Santenay (Côte-d'Or)
Santenay | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Côte-d'Or | ||||
Arrondissement | Beaune | ||||
Intercommunalité | CA Beaune Côte et Sud | ||||
Maire Mandat |
Guy Vadrot 2020-2026 |
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Code postal | 21590 | ||||
Code commune | 21582 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
883 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 85 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 54′ 49″ nord, 4° 41′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 211 m Max. 522 m |
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Superficie | 10,36 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ladoix-Serrigny | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Côte-d'Or | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côte-d'Or
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-de-santenay.fr/ | ||||
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Santenay, parfois nommée Santenay-les-Bains, est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La Rochepot | Saint-Aubin | Chassagne-Montrachet | ||
Dezize-lès-Maranges (Saône-et-Loire) | N | Remigny (Saône-et-Loire) | ||
O Santenay E | ||||
S | ||||
Cheilly-lès-Maranges (Saône-et-Loire) | Chassey-le-Camp (Saône-et-Loire) |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le sud du territoire communal est drainé par la Dheune et ses zones humides. Le Terron y conflue.
La Dheune est un affluent de la Saône en rive droite. Son cours supérieur alimente pendant une trentaine de kilomètres le canal du Centre en amont de Chagny.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Santenay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (38,7 %), forêts (17,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,9 %), zones urbanisées (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), terres arables (7,6 %), prairies (3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Hameau de Saint-Jean
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 473, alors qu'il était de 455 en 2013 et de 491 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 71,6 % étaient des résidences principales, 16,6 % des résidences secondaires et 11,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Santenay en 2018 en comparaison avec celle de la Côte-d'Or et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,6 %) très supérieure à celle du département (5,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,8 % en 2013), contre 59,9 % pour la Côte-d'Or et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Santenay[I 2] | Côte-d'Or[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 71,6 | 86 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 16,6 | 5,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,8 | 8,4 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le bourg dispose de la gare de Santenay-les-Bains, une halte desservie par des trains régionaux du réseau TER Bourgogne-Franche-Comté qui relient Montchanin à Chalon-sur-Saône.
Histoire
[modifier | modifier le code]La gare de Santenay-les-Bains est mise en service en 1861 par la compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO), lors de la mise en service de sa ligne de Nevers à Chagny. En 1870, cette station devient une gare de bifurcation avec la mise en service de la Ligne d'Étang à Santenay (via Autun). Le trafic cesse sur cette antenne en 1979, lires de travaux de construction de la LGV Paris-Sud-Est.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Beaune du département de la Côte-d'Or.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Nolay[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Ladoix-Serrigny
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Côte-d'Or.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Santenay est membre de la communauté d'agglomération Beaune Côte et Sud, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2006 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]- Village fleuri (2 fleurs)[Quand ?].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[16].
En 2021, la commune comptait 883 habitants[Note 1], en évolution de +3,15 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Sont à voir à Santenay :
- l'église Saint-Jean de Narosse ;
- la croix du cimetière de Santenay ;
- le château de Santenay (château Philippe le Hardi) ;
- le moulin à vent Sorine, restauré dans les années 1990 et remis en état de fonctionnement ;
- le site du mont de Sène (altitude 521 m), aussi appelé « Montagne des Trois Croix »[18] ;
- la plateforme de l'ancienne ligne d'Étang à Santenay (via Autun), devenue une « voie douce » ;
- le Sentier de grande randonnée de pays (GRP) des Grands crus, qui passe dans le bourg.
-
Église Saint-Jean de Narosse.
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Église Saint-Jean de Narosse.
-
Monument aux morts.
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Château Philippe le Hardi.
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Le bâtiment désaffecté de la gare de Santenay-les-Bains, qui abrite maintenant l'office de tourisme.
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Moulin à vent « Sorine ».
-
Vignoble de Santenay au pied du moulin Sorine.
-
Un domaine viticole de Santenay.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Vivant Micault de Corbeton (1725-1794), président au Parlement de Bourgogne, seigneur de Meilly-sur-Rouvres, Rouvres-sous-Meilly, Saligny, Liernolles, Maconge, Barbirey-sur-Ouche, Santenay, Pommard et autres lieux, dernier marquis de Joncy, époux de Marie Françoise Trudaine. Mort décapité.
- Louis Sauvageot (1842-1908), architecte.
- Gaston Variot (1855-1930), médecin français des Hôpitaux de Paris qui repose au cimetière de Santenay[19].
- Edmond Jacquelin, (1875-1928), roi des vélodromes parisiens, est né à Santenay. Il fut champion de France de vitesse 1896, 1900 et 1902, champion du Monde 1900 (2e en 1901 et 3e en 1896).
Seigneurs de Santenay
[modifier | modifier le code]Guillaume de Digoine est seigneur de Santenay en partie post mortem en 1507. Son épouse Emilainne Damas décède en 1516. Leur fils Philibert de Digoine, écuyer à Couches (Saône-et-Loire), époux (en secondes noces ?) de Barbe de Thenay, est seigneur de Santenay en 1530. Sa veuve y conserve des biens en 1569. Il se peut que l'emprise féodale de la famille de Digoine ne porte que sur une rue du village. Leurs deux fils Claude et Lazare de Digoine sont à leur tour seigneurs de Santenay en 1569. Le premier des deux vit en réalité à Sampigny en 1583.
Maison de la Confrérie du Saint-Sacrement
[modifier | modifier le code]La confrérie du Saint-Sacrement assure sous l'Ancien Régime l'entraide entre fidèles et les secours aux nécessiteux. Elle est propriétaire à Santenay au sein du quartier de la Crée, d'une maison entourée de vignes. Le rez-de-chaussée est occupé par un cellier où la confrérie abrite pressoir et cuves. Les salles de l'étage sont réparties entre la confrérie qui s'y réunit et le recteur qui y habite et y tient son école. En 1685, la maison est donnée à la fabrique, c'est-à-dire à la paroisse.
Lors de la Révolution, les biens ecclésiastiques sont nationalisés. Les biens de la fabrique sont transférés à la commune qui décide d'en faire la mairie tout en lui conservant ses fonctions d'école. À partir de 1795, la maison accueille aussi les filles et une institutrice.
Avec le Concordat de 1802, la fabrique reprend possession de la maison. Lorsqu'en 1850, une école communale est créée à Santenay-le-Bas, la fabrique confie l'éducation des garçons de Santenay-le-Haut et de Saint-Jean aux Petits frères de Marie.
Avec la séparation de l'Église et de l'État, l'école libre est fermée en 1906. Devant les protestations des habitants, la commune rouvre une école primaire mixte à classe unique et la maison de la confrérie est attribuée à la commune.
Lorsque celle-ci construit une nouvelle école entre Santenay-le-Haut et Santenay-le-Bas, l'école qui n'accueillait plus que 12 élèves en 1967 est fermée et la maison est vendue après avoir été consacrée pendant plus de trois cents ans à l'enseignement.
Vignoble
[modifier | modifier le code]C'est une commune viticole, où est notamment produite l'appellation d'origine contrôlée Santenay. La viticulture est une activité majeure de la ville.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à la bande de gueules chargée de trois croisettes d'argent accompagnée de deux tourteaux, un en chef fascé ondé de six pièces d'argent et d'azur, un en pointe de gueules rempli d'argent chargé d'une grappe de raisin aussi de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Dossier complet : Commune de Santenay (21582) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Santenay » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Santenay - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Santenay - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Côte-d'Or - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Santenay et La Rochepot », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Santenay », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Dany Lévêque, « Le maire Henri Tudela fait le point sur la situation dans sa commune : Alors qu’il ne briguait pas d’autre mandat de maire, Henri Tudela se retrouve aux commandes de la commune pour quelques mois encore et doit gérer les conséquences de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19 », Le Bien public, (lire en ligne, consulté le ).
- « Santenay : Guy Vadrot succède à Henri Tudela », Le Bien public, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Culminant à 521 mètres, ce mont domine la côte de Beaune au nord, la vallée de la Saône à l’est, le Clunisois au sud et le Morvan à l’ouest. À la charnière des vignobles de la Côte de Beaune, de ceux des maranges et de la Côte chalonnaise, sur plus de 300°, se déploie une vue circulaire sur tout le paysage environnant et les lointains ; des versants abrupts et des falaises dominent les vignes et la vallée de la Dheune, plus loin un plateau doucement incliné à pelouse calcaire, encore plus loin la plaine de Saône et de la Bresse, puis les chaînons du Chalonnais, les vastes horizons vers le Jura, jusqu’aux Alpes à l’est, et jusqu’au Morvan à l’ouest. Source : fiche intitulée « Montagne des Trois Croix » (https://piece-jointe-carto.developpement-durable.gouv.fr/REG043B/DOCS/SITES/SC_71_038_fiche.pdf).
- « Un médecin originaire de Saône-et-Loire à l'honneur au musée de l'Assistance publique de Paris », article de Lucien Taupenot (alias Luc Hopneau) paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 61 (automne 1985), pages 8 à 10.