre#Otros nombres utilizados alrededor del mundo : "Jean Dupont, Paul Martin, Monsieur Durand, Monsieur Untel/ Madame Unetelle, Monsieur/Madame X, Pierre-Paul-Jacques forman una especie de "fulano-mengano-zutano", por lo corriente de los tres nombres. En ocasiones puede ser usado para denominar a un solo cualquiera, en lugar de a tres." -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 09:48 (CET)
- On avance ! En effet : "Jane Doe" correspond pour les anglophones, à l'expression "Madame X" pour désigner une personne de façon anonyme. Voir article John Doe voir es:John Doe cliquez sur "Sin Nombre" (mais apparemment l'article espagnol nous dit : "es la denominacion usada en inglès ..." et ne donne pas d'équivalent dans sa propre langue et l'article espagnol invite à cliquer sur "Sin Nombre" ... donc ... ça n'existe probablement pas, venant d'une langue très attentive aux expressions US. Lire es:Sin nombre#Nombres indeterminados en el Derecho mais ça ne donne pas d'équivalent vraiment. Plus loin dans l'article es:Sin nombre on approche (voir dans l'article la note -referencias- ici [1]): "Fulano, Zutano, Mengano y Perengano[1] , además de sus equivalentes femeninos (fulana, zutana, mengana y perengana) y sus variantes y diminutivos (Fulanito, Fulano de Tal, Fulanito de tal, Zutanito, Menganito, Menganito de cual, etc.). También se utilizan los nombres Sultano, Pepe Pérez, Perico (el) de los palotes, Jaimito, Don Nadie, Juan Nadie y Pepe Luis." ! (Ne reste plus qu'a attendre un hispanisant tel Doalex). Cordialement -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 07:52 (CET)
- Et moi, alors ? M. Tartempion
- - Maintenant qu'vous m'l'disez, eh ben oui : c'est ça ! M. Tartempion ! -M. Evtouchenko
Dans la wikipedia francophone on a l'Homme_de_la_rue. Blue [ -02- ] 26 janvier 2011 à 16:13 (CET)
- Hola, buenas tardes a todos y en particular a Miguelitoleer ma préférence irait à N.N., pour le côté formel, mais pour suivre l'esprit je dirais Juana Pérez. --Doalex (d) 26 janvier 2011 à 18:55 (CET)
Titre d'une bande dessinée
[modifier le code]Bonjour à tous.
Je cherche désespérément depuis quelques mois une bande dessinée que j'ai lue quand j'étais petit, bon je suis né en 1987, je suppose que je n'ai su lire que vers 6/7 ans, donc cela nous repousse au minimum à 1994, mais cette BD est une bd adulte et je me rappelle qu'elle m'avait plu et que je l'avais comprise et qu'elle m'avait touché. Je pense donc que j'avais au minimum, disons 9 ans. Ce qui nous repousse à 1996/98 (pour l'année de parution maximale).
Pour la description, c'est une bd dont l'histoire se passe dans la maison de Robie (ou une maison ressemblant fortement), je vous laisse ce lien pour vous faire une idée de l'aspect: http://www.google.fr/images?um=1&hl=fr&client=firefox-a&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&tbs=isch%3A1&sa=1&q=maison+de+robie&btnG=Rechercher&aq=f&aqi=&aql=&oq=
Les seules choses dont je me rappelle sont qu'il s'agissait d'une bd assez sombre dans son ambiance, il doit y avoir ou un mystère, ou un meurtre. Le personnage principal dans les dernières pages se retrouve seul dans la maison.
La dernière page montre la photo de la maison en question, qui avait été dessinée tout le long de la bd de manière réussie et réaliste.
Je précise tout de suite qu'il ne s'agit pas de "l'énigme de la maison robie", pour deux bonne raison, l'année de parution (2007), et le fait que les protagonistes ne sont pas des enfants.
C'est vague, je sais, mais cela me tient énormément à cœur, mais sait on jamais, peut-être l'un de vous l'a t-il vue/lue ou saurait me donner des pistes de recherche.
Merci d'avance beaucoup pour votre aide.
- Puisque vous recherchez depuis des mois vous pouvez essayer une recherche sur ce site bedethèque en recherche multi-critères mais seule la date du dépôt légal, en commençant par 01/1996, vous sera utile dans votre cas et avec une sélection correcte et de la patience surtout, vous rencontrerez certainement votre BD.--Doalex (d) 26 janvier 2011 à 20:05 (CET) Sinon vous allez à Angoulême jusqu'au 30/01/2011 et vous trouverez sûrement une réponse.--Doalex (d) 27 janvier 2011 à 16:27 (CET)
- Autre solution, exposer ta demande au projet:Bande dessinée, spécialement dans sa page de discussion. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 janvier 2011 à 00:20 (CET)
recopié dans la page de discussion du projet BD
Merci bien pour ces quelques pistes, mis à part angoulème... je tente!
Bonjour ceci n'est pas exactement une question. C'est une précision qui peut intéresser l'article relatif à Sławomir Rawicz. Je ne sais pas où donner des précisions. Sur le livre de la collection "J'ai lu" titre "A marche forcée", l'auteur précise que le journaliste qui l'a aidé à écrire ce livre est "Donald Downing" Ce serait interéssant de savoir d'une part s'il est vivant et si c'est le cas de lui demander comment il a contribué à l'écriture. Dans une publication propagandiste soviétique des années 1960 "Spoutinik" du style "reader digest" et destiné à l'occident, il apparait quelques articles sur des évasions de prisonniers politiques de camps du goulag. Ces articles étaient assez péjoratifs et par leur caractère très affirmatif laissaient planner volontairement des doutes sur les réussites, sans mentionner leur mort ou leur réussite. Ces articles ne parlaient pas de leur capture et des sanctions appliquées aux évadés, ce qui était de mise à l'époque pour l'URSS. Il ne s'agit peut être pas de S.R. et de ses compagnons. Je tenais à vous ignaler l'analogie. Merci pour la connaissance que vous diffusez. Merci d'accepter ma petite contrbution à votre grande entreprise. P AZARIAN
- Vous pouvez écrire vos remarques, observations ici -> Discussion:Sławomir Rawicz. Cordialement. -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 11:33 (CET)
- Il s'agit bien de THE LONG WALK - A Gamble for Life. paru en 1956 ? Au cinéma aujourd'hui-Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 11:38 (CET)
Dictionnaire
[modifier le code]Ou puis-je trouver une entree de dictionnaire pour le mot "perdu"?
- perdu. Cordialement -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 14:30 (CET)
- Trouvé perdu. en complément.--Doalex (d) 26 janvier 2011 à 15:58 (CET)
- Et bien sûr perdu (Mitch)2 26 janvier 2011 à 16:16 (CET) Ok t'as gagné ! --Doalex (d) 26 janvier 2011 à 17:36 (CET)
- … mais, vous avez tous gagné ! Mais quoi ? — Hautbois [canqueter] 26 janvier 2011 à 17:55 (CET)
- Un perdu ou un perdu ! --Égoïté (d) 26 janvier 2011 à 18:11 (CET)
- … « et un d'perdu, dix de r'trouvés » ! — Hautbois [canqueter] 27 janvier 2011 à 23:44 (CET)
- @ Hautbois : tu as perdu le do de ta clarinette ? - Cymbella (répondre) - 31 janvier 2011 à 22:08 (CET)
- … COMMENT ! moi, de la clarinette ??? aaahhh ! si papa savait ça ! (traa lala). ßon, pour les pains, je n'y suis pour rien non plus. — Hautbois [canqueter] 1 février 2011 à 00:58 (CET)
- @ Hautbois : tu as perdu le do de ta clarinette ? - Cymbella (répondre) - 31 janvier 2011 à 22:08 (CET)
- … « et un d'perdu, dix de r'trouvés » ! — Hautbois [canqueter] 27 janvier 2011 à 23:44 (CET)
- Un perdu ou un perdu ! --Égoïté (d) 26 janvier 2011 à 18:11 (CET)
- … mais, vous avez tous gagné ! Mais quoi ? — Hautbois [canqueter] 26 janvier 2011 à 17:55 (CET)
- Et bien sûr perdu (Mitch)2 26 janvier 2011 à 16:16 (CET) Ok t'as gagné ! --Doalex (d) 26 janvier 2011 à 17:36 (CET)
- Trouvé perdu. en complément.--Doalex (d) 26 janvier 2011 à 15:58 (CET)
Orthographe du titre de l'article consacré à Fernand Iveton.
[modifier le code]Bonjour, L'article concernant Fernand Iveton est titré Fernand Yveton. C'est une erreur fréquente. Or le nom s'orthographie sans "Y". C'est le nom qui figurait sur son état-civil (cf. facsimilé dans l'ouvrage de Jean-Luc Einaudi "Pour l'exemple, l'affaire Iveton" - ed. L'Harmattan 1986). C'est le nom qu'il utilisait et sous lequel il a été arrêté, condamné et exécuté et qui figure sur sa tombe. Cela est corroboré par par son avocat Me Albert Smadja et par son frère survivant, Louis Iveton, ainsi que par les articles de presse de l'époque. A noter que les 8 autres articles de Wikipédia mentionnant Fernand Iveton utilisent tous la bonne orthographe sans "Y". Dans "modifications" on peut corriger le nom dans le corps du texte, mais non dans le titre. Comment faire ? Merci.
- Voilà j'ai renommé la page avec la bonne orthographe. Pour renommer un article il faut être inscrit sur Wikipédia (ou autre site de la fondation), et ensuite c'est une petit flèche à côté des menus en haut à droite « lire », « modifier », « afficher l'historique » et juste avant le menu « rechercher ». Cordialement.--— Globulenoire [?] 26 janvier 2011 à 18:29 (CET)
Merci beaucoup pour cette rectification.
Philosophes du XXe siècle
[modifier le code]Chers.
Vous signaler simplement que le nom de Michel SERRES ne figure pas sur la liste des philosophes du XXe siècle.
Bien cordialement.
Jean-Pierre Colle
- Bonjour. Quel est le titre exact de la liste à laquelle vous référez? Parce qu'il est sur la Liste de philosophes par année de naissance Dhatier jasons-z-en 26 janvier 2011 à 18:48 (CET)
- Pour voir comment faire suivez ce lien et la prochaine fois vous pourrez le faire tout seul. --Epsilon0 ε0 26 janvier 2011 à 18:53 (CET)
- Au sujet de la disparition de ton commentaire voir ce diif. [4] je n'ai toujours pas compris, je suppose qu'il y avait un conflit d'édition lorsque j'ai voulu auparavant édité ou j'ai fait peut-être le ménage en même temps sur une question qui suivait ta section ou était dedans et j'ai emmené 2 lignes de plus ? Désolé (avec un peu de retard) --Doalex (d) 5 février 2011 à 18:10 (CET)
- Pour voir comment faire suivez ce lien et la prochaine fois vous pourrez le faire tout seul. --Epsilon0 ε0 26 janvier 2011 à 18:53 (CET)
Pluriel
[modifier le code]Bonjour ! On dit un Simpson, les Simpson, mais on dit un Français, une Française, alors écrit-on des Inuits ou des Inuit (comme j'ai vu dans un livre) ????
- Parce que ! euh ! z'êtes certain que c'était pas une coquille ? -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 19:12 (CET)
- Donc les habitants d'un pays s'accordent au pluriel, donc le livre (de français de ma fille en CE1 !!) a faux. Merci.
- Comme vous pouvez le constater, j'ai ajouté dans le texte de votre question un lien interne à "Inuits" (Vous pouvez cliquez maintenant sur ce lien bleu ) et vous verrez que dans notre article ces erreurs n'existent pas. -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 19:25 (CET)
- Tel qu'indiqué dans l'article, dans la langue inuktitut, le singulier est «inuk» et le pluriel «inuit». mais c'est l'usage en français d'écrire «un inuit», «des inuits». C'est la même chose que pour les «touareg» dont le singulier de la langue tamajaq est «targui», mais en français : un touareg, des touaregs. Dhatier jasons-z-en 26 janvier 2011 à 19:38 (CET)
- Simpson c'est un nom de famille et l'usage en français est de ne pas mettre les noms de famille au pluriel. --Guil2027 (d) 26 janvier 2011 à 22:34 (CET)
- Tiens, ça me fait me demander comment Hergé écrit "les Dupon__" dans ses BD de Tintin. "Les Dupondt" peut-être? A vérifier à l'occaz --Floflo (d) 26 janvier 2011 à 22:38 (CET)
- Il me semble qu'ils ne sont jamais nommés autrement que les « Dupont et Dupond" » --Mistig (d) 26 janvier 2011 à 23:21 (CET)
- Je suis certain qu'au moins une fois, le capitaine Haddock dit « Tiens, voilà les Dupondt »
- Oui, je confirme, je l'ai encore en tête: Haddock, et même Tintin d'ailleurs disent dans les dessins animés "les Dupondt". Alors après peut-être qu'à l'écrit dans la bande dessinée cette "interpellation" n'existe effectivement pas... En tout cas à l'oral je suis sûr que oui. --Floflo (d) 26 janvier 2011 à 23:55 (CET)
- La preuve. Dhatier jasons-z-en 27 janvier 2011 à 00:50 (CET)
- Je me demande s'il y a un article Dupont et Dupond ou Dupond et Dupont. Ah ben y a les deux. Je parie que la redirection est Dupond et Dupont. Perdu En note on a : « Hergé les baptise ainsi à travers Milou s'exclamant : “Ça y est !... Entrée sensationnelle des Dupondt Brothers !...” ». Pas de référence d'album, mais il me semble que c'est dans Tintin au pays de l'or noir (très probable), dans Coke en stock ou dans On a marché sur la lune. Je vérifie. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 janvier 2011 à 01:11 (CET)
- M'semblait bien : dans Tintin au pays de l'or noir, p. 32, Milou dit / pense « Ça par exemple ! Le chapeau melon d'un des deux Dupondt ». -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 janvier 2011 à 01:59 (CET)
- Voir aussi le bouquin : Le Dupondt sans peine du regretté (mais pas décédé) Albert Algoud...--Bosay (d) 27 janvier 2011 à 17:12 (CET)
- "Allo, c'est Dupont ? Ha ! c'est Dupond !" dans Tintin au pays de l'Or Noir
- Voir aussi le bouquin : Le Dupondt sans peine du regretté (mais pas décédé) Albert Algoud...--Bosay (d) 27 janvier 2011 à 17:12 (CET)
- Notons que ce « Dupondt » est sorti de la tête d'un chien. --Mistig (d) 28 janvier 2011 à 14:50 (CET)
- La preuve. Dhatier jasons-z-en 27 janvier 2011 à 00:50 (CET)
- Oui, je confirme, je l'ai encore en tête: Haddock, et même Tintin d'ailleurs disent dans les dessins animés "les Dupondt". Alors après peut-être qu'à l'écrit dans la bande dessinée cette "interpellation" n'existe effectivement pas... En tout cas à l'oral je suis sûr que oui. --Floflo (d) 26 janvier 2011 à 23:55 (CET)
- Je suis certain qu'au moins une fois, le capitaine Haddock dit « Tiens, voilà les Dupondt »
- Il me semble qu'ils ne sont jamais nommés autrement que les « Dupont et Dupond" » --Mistig (d) 26 janvier 2011 à 23:21 (CET)
- Tiens, ça me fait me demander comment Hergé écrit "les Dupon__" dans ses BD de Tintin. "Les Dupondt" peut-être? A vérifier à l'occaz --Floflo (d) 26 janvier 2011 à 22:38 (CET)
- Simpson c'est un nom de famille et l'usage en français est de ne pas mettre les noms de famille au pluriel. --Guil2027 (d) 26 janvier 2011 à 22:34 (CET)
- Tel qu'indiqué dans l'article, dans la langue inuktitut, le singulier est «inuk» et le pluriel «inuit». mais c'est l'usage en français d'écrire «un inuit», «des inuits». C'est la même chose que pour les «touareg» dont le singulier de la langue tamajaq est «targui», mais en français : un touareg, des touaregs. Dhatier jasons-z-en 26 janvier 2011 à 19:38 (CET)
- Comme vous pouvez le constater, j'ai ajouté dans le texte de votre question un lien interne à "Inuits" (Vous pouvez cliquez maintenant sur ce lien bleu ) et vous verrez que dans notre article ces erreurs n'existent pas. -Mikeread (d) 26 janvier 2011 à 19:25 (CET)
- Donc les habitants d'un pays s'accordent au pluriel, donc le livre (de français de ma fille en CE1 !!) a faux. Merci.
eau lourde à base d'oxygène lourd
[modifier le code]Dans l'article eau lourde, il serait nécessaire qu'un chapitre traite de l'eau H²18O de masse molaire 20. Eventuellement en l'excluant par convention sémantique, si c'était justifié.
Dans les articles Wikipedia ou autre, on constate que eau lourde se réfère presque toujours à l'oxyde de Deutérium à cause de ses propriétés de modérateur de neutrons. Toutefois, dans la discussion eau lourde, dans la dernière intervention "info supp" du 15 juillet 2010 au paragraphe toxicité pour l'homme il est cité l'eau lourde à base de 18O
Il faut noter que la fréquence moyenne 18O/16O est de 0.2% alors que celle de D/H est de 0.015%. Dans les conditions naturelles,la concentration moyenne de l'eau en H²18O est 7 fois plus élevée que celle en eau semi lourde HD O (masse mol.19). Les autres variétés isotopiques sont beaucoup plus rares
L'"oubli" de H²18O ne peut se justifier comme une simplification implicite conduisant à négliger un composant relativement"inerte" qui aurait une faible concentration. D'autre part en paleo climatologie l'analyse de l'évolution du rapport 18O/16O dans l'eau de l'océan et des calottes polaires est devenu un sujet fondamental
Gilles Gazel xx@orange.fr — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 77.195.250.128 (discuter), le 27 janvier 2011 à 11:46
- Le mieux est de faire ce commentaire dans la page de discussion de l'article et mieux encore, de modifier toi-même l'article pour y ajouter ces informations qui me semblent y avoir leur place. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 janvier 2011 à 13:49 (CET)
- Référence à l'appui, ce serait une amélioration de l'article dont nous vous serions reconnaissant, cordialement. le sourcier [on cause ?] 27 janvier 2011 à 14:50 (CET)
- ce n'est pas un oubli, l'eau à base d'oxygène lourd (O17 ou O18 à la place d'O16) n'est pas, en général, appelée "eau lourde" (bien que elle soit effectivement d'une masse molaire comparable à celle de D2O pour O18, ou HDO pour O17). L'eau lourde est extraite par des procédés chimiques sensibles à la (minuscule) différence entre H et D, les différences entre O16, O17 et O18 n'interviennent pas.
- On obtient donc une eau lourde avec du deuterium à la place de l'hydrogène, et une proportion "normale" de O16, O17 et O18.
- gem (d) 27 janvier 2011 à 17:00 (CET)
- Intéressant. En plus, et je n'y avais pas pensé avant, comme le précise notre questionneur, « dans les articles Wikipedia ou autre, on constate que eau lourde se réfère presque toujours à l'oxyde de Deutérium à cause de ses propriétés de modérateur de neutrons », or ce qui a intéressé les trieurs de molécules d'eau est précisément ce rôle de modérateur ; logiquement il n'avaient pas matière à s'intéresser aux autres « molécules lourdes » d'eau, donc à les nommer.
- Cela dit, si ça n'existe pas encore dans l'article, un petit ajout en note pour simplement évoquer d'autres types de molécules lourdes de H2O me semble cependant envisageable. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 janvier 2011 à 17:19 (CET)
Bonjour,
Voilà, comment écrire en phonétique "Carsten Borchgrevink" ? Merci. -Mikeread (d) 27 janvier 2011 à 19:35 (CET)
- Je pense que c'est /karstən bɔrʃgrəvink/ ou /karstεn bɔrʃgrəvink/, plus probablement la seconde version (quelques "karstεn" mais aucun "karstən" en cherchant sur Google. Possible que pour le patronyme ça soit /bɔrʃgrεvink/ si on se fie à la graphie russe « Борхгревинк, Карстен », mais ça m'étonne un peu. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 janvier 2011 à 00:19 (CET)
- Finalement, si on se fie à Prononciation du norvégien et à cette page, il y a de bonnes chances que ce soit /karstεn borʃgrevink/ ou /karstεn bɔrʃgrεvink/. De l'autre côté, pour des raisons phonétiques la présence du "r" après le "o" me ferait quand même pencher vers /karstεn bɔrʃgrevink/ ou /karstεn bɔrʃgrεvink/, le /r/ obligeant souvent à prononcer la voyelle qui précède plus ouverte. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 janvier 2011 à 09:52 (CET)
- La lettre c semble s'être raréfiée en norvégien(s), et le groupe ch aussi. Je n'en ai trouvé que dans des prénoms et des patronymes. Borchgrevink est un nom norvégien qu'on retrouve sous cette écriture dans des noms anciens, par exemple un Christian Melchiorsen Borchgrevink mort en 1650, qui suggère une pronociation du groupe ch s'approchant d'un k, corroborée par sa translitération cyrillique Х sur les wikipédias concernées. Je fais l'hypothèse que Mikeread s'intéresse à une prononciation norvégienne, car en français, on suit la règle générale des noms étrangers : ça se prononce n'importe comment (Cf Bach = Barrh, Bâche, Bakh, ou Dvořák = dvaurak, dvorak, dvorjak, entre autres). Colo (d) 28 janvier 2011 à 11:57 (CET)
- Oui, possible que le « ch » de ce nom ne corresponde pas à /ʃ/ mais plutôt à /χ/ (le ach-laut allemand). En ce cas ce serait /karstεn bɔrχgrevink/ ou /karstεn bɔrχgrεvink/ ou même, vu la proximité articulatiore des consonnes précédente et suivante, /karstεn bɔχrevink/ ou /karstεn bɔχrεvink/ ou encore, comme tu le suggères, /karstεn bɔrkgrevink/ ou /karstεn bɔrkgrεvink/. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 janvier 2011 à 12:55 (CET)
- Merci Colo, Merci Olivier (toi et Hervé vous me stupéfiez par votre savoir, sans dec, non mais sans dec !). Que suggère-tu comme phonétique finalement (pour mettre entre crochets) sur l'article du personnage ? Merci Ô Vénérable, je me retire cérémonieusement -Mikeread (d) 28 janvier 2011 à 16:46 (CET)
- Pour moi, le plus vraisemblable est [karstεn bɔrkgrevink]. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 janvier 2011 à 19:26 (CET)
- Merci Colo, Merci Olivier (toi et Hervé vous me stupéfiez par votre savoir, sans dec, non mais sans dec !). Que suggère-tu comme phonétique finalement (pour mettre entre crochets) sur l'article du personnage ? Merci Ô Vénérable, je me retire cérémonieusement -Mikeread (d) 28 janvier 2011 à 16:46 (CET)
- Oui, possible que le « ch » de ce nom ne corresponde pas à /ʃ/ mais plutôt à /χ/ (le ach-laut allemand). En ce cas ce serait /karstεn bɔrχgrevink/ ou /karstεn bɔrχgrεvink/ ou même, vu la proximité articulatiore des consonnes précédente et suivante, /karstεn bɔχrevink/ ou /karstεn bɔχrεvink/ ou encore, comme tu le suggères, /karstεn bɔrkgrevink/ ou /karstεn bɔrkgrεvink/. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 janvier 2011 à 12:55 (CET)
- La lettre c semble s'être raréfiée en norvégien(s), et le groupe ch aussi. Je n'en ai trouvé que dans des prénoms et des patronymes. Borchgrevink est un nom norvégien qu'on retrouve sous cette écriture dans des noms anciens, par exemple un Christian Melchiorsen Borchgrevink mort en 1650, qui suggère une pronociation du groupe ch s'approchant d'un k, corroborée par sa translitération cyrillique Х sur les wikipédias concernées. Je fais l'hypothèse que Mikeread s'intéresse à une prononciation norvégienne, car en français, on suit la règle générale des noms étrangers : ça se prononce n'importe comment (Cf Bach = Barrh, Bâche, Bakh, ou Dvořák = dvaurak, dvorak, dvorjak, entre autres). Colo (d) 28 janvier 2011 à 11:57 (CET)
Commutativité de la relation "appartient au foyer de"
[modifier le code]Bonjour. J'aimerais avoir quelques éclaircissements sur la notion de foyer. Je constate que lors de ma déclaration d'impôts, n'étant ni marié ni pacsé, je suis considéré comme membre unique de mon foyer alors que, vivant avec ma copine, je suis considéré, pour les organismes sociaux, comme appartenant au foyer de celle-ci (qui n'a aucun revenu). Outre la jalousie naturelle devant le fait que le foyer de ma copine est plus grand que le mien, je m'interroge donc sur la définition légale du foyer (si toutefois il y en a une). Est-ce juste que le foyer fiscal est plus restrictif que le foyer et que la CAF s'appuie sur cette dernière notion ? Je vous remercie par avance pour vos réponses. Stocha (d) 28 janvier 2011 à 14:42 (CET)
- il n'y a pas de définition légale pour "foyer", chaque administration fait son interprétation en fonction de son point de vue, qui dépend de sa fonction.
- Certaines prestation sociales sont moins élevées pour les gens en couple que pour les célibataires (no comment) donc assez logiquement les organismes sociaux ont tendance à supposer que les gens sont en couple quand ils vivent ensemble (étonnant, non ?) ; inversement les impôts sont plus lourd pour un célibataire (no comment, bis), le fisc ne prendra en compte votre copine dans le foyer que si vous officialisez ça par un papier type PACS / mariage et en attentant il n'y a que vous dans le foyer fiscal.
- Tout est logique, non ?
- gem (d) 28 janvier 2011 à 15:24 (CET)
- "les gens sont en couple quand ils vivent ensemble (étonnant, non ?)". Ben oui, c'est étonnant : Dans mon cas par exemple, elle est venue me rejoindre dans une colocation où nous étions déjà 4. Et promis, nos relations n'étaient pas des relations de couple élargi. (mais elle ne participait pas au loyer, c'est peut être ça qui est louche. Mais si on ne peut plus loger une amie sans ressource...) Stocha (d) 28 janvier 2011 à 16:15 (CET)
- moi tout ce que je dis c'est que les organismes sociaux ont tendance à supposer que ..., et que c'est pas étonnant. Après, la nature réelle de votre relation et son histoire, c'est vous que ça regarde (oups, pardon : ça regarde aussi big mama évidemment) et c'est pas la peine de nous en parler ici. gem (d) 28 janvier 2011 à 18:43 (CET)
- Le foyer fiscal est au foyer (sens commun) ce que le cheval fiscal est au cheval vapeur : une fiction qui s'appuie sur une réalité mais n'a pas de rapport direct avec elle. En son temps le « cheval fiscal » était l'unité de base pour le calcul de la vignette automobile, de même le « foyer fiscal » est un modèle pour déterminer le nombre de parts d'un ménage, et n'a pas de rapport avec le foyer réel, le lieu de résidence déclaré.
- La CAF appelle foyer le lieu où l'on déclare résider, ou le lieu où l'on est recensé pour un tiers. Si ta copine a trouvé commode, que ce soit vrai ou non, de déclarer que tu résides habituellement chez elle, il est normal que la CAF te considère « appartenir » à ce foyer. Pour les impôts, il faut vous marier ou vous pacser pour former un seul foyer fiscal ; comme le dit notre article, « en cas de concubinage, les concubins sont traités comme des célibataires ». -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 janvier 2011 à 19:50 (CET)
- moi tout ce que je dis c'est que les organismes sociaux ont tendance à supposer que ..., et que c'est pas étonnant. Après, la nature réelle de votre relation et son histoire, c'est vous que ça regarde (oups, pardon : ça regarde aussi big mama évidemment) et c'est pas la peine de nous en parler ici. gem (d) 28 janvier 2011 à 18:43 (CET)
- "les gens sont en couple quand ils vivent ensemble (étonnant, non ?)". Ben oui, c'est étonnant : Dans mon cas par exemple, elle est venue me rejoindre dans une colocation où nous étions déjà 4. Et promis, nos relations n'étaient pas des relations de couple élargi. (mais elle ne participait pas au loyer, c'est peut être ça qui est louche. Mais si on ne peut plus loger une amie sans ressource...) Stocha (d) 28 janvier 2011 à 16:15 (CET)
Merci pour les réponses. Gem, je ne voulais pas t'agresser, je suis juste surpris que la CAF considère comme couple les gens habitant le même lieu étant donné que je n'ai jamais eu de problème en colocation (et que je me demande donc quel est leur critère et si on peut jouer au con en se disant coloc au sein d'un couple.) Stocha (d) 29 janvier 2011 à 17:41 (CET) tiens ! je n'avais pas vu qu'une personne avait posé une question relativement proche juste au dessus
- rassure toi, je ne me suis absolument pas senti agressé gem (d) 31 janvier 2011 à 10:49 (CET)
Eau lourde (bis)
[modifier le code]Bonjour,
Suite à la question un peu plus haut, j'ai mis le nez dans Eau lourde et j'y ai vu le tableau comparatif de ses propriétés avec celles de l'eau normale. Et j'ai vu que l'eau lourde a un pH légèrement basique. J'ai pensé un peu, et je me suis dit que ce pourrait être parce que la forme des orbitales de l'eau lourde est différente de celles de l'eau normale. Cette cogitation est-elle intelligente ou est ce que je suis complétement dans les patates?. Merci. Dhatier jasons-z-en 28 janvier 2011 à 17:37 (CET)
- Pour la question j'sais pas, mais à ta place j'éviterais de mettre le nez dans l'eau lourde ! C'est pas bon pour la santé ! --Grelot-de-Bois (d) 28 janvier 2011 à 18:27 (CET)
- Ça me fait penser à la vieille dame bien pensante qui s'offusquait que l'industrie nucléaire utilise de l'eau de Lourdes Dhatier jasons-z-en 28 janvier 2011 à 18:34 (CET)
- C'est trop trapu pour moi, mais ma réaction instinctive (mes 2 balles, donc), c'est :
- Neutron ou pas, le champs électromagnétiques est kif-kif et l'électron ne voit pas la différence. Donc les orbitales de H ou de D sont exactement pareil.
- Ce qui change, par contre, c'est évidement la masse de l'ion D+ par rapport à l'ion H+ ; une possibilité : qu'à cause de cette masse plus grande, il faut plus d'énergie pour séparer un D+ d'un OD-, ce qui ferait de D2O un composé "moins acide" = "plus basique" au sens de Bronsted que H2O.
- ceci ne valant que 2 balles gem (d) 28 janvier 2011 à 19:04 (CET)
- Les réflexions de gem sur les orbitales et la masse sont justes. Pour comprendre pourquoi D se dissocie moins bien que H, on doit utiliser la théorie de l'oscillateur harmonique et la courbe de Morse. Comme la masse réduite de la liaison D–O et plus importante que celle de H–O, l'énergie est plus faible et le système descend au fond du puits de potentiel ; la longueur de la liaison diminue et il faut fournir une plus grande énergie pour dissocier D et O.
- Par contre, pour la question de la basicité, vous êtes tombés dans un piège. Le pH (potentiel hydrogène) n'existe pas dans l'eau lourde puisqu'il n'y a pas d'ions H+. Il y a des ions D+ à la place, ce qui change tout. On définit le pD (potentiel deutéron d'acide). Un peu de maths :
- H2O : produit ionique Ke = 1,0.10–14, [H+] = [HO– ] = 1,0.10–7, pH = 7,0
- D2O : produit ionique Ke = 1,35.10–15, [D+] = [DO– ] = 3,67.10–8, pD = 7,43
- Tu peux tremper ta main dans de l'eau lourde, elle ne sera pas abîmée. Comme le solvant change, l'échelle de pH change aussi. L'eau H2O est neutre à un pH de 7,0, tandis que l'eau lourde est neutre à un « pH » de 7,43 (puisque son maximum est en 14,87, contre 14,0 pour l'eau). Elle n'est donc pas basique.
- Le pH est un outil qui peut se révéler trompeur, surtout lorsqu'on change de solvant. Pour approfondir le sujet du pH, je vous recommande cette lecture : pH maximum et minimum sur Futura-Sciences. Tachymètre (me parler) 28 janvier 2011 à 21:38 (CET)
- Et si j'ai bien compris, le facteur 1,35.10–15 est spécifique à D2O, et chaque molécule a le sien? Dhatier jasons-z-en 28 janvier 2011 à 22:34 (CET)
- Ce facteur (ou produit ionique) correspond à une constante d'équilibre, qui est en effet propre à une molécule donnée, dans un solvant donné, à une température donnée. Puce Survitaminée (d) 29 janvier 2011 à 08:28 (CET)
- Et si j'ai bien compris, le facteur 1,35.10–15 est spécifique à D2O, et chaque molécule a le sien? Dhatier jasons-z-en 28 janvier 2011 à 22:34 (CET)
Merci pour vos réponses. Dhatier jasons-z-en 29 janvier 2011 à 13:24 (CET)
- Tout ceci est fort intéressant. Néanmoins, je me pose une question subsidiaire : le pH n'étant défini qu'en solution aqueuse, quel serait le pH d'une solution d'eau lourde dans l'eau légère ? (disons, à une concentration honnête, 0,1 mol/L). Ca se calcule ?
- Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 17:22 (CET)
- Ou, pour être plus précis, quel est le pKa de D2O ?
- Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 17:40 (CET)
- Le « pKa » de D2O est égal à son pKe, puisque l'activité de l'eau est égale à 1 (et rappelons que le pKa n'est définit que pour H+, il n'a pas de sens pour D+ selon Brönsted). Et si tu diluais un certain volume d'eau lourde dans de l'eau normale, tu obtiendrais le même pH que si tu y diluais le même volume d'acétonitrile ou de DMSO. De toutes façons, tu ne pourrais pas le mesurer expérimentalement : quand tu plonges un pH-mètre en verre dans de l'eau lourde, les ions D+ traversent la membrane de l'électrode et contaminent la solution tampon interne. Ton électrode devient inutilisable ! Tachymètre (me parler) 29 janvier 2011 à 17:54 (CET)
- Concernant l'impossibilité de la mesure, je suis d'accord, et c'est la raison pour laquelle j'ai posé la question du calcul. Par contre, je suis beaucoup moins d'accord avec le reste. Si Ke(D2O) est défini de la même manière que Ke(H2O), c'est la constante d'équilibre de la réaction de dissociation de D2O pur :
2 D2O ⇔ D3O+ + DO-.
Alors que le Ka est la constante de la réaction avec l'eau légère (solvant) :
D2O + H2O ⇔ D2OH+ + HO-.
Il n'y a pas de raison pour que ces deux constantes aient la même valeur.
Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 20:15 (CET)- Ah, je n'avais pas compris que tu cherchais le pKa du couple D2OH+/D2O. Dans ce cas, nous avons :
- À partir de là, j'imagine qu'on retrouve le pKa à partir des constantes thermodynamiques de H2O et D2O… Mais pour le calcul du pH, je ne sais pas répondre. Je me suis amusé en prenant D2O comme un couple acide/base D2OH+/DO– et en posant les équations pour la dissociation des amphotères, mais l'espèce D2OH+ me bloque dans le calcul de l'expression analytique du pH. (Je dois t'avouer que je suis plus organicien qu'analytique !) J'aimerais bien connaître la solution ; et si on allait taquiner les membres du projet:Chimie, qu'en dis-tu ? :) Tachymètre (me parler) 29 janvier 2011 à 21:25 (CET)
- Non, si on a le pKa, le problème devient simple. C'est celui du pH d'un acide faible dans l'eau. Et, comme le produit ionique de D2O est du même ordre de grandeur que celui de H2O (logique, considérant la proximité structurelle), on peut considérer D2O comme un acide très faible et appliquer des formules classiques :
pH = 1/2 (pKa + pc).
Bien qu'il soit probable que cette dernière ne fonctionne pas, car D2O est vraisemblablement trop faible pour qu'on néglige l'autoprotolyse de l'eau. Un petit calcul rapide montre que [H3O+] = h est solution de l'équation du second degré :(Ka -Ke)h2 + Kach - Ke (Ke + Ka) = 0,
avec c, concentration de l'eau lourde dans l'eau légère.
Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 22:07 (CET)- Nous avons trois équations, puisque l'eau est amphotère et que les H et les D se substituent :
- D2O + H2O = D2OH+ + HO– (1)
- D2O + H2O = DO– + H2OD+ (2)
- H2OD+ = DOH + H+ (3) puisque D2OH+ est identique à H2OD+ par symétrie
- Je doute que le raisonnement soit si simple. Tachymètre (me parler) 29 janvier 2011 à 22:22 (CET)
- Exact. Je n'avais pas pensé que D2O est aussi une base dans l'eau, faible également, et il faut donc tenir compte de l'équilibre (2). Mais la constante de celui-ci doit être reliée au Ke de D2O et au Ka. On peut donc la calculer. On dispose alors de trois constantes d'équilibre, pour les équilibres (1) et (2) et celui d'autoprotolyse de l'eau. En y ajoutant l'équation d'électroneutralité de la solution et celle de conservation de la matière concerant l'eau lourde, cela en fait cinq, pour cinq inconnues, les concentrations de D2OH+, HO–, DO–, H2OD+ et D2O. On peut donc déterminer h en résolvant une équation du troisième degré. C'est bourrin, mais faisable. Il est probable qu'on puisse légèrement simplifier les calculs, en tenant compte du fait que D2O est une base faible et un acide faible, en posant que[D2O] ≈ c.
Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 23:48 (CET)
- Exact. Je n'avais pas pensé que D2O est aussi une base dans l'eau, faible également, et il faut donc tenir compte de l'équilibre (2). Mais la constante de celui-ci doit être reliée au Ke de D2O et au Ka. On peut donc la calculer. On dispose alors de trois constantes d'équilibre, pour les équilibres (1) et (2) et celui d'autoprotolyse de l'eau. En y ajoutant l'équation d'électroneutralité de la solution et celle de conservation de la matière concerant l'eau lourde, cela en fait cinq, pour cinq inconnues, les concentrations de D2OH+, HO–, DO–, H2OD+ et D2O. On peut donc déterminer h en résolvant une équation du troisième degré. C'est bourrin, mais faisable. Il est probable qu'on puisse légèrement simplifier les calculs, en tenant compte du fait que D2O est une base faible et un acide faible, en posant que[D2O] ≈ c.
- Non, si on a le pKa, le problème devient simple. C'est celui du pH d'un acide faible dans l'eau. Et, comme le produit ionique de D2O est du même ordre de grandeur que celui de H2O (logique, considérant la proximité structurelle), on peut considérer D2O comme un acide très faible et appliquer des formules classiques :
- Concernant l'impossibilité de la mesure, je suis d'accord, et c'est la raison pour laquelle j'ai posé la question du calcul. Par contre, je suis beaucoup moins d'accord avec le reste. Si Ke(D2O) est défini de la même manière que Ke(H2O), c'est la constante d'équilibre de la réaction de dissociation de D2O pur :
- Le « pKa » de D2O est égal à son pKe, puisque l'activité de l'eau est égale à 1 (et rappelons que le pKa n'est définit que pour H+, il n'a pas de sens pour D+ selon Brönsted). Et si tu diluais un certain volume d'eau lourde dans de l'eau normale, tu obtiendrais le même pH que si tu y diluais le même volume d'acétonitrile ou de DMSO. De toutes façons, tu ne pourrais pas le mesurer expérimentalement : quand tu plonges un pH-mètre en verre dans de l'eau lourde, les ions D+ traversent la membrane de l'électrode et contaminent la solution tampon interne. Ton électrode devient inutilisable ! Tachymètre (me parler) 29 janvier 2011 à 17:54 (CET)
Quelle est la définition de désert humain ??
[modifier le code]Bonjour j'aurais voulue savoir quelle était la définition de désert humain . Je vous remercie par avance .
- Un dessin donne des idées. --Epsilon0 ε0 28 janvier 2011 à 18:37 (CET)
- Les idées donnent de la densité à l'humain, wikipédia préfère Densité de population. --Doalex (d) 28 janvier 2011 à 18:56 (CET)
- Désert humain : région peu peuplée ou de faible densité de population -Mikeread (d) 28 janvier 2011 à 18:58 (CET)
- Les idées donnent de la densité à l'humain, wikipédia préfère Densité de population. --Doalex (d) 28 janvier 2011 à 18:56 (CET)
prud'hommes et risques
[modifier le code]Bonjour
Je voudrais savoir si il y a des risques de devoir payer des "amendes" si je mets la société pour laquelle je travaille au prud'homems. Parce qu'elle est tellement bien introduite que c'est sur que je n'aurais pas gain de cause. et elle est tellement menteuse et roublarde que je m'attends à toutes sortes de représailles. est ce que si je perds l prdud'homme la société peut me mettre "à l'amende ?"
Merci
- Je ne met pas le bandeau {{juridique}} mais ceci n'est pas un avis, juste une discussion à partir de la question.
- Gagner ou perdre devant les prud'hommes a peu de rapport avec la puissance financière ou la réputation d'une entreprise, et je parle d'expérience, ayant gagné contre une mutinationale (excusez du peu, contre une filiale de NEC) pour licenciement abusif. Contrairement au droit civil, le droit du travail est assez simple, quoi qu'en prétendent certains, et il n'y a pas vraiment moyen de faire des arguties juridiques pour entourlouper les juges.
- En ce qui concerne la fin d'une affaire devant les prud'hommes, il n'y a pas d'histoires d'amendes ou autres peines, sinon que l'employeur, s'il perd, devra probablement verser ce que du en cas de licenciement sans motif, par contre le perdant est « condamné aux dépens », c'est-à-dire qu'il devra payer les frais engagés pour mener la procédure, frais de conseils (d'avocats) exceptés. Disons qu'il vaut mieux gagner que perdre son affaire, et pour les frais d'avocats, et bien, c'est dans ce genre de cas qu'on découvre que verser sa cotisation à un syndicat, ça n'est pas de l'argent perdu... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 janvier 2011 à 20:28 (CET)
- +1 Olivier, avec juste toutefois une remarque: pas
les juges, mais les conseillers prud'hommaux, employés et employeurs, qui ne sont pas des magistrats. Seul un magistrat professionnel (président du TGI je crois?) peut-être amené à trancher sur un litige en cas de désaccord (étant donné que les conseillers sont au nombre pair de 4). Cordialement, --Floflo (d) 29 janvier 2011 à 00:27 (CET)
- +1 Olivier, avec juste toutefois une remarque: pas
- restons basique : amende nous rappelle que : « Une amende est une sanction pénale prenant la forme d'une somme d'argent devant être payée à l'administration. ». Une amende c'est du droit pénal, et il n'y en a pas dans une procédure civile (ce qui inclus les litiges relatifs au travail). Sauf si vous présentez une demande trop à la con ou que vous vous comportez comme un taré, au point que le juge considère que vous vous foutez vraiment trop de la gueule du tribunal : là, oui, vous risquez une amende.
- Quant à savoir si la société peut exercer des représailles, oui, mais je pense que les risques ne dépendent pas vraiment de savoir si vous gagnez ou si si vous perdez, ou même, plutôt, ils sont plus grand si vous gagnez que si vous perdez.
- gem (d) 31 janvier 2011 à 11:07 (CET)
Eau qui bout
[modifier le code]Bonjour,
je me pose une question: d'où viennent les bulles de l'eau qui bout? Il me semblait que c'était l'oxygène dilué dans l'eau, mais si c'était aussi simple, au bout d'un moment, il n'y aurait plus de bulles, non?! Je suppose qu'il ne s'agit pas non plus de l'oxygène de la molécule H2O, sinon il y aurait de l'hydrogène résiduel…
Et puis je me demande: de l'oxygène dilué dans de l'eau, c'est quoi? Une nouvelle molécule? De l'oxygène sous forme liquide? Je ne comprends pas…
Merci
--LeBelot (d) Vive le bépo 28 janvier 2011 à 21:58 (CET)
- L'eau n'existe pas que sous forme liquide ; elle peut être solide, ou gazeuse, c'est la vapeur d'eau. À pression "normale", l'eau en dessous de zéro °C est solide, entre 0 et 100 °C elle est liquide, et au-dessus de 100 °C elle est gazeuse : les bulles sont de l'eau sous forme gazeuse. --MGuf (d) 28 janvier 2011 à 22:08 (CET)
- Voir aussi Catégorie:Forme de l'eau, Molécule d'eau... --MGuf (d) 28 janvier 2011 à 22:11 (CET)
- Et la dissolution de l'oxygène (composé apolaire) dans l'eau (solvant polaire) s'explique par les forces de Debye (interaction dipôle permanent-dipôle induit). Le dioxygène est polarisé par le champ électrique de H2O à la surface de l'eau, et abaisse son niveau d'énergie en se solubilisant. C'est pareil pour le diazote, mais comme celui-ci est moins polarisable, il se dissout en quantités moindres par rapport à l'oxygène. Par contre, pour le CO2, on forme une nouvelle molécule : H2CO3. Tachymètre (me parler) 28 janvier 2011 à 22:16 (CET)
- J'en doute fortement. Cela fait quelque décennies que l'acide carbonique est considéré comme n'existant pas. Pas plus que l'ammoniaque.
Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 17:16 (CET)
- J'en doute fortement. Cela fait quelque décennies que l'acide carbonique est considéré comme n'existant pas. Pas plus que l'ammoniaque.
- Et la dissolution de l'oxygène (composé apolaire) dans l'eau (solvant polaire) s'explique par les forces de Debye (interaction dipôle permanent-dipôle induit). Le dioxygène est polarisé par le champ électrique de H2O à la surface de l'eau, et abaisse son niveau d'énergie en se solubilisant. C'est pareil pour le diazote, mais comme celui-ci est moins polarisable, il se dissout en quantités moindres par rapport à l'oxygène. Par contre, pour le CO2, on forme une nouvelle molécule : H2CO3. Tachymètre (me parler) 28 janvier 2011 à 22:16 (CET)
- Merci beaucoup--LeBelot (d) Vive le bépo 28 janvier 2011 à 22:39 (CET)
- Tu mets à chauffer une casserole d'eau et tu observes : des bulles se forment au fond de la casserole, l’eau s’évapore de plus en plus vite en une fumée bleutée, puis blanche (ce sont d'abord les gaz dissous) puis se produit l'ébullition (çàd la vapeur d'eau). Salsero35 ✍ 29 janvier 2011 à 14:05 (CET)
- --CQui bla : 31 janvier 2011 à 18:33 (CET) Et pour se convaincre que c'est de l'eau, il suffit de recuperer le gaz, de le refroidire et de verifier... si tu as eu la bonne idee de faire fermenter des machins avec du sucre dedans avant et ne chauffe pas trop, tu aura une bonne surprise...
- Tu mets à chauffer une casserole d'eau et tu observes : des bulles se forment au fond de la casserole, l’eau s’évapore de plus en plus vite en une fumée bleutée, puis blanche (ce sont d'abord les gaz dissous) puis se produit l'ébullition (çàd la vapeur d'eau). Salsero35 ✍ 29 janvier 2011 à 14:05 (CET)
- Voir aussi Catégorie:Forme de l'eau, Molécule d'eau... --MGuf (d) 28 janvier 2011 à 22:11 (CET)
Écart minimal de température
[modifier le code]Salut à vous, les Pythies !
Étant amateur de science mais trouvant fort ennuyeuses les études pourtant nécessaires à atteindre un niveau Nobel, il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas et de questions que je me pose, dont inévitablement un certain nombre de questions stupides. La question que je me pose aujourd'hui, je l'espère, n'en fait pas partie ; la voici :
Les unités de Planck ont quelque chose d'incroyablement fabuleux métaphysiquement : elles s'appuient sur une justification absolue et non-arbitraire. Ainsi, certains, d'après l'article éponyme, vont jusqu'à les appeler "unités de Dieu" - et, que Dieu existe ou non, je trouve cela assez pertinent. Certaines, comme la longueur de Planck ou le temps de Planck, désignent même un écart si infime que chercher plus petit n'aurait aucun sens. En ce qui concerne la température, on remarque qu'il existe deux valeurs similaires : le zéro absolu et la température de Planck. A la différence de la longueur de Planck ou du temps de Planck, la température de Planck n'est pas un écart minimal, mais au contraire la valeur de température la plus élevée ayant un sens. Ainsi, le seul écart de température que semble définir Planck est non pas l'écart minimal, mais l'écart maximal : celui entre le zéro absolu et la température de Planck. Ces données ne suffisent donc pas à établir un système de mesure de température totalement non-arbitraire.
La question que je me pose est la suivante : est-il possible de définir, comme pour la distance et pour le temps, un écart minimal de température, qui permettrait à son tour d'établir un système de mesure entièrement non-arbitraire, basé sur le zéro absolu, la température de Planck, et le dit-écart ? Notons que le kelvin est arbitraire même s'il se base sur le zéro absolu : l'écart que constitue 1 kelvin est calculé en fonction du point triple de l'eau, ce qui est un choix anthropocentrique (et c'est justement ce que je cherche à éviter ici) : pourquoi l'eau, et pas le silice ou même, plus logiquement, un élément simple comme l'hydrogène ? La raison en est uniquement que c'est plus pratique ; or ma démarche présente est anti-positiviste - j'espère que vous ne m'en voudrez pas.
Un grand merci d'avance pour vos lumières ! --Grelot-de-Bois (d) 29 janvier 2011 à 04:18 (CET)
- Bah, le Kelvin n'est ni plus ni moins arbitraire que le kilomètre ou la seconde? Ou alors je n'ai pas compris la question. Arnaudus (d) 29 janvier 2011 à 23:23 (CET)
- Bon allez, bien que je sois nul pour les explications scientifiques en physique, du moins je vais tenter une supposition qui s'appuie sur les infos qu'on trouve un peu partout sur le zéro absolu et la température. Comme le dit l'article de Wikipédia, la température est (entre autres) une « fonction croissante du degré d'agitation thermique des particules ». En cliquant sur le lien de cette citation on apprend que « L'énergie thermique est l'énergie cinétique d'agitation microscopique d'un objet ». Dans cet article on apprend que « de par sa nature, étant le reflet d'une activité au niveau moléculaire, l'énergie thermique est profondément quantique », ce qui me semblait déjà évident : la température est un indicateur de l'activité des particules et le résultat de leur interaction, ça implique que toutes les limites quantiques de mesure de mouvement, d'énergie, de durée s'y appliquent. Conclusion : la plus petite unité de mesure de la température a un rapport direct avec la constante de Planck. Après ce débroussaillage, j'espère qu'une pythies versée en physique va t'expliquer ça beaucoup mieux, avec plein de jolies formules. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 01:58 (CET)
- Merci Olivier, ça m'éclaire déjà beaucoup !
- Et Arnaudus : oui, le kilomètre et la seconde sont tout aussi arbitraires que le kelvin. Mais la longueur de Planck et le temps de Planck peuvent servir d'unités non-arbitraires, indépendamment du mètre et de la seconde, or je ne connais pas de valeur similaire pour la température. --Grelot-de-Bois (d) 30 janvier 2011 à 02:33 (CET)
- En complément, sans y connaître grand chose donc, je remarque que la constante de Planck a une traduction en « joule-seconde », or il y a un rapport entre le joule et la calorie, qui de fait « est une unité d’énergie ». Si tu regardes le tableau en bas de cette article, on a bien une correspondance calories / joules, qui est variable en fonction des conditions de température et de pression. Je ne sais pas comment ça marche mais ça me semble une bonne piste pour chercher ta « plus petite unité de température ». -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 03:36 (CET)
- J'ai parcouru les articles et je n'ai pas bien saisi l'utilité de définir une échelle de température « naturelle ». Pour reprendre l'image donnée dans Unités de Planck, la force électromagnétique est ce qu'elle est (la mesure d'une interaction), et la température est ce qu'elle est (c'est aussi la mesure d'une interaction). La température d'un corps dépend de son énergie interne E, ainsi que de sa capacité calorifique, qui dépend de T, V et P. Il faudrait donc choisir un corps (tel que l'eau), à une pression donnée (telle que la pression atmosphérique), à un volume donné et à une énergie interne donnée. C'est un anthropocentrisme. La température minimale ne serait qu'une fonction de l'énergie minimale, ce qui apporterait peu d'intérêt (en plus, elle n'évolue pas linéairement avec l'énergie interne, cf. la capacité calorifique). Tachymètre (me parler) 30 janvier 2011 à 10:29 (CET)
- En complément, sans y connaître grand chose donc, je remarque que la constante de Planck a une traduction en « joule-seconde », or il y a un rapport entre le joule et la calorie, qui de fait « est une unité d’énergie ». Si tu regardes le tableau en bas de cette article, on a bien une correspondance calories / joules, qui est variable en fonction des conditions de température et de pression. Je ne sais pas comment ça marche mais ça me semble une bonne piste pour chercher ta « plus petite unité de température ». -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 03:36 (CET)
- Bon allez, bien que je sois nul pour les explications scientifiques en physique, du moins je vais tenter une supposition qui s'appuie sur les infos qu'on trouve un peu partout sur le zéro absolu et la température. Comme le dit l'article de Wikipédia, la température est (entre autres) une « fonction croissante du degré d'agitation thermique des particules ». En cliquant sur le lien de cette citation on apprend que « L'énergie thermique est l'énergie cinétique d'agitation microscopique d'un objet ». Dans cet article on apprend que « de par sa nature, étant le reflet d'une activité au niveau moléculaire, l'énergie thermique est profondément quantique », ce qui me semblait déjà évident : la température est un indicateur de l'activité des particules et le résultat de leur interaction, ça implique que toutes les limites quantiques de mesure de mouvement, d'énergie, de durée s'y appliquent. Conclusion : la plus petite unité de mesure de la température a un rapport direct avec la constante de Planck. Après ce débroussaillage, j'espère qu'une pythies versée en physique va t'expliquer ça beaucoup mieux, avec plein de jolies formules. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 01:58 (CET)
- Ça n’a rien à voir avec ta question, mais tu seras peut-être intéressé par les débats sur la définition objective d’une unité de masse : [5] pour prendre une news récente. rv1729 30 janvier 2011 à 15:35 (CET) PS: Il est bien question de la constante de Planck :)
- la réponse est en fait assez simple : la température est une échelle qui fonctionne "à l'envers". Si en prend par exemple le big bang, les petites échelles de temps et de longueur correspondent aux énormes températures, et au fur et à mesure que le temps s'écoule la température baisse. Si tu recherche un écart minimal en température, tu prend l'inverse (tu travailles en "1/T"), et c'est tout.
- gem (d) 31 janvier 2011 à 11:41 (CET)
Drapeau de sang
[modifier le code]Bonjour,
Dans un épisode de DOS : Division des opérations spéciales, il a été fait mention d'un drapeau de sang. Ce "drapeau" (je suis pas sur que la traduction soit très juste) permet à un prisonnier américain de se faire connaitre sa situation. Dans l'épisode, un phillipin est capturé en possession de ce drapeau (portant en autre un numéro d'identification du soldat prisonnier), ce qui permet au pentagone de savoir que ce homme des forces spéciales est prisonnier. A part le n° d'identification, il y avait le drapeau américain dans un coin et un texte que je n'ai pas eu le temps de lire. Question: est ce que cela existe vraiment dans la réalité et si oui qu'est est le vrai nom de ce morceau de tissu? Skiff (d) 29 janvier 2011 à 06:56 (CET)
- Avant même de faire la recherche, je peux te dire que ça existe vraiment, les scénaristes de séries télés à la gloire de l'armée US sont très précis et même, vétilleux pour tout ce qui concerne les breloques militaires. Par contre, pour la traduction française, je ne jurerai pas. Dans la liste détaillée des épisodes sur en:E-Ring on apprend que « McNulty discovers that a captured Navy Seal could be alive in the Philippines ». Je ne sais pas qui écrit ces résumés mais « captured Navy Seal could be alive » me semble une construction curieuse... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 janvier 2011 à 09:04 (CET) PS. Ah ben, j'ai fini par comprendre : on dit « Navy SEAL » comme on dirait « Croix de Guerre » en France, c'est-à-dire « [porteur de la] Navy SEAL » ==> en:List of Navy SEALs. Du coup, ça ne répond pas à ta question, puisque l'objet trouvé n'est probablement pas sa médaille... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.-
- Les Navy Seals ne sont pas des décorations, mais des commandos. On dit : un Navy Seal, comme on dit : un Marine.
Gratte-papier (d) 29 janvier 2011 à 17:11 (CET) - Quand on a trouvé le bout de la pelote, ça se dévide tout seul. sur cette page on a l'explication : « Blood Chit : Common term for the written notice, in several languages, carried by military personnel in combat that displays messages to encourage local civilians to help the service member in case they are in distress. Chit is English slang for a small document or note ». Bref, rien à voir avec un drapeau... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 janvier 2011 à 09:15 (CET)
- Merci, c'est exactement çà, en:Blood chit, reste plus qu'à trouver le nom français de cette chose pour que je fasse une traduction. Skiff (d) 29 janvier 2011 à 12:46 (CET)
- Je ne crois pas qu'on puisse trouver de traduction signifiante. La traduction littérale est « reçu sanguin » (reçu au sens de récépissé) et « blood » vient apparemment du fait que le « blood chit » original porte un « blood flag » ou « blood banner » (d'où peut-être le « drapeau de sang » de la version française). À voir si dans l'une ou l'autre armée au moins en partie francophone il existe un objet similaire qui aurait aussi un sobriquet ou un nom officiel, à ce moment tu peux faire une équivalence, mais je ne me rappelle pas avoir vu ça dans l'armée française (remarque, j'étais un simple appelé et ce genre de truc y est peut-être réservé aux engagés).
- M'est avis, si tu veux créer un article, que tu dois opter pour la solution choisie par WP-DE et WP-RU (qui, chose remarquable, a créé l'article avec un titre en caractères latins), adapter l'article de WP-EN, puisque factuellement ça cause d'un fait historique et culturel propre aux troupes britanniques et US, même si adopté par l'ONU au moins à une occasion. Du coup, tu gardes le même titre en expliquant le sens littéral de l'expression. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 janvier 2011 à 13:45 (CET)
- Tu as tout à fait raison, je créerai l'article sous le titre "blood chit" s'il n'y a pas de nom français. J'ai posé la question sur le bistro du projet aéronautique, pour toucher un plus grand nombre de contributeurs susceptible de m'aider. Merci encore pour m'avoir dénicher le nom anglophone. Skiff (d) 29 janvier 2011 à 18:08 (CET)
- Fait. Skiff (d) 6 février 2011 à 18:59 (CET)
- Tu as tout à fait raison, je créerai l'article sous le titre "blood chit" s'il n'y a pas de nom français. J'ai posé la question sur le bistro du projet aéronautique, pour toucher un plus grand nombre de contributeurs susceptible de m'aider. Merci encore pour m'avoir dénicher le nom anglophone. Skiff (d) 29 janvier 2011 à 18:08 (CET)
- Merci, c'est exactement çà, en:Blood chit, reste plus qu'à trouver le nom français de cette chose pour que je fasse une traduction. Skiff (d) 29 janvier 2011 à 12:46 (CET)
- Les Navy Seals ne sont pas des décorations, mais des commandos. On dit : un Navy Seal, comme on dit : un Marine.
Origine du prenom fèminin Ester
[modifier le code]BONJOUR A TOUS,
Avez-vous des informations concernant le prènom féminin ESTER.
MERCI de vôtre aide
- Bonjour, sur Esther (Bible) oui.--Doalex (d) 29 janvier 2011 à 11:42 (CET) Mais les variantes peuvent être Ester ou Estée.
- Par contre les esters sont plutôt masculins et communs. Et pour le prénom de cette graphie, le Wiktionnaire nous dit que Ester est un prénom finlandais ou slovène mais en toute hypothèse, c'est probablement une variante de Esther qui en outre se trouve ailleurs. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 janvier 2011 à 11:49 (CET)
inscription à des travaux de recherche opérationnels
[modifier le code]Monsieur,
J’ai l’honneur de venir très respectueusement solliciter un parrainage de deux recherches scientifiques ayant trait à des domaines de recherche différents :
- Le premier concerne le domaine de calcul : formules de calcul + des méthodes d’énumération des multiples de 9-6 et 3 de zéro à l’infini
435* 99 = d’après la méthode classique il nous faut du temps, de la concentration et la maitrise des tableaux de multiplication…………..etc
De simples formules peuvent nous éviter toutes ces opérations (une sorte de logiciel pour le cerveau humain, comme elles peuvent réduire le temps d’exécution pour les ordinateurs qui pour nous donner le résultat de l’opération précédente impose 99 additions, et permettent aussi de gagner de l’espace.
- Le deuxième travail : un calendrier perpétuel qui commence de moins l’infini jusqu’à l’infini
Ou l’année calendaire est égale à 365 jours 5heures 48 minutes et 45 secondes (365,2421875) qui représente le temps réel de l’année tropique.
- De ce qui précède je sollicite votre encadrement et vos orientations pour la mise en œuvre de ces travaux et faire en profiter toute l’humanité de ces résultats.
Je vous informe Monsieur que la première recherche à été en registrée a l’office national des droits d’auteur, quant à la deuxième elle ne l’est pas encore.
Je vous prie ,Monsieur, de croire à l’expression de mes sentiments respectueusement dévoués.
- Cher Monsieur,
- Nous ne sommes ni directeurs de recherches, ni entreprises finançant des travaux scientifiques, ni organismes parrainant des travaux :scientifiques. Nous élaborons une encyclopédie. Je vous invite à lire l'article Wikipédia. Cordialement. :Mikeread (d) 29 janvier 2011 à 13:31 (CET)
- Concernant votre 2e découverte : J'ai eu il y a quelques mois à travailler pour moderniser un très vieux programme d'ordinateur (qui devait dater des années 1980), et qui utilisait ce principe de l'année calendaire pour calculer des écarts de dates. Ça avait donc été découvert avant vous. Dhatier jasons-z-en 29 janvier 2011 à 13:52 (CET)
- Sinon, il y a aussi la possibilité de mettre les textes qui expliquent tout ça dans un projet frère, Wikibooks, mais ça ne me semble pas l'endroit le mieux adapté pour y diffuser ses idées. Je conseille plutôt un projet concurrent, quoi que pas adverse, de Wikipédia, le projet Knol. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 janvier 2011 à 13:53 (CET)
- Euh... les multiples de zéro jusqu'à l'infini? Dhatier jasons-z-en 29 janvier 2011 à 17:46 (CET)
- Sinon, il y a aussi la possibilité de mettre les textes qui expliquent tout ça dans un projet frère, Wikibooks, mais ça ne me semble pas l'endroit le mieux adapté pour y diffuser ses idées. Je conseille plutôt un projet concurrent, quoi que pas adverse, de Wikipédia, le projet Knol. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 janvier 2011 à 13:53 (CET)
- Concernant votre 2e découverte : J'ai eu il y a quelques mois à travailler pour moderniser un très vieux programme d'ordinateur (qui devait dater des années 1980), et qui utilisait ce principe de l'année calendaire pour calculer des écarts de dates. Ça avait donc été découvert avant vous. Dhatier jasons-z-en 29 janvier 2011 à 13:52 (CET)
Sculpture déchiffrement
[modifier le code]Bonsoir. Savez-vous à quoi correspond une sorte de vague (comme un accent circonflexe à l'angle adouci et aux côtés qui se terminent par une très légère remontée) qui peut surmonter soit deux consonnes (ex : surmontant le D et le M de ADM ou le C et le T de ELECT) soit une voyelle (le I et le L de PERILTRIS ou le A et le N de CANcus) ? Le texte gravé en creux est dans un cartouche gravé dans le marbre et surmonté d'un écusson en relief dont le style fait penser à une pierre gravée au XVIIe s. Désolée : pas de photo possible pour l'instant. Amitiés, --Égoïté (d) 29 janvier 2011 à 17:58 (CET)
- Il s'agit d'une pratique courante en Europe depuis le Moyen Âge : ajouter sous forme d'"accent" une lettre (ou même plusieurs d'un seul coup, de manière implicite) que l'on a malencontreusement oublié de graver. En l'occurrence, vu la forme du symbole, il me semble raisonnable de croire qu'il s'agit d'un N ou d'un S. Enfin, "ADNM", "ADSM", "ELECNT", "ELECST", "PERINLTRIS", "PERISLTRIS", "CANNcus" ou "CASNcus", ça paraît insensé... peut-être cet accent représente-t-il à chaque fois plusieurs lettres, dont un N ou un S ? Je ne suis pas latiniste, il m'est donc difficile d'en dire plus. --Grelot-de-Bois (d) 29 janvier 2011 à 18:56 (CET)
- Il me paraît improbable que ce soit des corrections d'erreur. Quand un graveur inscrit une sentence sur le marbre, il sait ce qu'il va mettre. Je ne suis pas non plus spécialiste, mais je pense que ces signes indiquent tout simplement qu'il y a dans le mot accentué une abréviation. L'artisan était-il payé au mot ? Mais les actes notariés du XIVe siècle (en latin) en sont truffés. Une ordonnance de Philippe le Bel les fit même interdire dans les actes juridiques, car elles prêtaient à confusion. Plus sûrement, il s'est, donc, établi, depuis des temps reculés, une habitude de "savants" et le latin est devenu peu à peu une langue ésotérique, où, avec un peu d'imagination, on y verrait le même principe que les hiéroglyphes : un langage entre initiés. J'ai une notice (je ne sais plus d'où je l'ai copiée) qui indique que, dans les secrétariats de chancellerie, les abréviations n'étaient même plus indiquées (secret oblige ?). Il est important que l'inscription soit située, car un texte liturgique aura ses propres abréviations. Par exemple : « cancus » peut signifier « canonicus »; etc. --Mistig (d) 29 janvier 2011 à 23:55 (CET)
- Je dis comme Mistig, peu probable que ce soit des corrections d'erreurs, très probablement ce sont des signes indiquant des abréviations conventionnelles, tenant compte des limites indiquées (système d'abréviations variable selon le type de texte). Si tu pouvais mettre une image en ligne, ça aiderait, c'est sûr. Pour l'instant, je continue de chercher... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 02:10 (CET)
- Il me paraît improbable que ce soit des corrections d'erreur. Quand un graveur inscrit une sentence sur le marbre, il sait ce qu'il va mettre. Je ne suis pas non plus spécialiste, mais je pense que ces signes indiquent tout simplement qu'il y a dans le mot accentué une abréviation. L'artisan était-il payé au mot ? Mais les actes notariés du XIVe siècle (en latin) en sont truffés. Une ordonnance de Philippe le Bel les fit même interdire dans les actes juridiques, car elles prêtaient à confusion. Plus sûrement, il s'est, donc, établi, depuis des temps reculés, une habitude de "savants" et le latin est devenu peu à peu une langue ésotérique, où, avec un peu d'imagination, on y verrait le même principe que les hiéroglyphes : un langage entre initiés. J'ai une notice (je ne sais plus d'où je l'ai copiée) qui indique que, dans les secrétariats de chancellerie, les abréviations n'étaient même plus indiquées (secret oblige ?). Il est important que l'inscription soit située, car un texte liturgique aura ses propres abréviations. Par exemple : « cancus » peut signifier « canonicus »; etc. --Mistig (d) 29 janvier 2011 à 23:55 (CET)
- En général, ce machin est un titulus (qui a donné le tilde espagnol) et c'est un signe abréviatif courant depuis l'Antiquité et le Moyen Âge sur des mots courants que tout le monde était censé connaître. Morburre (d) 30 janvier 2011 à 09:38 (CET) ADM : ANNO DOMINI. ELECT : ELECTUS (ELECTUM). PERILTRIS: PERILLUSTRIS. CANCUS : CANONICUS. Faudrait voir le texte entier. Morburre (d) 30 janvier 2011 à 11:45 (CET)
- Chapeau ! --Doalex (d) 30 janvier 2011 à 11:49 (CET)
- Bonjour. Voici l'image . Le texte est le suivant (les lettres de couleur verte sont celles surmontées du titulus - merci Morburre -, et en bleu celles en exposant soulignées par le signe, car je ne sais comment représenter ce signe ici) :
- ADM : R.AC.PERILTRIS.DNVS
- HENRICVS.DELANAYE.CANCVS
- LEOD : PRÆPOSITVS.S.CRUCIS
- SMI ELECT : COLON : CONSIL.
- STATUS.AC.CVRIÆ FEOD : LEOD : &&C
- Voici donc de quoi occuper votre dimanche ! Amitiés à tous, --Égoïté (d) 30 janvier 2011 à 12:16 (CET)
- Bon, ça va pas être immédiatement, mais déjà ça aide de savoir que ça cause de (et, je suppose, que c'est situé à) Lanaye (hasard ? C'est dans une commune peu éloignée d'Hermalle-sous-Huy...) et d'un certain Henri qui a lien à ce lieu. Au premier abord, je dirai que ça signale un mot conventionnellement abrégé, sans que le segment remplacé soit obligatoirement le même à chaque fois. On peut supposer que [DNVS] = DOMINUS et [CANCVS] = CANONICUS. Sans pouvoir le jurer, il n'est pas impossible que [LEOD] réfère à Léopold-Guillaume de Habsbourg, gouverneur des Pays-Bas espagnols au XVIIe siècle.
- Tout ça n'est pas marqué des sceaux de la vérité et de la certitude, bien sûr, mais ça t'aidera à trouver des pistes j'espère. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 14:07 (CET)
- (conflit, mais pas trop :) ADM, faute de nombre, n'est pas anno domini. C'est une inscription au R. (riche, rigolo, radin ?) et très illustre (mis dans la lumière) seigneur, Henri de Lanaye, chanoine (LEOD me pose problème mais sachant d'où vient la question : Saint-Léonard ?), chef (à la tête de) de Sainte Croix SMI sanctissimi ? très saint, élu-élection, colon, conseil, FEOD ? quelque chose comme feudataire ? de la curie, ET CETERA. Jeté en vrac, faut faire le tri. En gros, un Monsieur qui avait beaucoup de charges. À suivre. Morburre (d) 30 janvier 2011 à 14:11 (CET)
- Pour Léopold, ça ne collerait pas, un poil trop ancien si le chanoine en question est celui indiqué dans ce document : « LANAYE Henri (1664-1746), chanoine de Saint-Lambert, ministre de conférence de Jean-Théodore de Bavière ». -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 14:36 (CET)
- Brusque illumination ! LEOD doit valoir pour Liège, vu qu'il était chanoine de Saint-Lambert. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 14:59 (CET)
- Quitte à me répéter : vous êtes géniaux !Texte italique Reste à trouver : cette pierre proviendrait-elle d'un monument funéraire ? ou de ? (indice : la pierre a été sciée à l'arrière) Et à quoi correspondrait le "décor" ? --Égoïté (d) 30 janvier 2011 à 15:54 (CET)
- Bonjour. Voici l'image . Le texte est le suivant (les lettres de couleur verte sont celles surmontées du titulus - merci Morburre -, et en bleu celles en exposant soulignées par le signe, car je ne sais comment représenter ce signe ici) :
- Ce que c'est que ne pas penser aux choses élémentaires ! Jean-Théodore de Bavière a son article, où l'on apprend qu'il fut « prince-évêque de Liège de 1744 à 1763 ». Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, il y a un document qui se rapporte à lui, la jolie pièce ci-contre, avec l'inscription « EP ET PRIN LEO DVX BVL M F C L H » que le verseur de l'image a le bon goût d'expliciter : « episcopus et princeps Leodiensis dux Bulloniensis marchionis Franchimontis comes Losensis Hornensis » ce qui étaie l'hypothèse LEOD ==> Liège.
- Pour l'objet qui t'intéresse, à mon avis c'est plutôt une « plaque professionnelle » avec en haut les armes d'Henri et en bas un bref de son CV (juste les éléments importants, le reste étant résumé par le « etc. etc. » qui par le redoublement donne quand même idée qu'il y en aurait pas mal à suivre...). Mais bon, ça pourrait être un objet funéraire, sinon qu'on n'y voit pas les formules habituelles pour ce genre de trucs (« repose en paix » et compagnie). -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 16:40 (CET)
Bonjour, égoïté. Ce sont des signes d'abréviation, en général d'un mot comportant un "N" qui se retrouve suscrit en abrégé. C'est ce type d'abréviation qui a donné le tilde en espagnol. Cordialement, Biem (d) 30 janvier 2011 à 18:56 (CET)
- Mouarf, Mistig, Morburre, et Olivier, je suis jaloux ! Comment faites-vous pour avoir autant de connaissances dans tous les domaines ? :D
- Pour ce qui est du "décor" : il s'agit d'une figure héraldique (attention, jargon incoming !), des lambrequins faisant ici office de "support", ou plus précisément de "soutiens" en l'occurrence, car les supports représentent des animaux, et les "tenants" des êtres humains ; les soutiens, eux, représentent des végétaux et sont purement décoratifs. Ici il ne s'agit cependant pas réellement soutiens, mais de lambrequins, qui n'ont pas plus de signification. En revanche, le heaume que l'on voit au dessus du blason, auquel les lambrequins sont rattachés, sert à représenter le titre de noblesse du personnage. Ce titre dépend de l'orientation du heaume (face, trois-quarts, ou profil, de face étant la plus haute distinction) ainsi que du nombre de grilles qu'il porte. Je ne peux cependant pas donner plus de détails à ce sujet. En outre, il est possible que le heaume n'ait ici aucune signification, car le système des couronnes (avec ornements distinctifs) a également été utilisé pour représenter le titre de noblesse, de sorte que le heaume est parfois uniquement ornemental, même lorsque les couronnes sont absentes. Pour finir, on remarque que ce heaume porte un cimier qui, comme souvent, reproduit les éléments du blason. Je serais bien incapable de dire ce que représente cette figure bizarre, mais elle se retrouve effectivement en haut de l'image, toujours à titre ornemental, et accompagné d'ailes qui peuvent avoir une certaine symbolique mais sont probablement juste décoratives.
- Pour la petite histoire, les lambrequins sont des représentations du voile que les chevaliers mettaient sur leur heaume durant les tournois afin de se protéger du soleil. Avec les coups d'épées, ces voiles avaient tendance à se déchirer, ce qui inspira aux artistes les lambrequins et leurs amples arabesques. L'origine du cimier est aussi à retrouver dans les tournois : il s'agissait de petites figures en bois que les adversaires devaient toucher d'un habile coup de lance pour gagner. Elles représentaient souvent des personnages, des animaux, ou des formes plus ou moins abstraites, comme ici des ailes. (Cela dit, l'article wikipedia donne une origine différente aux cimiers ; pour les réclamations, adressez-vous à Pierre Joubert, car c'est de son Nouveau guide de l'héraldique que je tire mes informations ^^') --Grelot-de-Bois (d) 30 janvier 2011 à 22:12 (CET)
- Rectification : en regardant mieux l'image, je remarque que le heaume est bien couronné, et ce de manière fort reconnaissable. La couronne en question, ornée de perles, représente en général le titre de noblesse comte. --Grelot-de-Bois (d) 30 janvier 2011 à 22:20 (CET)
- Ça oui, la garniture… Mais le plat ? le meuble de l’écu ? J’ai cherché sans trouver, un plat, une patène, une planche à découper avec deux poignées, une pelote, & cetera ? Je cherche toujours. Morburre (d) 30 janvier 2011 à 22:54 (CET)
- À l'époque
les cardinaux portaient des galeri un peu comme ça voir aussi sur commons, un rapport ?--Doalex (d) 30 janvier 2011 à 23:20 (CET) - Henri Lanaye, 1664-1746, chanoine de Saint-Lambert, ministre de conférence de Jean-Théodore de Bavière (ce n'est pas la traduction, c'est une info). Morburre (d) 31 janvier 2011 à 10:37 (CET)
- Oui, oui avec tous ces chapeaux on s'y perd, j'enlève les miens en te saluant.--Doalex (d) 31 janvier 2011 à 11:44 (CET)
- À l'époque
- Ça oui, la garniture… Mais le plat ? le meuble de l’écu ? J’ai cherché sans trouver, un plat, une patène, une planche à découper avec deux poignées, une pelote, & cetera ? Je cherche toujours. Morburre (d) 30 janvier 2011 à 22:54 (CET)
- Rectification : en regardant mieux l'image, je remarque que le heaume est bien couronné, et ce de manière fort reconnaissable. La couronne en question, ornée de perles, représente en général le titre de noblesse comte. --Grelot-de-Bois (d) 30 janvier 2011 à 22:20 (CET)
- Pour la petite histoire, les lambrequins sont des représentations du voile que les chevaliers mettaient sur leur heaume durant les tournois afin de se protéger du soleil. Avec les coups d'épées, ces voiles avaient tendance à se déchirer, ce qui inspira aux artistes les lambrequins et leurs amples arabesques. L'origine du cimier est aussi à retrouver dans les tournois : il s'agissait de petites figures en bois que les adversaires devaient toucher d'un habile coup de lance pour gagner. Elles représentaient souvent des personnages, des animaux, ou des formes plus ou moins abstraites, comme ici des ailes. (Cela dit, l'article wikipedia donne une origine différente aux cimiers ; pour les réclamations, adressez-vous à Pierre Joubert, car c'est de son Nouveau guide de l'héraldique que je tire mes informations ^^') --Grelot-de-Bois (d) 30 janvier 2011 à 22:12 (CET)
- Et moi aussi je m’y pards, l’info n’était pas très fraîche, je viens de la voir ci-dessus. Manque de coordination, piteuse Pythie. Morburre (d) 31 janvier 2011 à 12:16 (CET)
Régime alimentaire idéal
[modifier le code]Bonjour à tous !
Avis aux diététiciens ou tous autres connaisseurs en biologie :
Soit un groupe d'individu assurant sa survie par ses propres moyens et son contact extérieur (non non ce n'est pas un devoir d'école).
Ce groupe aurait les techniques et connaissances requises pour la pratique d'une agriculture traditionnelle, et serait installé dans une zone climatique tempérée européenne (par exemple, le bassin parisien).
Quel serait précisément le régime alimentaire idéal (c'est-à-dire : équilibré en fonction des besoins physiologiques) pour ce groupe d'individus, étant entendu qu'ils n'ont pas accès aux produits exotiques ni même méditerranéens. À défaut d'apporter une réponse satisfaisante, quelle serait la meilleure méthode pour tenter d'établir ce régime idéal ?
- S’ils ont la persistance de la lactase, céréales, lait, un peu de viande et de fruits ; c’est pas idéal mais ça a marché pas trop mal pour un certain nombre de gens.
- et des pois/fèves, et des choux ; éventuellement une huile végétale (plutôt que du beurre) gem (d) 31 janvier 2011 à 12:21 (CET)
- Ceci dit, qu’appelles-tu « exotique » ? Les céréales cultivées en Europe viennent du proche orient, ainsi que les vaches, les chèvres... rv1729 29 janvier 2011 à 21:18 (CET)
- Par "exotique", je voulais dire "absent à l'état sauvage", mais il est vrai qu'un grand nombre d'espèces n'ont pas été domestiquées ici - je l'avais oublié. En fait, ce qui m'intéresserait surtout, ce serait de lister et quantifier les différents éléments du régime idéal, et écarter éventuellement ceux qui ne sont pas absolument nécessaires (désolé si je m'exprime mal)
- Ce qui est nécessaire pour être le plus en bonne santé : ne pas faire d'excès en mangeant en bonne quantité l'amidon (blé, riz, …) (180 g par jour pour 2000 kcal par jour), les glucides (90 g par jour), les lipides (70 g par jour) et les protèines (50 g par jour). Un peu de vitamine C en mangeant un peu de fruit, et voilà cela permet d'être en bonne santé. Voilà c'est simple d'avoir un régime alimentaire idéale (idéale = qui permet d'avoir une bonne santé). Après 2005, il est plus facile de faire moins d'excès alimentaire car maintenant la prévention est apparue dans la publicité (ne pas mangé trop gras, sucré et salé). Avec l'expérience on améliore notre santé au fil du temps par la prévention et par la médecine.Vi..Cult... dial. 30 janvier 2011 à 08:57 (CET)
- Par "exotique", je voulais dire "absent à l'état sauvage", mais il est vrai qu'un grand nombre d'espèces n'ont pas été domestiquées ici - je l'avais oublié. En fait, ce qui m'intéresserait surtout, ce serait de lister et quantifier les différents éléments du régime idéal, et écarter éventuellement ceux qui ne sont pas absolument nécessaires (désolé si je m'exprime mal)
- En fait il faudrait aussi préciser l’époque : par exemple le lapin existe à l’état sauvage mais a semble-t-il été introduit par l’homme au moyen-âge (en provenance de la péninsule ibérique). De manière générale ainsi que je l’ai déjà dit l’agriculture traditionnelle utilise beaucoup d’espèces « exotiques »... je n’ai pas compris si tu veux les exclure ou pas. D’autres sont européennes, par exemple la betterave qui est répandue sur le littoral, mais les espèces cultivés sont d’un phénotype récessif : elles sont bisannuelles au contraire de la betterave sauvage : au lieu de faire des fleurs la première année, elles font des grosses racines, des feuilles charnues ; l’espèce sauvage est moins intéressante ; à toi de voir si tu acceptes les variants qui ont été sélectionnés par l’agriculture au fil des siècles. Peut-être peux-tu faire des recherches sur l’histoire de l’alimentation. rv1729 30 janvier 2011 à 13:09 (CET)
- On peut aussi vivre en ne mangeant que des pommes de terre, voir cette expérience : 20 Potatoes a day. En pratique, sur le long terme, il faudrait compléter, car ce régime manquerait de matières grasses et de vitamines A et D, mais notre groupe d'agriculteurs pourrait avec l'excédent de tubercules (car c'est une culture très productive, supérieure aux céréales en matière sèche à l'hectare, sous le climat tempéré européen) nourrir des cochons et avoir de la charcuterie à profusion, et un petit élevage bovin procurerait les produits laitiers indispensables. C'est comme cela que les paysans irlandais ont survécu et prospéré (démographiquement parlant) au XIXe siècle. Et la pomme de terre n'est plus un produit exotique car les variétés intéressantes sont nées en Europe et n'ont plus rien à voir avec ce qui avait été ramené des Andes au XVIe siècle. Spedona (d) 30 janvier 2011 à 17:55 (CET)
- Fumer des feuilles de patate ? … d'accord, on peut ; boire
du jusde l'alcool de patate, admettons ! Mais comment on fait pour le café ? Parce que l'infusion de patate torréfiée, c'est pas terrible, c'est même franchement dégueulasse. Trouves vite une solution, le père LapyR est parti déterrer son vieux lebel. le sourcier [on cause ?] 30 janvier 2011 à 18:46 (CET)- La section 1.5 de Cuisine de la pomme de terre est à votre disposition pour le café et le fromage de pomme de terre... --Égoïté (d) 31 janvier 2011 à 07:50 (CET)
- Fumer des feuilles de patate ? … d'accord, on peut ; boire
- On peut aussi vivre en ne mangeant que des pommes de terre, voir cette expérience : 20 Potatoes a day. En pratique, sur le long terme, il faudrait compléter, car ce régime manquerait de matières grasses et de vitamines A et D, mais notre groupe d'agriculteurs pourrait avec l'excédent de tubercules (car c'est une culture très productive, supérieure aux céréales en matière sèche à l'hectare, sous le climat tempéré européen) nourrir des cochons et avoir de la charcuterie à profusion, et un petit élevage bovin procurerait les produits laitiers indispensables. C'est comme cela que les paysans irlandais ont survécu et prospéré (démographiquement parlant) au XIXe siècle. Et la pomme de terre n'est plus un produit exotique car les variétés intéressantes sont nées en Europe et n'ont plus rien à voir avec ce qui avait été ramené des Andes au XVIe siècle. Spedona (d) 30 janvier 2011 à 17:55 (CET)
- La question de l’exotisme ou non-exotisme de la patate, de la tomate, de la courgette, du maïs, du blé, etc, nous ramène à la question de l’époque. Notez toutefois que rien de tout cela n’existe à l’état sauvage en Europe, comme le demandait le questionneur. rv1729
- De nombreux diététiciens (nutritionniste) et on peut le lire sur de nombreux emballages : les besoins alimentaires d'un adulte pour 2000 kcal par jour sont : 180 g d'amidon par jour, 90 g de glucides, 70 g de lipides et 50 g de protéines. Excès = quantité absorbé trop faible ou trop importantes dans l'un des 4 familles importantes à l'apport d'énergie à l'homme (totale (390 g) amidon (46 %), glucides (23 %), lipides (18 %), protéines (13 %)). Je ne parle pas des excès : passer énormément de temps pour un repas (beaucoup de temps à produire (obtention matière) puis à cuisiner) car ça ne fait pas de mal pour la santé, et c'est bien ça occupe les gens qui aiment cuisiner et ceux qui en vivent (gain d'argent). Vi..Cult... dial. 31 janvier 2011 à 06:47 (CET)
- rappelons quand même que l'agriculture ce n'est pas que de la "nature" (plantes, terre, soleil...) et de la technique, c'est aussi de la sueur ( du travail au sens physique), du matériel (de la plus modeste fourche au tracteur en passant par quantité d'engin intermédiaire : motoculteur, presse, meule...), de la chimie (du traditionnel fumier + "bouillie bordelaise" au modernes engrais et pesticides), et des raisons de se faire chier pour produire ce qu'on pourrait simplement cueillir/chasser (i.e. un manque de quelque chose : d'abord un manque de nourriture, ensuite un manque d'eau ou de terre ou de bras ou n'importe quoi d'autre de ce genre) .
- S'il n'y a pas de contraintes, le régime idéal n'est pas à base agricole, mais à base chasse/cueillette (dont les "courses" en supermarché sont finalement la version moderne). Si il y en a, et bien ... ça dépend de la nature et de l'intensité de ces contraintes.
- Le régime "idéal" dépend, notamment, de ce que tu t'autorises en terme de machinisme, même en partant du principe que tu ne brules pas du pétrole mais du biocarburant autoproduit plutôt que de carburant industriel.
- mais, plus profondément encore, il dépend de ce que tu t'autorise comme importation quand même. Il te faudra du sel, par exemple. Les sociétés traditionnelles occidentales ne visaient nullement à l'autarcie complète, elles importaient des denrées (souvent : sel, vin, huile) et leur régime habituel en tenait compte. gem (d) 31 janvier 2011 à 12:21 (CET)
- --CQui bla : 31 janvier 2011 à 18:16 (CET) En renoncant aux « import », on ne retrouve pas pour autant les resources qui ont pu exister mais on disparues, sans parler du mamouth et autres...
- ça c'est bien clair ; si te limite, comme base de culture, à ce qu'on peut actuellement trouver à l'état sauvage au beau milieu du bassin parisien (i.e. : à Paris), tu vas peut-être avoir du mal à te faire un déjeuner ; inversement, si tu t'autorise à faire des import initiaux (des choses trouvées chez Vilmorin par exemple) tu auras un choix assez large ... gem (d) 31 janvier 2011 à 18:34 (CET)
- --CQui bla : 31 janvier 2011 à 18:16 (CET) En renoncant aux « import », on ne retrouve pas pour autant les resources qui ont pu exister mais on disparues, sans parler du mamouth et autres...
niveaux d'alerte
[modifier le code]bonjour cher Oracle,
qu'est ce que les "niveaux d'alerte" des armes nucléaires? à quoi cela correspond concrètement, en France, aux USA, en Russie, etc...? y-a-t-il un lien direct avec le DEFCON américain? et les niveaux d'alerte du plan vigipirate français? et le Système européen d’échange d’informations en cas d’urgence radiologique? --88.160.13.244 (d) 30 janvier 2011 à 09:50 (CET)
- Bonjour, aucun niveau n'est... (c'est quoi cette lueur là-bas...!), oui, je disais que
- En France il n'y a pas proprement de notion de « niveau d'alerte » en matière de défense, mais des règles de réaction adaptée en cas de menace grave sur une partie ou sur l'ensemble du territoire. L'article L1111-1 du Code de la défense énonce :
- « La stratégie de sécurité nationale a pour objet d'identifier l'ensemble des menaces et des risques susceptibles d'affecter la vie de la Nation, notamment en ce qui concerne la protection de la population, l'intégrité du territoire et la permanence des institutions de la République, et de déterminer les réponses que les pouvoirs publics doivent y apporter.
L'ensemble des politiques publiques concourt à la sécurité nationale.
La politique de défense a pour objet d'assurer l'intégrité du territoire et la protection de la population contre les agressions armées. Elle contribue à la lutte contre les autres menaces susceptibles de mettre en cause la sécurité nationale. Elle pourvoit au respect des alliances, des traités et des accords internationaux et participe, dans le cadre des traités européens en vigueur, à la politique européenne de sécurité et de défense commune ».
- « La stratégie de sécurité nationale a pour objet d'identifier l'ensemble des menaces et des risques susceptibles d'affecter la vie de la Nation, notamment en ce qui concerne la protection de la population, l'intégrité du territoire et la permanence des institutions de la République, et de déterminer les réponses que les pouvoirs publics doivent y apporter.
- Il n'y a donc pas de gradation dans l'alerte, mais une alternative : soit il n'y a pas menace, soit il y a menace. C'est dans la réponse à l'alerte qu'il y a gradation, en fonction de sa gravité et de la portion de territoire directement menacée. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 20:48 (CET)
- En France il n'y a pas proprement de notion de « niveau d'alerte » en matière de défense, mais des règles de réaction adaptée en cas de menace grave sur une partie ou sur l'ensemble du territoire. L'article L1111-1 du Code de la défense énonce :
- alors que signifie le fait que la France ait toujours voté contre une diminution des niveaux d'alerte à l'ONU, comme on peut le lire ici : L'Assemblée Générale de l'ONU a demandé à de nombreuses reprises la fin de cette alerte permanente. Mais la France a toujours voté contre une diminution des niveaux d'alerte, ?--88.160.13.244 (d) 31 janvier 2011 à 10:56 (CET)
- On peut lire aussi Liste des accidents nucléaires#Accidents dans le domaine militaire pour répondre partiellement ... Et Global Guardian. Il y a peu d'articles en apparence alors n'hésitez pas ! -Mikeread (d) 31 janvier 2011 à 11:01 (CET)
- Là il y a trois autres questions :
- le niveau d'alerte en cas d'accident majeur ou de catastrophe naturelle, qui concerne aussi les installations nucléaires (civiles ou militaires), en ce cas ça ne concerne pas à strictement parler les armes nucléaires, il s'agit des plans ORSEC « pour la gestion des catastrophes à moyens dépassés » et qui ont bien une gradation qui déterminera à quel niveau territorial et à quel niveau de mobilisation des moyens de secours telle catastrophe sera gérée ;
- Les conventions ou traités internationaux, ou les règles fixées par des organisations internationales, qui peuvent pour des circonstances de risques de conflits établir une gradation de laquelle découlera un type d'intervention des États participant à ces conventions, traités ou organisations ;
- La manière dont les médias rapportent un fait, qui n'a pas toujours la rigueur souhaitée.
- Sur le troisième point, tu peux voir qu'il y a une certaine confusion dans ce que raconte le journaliste, qui d'un côté informe que « les sous-marins de l’Île Longue sont actuellement en état d'alerte vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept », de l'autre dit que « la France a toujours voté contre une diminution des niveaux d'alerte ». Il y a donc une incohérence dans le discours en ce sens que si on est en « état d'alerte permanent » il n'y a pas de gradation et que même si la France changeait de pratique ça serait plutôt pour réduire la mobilisation des moyens que le « niveau d'alerte », par exemple en décidant que seule la moitié des sous-marins disponibles serait en état d'alerte à un instant donné, l'état d'alerte n'en restant pas moins permanent. Je présume que les rédacteurs du réseau sortir du nucléaire mélangent ici « état d'alerte », « niveau d'alerte » (dans le cadre de la politique de riposte graduée) qui permet de déterminer quand et avec quelle ampleur les moyens nucléaires de riposte seront déclenchés et « niveau des moyens disponibles » (c'est-à-dire, le niveau des stocks d'armes nucléaires et de bâtiments à propulsion nucléaire).
- Sur le deuxième point je n'ai pas de réponse, le texte donné en lien ne précisant pas quelles propositions, quelles décisions et quels traités seraient en lien avec l'affirmation selon laquelle « l'Assemblée Générale de l'ONU a demandé à de nombreuses reprises la fin de cette alerte permanente. Mais la France a toujours voté contre une diminution des niveaux d'alerte ».
- Selon moi, tout ça n'est donc qu'un manque de rigueur dans le propos des rédacteurs de ce texte et un manque de vigilance des journaux qui s'en font l'écho, qui cherchent moins la rigueur dans les arguments que le sensationnel dans les déclarations, soient-elles inexactes. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 31 janvier 2011 à 14:00 (CET)
- À sa sortie en France, j'ai vu le film La Bombe et selon moi rien n'a changé, - (attention POV) c'est plus facile de faire un documentaire catastrophe sur une nouvelle inondation de Paris, comme en 1910, avec sa panoplie de mesures préventives (fin de POV) - et peu, seront les personnes réellement au courant, le temps pour elles de se mettre à l'abri les autres se contenteront d'entendre les sirènes pour la dernière fois, en se disant, tiens c'est pas le bon jour ? --Doalex (d) 31 janvier 2011 à 14:40 (CET)
- Là il y a trois autres questions :
- On peut lire aussi Liste des accidents nucléaires#Accidents dans le domaine militaire pour répondre partiellement ... Et Global Guardian. Il y a peu d'articles en apparence alors n'hésitez pas ! -Mikeread (d) 31 janvier 2011 à 11:01 (CET)
Nombre de brossage de dent par jour différents
[modifier le code]J'ai vu chez le dentiste : se brosser les dents 2 fois par jour. Par contre souvent sur les sites internet on lit : 3 fois par jour soit à chaque repas.
Si on fait 4 repas dans la journée : est-ce mieux de se brosser 4 fois par jour au lieu de 3 ? (je pense que oui, mais j'ai un doute).
J'aimerais trouver des sites de statistique sur l'àge moyen d'apparition des caries sur les dents définitives et du nombre de caries en fonction de l'âge ?
Pourquoi s'est rare de lire qu'il faut se brosser la langue qui est un nid à bactérie ? Vi..Cult... dial. 30 janvier 2011 à 10:42 (CET)
- Il y a un peu de blanc mou (se retire facilement avec un pic en bois) sur certaines dents, je pense que c'est des bactéries. Est-ce que ce blanc mou est acide et participe à l'acidité de la bouche et donc des caries ? Vi..Cult... dial. 30 janvier 2011 à 10:58 (CET)
- Voir Hygiène bucco-dentaire.--Doalex (d) 30 janvier 2011 à 11:28 (CET)
- Une réponse toute simple : après chaque repas ! Quelle que soit l'heure et la fréquence des repas. (pour ma part j'évite Plax et autres bains de bouches - sauf si genvices douloureuses ou infections - vendus à tire-larigo en grandes surfaces et qui ne dispensent pas du tout du tout d'un brossage dents et gencives). À part ça j'utilise un dentifrice bio - -Mikeread (d) 30 janvier 2011 à 15:17 (CET)
PLI 2005 et 2008
[modifier le code]Copié de ma page de discussion car je ne possède ni le PLI de 2005 ni celui de 2008. Quelqu'un peut vérifier ? Merci déjà, --Égoïté (d) 30 janvier 2011 à 12:22 (CET)
- je trouve une incohérence dans l'article Portemine : dans l'introduction, il est dit que Larousse ne retient que cette orthographe depuis 2008, tandis que dans la section Ancienne orthographe il est question de l'édition 2005 du Petit Larousse. J'ai plusieurs PLI, mais mais pas toutes les éditions ! Cymbella (répondre) - 29 janvier 2011 à 20:33 (CET)
- Plus simple, plus rapide et moins cher que d'acheter tous les PLI de la décennie, l'historique de l'article et cette diff de 2006 qui affirme déjà la chose pour l'édition de 2005. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 13:12 (CET)
- Dans mon 2007, on a portemine sans tiret. Dhatier jasons-z-en 30 janvier 2011 à 14:03 (CET)
- Dans l'édition de 1997, également sans tiret. -- Doc103 (d) 30 janvier 2011 à 16:36 (CET)
- Édition 2008 sans tiret tout comme l'édition 2008 du Nouveau Petit Robert de la langue française qui précise cependant qu'« on a écrit aussi porte-mine - Des porte-mines ». Père Igor (d) 30 janvier 2011 à 17:05 (CET)
- D’abord et pour éviter toute ambiguïté je rappelle que les 3 dicos usuels à édition annuelle mentionnent sur leur couverture l’année qui précède celle de leur impression. Perso je m’efforce d’intégrer cette année figurant sur la couverture dans le titre en indiquant par exemple : Le Petit Larousse 2011, 2010 (ISBN 978-2-03-584088-2).
- Ce « Petit Larousse 2011, 2010, (ISBN 978-2-03-584088-2) » possède une entrée « PORTEMINE », entrée qui n’indique aucune variante ni même de pluriel : on en induit donc les formes un portemine et des portemines.
- Il n’est pas dit qu’une éventuelle évolution de la graphie de ce mot soit dû à une influence quelconque du Rapport de 1990, le Petit Larousse ayant évolué depuis 1990 indépendamment du Rapport qu’il a longtemps ignoré et même omis de mentionner.
- Cord. Alphabeta (d) 30 janvier 2011 à 19:57 (CET)
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- Post scriptum : Au passage je précise que je ne puis que regretter que Discussion catégorie:Graphie de 1990/Suppression ait abouti à la suppression de la catégorie:Graphie de 1990 : une telle catégorie permet seule aux partisans ainsi qu’aux adversaires de ces graphies de savoir exactement ce dont ils parlent... Alphabeta (d) 30 janvier 2011 à 20:12 (CET)
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- Et dommage que le Wiktionnaire ne mentionne le Petit Larousse ni à wikt:portemine ni à wikt:porte-mine... Alphabeta (d) 30 janvier 2011 à 20:30 (CET)
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- Ma belle-mère vient de me prêter son « Petit Larousse compact 2005, 2004, (ISBN 2-03-530505-5) (la 100e édition) » : j’y trouve déjà « PORTEMINE » sans trait d’union.... Alphabeta (d) 30 janvier 2011 à 21:00 (CET)
- Dans le PLI de 1959, tous les portequelquechoses s'écrivaient avec trait d'union à l'exception de portefaix,, portefeuille et portemanteau... Amclt, --Égoïté (d) 31 janvier 2011 à 07:46 (CET)
- Ma belle-mère vient de me prêter son « Petit Larousse compact 2005, 2004, (ISBN 2-03-530505-5) (la 100e édition) » : j’y trouve déjà « PORTEMINE » sans trait d’union.... Alphabeta (d) 30 janvier 2011 à 21:00 (CET)
- Édition 2008 sans tiret tout comme l'édition 2008 du Nouveau Petit Robert de la langue française qui précise cependant qu'« on a écrit aussi porte-mine - Des porte-mines ». Père Igor (d) 30 janvier 2011 à 17:05 (CET)
- Dans l'édition de 1997, également sans tiret. -- Doc103 (d) 30 janvier 2011 à 16:36 (CET)
- Dans mon 2007, on a portemine sans tiret. Dhatier jasons-z-en 30 janvier 2011 à 14:03 (CET)
- Plus simple, plus rapide et moins cher que d'acheter tous les PLI de la décennie, l'historique de l'article et cette diff de 2006 qui affirme déjà la chose pour l'édition de 2005. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 janvier 2011 à 13:12 (CET)
Et à ce qu’indique :
- Informations lexicographiques et étymologiques de « porte-mine » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
la graphie sans trait d’union n’a pas été introduite par le Rapport de 1990. Alphabeta (d) 31 janvier 2011 à 20:58 (CET)
némocorie
[modifier le code]Bonjour à vous, Dans le livre de Cloé KOrman, "les hommes couleurs" à la page 125 elle parle de "némocorie" qui désigne la capacité des Séquoia à disperser leurs graines par des sortes d'ailes au bout de plusieurs années. Je n'ai pas trouvé ce nom nulle part. Est-ce un terme inventé ou est-ce bien le terme pour désigner cette faculté à se reproduire pour cet arbre? Merci à celui, celle ou ceux qui me répondront. Georges
- Il s’agit d’anémochorie. rv1729 30 janvier 2011 à 22:12 (CET)
- … aaahhh !!! c'est fou ce que l'on peut faire avec un a et un h . — Hautbois [canqueter] 31 janvier 2011 à 06:09 (CET)
Italie et les pâtes alimentaires
[modifier le code]J'ai lu dans Wikipédia que c'est l'Italie le premier consommateur mondial de pâtes avec 28 kg par an (400 * 70 g). Est-ce que les Italiens consomment régulièrement des pâtes au petit déjeuné ? Vi..Cult... dial. 31 janvier 2011 à 07:29 (CET)
- Non. rv1729 31 janvier 2011 à 08:59 (CET)
- Non, mais à raison de 2 repas chauds par jour (soit 365 * 2 = 730) je ne vois aps où est le problème. (Mitch)2 31 janvier 2011 à 09:02 (CET)
- surtout que la consommation inclus les pertes et ce qu'on donne au chien à la fin du repas, ça leur en laisse à vue de nez 40 à 50 g par jour dans l'estomac : rien de bien monstrueux ; en France nous mangeons bien plus de pain par exemple ( http://www.embalcommunication.com/blog/36/derniers_chiffres_sur_la_consommation_du_pain_en_france ) gem (d) 31 janvier 2011 à 12:31 (CET)
- Non, mais à raison de 2 repas chauds par jour (soit 365 * 2 = 730) je ne vois aps où est le problème. (Mitch)2 31 janvier 2011 à 09:02 (CET)
<conf> Ça c'est une drôle de question. J'ai vu sur la PU d'un contributeur une boite utilisateur du genre "Je ne comprends pas que l'on puisse aimer la poutine". Mais je soutiens que le type qui se lève à l'aube pour aller relever les seaux contenant le sirop d'érable (j'en ai portés, ils sont lourds) ou tout autre travail physique, se fabrique un petit-déj consistant (en l'occurence au Québec haricots et jambon fumé + café bouilli). De même en France et autres pays dont l'Italie ... Donc je vois très bien des pâtes ou de la polenta (Que tu devrais essayer Vi.. c'est facile à faire !) quelquefois, au petit déjeuner, mais ça ne doit pas être la règle. Pour être allé en Italie, il y a à peine deux semaines : les Italiens sont comme nous, ils aiment beaucoup les viennoiseries (Cornetti et autres) au petit-déjeuner, mais des pâtes non, (Personnellement l'idée me fait frémir ...) -Mikeread (d) 31 janvier 2011 à 09:03 (CET)
- Vi..Cult..., avec beaucoup de gentillesse, je voudrais vous demander s'il vous plait de cesser de nous parler de pâtes, ici, sur l'oracle. La cantine me semble plus adaptée à vos questions si spécifiques, et même à créer un projet:pâtes alimentaires pour regrouper les passionnés. Sois dit sans méchanceté, mais avec une certaine indigestion quand même. Bertrouf 31 janvier 2011 à 09:19 (CET)_ +1 (les Pythies en pâtissent)--Doalex (d) 31 janvier 2011 à 10:16 (CET)
(conflit d'édit)
- Puis il y a autre chose : les fameux 70g de pâtes par convive, ça ne vaut que dans le cadre d'un repas bourgeois avec entrée, plat de résistance avec une viande ou un poisson accompagné de légumes et/ou de féculents ou de céréales, fromage, dessert et parfois d'un entremet ; dans un repas à plat unique, au mieux accompagné d'un dessert, où les pâtes ne sont pas accompagnées d'une viande ou d'un poisson, vaut mieux doubler ou tripler la dose. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 31 janvier 2011 à 09:23 (CET)
- En Italie, les pâtes ne sont jamais accompagnées d’une viande ou d’un poisson. Par contre il peut y avoir de la viande ou du poisson dans la sauce (penne al ragu, al sugo di coniglio, etc). rv1729 31 janvier 2011 à 09:43 (CET)