[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Pœuilly

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pœuilly
Pœuilly
La mairie
Blason de Pœuilly
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Arnaud Voiret
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80629
Démographie
Population
municipale
105 hab. (2021 en évolution de −14,63 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 52′ 56″ nord, 3° 06′ 23″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 104 m
Superficie 6,22 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pœuilly
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pœuilly
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Pœuilly
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Pœuilly

Pœuilly est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Pœuilly est un village rural picard du Vermandois limitrophe du département de l'Aisne, desservi par l'ex-RN 29, (actuelle RD 1029, nommée localement la Chaussée Brunehaut, et située à 13 km au nord-ouest de Saint-Quentin et à la même distance au sud-est de Péronne (Somme) et à 33 km au sud-ouest de Cambrai, .

Panorama du village.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Pœuilly
Hancourt Bernes
Vraignes-en-Vermandois Pœuilly Vermand (Aisne)
Tertry Caulaincourt (Aisne)

Nature du sol et du sous-sol

[modifier | modifier le code]

Le tiers du territoire communal a un sol de nature argilo-siliceux, un quart de nature siliceux, un autre quart de nature argileuse et le reste du territoire de nature argilo-calcaire et marécageux[1].

Relief, paysage, végétation

[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est assez accidenté. L'altitude varie de 69 à 91 m. Un rideau boisé escarpé de 2,3 km de long et de 65 m de large se situe vers Vermand et Caulaincourt.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Omignon[Carte 1].

L'Omignon, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Bellenglise et se jette dans la Somme à Brie, après avoir traversé 16 communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Pœuilly[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[3].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Pœuilly est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,5 %), forêts (4,5 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune présente un habitat groupé, structuré le long d'une rue principale aboutissant à l'ancienne voie romaine au sud, ponctuée par deux carrefours, formés par des voies secondaires reliant le village à Fléchin (au nord), à l'ancien hameau d'Aix (au nord-ouest), à Soyécourt (au nord-est)}. L'église et la mairie-école se trouvent face à face, au centre du village[15]..

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[16].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Peuliacum (944) ; Peuilli (1177) ; Peeuli (1198) ; Peuloy (XVe siècle) ; Puellie et Puellye (1592) ; Peully (1638) ; Pœuilly (1744)[17].

Ont été mises au jour sur le territoire de Pœuilly des monnaies gauloises et romaines à l'effigie de César[1].

Après la bataille de Tertry, en 687, le roi de Neustrie, Thierry III se replie sur Pœuilly[18].

En 1213, dans une charte, Othon de Pœuilly, donne 5 muids de froment à l'abbaye Saint-Prix de Saint-Quentin[18].

Époque moderne

[modifier | modifier le code]
Carte de Cassini du secteur de Pœuilly (vers 1750)

Au XVIIIe siècle, le village était situé sur l'ancienne voie romaine de Saint-Quentin à Amiens (actuelle RD 1029). De Pœuilly, une route non pavée conduisait à Péronne en passant par Hancourt. Cette route est aujourd'hui un simple chemin agricole.

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

En 1836, l'activité économique des habitants est liée à l'agriculture (cultivateurs et ménagers) ainsi qu'au textile (26 tisseurs et tisserands, 10 fileuses, 4 brodeuses). S'y ajoutent 3 fabricants, 4 marchands, 5 débitants des tisserands, fileuses, brodeuses et des marchands, ainsi que deux instituteurs. Progressivement les activités agricoles deviennent dominantes et, à la veille de la Première Guerre mondiale, de très nombreux ouvriers agricoles travaillent pour les grosses fermes du village[15].

En 1836, la commune compte deux hameaux, aujourd'hui disparus : le hameau d'Aix à proximité de la route de Péronne à Saint-Quentin (au nord) et qui comptait 8 maisons, essentiellement des fermes, et Cauvigny, au sud, moulin implanté sur la rivière d'Omignon, qui a cessé son activité à la fin du XIXe siècle[15].

En 1851, les activités économiques ressemblent à celles de 1836, mais les fileuses ont disparu, remplacées par des brodeuses (12 en 1851), activité qui cesse à la fin du XIXe siècle[15].

En 1858 est reconstruite l'école primaire mixte de Poeuilly, édifiée sous la direction de M. Caraby, architecte à Péronne, et qui abrite à l'étage la mairie et le logement de l'instituteur[19]

Guerre franco-allemande de 1870

[modifier | modifier le code]

Le , durant la guerre franco-allemande, Pœuilly est le théâtre d'importants combats qui voient la déroute de l'armée française[20].

« Les trois premières compagnies du 4e régiment se dirigeaient sur le ravin au sud de Pœuilly. Assailli de toutes parts dans cette localité en flammes, canonné par 24 bouches à feu, le 19e chasseurs fut décimé et perdit en un instant un officier et 50 hommes[21]. »

Les maisons et les fermes du village ont été pillées et incendiées, tandis qu'une grande partie de la population s'était enfuie[20].

En 1906, l'activité principale du village est l'agriculture (blé et betterave à sucre). 84 ouvriers agricoles sont employés dans les diverses exploitations du village[15].

Première Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Le , au cours de la Course à la mer, le général Bridoux, commandant du 1er corps de cavalerie fut mortellement blessé à Pœuilly alors qu'il se déplaçait avec un officier de son état-major. Son convoi automobile se trouva au milieu d'une unité allemande qui les prit sous son tir[22]

Jusque , Pœuilly est située dans la zone d'occupation allemande avant que l'armée ennemie ne se replie sur la ligne Hindenburg. De mars à , la commune est de nouveau occupée par l'armée allemande.

Si aucun soldat de la commune n'a été tué pendant la Guerre[Note 3], le village est totalement détruit lorsque l'armistice est signé. Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [23].

Après l'armistice, habitants occupent des maisons provisoires en bois et de type Nissen, qui sont progressivement remplacées par de nouvelles demeures (fermes et maisons). « L'église a été refaite quasiment à l'identique dès 1922. Sa silhouette est marquée par la présence d'une grosse tour de clocher carrée. En façade, des éléments sont clairement de style Art déco, tout comme à l'intérieur (maître-autel, ambon, confessionnal…). Il ne resterait de l'ancien édifice que les fonts baptismaux, qui dateraient du XIIe siècle »[24],[15]. La mairie-école est reconstruite à son emplacement actuel, face à l'église, par l'entrepreneur Doussin sur les plans de l'architecte Claude-Antoine Dory datés du [25].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1892 1924 Émile Laleux   Exploitant agricole
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 juin 1995 Pierre Druin PCF Conseiller général de Roisel (1979 → 1992)
juin 1995[26] 2014 Daniel Voiret[27]    
2014 juillet 2020[28] Thierry Briand   Adictologue
juillet 2020[26] En cours
(au 27 janvier 2021[29])
Arnaud Voiret   Responsable maintenance
Fils de Daniel Voiret

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 105 habitants[Note 4], en évolution de −14,63 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
344355390332357383384325325
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
322333331296271233233232234
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
22524220380129114138129111
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
88888675107105108104101
2014 2019 2021 - - - - - -
121108105------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

« Les recensements de population indiquent que le village compte 80 maisons en 1851 pour 83 familles et 292 habitants. Les recensements de 1872 et de 1876 signalent la présence de nombreuses maisons inhabitées dans le village, 5 en 1872 et 9 en 1876. A partir de 1881, le village ne compte plus que 69 maisons pour 75 familles et 220 habitants. Ces chiffres restent stables jusqu'en 1906. A la veille de la Guerre de 1914, Il compte encore 193 habitants. En 1921, il ne compte plus que 80 habitants[15] ».

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Pœuilly n'a plus d'école primaire.

En 2020, l'aspect financier est géré par le syndicat scolaire de la Haute Somme (Sisco) concernant huit communes : Bernes, Pœuilly, Hancourt, Hervilly-Montigny, Hesbécourt, Vraignes-en-Vermandois, Villers-Faucon et Roisel. Le syndicat a la responsabilité de deux sites, avec deux classes maternelles à Bernes, et surtout neuf classes à Roisel, trois en maternelle et six en primaire[34].

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Eloi , de style néo-roman : L'édifice se caractérise par une façade en pierre (alors que le reste utilise très majoritairement la brique) percée au-dessus du porche par une grande rosace incluant une croix. Le clocher est flanqué, côté sud, d'une tour d'escalier, aussi en pierre, de silhouette assez massive et dont le sommet est plat. Le flanc sud de la nef et du chœur est décoré, au niveau de la partie supérieure des fenêtres et pratiquement jusqu'au toit, d'un motif à structure de damier, dont chaque constituant carré, dressé sur un angle, est réalisé par l'assemblage de trois briques.
    L'édifice a été reconstruit sur les plans de l'architecte C.-A. Dory, architecte en chef des Régions libérées du département de la Somme, après sa destruction en 1917 lors de la Première Guerre mondiale. Émile Laleux, maire pendant la guerre et la reconstruction, est représenté dans une verrière de la nef.
    « L'église présente une combinaison de volumes liés à la disposition de l'édifice préexistant associés à des formes modernes, dont témoigne la façade nord, avec son grand pignon, qui devait comporter un décor sculpté », qui n'a pu être réalisé, faute de moyens[15],[35].
  • Mairie, reconstruite durant l'entre-deux-guerres. Sur le mur de façade, le Souvenir français a fait apposer une plaque à la mémoire du général Bridoux, blessé mortellement à Pœuilly, et aux officiers, sous-officiers et cavaliers tombés à ses côtés en .
  • Tombes de la guerre de 1870-1871 (restaurée en 2020-2021), situées en contrebas de la route départementale 1029, dans le sens Pœuilly-Vermand, au lieu-dit « La Table-Dieu »[20] :
    • deux pierres tombales et sépulture de sept soldats français dont le capitaine Pincherelle, délimitée par des piquets et un chaînon de fonte ;
    • sépulture de 30 soldats prussiens, ornée d'une statuette en fonte représentant une pleureuse avec une couronne mortuaire à la main[36].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
Plaque à la mémoire du général Bridoux.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Pœuilly Blason
D'azur à un marteau d'or soutenu par deux lions affrontés d'argent ; au chef cousu* de gueules chargé de trois trèfles d'argent[37].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur.
Inspiré des armes de la famille Pieffort (qui ne portait pas de marteau, et où les lions n'étaient pas affrontés), qui donna les seigneurs du lieu du XVIe siècle à la Révolution, et les châtelains jusqu'en 1862. À ces armes fut ajouté un marteau, attribut de saint Éloi, patron de la paroisse locale.

Création Jacques Dulphy, avec l'aide de Daniel Juric & Arcady Voronzov, adoptée le .

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]
  • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La commune n'a donc pas édifié de monument aux morts.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Pœuilly » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Notice géographie et historique sur la commune de Pœuilly, rédigée par M. Dubois, instituteur, 1898, Archives départementales de la Somme
  2. Sandre, « l'Omignon »
  3. « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Pœuilly et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Pœuilly ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c d e f g et h Isabelle Barbedor, « Le village de Poeuilly : Dossier IA80010082 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  16. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr).
  17. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 164 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  18. a et b Paul Decagny, L'arrondissement de Péronne, ou recherches sur les villes, bourgs, villages et hameaux qui le composent, J. Quentin, , 607 p. (lire en ligne), p.86.
  19. Isabelle Barbedor, « Ancienne école primaire et mairie de Poeuilly (détruites) : Dossier IA80010047 inclus dans Le village de Poeuilly », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  20. a b et c « Poeuilly commémore le 150ème anniversaire d'une bataille meurtrière de la guerre franco-prussienne : L'association pour la Recherche sur l'Histoire Locale revient sur la bataille de Poeuilly, pour ces 150 ans », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. La Guerre de 1870-71 : Campagne de l'Armée du Nord, t. IV : Saint-Quentin, Paris, R. Chapelot, , 153 p. (lire en ligne), p. 62, lire en ligne sur Gallica.
  22. a et b « Journal de marche des opérations de la 5e division de cavalerie pendant la campagne du 31 juillet 1914 au 1er janvier 1915 », Ministère des Armées (consulté le ).
  23. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  24. « L'art se dévoile sous le clocher à Pœuilly : Situé sur l'axe routier Amiens-Saint-Quentin, ce petit village de 120 habitants a beaucoup d'histoires à révéler », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Isabelle Barbedor, « École primaire et mairie de Poeuilly : Dossier IA80010130 inclus dans Le village de Poeuilly », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  26. a et b « À Pœuilly, Arnaud Voiret, le fils de l'ancien maire, élu à son tour dans le fauteuil », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après trois mandats de conseiller municipal, Arnaud Voiret, 38 ans, responsable maintenance, a été élu à l'unanimité maire de Pœilly, succédant à Thierry Briand qui ne s'est pas représenté ».
  27. Rééku pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Pour Thierry Briand, ça a été «chouette ces six ans» en tant que maire de Pœuilly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu en 2014 maire de Pœuilly, un village de 120 habitants, après un premier mandat de conseiller municipal, Thierry Briand, addictologue retraité âgé de 68 ans, ne briguera pas un nouveau mandat en mars, pour des raisons personnelles ».
  29. « La communication au cœur des préoccupations municipales à Poeuilly : Un concours a été lancé par la commune pour réaliser le logo de la future lettre d'information numérique », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Roisel claque la porte du syndicat scolaire », Courrier picard,‎ , p. 20.
  35. Isabelle Barbedor, « Église paroissiale et ancien cimetière Saint-Eloi de Pœuilly : Dossier IA80010081 inclus dans Le village de Poeuilly », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  36. Le Courrier picard du 17 janvier 2021
  37. « 80629 Pœuilly (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).