Nohanent
Nohanent | |||||
Place de la Farge. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Clermont-Ferrand | ||||
Intercommunalité | Clermont Auvergne Métropole | ||||
Maire Mandat |
Laurent Ganet 2020-2026 |
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Code postal | 63830 | ||||
Code commune | 63254 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 249 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 535 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
273 078 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 48′ 31″ nord, 3° 03′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 385 m Max. 634 m |
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Superficie | 4,20 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Clermont-Ferrand (banlieue) |
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Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cébazat | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Nohanent (prononcé /no.nɑ̃/[1]) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Nohanent est située au nord-ouest de l'agglomération de Clermont-Ferrand, à 4,2 km à vol d'oiseau[2], dans le canton de Cébazat depuis mars 2015[3].
Quatre communes sont limitrophes[4] :
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 918 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sayat_sapc », sur la commune de Sayat à 2 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0 | 0,3 | 2,4 | 4,9 | 8,5 | 12,1 | 14 | 13,9 | 10,5 | 7,7 | 3,3 | 0,9 | 6,5 |
Température moyenne (°C) | 3,4 | 4,2 | 7,3 | 10 | 13,8 | 17,6 | 19,7 | 19,6 | 15,7 | 12,2 | 6,9 | 4,1 | 11,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,7 | 8,1 | 12,1 | 15,2 | 19,2 | 23,1 | 25,4 | 25,3 | 20,9 | 16,6 | 10,5 | 7,4 | 15,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,7 05.01.1995 |
−15 05.02.12 |
−15,9 01.03.05 |
−6,7 08.04.03 |
−1 15.05.1995 |
2,7 04.06.01 |
5,9 17.07.00 |
4,5 30.08.1998 |
2 30.09.1995 |
−5,4 29.10.1997 |
−11,2 22.11.1998 |
−13,3 15.12.01 |
−15,9 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,4 27.01.16 |
22,5 20.02.1998 |
25,2 24.03.01 |
27,7 30.04.05 |
32,3 11.05.12 |
38,4 27.06.19 |
39,1 03.07.15 |
39,5 24.08.23 |
33,6 10.09.11 |
32,2 02.10.23 |
23,6 08.11.15 |
20,4 24.12.12 |
39,5 2023 |
Précipitations (mm) | 56,2 | 48,4 | 49,5 | 72,6 | 73,7 | 71,4 | 78,1 | 67,1 | 65,9 | 60,4 | 68,7 | 64,1 | 776,1 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Nohanent est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-Ferrand[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42 %), zones urbanisées (23,5 %), cultures permanentes (18,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,1 %), prairies (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la route départementale 764 reliant Sayat au nord et les quartiers nord-ouest de Clermont-Ferrand ; la RD 943 y passe plus à l'ouest (axe menant à Volvic et Pontgibaud). Les départementales 2 (vers Blanzat et Cébazat) et 775 (vers Chanat-la-Mouteyre) intersectent à Nohanent[4].
-
Entrée par la D 2E.
-
Entrée par la route en provenance de Sayat.
-
D 764 vers Sayat et Blanzat.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Elle est également desservie par la ligne 32 du réseau T2C, reliant la place Gaillard (correspondance avec le tramway) à Sayat (une correspondance est aussi possible avec la ligne C). Cette ligne est exploitée par un transporteur indépendant. Le transport à la demande est opérationnel aux heures creuses[17].
Transport ferroviaire
[modifier | modifier le code]La ligne d'Eygurande - Merlines à Clermont-Ferrand passe sur quelques mètres au sud-ouest de la commune[4]. La gare la plus proche est à Durtol (gare de Durtol - Nohanent).
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Selon Ambroise Tardieu, vers 1070, Ermengarde de Rochedagoux, dame de Sauvagnat et de Nohanent décida de donner ses terres à l'évêque de Clermont. Une guerre entre les hommes de l'évêque et les neveux d'Ermengarde s'ensuivit. L'ultime bataille eut lieu dans la plaine de Mozac et fut remportée par la famille de Rochegadoux qui garda donc ces fiefs.
En 1313, Astorg de Nohanent rendit foi et hommage à l'évêque de Clermont. La famille Gayte[Note 4] a possédé une partie de cette seigneurie durant de nombreuses générations. Des bornes au nom des Gayte auraient été découvertes en bordure du village mais il ne semble pas qu'il en ait été fait mention dans des écrits. D'après Chabrol, la possession par eux d'une partie de Nohanent remonterait à 1351 mais il n'en existe aucune trace dans les archives.
Période moderne
[modifier | modifier le code]Le premier de cette famille de Nohanent dont le fief en comprenait à coup sûr une partie était Yves Gayte en 1523. En 1694, Ignace du Gour partageait la seigneurie avec Antoine Gayte et en 1696, Nohanent était indivis entre trois seigneurs : Gayte, Lebrun et Chabre. Les Lebrun[Note 5] devinrent au cours du XVIIIe siècle les seigneurs à part entière de Nohanent qui passa en 1737, aux Ribeyre par le biais du mariage entre Gabriel de Ribeyre et Marie Lebrun, fille d'Antoine Lebrun, receveur des tailles à Issoire. Leur fils vendit le fief en 1783 à Jean-Paul Chardon, chevalier et seigneur du Ranquet qui en fut le dernier seigneur en 1789[18].
Au milieu du XIXe siècle, la Bourgeoisie clermontoise ainsi que les curistes de la station thermale de Royat se mirent à produire une forte quantité de linge sale, et les eaux claires de la source Saint-Martial de Nohanent furent canalisées en nombreux lavoirs. La commune fut alors surnommée cité des Lavandières, les lavandières étant le nom donné aux blanchisseuses, en raison de leur utilisation d'essence de lavande pour parfumer le linge. Le village prospéra jusqu'au milieu du XXe siècle, date à laquelle l'arrivée des lave-linge rendit le travail des blanchisseuses obsolète.
Enfin, tout au long de la seconde moitié du XXe siècle, Nohanent se rapprochera de Clermont-Ferrand, s'assimilant peu à peu à la banlieue des classes moyennes de la ville. Ce rapprochement fut finalement concrétisé lorsque Nohanent rejoint Clermont Communauté en 1993.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Le maire sortant, Roland Labrandine (liste UG), s'est représenté aux élections municipales de 2014, mais est battu par Laurent Ganet (DVD), qui a obtenu 58,62 % des suffrages exprimés au 1er tour (734 voix sur 1 252 exprimés). 78,08 % des électeurs ont voté (1 286 votants sur 1 647 inscrits)[19].
La liste UMP menée par Brice Hortefeux a recueilli la majorité des suffrages exprimés dans la commune (21,31 %), suivie par la liste FN de Bernard Monot (19,33 %). 51,38 % des électeurs ont voté aux élections européennes de 2014[20].
La commune a changé de canton en mars 2015 à l'occasion des élections départementales : dans le nouveau canton de Cébazat auquel Nohanent fait partie, le binôme Colette Béthune - Flavien Neuvy (Union de la droite), élu[21], a recueilli 56,44 % des voix[22]. Le taux de participation est de 54,54 %[22], plus élevé que dans le canton (51,04 %)[21].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le maire sortant, Laurent Ganet, a été réélu au premier tour des élections municipales de 2020, tenu le . Le conseil municipal, réuni en pour élire le maire, a désigné cinq adjoints[23].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Nohanent est jumelée avec le village allemand d'Oberreute, petit bourg de Bavière près de la frontière autrichienne.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2021, la commune comptait 2 249 habitants[Note 7], en évolution de +2,46 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Nohanent accueillait chaque année le festival de musique, Osmose festival, considéré par certains comme « le festival du Puy-de-Dôme ».
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Nohanent compte deux édifices inscrits aux monuments historiques :
- une croix, située en bordure du chemin des Côtes, datant du XVIe siècle, classée MH le 11 février 1972[31] ;
- le plateau dit des côtes de Clermont, à cheval sur les communes de Blanzat, Clermont-Ferrand et Durtol, datant du deuxième âge du fer, inscrit le 15 décembre 1986[32].
Parmi les autres monuments non protégés :
- Église Saint-Martial.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]La commune adhère au parc naturel régional des volcans d'Auvergne.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Christian Bouchardy, auteur de livres, de films animaliers et président de la LPO Auvergne[33].
- Antoine Jeudy Dugour (1766-1840), auteur imprimeur libraire traducteur né à Nohanent, il devint professeur à l'école centrale de la Seine en 1800, puis émigrera en Russie (1804) après avoir fait de mauvaises affaires. Il y devint professeur et bibliothécaire de l'université de Kharkov (1805) et terminera sa carrière en tant que recteur de l'université impériale de Saint-Pétersbourg. Il fut naturalisé en 1812. « Jusqu'en 1839, il publie encore de nombreux ouvrages et essais à caractère historique, sociologique ou ethnographique sur la Russie, parfois sous le pseudonyme « M. de Gouroff ». Décédé à Odessa en 1840 »[34].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Clermont-Ferrand comprend une ville-centre et 16 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Armoiries d'argent à 3 hures de sanglier de sable.
- Armes : une colombe essorante, fendue en barre et trois étoiles en chef.
- Réélu en [23].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de la mairie
[modifier | modifier le code]Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Prononciation des noms de lieux : prononciation locale française » (consulté le ).
- « Orthodromie entre Nohanent et Clermont-Ferrand »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
- Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
- Carte de Nohanent sur le site Géoportail de l'IGN.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Nohanent et Sayat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sayat_sapc », sur la commune de Sayat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sayat_sapc », sur la commune de Sayat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Nohanent ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Guide horaires 2014-2015 T2C, p. 216-220.
- Grand Dictionnaire Historique du Département du Puy-de-Dôme d'Ambroise Tardieu.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats des élections européennes 2014 », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats des élections départementales 2015 - canton de Cébazat », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats des élections départementales 2015 », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Laurent Ganet réélu à Nohanent (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
- « La Chronique de l'Oppidum. Numéro 96 mars 2015. », Association pour la sauvegarde des Côtes de Clermont-Chanturgue.
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- « GANET LAURENT »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Croix située en bordure du chemin des Côtes », notice no PA00092218, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Plateau dit des Côtes de Clermont (également sur communes de Blanzat, Clermont-Ferrand et Durtol) », notice no PA00092498, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Nouvelle gouvernance pour la LPO en Auvergne », sur lpo-auvergne.org (consulté le ).
- « Antoine Jeudy Dugour (1766-1840) », sur data.bnf.fr (consulté le ).