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Milhac-de-Nontron

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Milhac-de-Nontron
Milhac-de-Nontron
Le village de Milhac-de-Nontron sous la neige.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Maire
Mandat
Pascal Méchineau
2020-2026
Code postal 24470
Code commune 24271
Démographie
Gentilé Milhacois
Population
municipale
495 hab. (2021 en évolution de −5,89 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 06″ nord, 0° 46′ 53″ est
Altitude Min. 151 m
Max. 331 m
Superficie 34,75 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nontron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Milhac-de-Nontron
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Milhac-de-Nontron
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Milhac-de-Nontron
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Milhac-de-Nontron

Milhac-de-Nontron [mijak də nɔ̃tʁɔ̃] est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie

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Généralités

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Dans le nord du département de la Dordogne, à l'intérieur du parc naturel régional Périgord-Limousin, la commune de Milhac-de-Nontron se trouve dans le Nontronnais. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Nontron[2], zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Nontron dont la commune ne faisait pas partie. Elle est arrosée par le Trincou et son affluent le ruisseau de l'Étang-Rompu qui tous deux prennent leur source sur le territoire communal.

Le bourg, implanté à l'intersection des routes départementales (RD) 82E1 et 707, se situe, en distances orthodromiques, onze kilomètres au sud-est de Nontron et autant à l'ouest-nord-ouest de Thiviers.

La commune est également desservie par deux autres routes départementales, la RD 82 à l'est et la RD 83E1 au nord-est.

Sur l'ancien tracé de la ligne ferroviaire de Saint-Pardoux-la-Rivière à Thiviers, une voie verte traverse la commune du sud-est au nord-ouest sur plus de sept kilomètres. Elle croise au sud-est le sentier de grande randonnée GR 361 qui fait une incursion d'environ cinq kilomètres sur le territoire communal.

Communes limitrophes

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Milhac-de-Nontron est limitrophe de cinq autres communes.


Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Milhac-de-Nontron est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

Carte géologique de Milhac-de-Nontron.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 151 m[7] au nord-ouest, près du lieu-dit Bordessoule, là où le ruisseau de Chantres, petit affluent de la Dronne, quitte la commune pour entrer sur celle de Saint-Pardoux-la-Rivière, et 331 m[7] à l'extrême nord-est, en limite de la commune de Saint-Saud-Lacoussière[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 34,75 km2[7],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 35,86 km2[5].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Milhac-de-Nontron.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Trincou, le ruisseau de Chantres, le ruisseau de l'Étang Rompu et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[16],[Carte 1].

Le Trincou, d'une longueur totale de 16,55 km, prend sa source dans la commune, à deux kilomètres au nord-est du bourg, et se jette dans la Côle en rive droite à Condat-sur-Trincou[17],[18]. Il traverse la commune vers le sud sur quatre kilomètres et demi.

Affluent de rive gauche du Trincou, le ruisseau de l'Étang-Rompu prend également sa source dans le nord-est, près de Mazeroux, et arrose le territoire communal sur plus de six kilomètres.

Affluent de rive gauche de la Dronne, le ruisseau de Chantres, ou ruisseau de Lajaunie dans sa partie amont, prend sa source dans le nord-est, près du lieu-dit Lajaunie et baigne le nord de la commune en direction de l'ouest sur près de quatre kilomètres.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et limousin[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 089 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Coquille à 17 km à vol d'oiseau[24], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 178,8 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Au , Milhac-de-Nontron est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[29]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,1 %), zones agricoles hétérogènes (44,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %), terres arables (0,7 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Milhac-de-Nontron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Milhac-de-Nontron est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Milhac-de-Nontron.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 80,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[40].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 1992 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

Milhac vient du gallo-roman Emelius, tiré du latin Aemelius[41].

En occitan, la commune porte le nom de Milhac de Nontronh[42].

Des traces d'habitat néolithique ont été relevées sur le territoire communal[41].

Au XIIIe siècle, Millac était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[43].

Politique et administration

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Intercommunalité

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Fin 1995, Milhac-de-Nontron intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793 1800 Pierre Puybonnieux    
1800 1803 Ratinaud Lessard    
1803 1816 André Pichon    
1816 1831 Jean Baptiste Martin    
1831 1836 Jean Jules Puibareau    
1836 1839 Jean Baptiste Martin    
1839 1843 Jules Gilbert Delanoue   Conseiller général des cantons de Saint-Pardoux-la-Rivière (1839-1848) et de Jumilhac-le-Grand (idem)
1843 1857 Jean Jules Puibareau    
1857 1869 Jean Baptiste Martin    
1869 1870 Alfred Besse Desmoulières    
1870 1871 Victorin Martin    
1871 1875 Alfred Besse Desmoulières    
1875 1878 Jean Jules Puibareau    
1878 1892 Charles Albert Pabot Lavergne    
1892 1903 Adrien Barry    
1903 1912 Élie Chadeau    
1912 1915 Alfred Besse Desmoulières    
1915 1919 Jean Lavaud    
1919 1947 Alfred Besse Desmoulières    
1947 1953 Paul Héraut    
1953 1983 Georges Combeau DVG  
1983 1997 Hubert Combalier    
août 1997[46] avril 2014 Francis Leblanc SE[47] puis DVD Retraité
avril 2014[48]
(réélu en mai 2020)
En cours Pascal Méchineau    

Équipements et services publics

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Dans le domaine judiciaire, Milhac-de-Nontron relève[49] :

Population et société

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Démographie

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Les habitants de Milhac-de-Nontron se nomment les Milhacois[50].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

En 2021, la commune comptait 495 habitants[Note 5], en évolution de −5,89 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2191 0651 0301 3991 6261 5201 5971 5081 518
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5191 5401 5051 5191 5291 5461 7781 4471 510
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5071 4631 3911 2431 2351 1631 1051 0101 006
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
800740702636573611603601541
2018 2021 - - - - - - -
495495-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 182 personnes, soit 34,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (21) a augmenté par rapport à 2010 (18) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,8 %.

Établissements

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Au , la commune compte soixante-cinq établissements[55], dont trente-cinq au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, cinq dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[56].

Entreprises

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Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la « Société d'exploitation des établissements Lionel Goudy » (travaux de charpente) implantée à Milhac-de-Nontron se classe en 37e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 125 k€[57].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine naturel

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Depuis sa création en 1998, le parc naturel régional Périgord-Limousin intègre la commune de Milhac-de-Nontron.

Au nord de la commune, le ruisseau de Chantres, affluent de la Dronne, est rattaché à la zone Natura 2000 du réseau hydrographique de la Haute Dronne[60].

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Milhac-de-Nontron » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. Aire d'attraction des villes 2020 de Nontron, Insee, consulté le .
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Milhac-de-Nontron » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Milhac-de-Nontron », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Milhac-de-Nontron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Milhac-de-Nontron », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. « Confluence Trincou-Côle au sud-ouest du dolmen de Peyrelevade » sur Géoportail (consulté le 17 août 2022)..
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  19. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
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  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Milhac-de-Nontron », sur Géorisques (consulté le ).
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  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
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