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Pathé Cinémas

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Pathé Cinémas
logo de Pathé Cinémas
illustration de Pathé Cinémas

Ancien nom EuroPalaces (2001–2010)
Les Cinémas Gaumont Pathé (2010–2018)
Les Cinémas Pathé Gaumont (2018–2022)
Création (EuroPalaces)
Fondateurs Gaumont et PathéVoir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique Société par actions simplifiée unipersonnelle
Siège social Paris
Drapeau de la France France
Direction Aurélien Bosc
Actionnaires PathéVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité Exploitation cinématographique
Société mère Pathé
Filiales Pathé CinéCartes
Pathé CinéPass
Pathé Cinémas Développement
Pathé Cinémas Fidélité
Pathé Cinémas France
Pathé Cinémas Programmation
Pathé Cinémas Services
Pathé Home
SIREN 392962304Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.pathe.fr

Chiffre d'affaires en augmentation 735,2 K€ (2022)
404,3 K€ (2021)
Résultat net en stagnation 14,6 K€ (2022)
14,6 K€ (2021)

Pathé Cinémas (anciennement EuroPalaces, Les Cinémas Gaumont Pathé!, puis Les Cinémas Pathé Gaumont) est la filiale du groupe Pathé spécialisée dans l'exploitation cinématographique.

Premier réseau de cinémas en France métropolitaine et aux Pays-Bas, le groupe est également implanté en Belgique, en Suisse et en Afrique francophone (Tunisie, Sénégal, Maroc, Côte d'Ivoire). Pathé Cinémas est le quatrième circuit de salles en Europe, avec 1280 écrans et 125 cinémas sur le continent[1].

Origine des cinémas Pathé

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Profitant de la loi sur le repos dominical votée quelques mois plus tôt, Pathé Frères ouvre son premier cinéma le afin d'élarger son public de fêtes foraines aux cols blancs et aux bourgeois[2]. Le Cinématographe Pathé (renommé par la suite Omnia-Pathé) voit le jour 5, boulevard Montmartre dans le 2e arrondissement de Paris, à côté du théâtre des Variétés. Au fil des mois se multiplient les enseignes Omnia et Pathé dans toute la France et à l'étranger. Néanmoins, fonctionnant sur un modèle de franchises, le groupe n'est pas propriétaire d'un véritable circuit[3].

En février 1929, Bernard Natan prend le contrôle de Pathé Cinéma. Le groupe se lance alors dans l'acquisition d'un réseau de salles. En un an, Pathé parvient à prendre le contrôle de 56 cinémas : le Louxor, le Max Linder, le Palais Montparnasse, etc. Le groupe fait également construire deux cinémas sur les Champs-Élysées, le Marignan et l'Ermitage[4]. Dans le but de financer l'expansion de la société, le conseil de direction (qui comprend toujours Charles Pathé) vote en 1930 la vente de 105 millions de francs d'actions. Mais avec la crise économique des années 1930, l'augmentation de capital n'est souscrite qu'à 50 %. L'une des banques qui avait investi fait faillite et la société Pathé est forcée de continuer à acheter et équiper des salles de cinéma, sans en avoir financièrement les moyens. Elle finit par perdre plus d'argent qu'elle n'en gagne. En 1936 Pathé tombe en faillite en 1936[5],[6],[7],[8]. Bernard Natan est attaqué sans répit par la presse française qui critique sa façon de diriger son groupe. Plusieurs de ces attaques sont d'ordre antisémite[9]. L'activité de la Société se poursuit. Une nouvelle société baptisée « Société nouvelle Pathé Cinéma » est créée qui récupérera les actifs. Le groupe est sauvé en 1943.

Recentage de la société nouvelle

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Dans les années 1950, le circuit des salles Pathé se concentre sur Paris et sa périphérie (16 cinémas), tandis que les salles en province sont encore peu nombreuses (Lille, Lyon, Nancy, Grenoble et Marseille). Afin de compenser le déficit de sa branche production, Pathé Cinéma vend de nombreuses petites salles de quartier durant la décennie suivante[10].

En 1968, le circuit Pathé est réduit à 16 salles dans toute la France. À Paris, le Marignan-Pathé devient le premier cinéma multisalles du circuit au mois d'octobre 1968. Il sera rapidement suivi par le Pathé Wepler et le Pathé Palace de Lyon[11]. Une politique de morcellement et de rénovation poursuivie tout au long des années 1970.

Premiers rapprochements avec Gaumont

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Après des premiers accords de programmation en 1966, Gaumont et Pathé annoncent la création d'un groupement d'intérêt économique en mars 1970. Le GIE Gaumont Pathé programme 250 salles (dont un réseau de cinémas associés) dès 1972. Pathé possède alors 27 salles : treize à Paris, six en province, sept à Bruxelles et le Paris Theatre à New York[10].

Programmant plus de 700 écrans à son apogée, le GIE Gaumont Pathé est dissout en à la suite des nouvelles lois anticoncentration voulues par le ministre de la Culture, Jack Lang. Pour compenser sa disparition, Pathé fonde en avril un nouveau groupement d'intérêt économique, Pathé Edeline & Indépendants. En 1986, Pathé programme alors le plus grand nombre de salles de cinéma en France[12]. Néanmoins, le départ de son directeur Pierre Edeline chez UGC fait éclater le GIE en mai 1988.

En , Pathé Cinéma est repris par le groupe Chargeurs, sous la direction de Jérôme Seydoux (frère de Nicolas Seydoux, président-directeur général de Gaumont). Pathé et Gaumont concluent un accord en pour se renforcer chacun sur certaines villes. Pathé cède 31 salles à Gaumont, soit cinq cinémas à Paris (le Hautefeuille, l'Impérial, le Français, le Marignan et le Montparnasse) et un à Toulouse, tandis que Gaumont cède 35 écrans à Pathé (ses salles à Caen, Grenoble, Nice et Toulon ainsi que sa participation dans des cinémas d'Aix-en-Provence)[13].

Pathé ouvre le premier multiplexe français en , le Pathé Grand Ciel à Toulon[14]. Le développement du circuit se poursuit ainsi tout au long des années 1990 avec l'ouverture de nouveaux cinémas et la modernisation des salles existantes. Pathé s'implante également aux Pays-Bas en 1995 avec l'aide de Warner Bros. et Morgan Creek, puis en faisant l'acquisition du réseau de salles de la MGM[15].

Création d'EuroPalaces

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Face au lancement de la carte illimitée du circuit UGC et la fusion d'Universal avec Vivendi (actionnaire à 34 % d'UGC), Pathé et Gaumont ripostent le en annonçant la fusion de leur parc de salles au sein d'une nouvelle entité, EuroPalaces.

Approuvée par les assemblées générales le , la société est détenue à 66 % par Pathé et 34 % par Gaumont malgré un apport de 362 salles Gaumont et 232 salles Pathé (ainsi qu'une centaine d'autres en programmation simple). Cette répartition capitalistique s'explique par les valorisations respectives des deux entités, Pathé s'étant engagé à racheter les dettes de Gaumont[16].

À partir de 2001, Pathé s'ouvre à de nouveaux territoires avec la construction de multiplexes en Italie (circuit finalement cédé en 2010) et en Suisse[17].

En , les salles Pathé rejoignent la carte illimitée Le Pass, lancée par Gaumont et MK2 en [18]. D'abord commercialisée en Île-de-France, elle s'ouvre à l'ensemble du territoire national en lorsque le circuit MK2, en désaccord avec Pathé, quitte l'alliance et rejoint l'abonnement concurrent, UGC Illimité[19].

Expansion du circuit

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Dès la création d'EuroPalaces, Pathé se lance dans l'acquisition de multiples cinémas : ceux de Village Roadshow en France et en Suisse en 2001, les salles Europlex en Suisse en 2006, le circuit Rytmann (Bretagne, Miramar, Les Montparnos, Bienvenüe-Montparnasse et Mistral) ou encore le réseau Minerva aux Pays-Bas en 2010[17].

En , EuroPalaces devient Les Cinémas Gaumont Pathé et lance quelques mois plus tard le billet électronique[20]. Pathé continue d'ouvrir de nouveaux multiplexes et se réimplante en Belgique avec le rachat du circuit Cinépointcom en puis Euroscoop en [21].

En 2016, Les Cinémas Gaumont Pathé reprennent l'activité exploitation d'EuropaCorp à Tremblay-en-France et Marseille, puis font l'acquisition du circuit français CinéAlpes en [22],[23].

Pathé rachète finalement les parts de Gaumont dans Les Cinémas Gaumont Pathé en , qui devient Les Cinémas Pathé Gaumont l'année suivante. Les salles Gaumont adoptent progressivement l'enseigne Pathé à partir de et le groupe est renommé Pathé Cinémas en [24].

Pathé Cinémas s'implante également en Afrique dès 2018 avec des multiplexes en Tunisie, au Sénégal, au Maroc et prochainement en Côte d'Ivoire[25]. Début 2024, le circuit lancera Pathé Home, une plateforme de vidéo à la demande à l'acte (location et achat) destinée au public français, sur le modèle de sa plateforme néerlandaise Pathé Thuis lancée en 2011[26].

Identité visuelle

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Implantations

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Pathé Cinémas prévoit également de multiples ouvertures :

Équipements de projection

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Pour endiguer la baisse de la fréquentation cinématographique, Pathé a misé sur la modernisation de son parc de salles et la création de multiplexes dès 1993. Cela passe par l'implantation de nouvelles technologies, l'amélioration du confort et de la qualité de projection. En , EuroPalaces (géré par Pathé) ouvre sa première salle IMAX au Gaumont Disney Village[28].

À l'occasion de la sortie du film Le Hobbit : Un voyage inattendu en , Pathé inaugure une salle premium (dite Pathé+) au Pathé Wepler, proposant pour la première fois une projection en HFR avec un son Dolby Atmos. En raison du surcoût exigé aux spectateurs, la salle ne rencontre pas son public et Pathé met fin à l'expérience en [29].

En 2017, Les Cinémas Gaumont Pathé s'équipent de salles Dolby Cinema[30]. L'année suivante, le groupe annonce l'arrivée des technologies immersives ScreenX (générant une image sur les murs gauche et droite de la salle) et 4DX (vibrations des fauteuils, jeux de lumière…), tous deux développés par le circuit sud-coréen CJ CGV[31]. Pathé inaugure également des espaces de réalité virtuelle dans ses salles dès 2018[32].

En 2019, le cinéma Pathé Beaugrenelle dans le 15e arrondissement de Paris est le premier à expérimenter une salle avec la technologie Onyx Cinema LED, développée par Samsung, où le film est diffusé à même l'écran (comme une télévision) et non projeté depuis une cabine de projection[33].

Malgré l'échec du Pathé Wepler dix ans plus tôt, Pathé inaugure un cinéma 100 % premium en avec la réouverture du Pathé Parnasse. Entièrement renové, le nombre de fauteuils y est considérablement réduit pour améliorer le confort des spectateurs. Le tarif normal d'une séance passe alors de 13,70 euros à 18,50 euros, puis à 19,90 euros un an plus tard[34],[35].

Données financières

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En 2022, les salles de cinéma représentaient 85 % du chiffre d'affaires du groupe Pathé[26].

Année Nombre de cinémas Nombre d’écrans Entrées (Millions) Pays
2022 132 1 325 49 Drapeau de la France France, Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas, Drapeau de la Belgique Belgique, Drapeau de la Suisse Suisse, Drapeau de la Tunisie Tunisie, Drapeau du Sénégal Sénégal
2021 131 1 310 - Drapeau de la France France, Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas, Drapeau de la Belgique Belgique, Drapeau de la Suisse Suisse, Drapeau de la Tunisie Tunisie
2020 - - -
2019 133 1 339 68
2018 108 1 117 63,4
2017 111 1 091 66,2 Drapeau de la France France, Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas, Drapeau de la Belgique Belgique, Drapeau de la Suisse Suisse
2016 109 1 080 66,8 Drapeau de la France France, Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas, Drapeau de la Suisse Suisse
2015 110 1 051 64,5
2014 101 995 65,7
2013 105 1 008 64,1
2012 104 983 66,8
2011 104 969 69,7
2010 105 967 67,7 Drapeau de la France France, Drapeau de l'Italie Italie, Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas, Drapeau de la Suisse Suisse
2009 92 910 60,8
2008 89 859 54,3
2007 86 834 49,4
2006 83 799 49,1
2005 74 742 46
2004 75 730 51,2
2003 76 736 47,8
2002 86 785 49,4
2001 86 742 48,8

Notes et références

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  1. « Les “Giants of Exhibition” Europe 2023 », Boxoffice Pro,‎ (lire en ligne).
  2. Henri Bousquet, « L'âge d'or », dans Jacques Kermabon (dir.), Pathé : Premier empire du cinéma, Paris, Éditions du Centre Pompidou, (ISBN 2-85850-793-7), p. 61.
  3. Bertrand Morane, « Des foires aux palaces », dans Jacques Kermabon (dir.), Pathé : Premier empire du cinéma, Paris, Éditions du Centre Pompidou, (ISBN 2-85850-793-7), p. 126.
  4. Marc-Antoine Robert, « La naissance d'un grand circuit », dans Jacques Kermabon (dir.), Pathé : Premier empire du cinéma, Paris, Éditions du Centre Pompidou, (ISBN 2-85850-793-7), p. 280-281.
  5. Gilles Willems, « Les Origines du groupe Pathé-Natan et le modèle américain », Vingtième Siècle, no 46,‎ .
  6. (en) Richard Abel, The Red Rooster Scare : Making Cinema American, 1900-1910, Berkeley, University of California Press, , 301 p. (ISBN 0-520-21478-1, lire en ligne)
  7. (en) Richard Abel, French Cinema : The First Wave 1915-1929, Princeton University Press, , 672 p. (ISBN 0-691-00813-2).
  8. Sabine Delanglade, « Bernard Natan, la réhabilitation d'une légende oubliée du cinéma français », sur LesEchos.fr, (consulté le )
  9. « Bernard Natan, figure du cinéma d’avant-guerre », sur cnc.fr, (consulté le )
  10. a et b Aurélie Chateau, « Les salles », dans Jacques Kermabon (dir.), Pathé : Premier empire du cinéma, Paris, Éditions du Centre Pompidou, (ISBN 2-85850-793-7), p. 336-341.
  11. « Deux nouvelles salles jumelées à Paris », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  12. Joëlle Farchy, « Le réveil de la Belle au Bois Dormant », dans Jacques Kermabon (dir.), Pathé : Premier empire du cinéma, Paris, Éditions du Centre Pompidou, (ISBN 2-85850-793-7), p. 350.
  13. Nicole Vulser, « Pathé et Gaumont se répartissent leurs salles », Les Échos,‎ , p. 35 (lire en ligne).
  14. Anne-Dominique Bouzet, « Les multiplexes à pas de géants. Ils sont 35 en France, dopant la fréquentation et laminant la concurrence. », Libération,‎ , p. 25-26 (lire en ligne).
  15. Pierre de Gasquet et Valérie Leboucq, « Jérôme Seydoux : “Chargeurs prêt à étudier le rachat des salles de MGM” », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  16. Paule Gonzalès, « EuroPalaces, une offre européenne », Le Figaro, no 17.526,‎ , p. 13.
  17. a et b « Histoire de Pathé », sur Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, (consulté le ).
  18. « Agrément des cartes cinéma », Libération,‎ , p. 34.
  19. Raphaëlle Raux-Moreau, « MK2 et Le Pass : c'est fini ! », AlloCiné,‎ (lire en ligne).
  20. Lucas Bretonnier, « Le ciné adopte le billet électronique », Le Parisien,‎ , p. 75 (lire en ligne).
  21. Jean-François Sacré, « Pathé reprend des complexes de cinéma namurois et néo-louvanistes », L'Écho,‎ (lire en ligne).
  22. Jamal Henni, « Luc Besson vend ses salles de cinéma », BFM Business,‎ (lire en ligne)
  23. Cécile Desclaux, « Pathé Gaumont officialise le rachat de CinéAlpes », Boxoffice Pro,‎ (lire en ligne).
  24. Tanguy Colon, « Les Cinémas Pathé Gaumont changent de nom », Boxoffice Pro,‎ (lire en ligne).
  25. a et b Kevin Bertrand, « Pathé Cinémas s'installe au Maroc », Le Film français, no 4106,‎ (lire en ligne).
  26. a et b François-Pier Pélinard-Lambert et Vincent Le Leurch, « Rencontre : Anne-Laure Julienne-Camus, directrice générale de Pathé », Le Film français, no 4104,‎ , p. 12-13.
  27. Léna Lutaud, « Pourquoi deux cinémas mythiques de la capitale ferment leurs portes », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  28. Laure Parny, « Gaumont s'offre le plus grand écran de France », Le Parisien,‎ , p. 34 (lire en ligne).
  29. Alexandre Boussageon, « Le Pathé Wepler renonce aux places Premium », Le Nouvel Obs,‎ (lire en ligne).
  30. Iris Mazzacurati, « Les cinémas Gaumont Pathé s'équipent du format Dolby Cinéma », Le Film français,‎ (lire en ligne).
  31. Kevin Bertrand, « Les Cinémas Pathé Gaumont lancent ScreenX en France », Le Film français, no 3813,‎ (lire en ligne).
  32. Kevin Bertrand, « La VR débarque chez Les Cinémas Pathé Gaumont », Le Film français,‎ (lire en ligne).
  33. Michel Bezbakh, « On a testé l’Onyx LED, le nouvel écran de cinéma sans projecteur », Télérama,‎ (lire en ligne).
  34. Camille Ducrocq, « Places à 18,50 euros, fauteuils inclinables… Pathé ouvre le premier cinéma "premium" de Paris », Actu Paris,‎ (lire en ligne).
  35. « Au fil des (e)X (tweets) : 9h, trilogie, Bombay, natif, anniversaire, cauchemars, de Gaulle… », Satellifacts,‎ (lire en ligne).

Bibliographie

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  • Jacques Kermabon (dir.), Pathé, premier empire du cinéma, Éditions du Centre Pompidou, Paris, 1994.
  • Yoana Pavlova, « Gaumont et Pathé » in Jean-Michel Frodon, Dina Iordanova (dir.), Cinémas de Paris, 165-170, CNRS Éditions, Paris, 2017. Lien

Articles connexes

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Liens externes

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