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Savigny-en-Revermont

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Savigny-en-Revermont
Savigny-en-Revermont
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Louhans
Intercommunalité Communauté de communes Bresse Revermont 71
Maire
Mandat
Robert Goyot
2020-2026
Code postal 71580
Code commune 71506
Démographie
Gentilé Les Revermontais
Population
municipale
1 129 hab. (2021 en évolution de −4,89 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 38′ 06″ nord, 5° 25′ 19″ est
Altitude Min. 188 m
Max. 223 m
Superficie 27,21 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lons-le-Saunier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pierre-de-Bresse
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Savigny-en-Revermont
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Savigny-en-Revermont

Savigny-en-Revermont est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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La commune se situe près de la limite entre les départements du Jura et de Saône-et-Loire.

Situation de Savigny-en-Revermont.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 094 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lons le Saunier », sur la commune de Montmorot à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 147,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Savigny-en-Revermont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,5 %), forêts (19,6 %), terres arables (13,6 %), prairies (9,4 %), zones urbanisées (5,1 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Origine : « a Sapinis ».

[pertinence contestée]Savigny se situe à mi-chemin de Lons et de Louhans. Or ces deux seigneuries relevaient des comtes de Bourgogne, de Vienne et de Mâcon, les comtes de Mâcon étant largement possessionnés en Bresse chalonnaise. Au début du XIIIe siècle, l'héritière Béatrice de Vienne († 1239 ; fille du comte Guillaume IV) reçoit de nombreux fiefs venus de ses ancêtres de Bourgogne et de Mâcon, dont Lons en partie, Louhans, Sainte-Croix et... Savigny. Elle épouse en 1219 Hugues III de Neublans d'Antigny : c'est l'origine de la Maison de Vienne (voir l'article Etienne). Savigny échoit à leur fils cadet Henri Ier de Neublans d’Antigny, seigneur de Sainte-Croix (voir de nombreuses sources indexées à cet article ; Henri † après 1269, sans doute encore en vie en 1287 car cette année-là meurt son fils Guillaume (Ier) de Sainte-Croix, semble-t-il prédécédé), frère puîné d'Hugues (IV), comte de Vienne (né vers 1220 et † en 1277, il reçut Lons en partie, Pymont (Jura), Montmorot en partie, Pymont (Saône-et-Loire), Mirebel, Pagny, Seurre et Saint-Georges : à Seurre et Jallanges).

Guillaume Ier de Sainte-Croix marie Jeanne de Joigny, dame de Lacour et de Coulanges, fille de Guillaume III, comte de Joigny ; ils enfantent :

  • - Henri II d'Antigny-Ste-Croix, marié à Marguerite de Bellevesvre dame de Chay : d'où la suite des sires de Sainte-Croix ; - Simon de Sainte-Croix, † 1338, chanoine-doyen de Saint-Vincent de Mâcon et dernier comte héréditaire de Joigny ; - Guillaume de Sainte-Croix, seigneur de Longe-Pierre, et...
  • - Etienne de Sainte-Croix (peut-être né vers 1280/1290), seigneur de Savigny', Lacour et Coulanges, marié à Béatrice de Joinville, fille de Guillaume de Joinville-Gex et veuve d'Eudes de Bellevesvre (qui était le beau-frère d'Henri II d'Antigny). La généalogie des Sainte-Croix de Savigny n'est pas toujours clairement établie (certains auteurs lui attribuent un fils, Étienne II, ce qui introduit une génération supplémentaire) : on donne ici le schéma le plus simple, où Étienne[13] est directement le père de quatre fils, peut-être nés entre 1300 et 1320 :

Pour la suzeraineté, en 1289, le comte de Savoie, Amédée V (seigneur de la Bresse par son mariage en 1272 avec Sibylle de Baugé/de Bâgé, fille héritière de Guy, seigneur de Bâgé et de Bresse), cède ses droits éminents sur la ville de Savigny-en-Revermont au duc de Bourgogne, Robert II, aussi comte de Chalon[17].

Humbert de Luyrieu de La Cueille, seigneur de Savigny, Lacour et Coulanges (cette terre est alors cédée à Charles de Savoisy), marié à Jeanne de Sassenage, est suivi par leur fille Alix de Luyrieu, qui épouse en 1425 Pierre de La Baume de Montrevel, seigneur d'Hilan et du Mont-Saint-Sorlin, fils du maréchal Jean.

Mais dans la suite du XVe siècle, on retrouve Savigny et La Cueille aux mains d'une autre branche des Luyrieu, des cousins fort éloignés, les Luyrieu de Prangin, Vellière, Cule et Montvéran (descendants d'Humbert de Savoie et de sa fille Catherine de Gerbaix). Ainsi, Philippe-Françoise de Luyrieu († 1538), fille d'autre Humbert de Luyrieu de La Cueille [et de sa femme Catherine, épousée en 1467, que Guichenon dit fille bâtarde de Charles, duc de Bourgogne, qui l'aurait gratifiée de droits sur Arinthod, Tramelay, Oliferne[18],[19],[20](p. 236 et 237)], l'apporte à son mari François (II) Mareschal baron de Meximieux, seigneur de Montaney et Bourg-Saint-Christophe, Grand-chambellan de Savoie,

Un des fils de Charles de Seyssel et d'Isabeau Mareschal, Philibert de Seyssel La Chambre, baron de Ruffey et de Montfort, frère d'Antoine, hérite de Savigny ; de sa femme Anne de Lugny, fille de Philibert de Lugny de Saint-Trivier (cousin issu de germain de Jean de Lugny, le beau-père de François Chabot ; de la succession des Lugny viennent Branges[22], Ruffey, Nanton), il a deux fils : - Claude († 1586) et - Jean de Seyssel La Chambre († ap. 1609) ; ce dernier, comte de Montfort, baron de Ruffey et de Branges, est fait comte de Savigny en 1596, a de sa 2e femme, Claudine de Nanton d'Asnières-les-Bois :

  • Pierrette-Edmée/Esmonde de Seyssel La Chambre, qui épouse en 1604 René d'Amoncourt, seigneur de Montigny, d'où : - François d'Amoncourt, comte de Savigny († entre 1634 et 1650), et - Philiberte d'Amoncourt († 1669), baronne de Branges, mariée en 1625 à Antoine (de) Barillon de Morangis (1599-1672), directeur des Finances et conseiller d’État (François et Philiberte d'Amoncourt resteront sans postérité).

La succession passe alors aux Saint-Mauris de Montbarrey, Jean de Seyssel ayant eu de sa 1re épouse, Claudine de Baronnat, deux filles : - Jeanne de La Chambre, qui épouse en 1609 Charles Damas comte de Thianges et de Chalencey, marquis de Dio ; et - Claudine/Claude-Hélène de La Chambre, qui marie en 1620 Léonor de Saint-Mauris, seigneur du Fay († 1635 ; fils d'Alexandre de Saint-Mauris et de Dorothée Bouton du Fay). Les Saint-Mauris furent comtes de Savigny jusqu'à la Révolution, notamment le prince de Montbarrey (1732-1796), arrière-arrière-petit-fils de Léonor et Claudine de Seyssel La Chambre.

Privilèges sur le sel de Salins accordés par Louis XIII en 1616.

Saccagé par les ligueurs, puis par les Comtois.

Jusqu'à la Révolution française, Savigny-en-Revermont, localité du département de Saône-et-Loire relevant depuis 1801 du diocèse d'Autun, dépendit du diocèse de Besançon.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Élections législatives

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Le village de Savigny-en-Revermont faisant partie de la quatrième circonscription de Saône-et-Loire, place en tête lors du 1er tour des élections législatives françaises de 2022, Valérie Deloge (RN) avec 29,51 % des suffrages. Mais lors du second tour, il s'agit de Cécile Untermaier (PS), députée sortante, qui arrive en tête avec 50,27 % des suffrages[23].

Liste des maires de Savigny-en-Revermont

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 2020 Routhier Philippe UDF puis DVD Directeur d'entreprise, conseiller général du canton de Beaurepaire-en-Bresse (1992-2004)
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 1 129 habitants[Note 4], en évolution de −4,89 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8812 0432 3032 2962 4372 2922 3222 5022 287
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1522 1222 1502 0932 1112 1292 1021 9421 928
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9381 8811 8291 6331 7141 6231 4871 4001 198
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1501 0179229519579211 0861 1331 173
2018 2021 - - - - - - -
1 1421 129-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Ressources et productions

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Polyculture, bovins, coopératives laitières, fromage, scierie.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Moulins à eau.
  • Motte féodale du Bas de Savigny.
  • L'église Saint-Vivant, du XIXe siècle, qui a succédé à une église plus ancienne dont le clocher fut renversé par la foudre en 1690[28].

Personnalité liés à la commune

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  • François Oudot, (1740-1798), député du clergé aux États généraux par le bailliage de Chalon-sur-Saône en 1789.
  • Évita Muzic (1999-) : cycliste française, née à Lons-le-Saunier, est originaire du village où elle passe son enfance.

Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

De gueules à la croix florencée d'argent, au chef cousu d'azur chargé d'une aigle d'or.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Savigny-en-Revermont et Montmorot », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lons le Saunier », sur la commune de Montmorot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lons le Saunier », sur la commune de Montmorot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Savigny-en-Revermont ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « La tombe du chanoine Etienne de Sainte-Croix, p. 339-346, par Etienne-Symphorien Bougenot », sur Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, chez Ernest Leroux, à Paris, 1892.
  14. « Savigny-en-Revermont : de Jean de Ste-Croix au prince de Montbarrey, p. 350-352 », sur Description du duché de Bourgogne, t. III ; la Bresse chalonnaise, par Claude Courtépée, chez Victor Lagier, à Dijon, 1848.
  15. « Le chanoine Etienne de Sainte-Croix », sur Le Journal de Saône-et-Loire, par Matthieu Auclair, juillet 2011.
  16. « Dalle funéraire d'Etienne de Sainte-Croix », sur madamedartagnan.
  17. Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey - Les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné (1282 - 1355), collection Histoire et Archéologie médiévales no 14, Presses universitaires de Lyon, Lyon, 2005, (ISBN 272970762X), p. 31.
  18. « Titres de Famille ; Savigny-en-Revermont : des Lureuil/Luyrieu aux Saint-Mauris, p. 113-120 », sur Archives départementales de Saône-et-Loire, Inventaires-Sommaires antérieurs à 1790, Ire partie, éd. par Louis Michon, archiviste, à Mâcon, 1877.
  19. « Luyrieu, p. 389 », sur Armorial historique de Bresse, Bugey, Dombes, Gex, Valromey et Franc-Lyonnais, par Edmond Révérend du Mesnil, chez Aimé Vingtrinier, à Lyon, 1874.
  20. a et b « La Chambre de Sermoyé de Meximieux, p. 240-241 », sur Histoire de Bresse et de Bugey, par Samuel Guichenon, à Lyon, 1650.
  21. « de La Chambre-Seyssel, par Jean Gallian, 2008 », sur jean.gallian.
  22. « Seigneurs de Branges : des St-Trivier aux Lugny, Seyssel, d'Amoncourt et Barillon, p. 16-24, », sur Notice historique sur la commune de Branges, par le Dr Bernard Gaspard, chez Auguste Romand, à Louhans, 1883.
  23. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections législatives 2022 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Calamités climatiques », article d'André Jeannet paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 98 de juin 1994 (pages 22 à 24).