Steinbach (Haut-Rhin)
Steinbach | |
La mairie-école. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Thann-Guebwiller |
Intercommunalité | Communauté de communes de Thann-Cernay |
Maire Mandat |
Marc Roger 2020-2026 |
Code postal | 68700 |
Code commune | 68322 |
Démographie | |
Gentilé | Steinbachois |
Population municipale |
1 343 hab. (2021 ) |
Densité | 221 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 49′ 17″ nord, 7° 09′ 11″ est |
Altitude | Min. 309 m Max. 922 m |
Superficie | 6,09 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Thann-Cernay (banlieue) |
Aire d'attraction | Mulhouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Cernay |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | steinbach68.org |
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Steinbach (prononcé [ʃtainbak] Écouter ; Steibăch, en dialecte alsacien) est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
[modifier | modifier le code]Steinbach fait partie du canton de Cernay et de l'arrondissement de Thann-Guebwiller. Steinbach signifie « ruisseau de pierre ». Ce village est traversé par un ruisseau nommé Erzenbach, ce qui veut dire « ruisseau des minerais ». La source du ruisseau, les chutes de l'Erzenbach, est un site remarquable du village.
Le village est dominé au nord par la colline de la Lo, et à l'ouest par la clairière du Silberthal où se situent deux mines ayant donné leurs noms au ruisseau du village qui se jette dans la Thur à Cernay. Le village se situe au pied du massif du Hartmannswillerkopf. Au sud, l'ensoleillement du village est propice à la culture de la vigne.
Le haut de village est doté de nombreux sites naturels où pratiquer l'escalade, comme le Hirnelestein.
La commune de Steinbach est limitrophe de Uffholtz, Cernay, Vieux-Thann et Wattwiller de par sa forêt communale.
C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Cours d'eau
[modifier | modifier le code]- L'Erzenbach (affluent de la Thur), dont la Cascade de l'Erzenbach en amont constitue un but de promenade.
Géologie
[modifier | modifier le code]Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme cellarium de Steinbach en 1187[3].
Steinbach signifie le « ruisseau pierreux »[3]. En allemand, ce mot désigne un torrent[4].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau l'Erzenbach[5],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[6].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 068 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 309,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 2],[10],[11].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Steinbach est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thann-Cernay[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[16]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,3 %), prairies (12,6 %), zones urbanisées (11,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), terres arables (0,7 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'emplacement était occupé vers 1372 par les dames nobles de Remiremont. Elles possédaient des propriétés et des rentes dans cette commune. La dénomination de Remersburgerguth que porte encore un canton de terre, semble remonter à cette époque. Au XIIIe siècle, l'endroit est cité en tant que la cour de Burtlingen, dépendante de l'abbaye de Lucelle. À partir de la fin du XVIe siècle, un prieuré est installé. Une agglomération se forme autour de ce prieuré, mais les ravages de la guerre de Trente Ans font disparaître ce qui restait du village. Birlingen, petit village, disparait à son tour, ainsi que sa chapelle ancienne. Elle est reconstruite en 1606 et devient un lieu de pèlerinage où les habitants des environs affluent. Sous la Révolution, la chapelle et les dernières maisons déclarées sont vendues comme biens nationaux. En 1803, un fabricant de papier devenu propriétaire de la chapelle la fait démolir pour réutiliser les pierres.
L'emplacement est occupé aujourd'hui par une chapelle qui abritait une « Vierge miraculeuse » ; celle-ci a failli disparaître en 1793 et se trouve désormais dans l'église de Cernay. Pour ne pas la laisser tomber aux mains de vandales, la famille Schnebelen de Cernay s'empara de la statue et la cacha dans le foin. Cette famille confia ensuite la statue à son église. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la statue a failli disparaître une deuxième fois. C'est un soldat allemand, le Feldwebel Engstler, qui la sauva.
La création de l'actuel Steinbach date de 1869. Auparavant, ce village faisait partie de la prévôté de Cernay sur des terres appartenant aux comtes de Ferrette. La chapelle de Birlingen a depuis lors été remplacée par un oratoire, puis par un calvaire, ensuite par un nouvel édifice construit en 1894. Il a été détruit vingt ans plus tard lors des combats de « la cote 425 ». L'oratoire est reconstruit à nouveau vers 1930 et béni en 1932.
Steinbach est aussi connu pour ses mines (plomb argentifère), exploitées dès la seconde moitié du XVe siècle.
La commune possède un vignoble de 70 hectares (en appellation Alsace) qui s'étend sur le versant sud-ouest d'un coteau qui a hérité du nom militaire de « Cote 425 »[20].
La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[21].
-
La rue principale après la prise du village par les Français en .
-
Une barricade allemande dans une rue de Steinbach.
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]- Chapelle Saint Morand des Vignes.
- Chapelle Sainte Thérèse du Silberthal.
Mine Saint-Nicolas du Silberthal
[modifier | modifier le code]Silberthal signifie Val d'Argent. Il existe quatre mines qui sont attestées depuis 1477, sur la montagne Sainte Marie-Madeleine (Amselkopf). L'exploitation de ces mines est à son apogée dès 1560 et se poursuit jusqu'à la guerre de Trente Ans en 1633. La mine Saint-Nicolas, citée dès 1575, est celle qui produit le plus de métal. L'invasion suédoise met fin à l'exploitation des mines en 1634. Vers 1695, le prévôt des mines de Giromagny tente d'organiser une remise en état de la mine Saint-Nicolas pour approvisionner les fonderies de Lepuix en plomb d'affinage nécessaire à la séparation de l'argent. En 1716, un arrêt du Conseil d'État stipule l'arrêt total de l'exploitation. Une nouvelle exploitation est tentée par les Allemands en 1902.
- La clairière du Silberthal.
- Le Hirnlestein (alt. 510 m, hauteur du rocher 35 m), site d'escalade.
Héraldique
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Les armes de Steinbach, depuis avril 2003, se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2014
[modifier | modifier le code]En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 887 000 €, soit 639 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 735 000 €, soit 529 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 279 000 €, soit 201 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 577 000 €, soit 415 € par habitant ;
- endettement : 519 000 €, soit 374 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 10,03 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,86 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 90,20 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1806. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2021, la commune comptait 1 343 habitants[Note 6], en évolution de −1,4 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Morand[29]
- Monuments commémoratifs[33].
- Chapelle Birling[34].
- Calvaire édicule[35].
- Mairie école[36].
- Cadrans solaires, réalisés par Maurice Kieffer[37].
-
Église, côté ouest. -
Église à l'intérieur. -
Église, côté sud. -
La chapelle Birling. -
La chapelle Saint-Moerand.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François Joseph Hauser (1752-1832), dit Ménageur, général des armées de la République et de l'Empire, né dans la commune, décédé à Turckheim.
- Claudio Capéo (1985-), chanteur français.
Activité économique et services
[modifier | modifier le code]Steinbach possède un certain nombre de service :
- Institut de beauté
- Salon de coiffure mixte[38].
- Epicerie multiservice et dépôt de pain : "Le Stein"[38] .
- Fleuriste à domicile[38]
"Le Stein" est un commerce citoyen, soutenu par la mairie et par les habitants afin de maintenir un commerce dans le centre du village. Ce commerce multiservice est administré par l'association du foyer de Steinbach. Le but étant de "redonner vie à ce commerce et vous y proposer un lieu de vie et de rencontre[39]". Ce commerce regroupe plusieurs activités :
- "Stein'brot" : dépôt de pain et point poste[39].
- "Stein'bar" : Organisation d'activités culturelles, de loisirs et vente de boissons[39].
- "Stein'peps" : Ateliers divers, relais de service, de dons et d'échanges[39].
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Les mines de Steinbach
- La libération de Steinbach 04 février 1945
- Cavités souterraines : ouvrages militaires
- Réparation de la chapelle Birling à Steinbach
- (de) Photos de la mine St. Nicolas
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Steinbach sur le site de l'Institut géographique national
- Steinbach sur le site de l'Insee
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Thann-Cernay comprend deux villes-centres (Cernay et Thann) et sept communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Steinbach » sur Géoportail (consulté le 15 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, Volume 2, page 715, (ISBN 2600001336).
- Lieux dits dictionnaire étymologique et historique des noms de lieux en Alsace, Michel Paul Urban, 2003, Éditions du Rhin
- « Fiche communale de Steinbach », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Steinbach et Bitschwiller-lès-Thann », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Thann-Cernay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Steinbach ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Lire L'enfer de Steinbach, article paru dans le bulletin municipal 2007
- Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
- Archives Départementales du Haut-Rhin
- Commune de Steinbach
- Les comptes de la commune
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise paroissiale Saint-Morand », notice no IA68004706, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IM68008152, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Morand
- Inventaire de l'orgue
- « Presbytère », notice no IA68004708, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Monument aux Morts place des Diables Rouges, Plaque commémorative du 152e R.I., Stèle commémorative du 152e R.I. "Les Diables rouges" au cimetière communal, Calvaire commémoratif 1939-1945 au cimetière communal
- Birlinger -Birling, Centre de Recherche sur l'Histoire des Familles
- Notice no IM68008139, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Calvaire édicule
- « Mairie-école », notice no IA68004707, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Cadrans solaires, réalisés par Maurice Kieffer
- « Commerces - Steinbach - Site officiel de la commune », sur steinbach-alsace.fr (consulté le ).
- « ENSEMBLE, vivons notre village ! » (consulté le ).