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Saint-Jean-de-Couz

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Saint-Jean-de-Couz
Saint-Jean-de-Couz
Vue sur l'église de Saint-Jean-de-Couz
et son environnement.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Chartreuse
Maire
Mandat
Murielle Brun Giraud
2020-2026
Code postal 73160
Code commune 73246
Démographie
Population
municipale
303 hab. (2021 en évolution de +5,94 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Population
agglomération
220 118 hab. (2013)
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 59″ nord, 5° 49′ 12″ est
Altitude Min. 584 m
Max. 1 617 m
Superficie 7,71 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales canton du Pont-de-Beauvoisin
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Jean-de-Couz
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Saint-Jean-de-Couz
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Saint-Jean-de-Couz
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Saint-Jean-de-Couz

Saint-Jean-de-Couz est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Saint-Jean-de-Couz est situé au niveau du col de Couz (630 m), le long de la route RD 1006 qui serpente dans le val de Couz, entre Saint-Thibaud-de-Couz au nord et Saint-Christophe-la-Grotte au sud. Le village se trouve au croisement avec la route RD 45, qui grimpe les pentes de la Cochette (1 617 m), à l'est. La ligne de crête sépare la commune de celle d'Entremont-le-Vieux.

Le centre de la commune de Saint-Jean-de-Couz, est situé à 15 km de Chambéry, préfecture de la Savoie[1], 93 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes ainsi qu'à environ 228 km de Nice (par Grenoble) et 561 km, de Paris. La commune fait partie du parc naturel régional de la Chartreuse.

Description

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Plan du territoire de Saint-Jean-de-Couz et les communes limitrophes.

Autrefois traversée par la route nationale 6, désormais déclassée en simple route départementale (la RD 1006), et positionnée au cœur d'une région touristique prisée, non loin du site des grottes des Échelles et aux limites du massif de la Chartreuse, la commune est membre de la communauté de communes Cœur de Chartreuse, ainsi que du parc naturel régional de Chartreuse.

La commune se distingue par son regroupement d'habitations en trois principaux hameaux : Le chef-lieu, le Replat et Côte Barrier.

Le chef-lieu s'étend le long de la RD 45. Le lieu-dit le Replat s'étend autour d'un carrefour, le long de la route de Côte Barrier. On y trouve la mairie et l'école primaire dans un même bâtiment aujourd'hui nouvellement agrandi, ainsi que l'ancien café Denat.

Au niveau du Replat, deux routes communales mènent vers les deux hameaux. Au nord, les Héritiers regroupent quelques maisons. Côte Barrier se situe en contrebas, à un kilomètre au sud. On y trouve l'ancienne carrière d'argile et de pierre ainsi que les ruines de l'ancien four à brique.

Le territoire de Saint-Jean-de-Couz est essentiellement couvert de forêts, notamment d'épicéas et de fayards, que traversent des chemins forestiers. Le plus important d'entre eux s'élève sur les pentes du Mont Beauvoir (1 319 m), dont la ligne de crête sert de limite avec les communes de Saint-Pierre-de-Genebroz et La Bauche.

Géologie et relief

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Le val de Couz qui comprend essentiellement les communes de Saint-Jean-de-Couz, pour sa partie septentrionale et Saint-Thibaud-de-Couz, pour sa partie méridionale constitue la limite entre le massif de la Chartreuse et la chaîne de l'Épine, avec notamment le mont du Chat, et donc, en fait, entre les domaines subalpin et jurassien[2].

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Le ruisseau de l'Hyères, qui prend sa source au col des Égaux, sur la commune limitrophe de Corbel, s'écoule le long de la RD 45 avant de suivre la vallée de Couz et la RD 1006 en direction de Chambéry.

Malgré la présence d'un environnement montagneux, le climat n’est pas trop rigoureux car le secteur du sud-ouest de la Savoie reste fortement influencée par des climats de types océaniques[3]. Le territoire de Saint-Jean-de-Couz étant située à proximité du premier contrefort occidental du Chartreuse, un des premiers massifs préalpins que rencontrent les perturbations atlantiques, la pluviométrie y est donc marquée.

Températures des minimales et maximales enregistrées sur trois ans

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  • 2012
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) 0,2 −5 2,1 7,1 9,9 13,8 14,7 14,8 11,8 8,3 4,2 0,5
Température maximale moyenne (°C) 7,1 3,5 17,1 16,6 22,2 25,7 26,7 29 22,2 17,4 11,5 7,4
Source : Climat de Saint-Jean-de-Couz, en 2012 sur linternaute.com, d'après Météo France.
  • 2014
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) 0,9 2,1 2,6 7,1 8,9 13,1 14,8 13,6 12,4 9,3 5,3 1,5
Température maximale moyenne (°C) 8,5 10,4 15,1 18,7 20,2 27,1 24,5 24,5 23,6 20,3 13,4 7,5
Source : Climat de Saint-Jean-de-Couz en 2014 sur linternaute.com, d'après Météo France.
  • 2016
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) 2,1 3,1 2 5,4 9,2 14 15 14 13,2 6,7 3,8 −3,6
Température maximale moyenne (°C) 9,2 10 12,4 16 19,9 24,6 28,8 28,4 26,1 16,1 11,2 6,9
Source : Climat de Saint-Jean-de-Couz, en 2016 sur linternaute.com, d'après Météo France.


Voies de communication

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La RD 1006 au col de Couz.

L'ancienne route nationale 6, ancienne grande route nationale française, reliant Paris à l'Italie (à la descente du col du Mont-Cenis) via Lyon et la Savoie et qui traverse la commune sur un axe nord / sud a été déclassée en route départementale sous l'appellation de RD 1006.

Cette route à deux voies permet de relier directement le territoire de la commune aux agglomérations chambérienne, grenobloise et lyonnaise en franchissent notamment le col de Couz qui s'élève à 626 m d'altitude[4].

La route départementale 45, qui relie Entremont-le-Vieux à Saint-Jean-de-Couz en passant par le Désert d'Entremont et Corbel, traverse le bourg central et le relie à la RD 1006.

Au , Saint-Jean-de-Couz est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[5]. Elle est située hors unité urbaine[6]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[6]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (88,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), prairies (0,4 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux, écarts et Lieux-dits

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Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers, lieux-dits et écarts qui composent le territoire de la commune de Saint-Jean-de-Couz, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[10].

  • Les Héritiers
  • Le Marais
  • Le Cheval Blanc
  • Les Bottières
  • Les Fontaines
  • Le Col de Couz
  • Le Replat (bourg)
  • Côte Barrier
  • Jubin
  • Sur le Grill
  • La Cochette (sommet)
  • Fontaine Froide
  • La Pointière
  • Les Barmettes
  • Roche Corbière
  • Les Barrières
  • Le Pré du Commandeur
  • Les Vacheresses
  • Le Mont Beauvoir (sommet)
  • Le Caut

Le toponyme de Saint-Jean-de-Couz est formé par le nom du saint patron de la paroisse, Jean le Baptiste[11], érigée en paroisse distincte en 1673[12] et du mot Couz, qui est une variante de col (du latin collum, « col, cime »), indiquant un « passage de montagne »[13]. Il s'agit du col de Couz. Le toponyme Couz était utilisé pour désigner la vallée de l'Hyère jusqu'au défilé des Grottes[14].

En francoprovençal, la commune s'écrit Sin Jan selon la graphie de Conflans[15].

Ses habitants sont les Saint-Jeannaises et Saint-Jeannais[12].

Saint-Jean-de-Couz fut une ancienne paroisse cédée à la commanderie des Échelles[réf. nécessaire].

Préhistoire et Antiquité

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Durant l'Antiquité, une voie romaine allant de Lyon à Milan traversait le territoire de la commune. Elle fut restaurée par les princes de Piémont-Sardaigne, et ce qu'il en reste est aujourd'hui connu sous le nom de voie sarde. Un relais de poste marqua longtemps le col de Couz[16].

L'énigme Hannibal

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Trajet supposé d'Hannibal par le col de Couz et le col du Petit-Saint-Bernard. (hypothèse Bocquet en rouge)

Parmi les nombreuses théories sur le passage des Alpes par Hannibal en 218 av. J.-C., l'écrivain et préhistorien Aimé Bocquet, ancien membre du conseil supérieur de la recherche archéologique[17] sera un grand défenseur du franchissement par le col du Petit-Saint-Bernard.

En étudiant les écrits de l'historien et théoricien politique de la Grèce antique Polybe, Aimé Bocquet fait passer l'armée d'Hannibal par le défilé de Vimines-Saint Cassin, située au nord du territoire communal, et y situe le premier combat contre des Gaulois[réf. nécessaire].

Ce défilé, situé entre la commune des Échelles et l'actuelle agglomération chambérienne, entraîne donc, par voie de conséquence, le passage de l'armée carthaginoise et ses alliés par la vallée du Guiers et le col de Couz. Aimé Bocquet l'explique dans son ouvrage intitulé Hannibal chez les Allobroges, la grande traversée des Alpes (2009)[18].

Époque contemporaine

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La commune est traversée par la Route nationale 6, qui portait sous le Premier Empire le nom de « Route impériale 7 » (de Paris à Milan-Verceil)[19].

On a découvert au cours du XIXe siècle, un gisement de terre réfractaire qui servit à la fabrication de briques. Cette carrière, fermée vers 1948, est aujourd'hui inondée et forme un étang empoissonné pour la pêche.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, un foyer de résistance s'établit face à l'occupation allemande, notamment sous l'égide de l'ancien maire Raymond Merle. La disposition de l'habitat et le patriotisme d'une partie de la population permirent l'établissement d'un poste de commandement dans le chalet du « Souhait ». Le col du Grapillon abritait également des activités clandestines. En outre, la commune fut rattachée à la communauté de communes du Mont Beauvoir de 2005 à 2013. Depuis 2014, la commune est rattachée à la communauté de communes Cœur de Chartreuse.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Le conseil municipal de Saint-Jean-de-Couz compte onze membres, dont un maire, trois adjoint au maire et sept conseillers municipaux[20].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1983 Raymond Merle ... ...
1983 2004 Pierre Meyer ... ...
2004 mars 2014 Gérard Paulus PCF ...
mars 2014 juin 2020 François Le Gouic SE Agent de service technique
juin 2020 En cours Murielle Brun Giraud[21] SE Agent de service administratif
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Les habitants de la commune sont appelés les saint-jeannais et les saint-jeannaises[22].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 303 habitants[Note 2], en évolution de +5,94 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
340351389433439459369373373
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
347365306302301299281278252
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
205211202188185177147129101
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
145180215242246251286303303
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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  • La fête du boudin.

Enseignement

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Saint-Jean-de-Couz est située dans l'académie de Grenoble.

  • Il y a une école primaire située à côté de la mairie au sud du village.
  • Stade de football.

Stations de radio et télévision

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La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, la radio Isèroise Radio ISA et des radios Lyonnaises telles que Radio Scoop et Radio Espace.

La chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie, notamment l'émission « La Place du village ». France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse écrite

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La presse écrite locale est représentée essentiellement par un titre :

  • Le Dauphiné libéré
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Chartreuse et de Chambéry, un ou plusieurs articles à l'actualité du village, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
L'église du village

Religion catholique

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La commune dépend de la paroisse « Bienheureux Jean XXIII » qui recouvre plusieurs églises du doyenné de l'agglomération chambérienne et du diocèse de Chambéry - Maurienne - Tarentaise[27].

Autres religions

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Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[28],[29].

Revenus et emplois

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Le revenu médian annuel de la population de la commune a été évalué à 19 572 euros en 2012, correspondant à une baisse de croissance de 3,74 % par rapport à l'année précédente. Ce chiffre se présente à un niveau légèrement inférieur au revenu médian national par an estimé à 19 785 euros en 2012[30].

Industrie et artisanat

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Agriculture

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La mairie.
Église et monument aux morts.

La plupart des bâtiments historiques sont situés au chef-lieu qui s'étend le long de la RD 45. On peut notamment y découvrir :

Cet édifice religieux présentent des vitraux qui sont l'œuvre du maître verrier savoyard Jean-Marie Pierre Delbecque, datant des années 1980. L'église est actuellement fermée au public depuis la fin des années 1990[31].
  • l'ancien relais du Cheval Blanc, situé au col de Couz, le long de l'ancienne route nationale 6 ;
  • l'ancien bar le Relais Paris-Rome-Genève ;
  • l'ancienne fruitière ;
  • l'ancienne scierie ;

À Côte Barrier, hameau qui se situe à un kilomètre au sud en contrebas du chef-lieu, on peut trouver l'ancienne carrière d'argile et de pierre ainsi que les ruines de l'ancien four à brique.

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Héraldique

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. Site Mappy distance St-Jean-de-Couz Chambéry
  2. La vallée de Couz, sur le site Géol-Alp.
  3. Site le Figaro, le climat de la Savoie
  4. Site "Cols cyclisme, page sur le col de Couz
  5. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Jean-de-Couz ».
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. Site géoportail, page des cartes IGN
  11. D'après Henry Suter, « Saint-Jean », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
  12. a et b « Saint-Jean-de-Couz », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  13. D'après Henry Suter, « Couz », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
  14. « Histoire de Saint-Thibaud-de-Couz », sur le site de la mairie, à la page « Présentation de la commune ».
  15. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 22
    préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  16. Site notretemps.com, page "La voie Sarde".
  17. Site des amis de Montmélian, page des amis de Montmélian et Environs
  18. Aimé Bocquet, Hannibal chez les Allobroges, Fontaine de Siloé p.[réf. incomplète].
  19. Site wikisara, fiche sur la route impériale 7.
  20. Site du journal le Monde, page sur Saint-Jean-de-Couz
  21. Marie-Claude Fabre, « Murielle Giraud-Brun élue maire de la commune », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
  22. Site "habitants.fr", page sur les habitants de la Savoie
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Site messes infos, page sur la Paroisse
  28. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  29. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  30. Site le Monde, page sur la commune de Saint-Jean-de-Couz
  31. Site du Parc de Chartreuse, page sur Saint-Jean-de Couz