[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Sons of Samoa

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sons Of Samoa
Date de fondation 1976
Lieu Drapeau des États-Unis États-Unis
Territoire États-unis (Californie du Sud, Utah, Washington, Hawaï), Australie, New Zealand
Années actives 1976–présent
Ethnies présentes Samoane
Activités criminelles
Alliés Crips
Rivaux P.V.C. (Park Village Crip)

Sons Of Samoa est un gangs de rue affilié au Crips, basée à Long Beach, Californie, États-unis. Ses membres se compose principalement des Samoans Américains.

Le gang a été formé en 1976 pour protéger les immigrants Samoan des gangs de la communauté d'afro-Américains et Hispaniques dans les des banlieues pauvres de Long Beach, en Californie. Il s'est depuis étendue à d'autres villes de californie du Sud, ainsi que d'autres états avec des communautés samoanes. Le gang a adopté la culture Crips et, depuis, se sont alignés avec le plus grand gang afro-Américain[1].

À l'origine, un gang formé dans un but de protection, les Sons Of Samoa ont vu le jour dans des quartiers pauvre ayant une substantielle communauté issus des îles du Pacifique. Ils sont impliqués dans des crimes violents, qui généralement commis par des membres plus jeunes, ainsi que le crime organisé, qui est principalement l'activité des plus âgés et ambitieux membres de la bande. Les Sons Of Samoa sont fortement impliqués dans l'extorsion de fonds, l'assassinat ainsi que la production et de la distribution de méthamphétamine. Ils sont également connus pour le racket des autres distributeurs de drogue[2]. Sur la Plage de Long beach, le gang plus organisé est impliqué dans cocaïne ainsi que dans le trafic d'armes[3].

Article connexe

[modifier | modifier le code]

Notes et Références

[modifier | modifier le code]
  1. (en) « The Gang's Not Here Any More : Santiago High Player Gave Up Street Life », Los Angeles Times,‎ (lire en ligne).
  2. « Archived copy » [archive du ] (consulté le )
  3. (en) « The Gangs of Long Beach : Signs Are Obvious: Graffiti, Poverty, Drugs, Turf Wars, Murders », Los Angeles Times,‎ 1e décembre 1985 (lire en ligne).