Sept Parnassiens
Lieu | Paris 14e |
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Coordonnées | 48° 50′ 34″ nord, 2° 19′ 37″ est |
Inauguration | 1978 |
Nb. de salles | 7 |
Capacité | 245, 217, 109, 61, 53, 54, et 31 places |
Format de son | Dolby et Son digital (salle 1) |
Structure-mère | Groupe Multiciné |
Les 7 Parnassiens est un complexe cinématographique indépendant emblématique de 7 salles classé Art et Essai, situé au 98 boulevard du Montparnasse dans le 14e arrondissement de Paris. Il existe également un accès 16 rue Delambre.
Avec ses 7 salles, son espace d'exposition et de réception et son jardin extérieur, il est le plus grand cinéma classé art et essai de Paris. Il est également un des plus importants cinémas art et essai de France compte tenu de son histoire, de son niveau de fréquentation et de sa programmation[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le cinéma est ouvert par l'exploitant Boris Gourevitch[2] le 18 août 1978 dans une galerie commerçante, proche de Montparnasse, avec cinq salles et se nomme alors les 5 Parnassiens. Deux salles supplémentaires sont ouvertes en 1979.
Le cinéma a fait l'objet d'une importante rénovation de ses salles en 2020[3],[4].
Programmation
[modifier | modifier le code]La programmation des 7 Parnassiens est essentiellement consacrée aux films d'auteurs en version originale sous-titrée ainsi qu'à de nombreuses soirées-débats, animations et festivals tout au long de l'année.
Les 7 Parnassiens fait partie du groupe Multiciné, qui gère également deux autres cinémas parisiens : Le Lincoln et le Cinq Caumartin.
Accès
[modifier | modifier le code]Les 7 Parnassiens est accessible par les stations de métro Montparnasse - Bienvenüe, Vavin et Edgar Quinet.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- William Brown, « Les 7 Parnassiens », dans Jean-Michel Frodon (dir.) et Dina Iordanova (dir.), Cinémas de Paris, Paris, CNRS Éditions, , 365 p. (ISBN 978-2-271-11480-8, présentation en ligne), p. 328–333.
- Axel Huyghe et Arnaud Chapuy, « Multiciné - Boris Gourevitch, l'homme des complexes », Paris, L'Harmattan, 2023, 142 p.
Références
[modifier | modifier le code]- « “Love seats” et écrans plats : le lifting réussi du cinéma Les 7 Parnassiens », sur www.telerama.fr, (consulté le )
- « La mort de Boris Gourevitch. », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Les 7 Parnassiens rouvre ses portes à Paris », sur Le Film Français (consulté le )
- Par Yves Jaeglé Le 15 janvier 2021 à 17h24, « «Le plus triste, ce sont les affiches qui tombent» : la vie en suspens des exploitants de cinéma », sur leparisien.fr, (consulté le )