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Sainte-Jalle

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Sainte-Jalle
Sainte-Jalle
Sainte-Jalle, vue du col d'Ey.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Nadège Rancon
2020-2026
Code postal 26110
Code commune 26306
Démographie
Population
municipale
321 hab. (2021 en évolution de +6,64 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 45″ nord, 5° 17′ 05″ est
Altitude Min. 376 m
Max. 1 025 m
Superficie 18,16 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription de la Drôme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Sainte-Jalle
Géolocalisation sur la carte : France
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Sainte-Jalle
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Sainte-Jalle
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Sainte-Jalle

Sainte-Jalle est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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Sainte-Jalle est située à 18 km à l'est de Nyons (chef-lieu du canton) et à 14 km au nord de Buis-les-Baronnies.

Relief et géologie

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Sites particuliers[1] :

  • Col de Goudon ;
  • Col d'Ey (718 m) ;
  • la Fournache (1030 m) ;
  • Montagne de Montlaud.

Hydrographie

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La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • le Grand Gourjas
  • l'Ennuye
  • le Rieufrais
  • Ruisseau de Champourceau
  • Ruisseau de Goudon
  • Ruisseau de Jouisse
  • Ruisseau de la Crotte
  • Ruisseau de la Peyrière
  • Ruisseau de Largeas
  • Ruisseau de Merderie
  • Ruisseau de Pouytane
  • Ruisseau des Marcons

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 933 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bésignan », sur la commune de Bésignan à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 783,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

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Au , Sainte-Jalle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (25,6 %), forêts (16,7 %), cultures permanentes (14,8 %), terres arables (5,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Ferme Brun
  • Ferme de Champourceau
  • Ferme de Serre d'Enguillard
  • Ferme de Serre Teston
  • Ferme des Mazellières
  • Ferme du Col d'Ey
  • Ferme Roux
  • Fermes de Fleur de Mai
  • Fournelle
  • Garenne
  • Gouvernoux
  • la Biove
  • la Condamine
  • la Fauchère
  • la Fournache
  • la Gardiole
  • la Grand-Grange
  • Languigone
  • la Rosière
  • la Rourie
  • le Grès
  • le Gros Buis
  • le Majon
  • le Plan
  • le Routas
  • les Blaches
  • les Chaux
  • les Faysses
  • les Œuillacs
  • les Prayots
  • l'Estang
  • les Ubacs
  • les Vers
  • Notre-Dame de Beauver
  • Pays
  • Pierrefeu
  • Saint-Quenin
  • Sous Vialle
  • Terruche
  • Vendhomme
  • Vial
  • Videaux

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • l'Aire est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé l'Yère de la Cour en 1635 (terrier du roi)[13].
  • l'Anguigonne est une ferme attestée en 1891. Il avait été dénommée Languigonne (plan cadastral)[14].

Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Autres risques

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1220 : castrum de Sancta Galla (Valbonnais, II, 165).
  • 1284 : castrum de Sancta Jalla (Valbonnais, II, 118).
  • 1405 : Saincte Jaille (choix de documents, 342).
  • 1537 : Sancto Gallo (archives de la Drôme, E 4746).
  • 1627 : Saincte Jalle aux Baronnies (archives de la Drôme, E 2539).
  • 1891 : Sainte-Jalle, commune du canton de Rémuzat.

Étymologie

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Le nom de la commune est celui de sainte Galle de Bagenum (VIe siècle)[16][source insuffisante].
L'occitan ancien Santa Gala a évolué en Santa Jala (palatalisation du g typique du vivaro-alpin)[réf. nécessaire].

Préhistoire

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Occupation de l'Âge du Bronze (grotte de Montlaud)[17].

Protohistoire

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Le territoire de Sainte-Jalle fait partie de la tribu gauloise des Voconces.

Antiquité : les Gallo-romains

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Sainte-Jalle est le centre du pagus Bag(inensis), une des subdivisions de la cité des Voconces. Plusieurs autels ont été retrouvés qui attestent d'un culte aux déesses Baginatiae[18].

Un temple romain aurait existé à l'emplacement actuel de l'église Notre-Dame-de-Beauvert (ou Beauver), ainsi que le démontrent l'inscription latine qui se trouve sur un pilier (à droite du chœur) et les quatre colonnes antiques de l'abside[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution

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Sainte-Jalle est un gros village de la riche vallée appelée « le grenier des Baronnies »[réf. nécessaire].

Au VIIe siècle, les moines de l'abbaye de Bodon de Saint-May s'y installent et lui donnent le nom de Sainte-Galle, une vierge chrétienne qui, d'après la légende, aurait mis les barbares en fuite sous les murs de Valence (voir plus bas, paragraphe Lieux et monuments)[réf. nécessaire].

La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, Sainte-Jalle est une terre (ou seigneurie) des barons de Mévouillon et des barons de Montauban.
  • La terre est partagée entre les Arzelliers, les Agoult de Mison et les Artaud.
  • 1202 : les Arzelliers vendent leur part aux Ancezune.
  • 1265 : les Artaud donnent une charte de libertés municipales aux habitants.
  • 1310 : la part des Artaud passe (par héritage) aux Alleman.
  • 1334 : la part des Alleman passe aux Ancezune.
  • 1336 : les biens des Ancezune passent aux dauphins.
  • 1343 : la part des dauphins est vendue aux princes d'Orange.
  • 1350 : la part des princes d'Orange est vendue aux Alleman.
  • (non daté) : la part des Agoult est acquise par les Alleman. La terre est réunifiée.
  • La seigneurie passe aux Sassenage.
  • 1402 : elle passe aux Thollon.
  • 1667 : elle passe (par mariage) aux Fortia.
  • 1723 : elle passe (par mariage) aux Corriolis de Limaye, derniers seigneurs.

Le , pendant les guerres de Religion, Lesdiguières prend Sainte-Jalle après 200 coups de canon[réf. nécessaire].

Avant 1790, Sainte-Jalle était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Sisteron, dont l'église était dédiée à sainte Galle et dont les dîmes appartenaient au prieur du lieu (voir Notre-Dame de Beauvert)[15].

Notre-Dame de Beauvert

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En 1891, l'église Notre-Dame-de-Beauvert est une chapelle de la commune de Sainte-Jalle[19]

De la Révolution à nos jours

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En 1790, Sainte-Jalle devient le chef-lieu d'un canton du district de Buis-les-Baronnies, comprenant les municipalités de Arpavon, Autane, la Bâtie-Verdun, Bellecombe, Bésignan, Gouvernet, Montaulieu, Montréal, le Poët-Sigillat, Rochebrune, Sahune, Sainte-Jalle et Saint-Sauveur. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Rémuzat[15].

Politique et administration

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Mairie de Sainte-Jalle.

Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Anne Marie Blanc    
2008 2014 Antoine Ivarnes DVD retraité
2014 2020 Antoine Ivarnes   maire sortant
2020 En cours
(au 7 décembre 2020)
Nadège Rancon[20][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux

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Pour les élections législatives, la commune appartenait au Canton de Nyons avant mars 2015. Depuis, elle fait partie de la Troisième circonscription de la Drôme.

Politique environnementale

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Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 321 habitants[Note 1], en évolution de +6,64 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
515531604603652684651711720
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
709686667640644611581542512
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
520533490448422386404350333
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
283291263251260269272272280
2017 2021 - - - - - - -
308321-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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La commune possède une école primaire. Les collèges et lycées les plus proches sont à Nyons[réf. nécessaire].

La maison médicale de Sainte Jalle.

La commune possède une maison médicale comprenant un médecin, une orthophoniste, un kinésithérapeute, une psychologue et deux acupunctrices. Un autre kinésithérapeute exerce dans un cabinet indépendant. Un pédicure-podologue et une réflexologue plantaire donnent des soins à domicile. Infirmières, aides-soignantes et aides à domicile sont mises à disposition par le centre médico-social de Curnier[réf. nécessaire].

Les hôpitaux les plus proches sont à Buis-les-Baronnies (à 14 km) et Nyons (à 17 km)[25].

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête locale : le dimanche avant le [17].
Vignes à Sainte-Jalle.

Agriculture

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En 1992 : vignes, arbres fruitiers, lavande, pâturages (ovins)[17].

  • Foire Saint-Barthélemy : le samedi avant le [17].

On y cultive la vigne (vins coteaux-des-baronnies), du lavandin, de l'épeautre et des abricotiers[réf. nécessaire].

La commune possède une supérette, un bar-restaurant, une boulangerie[réf. nécessaire].

L'hébergement est assuré par cinq gîtes et un camping[réf. nécessaire].

La commune possède un camp naturiste[17].

Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Elle aurait été construite en 852. Elle a remplacé un ancien temple romain, ainsi que le démontrent l'inscription latine qui se trouve sur un pilier, à droite du chœur et les quatre colonnes antiques de l'abside[réf. nécessaire].
Son clocher est massif[17].
Son porche sculpté[17] est remarquable : il est surmonté d’une frise que soutiennent des chapiteaux sculptés représentant un personnage tenant, dans l'une de ses mains levées, un faucon, et dans l'autre, une fleur ; à droite est un joueur de violon et à gauche, un troisième personnage (ayant lui-même à sa gauche un paon qui se désaltère dans un vase) a, dans sa main un bâton fleuri[réf. nécessaire].
L'église est inscrite au titre des monuments historiques (MH) depuis 1926[26].
  • Château : donjon (XIIe siècle) et logis flanqué d'une tour circulaire (XVIe siècle). Il a été récemment restauré[réf. nécessaire].
  • Village ancien, en partie ruiné : poternes, passages voûtés, restes de fortifications (XIIe siècle) avec trois tours[17] et deux portes fortifiées[réf. nécessaire].
  • Chapelle des pénitents (XVIIe siècle)[17].
  • Chapelle perchée[17].
  • Pont des Rieufrais[17].
  • Fontaine[17].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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[réf. nécessaire]

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de Sainte-Jalle Blason
D'azur au lion d'or[27].
Détails
Couleur du champ incertaine.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Sainte-Jalle et Bésignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bésignan », sur la commune de Bésignan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bésignan », sur la commune de Bésignan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (L'Aire).
  14. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 8 (L'Anguigonne).
  15. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 341 (Sainte-Jalle).
  16. a et b « Sainte Galle », sur Nominis (consulté le ).
  17. a b c d e f g h i j k l m n et o Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Sainte-Jalle.
  18. J.-C. Mège, J.-M. Lurol et H. Desaye, « Découverte d'autels aux déesses Baginatiae à Sainte-Jalle (Drôme) », RAN, no 33,‎ , p. 178-193 (lire en ligne).
  19. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 246 (Notre-Dame de Beauvert).
  20. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Les professionnels de santé de Sainte Jalle », sur Les professionnels de santé de Sainte Jalle (consulté le ).
  26. Notice no PA00117051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=11474