Marseille (série télévisée)
Titre original | Marseille |
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Genre | Série politique |
Création | Dan Franck |
Réalisation | Florent-Emilio Siri |
Production | Pascal Breton |
Acteurs principaux |
Gérard Depardieu Benoît Magimel Géraldine Pailhas Nadia Farès Stéphane Caillard Natacha Régnier |
Pays d'origine | France |
Chaîne d'origine | TF1 |
Nb. de saisons | 2 |
Nb. d'épisodes | 16 |
Durée | 52 minutes |
Diff. originale | – |
Site web | https://www.netflix.com/title/80037278 |
Marseille est une série télévisée française en seize épisodes de 52 minutes créée par Dan Franck et diffusée entre le et le sur Netflix.
Cette série est le premier programme français produit par Netflix. Elle a pour théâtre la mairie de Marseille. Les deux premiers épisodes sont diffusés gratuitement sur TF1 le en raison d'un partenariat inédit entre Netflix et TF1[1]. Les autres épisodes de cette saison seront diffusés à partir du sur la chaîne gratuite TF1 Séries Films[2].
Le scénario est écrit par Dan Franck. Pour la réalisation, Pascal Breton s'est entouré du réalisateur Florent-Emilio Siri.
La seconde saison de la série a été annoncée officiellement par Netflix en ; elle est diffusée depuis le en exclusivité sur Netflix[3].
Le , Netflix annonce l'annulation de la troisième saison de la série.
Synopsis
[modifier | modifier le code]Robert Taro est le maire emblématique de Marseille depuis 20 ans. Après une trahison politique il décide de se représenter et d'affronter Lucas Barrès, qu'il avait pourtant choisi comme successeur. Les deux candidats vont se livrer un combat sans merci au terme duquel un seul sortira vainqueur. Marseille met en scène une lutte au couteau entre les politiciens, les syndicats et les acteurs de l'ombre de la ville[4] sur fond de trafic de drogues.
Distribution
[modifier | modifier le code]Acteurs principaux
[modifier | modifier le code]- Gérard Depardieu : Robert Taro, maire UPM de Marseille (saison 1) puis président du Sporting Marseillais et conseiller d'opposition (saison 2)
- Benoît Magimel : Lucas Barrès, premier adjoint de Robert Taro, dauphin puis rival du maire (saison 1), maire de Marseille (saison 2)
- Géraldine Pailhas : Rachel Taro, femme du maire, violoncelliste
- Nadia Farès : Vanessa d'Abrantès, présidente UPM du conseil départemental des Bouches-du-Rhône
- Natacha Régnier : Jeanne Coste, première adjointe de Lucas Barrès puis maire de Marseille, membre du Parti Français (saison 2)
- Stéphane Caillard : Julia Taro, journaliste à La Provence et fille de Robert et Rachel Taro
Acteurs récurrents
[modifier | modifier le code]- Hippolyte Girardot : Dr Jean-Michel Osmond, ami de Robert Taro
- Éric Savin : Pharamond, le rédacteur en chef de La Provence
- Daniel Njo Lobé : Fred, ancien flic et chauffeur de Robert Taro
- Pascal Elso : Pierre Chasseron, chef de file du Parti du Centre, ancien trésorier de l'UPM
- Lionel Erdogan : Alain "Costa" Costabone, directeur de cabinet de Robert Taro
- Nassim Si Ahmed : Selim (saison 1)
- Guillaume Arnault : Éric
- Hedi Bouchenafa : Farid, le caïd de la cité Félix Pyat
- Jean-René Privat : Ange Cosini (saison 1)
- Maruschka Detmers : Sabine Avery, la secrétaire générale de l'UPM (saison 1)
- Gérard Meylan : Michel Duprez, tête de liste PS à la mairie de Marseille
- Antoine Coesens : le représentant du promoteur immobilier (saison 1)
- Quentin Baillot : Guillaume Guénelon, n°2 du Parti Français
- Nozha Khouadra : Chaïma Joste, colistière de Robert Taro
- Carolina Jurczak : Barbara, assistante personnelle de Lucas Barrès et colocataire de Julia Taro (saison 1) puis employée à la communication du Sporting Marseillais (saison 2)
- Mourad Tahar Boussatha : Nasser (saison 1)
- Azize Kabouche : Bassem, propriétaire du Sporting Marseillais (saison 2)
- Vladimir Consigny : Driss, fils de Bassem (saison 2)
- Toussaint Martinetti : Jacques Monnier, directeur financier du Sporting Marseillais (saison 2)
- Sophie Payan : avocate du consortium (saison 2)
- Djinda Kane : Rubi Diabo, chef du club de supporters Massalia Force, institutrice à l'école Charles Péguy, copine de Barbara et amie de Rachel Taro (saison 2)
- Laurence Cormerais : procureure de Marseille (saison 2)
- Malik Elakehal El Miliani : capitaine de police (saison 2)
- Sarah Brooks : copine d'Ange Cosini (saison 1). Elle a par la suite mis en cause Gérard Depardieu pour agression sexuelle lors du tournage.
Plusieurs journalistes jouent leur propre rôle, comme Noémie Dahan, Patrick Cohen, David Pujadas, Olivier Truchot ou Michaël Darmon.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Scénario : Dan Franck (saison 1) ; Philippe Pujol, Marie-Anne Le Pezennec et Thierry Aguila (saison 2)[5]
- Réalisation et showrunner : Florent Emilio-Siri (saison 1 et 2), Laïla Marrakchi (saison 2)[5]
- Sociétés de production : Netflix et Federation Entertainment
- Musique : Ya Sîdî d'Orange Blossom
Épisodes
[modifier | modifier le code]Première saison (2016)
[modifier | modifier le code]- 20 ans
- Homme de paille
- Crocodile
- Intox
- Face à face
- Liberté, égalité, sans pitié
- A voté
- La Lutte finale
Deuxième saison (2018)
[modifier | modifier le code]La deuxième saison a été tournée au printemps 2017, elle contient 8 épisodes et est diffusée à partir du sur Netflix uniquement[3].
- Parjure
- Emprise
- Conquête
- Résistance
- Capitulation
- Révélation
- Abandon
- Justice
Production
[modifier | modifier le code]Joris Evers, directeur de la Communication Europe de Netflix, a donné en mars 2015 lors du MWC de Barcelone des informations sur le planning de Marseille : « nous finissons l'écriture, le casting va démarrer prochainement, la production commencera cet été et la série sera sur Netflix avant la fin de l'année dans le monde entier »[6].
Le tournage a commencé le [7]. La série est disponible depuis le sur Netflix.
Promotion
[modifier | modifier le code]Dans le cadre de la promotion de la série, la ville de Marseille en partenariat avec Netflix, propose la diffusion en avant-première des deux premiers épisodes de la série dans l'auditorium du Palais du Pharo[8].
La municipalité a également fait installer les lettres de la ville stylisées selon le logotype de la série sur les hauteurs de la ville, dans le quartier de La Viste, à la façon du célèbre panneau Hollywood[9].
Réalisme et satire de la politique française
[modifier | modifier le code]Dans le cadre d'une élection municipale, les deux partis politiques principaux mis en scènes dans la série sont l'UPM et le Parti de Gauche. Ils évoquent les deux grands partis politiques français l'UMP et le PS. Figure également le Parti français, évoquant le Front national. Les sondages d'opinion en vue des élections sont mis en scène de façon la plus réaliste possible, ainsi que le débat télévisé du second tour entre les deux candidats de « l'UPM », Taro et Barrès, à l'image de la tradition du débat télévisé du second tour de l'élection présidentielle française. Gravitent autour de cette mise en scène qui se veut réaliste des radios, des chaînes de TV, des journaux et des présentateurs puisés dans la réalité: David Pujadas présentant le journal de TF1, Patrick Cohen interviewant le personnage de Robert Taro, BFM TV, France 2, France 3, iTELE, l'émission radiophonique des Grandes Gueules mentionnée par le personnage de Lucas Barrès, France Info, le journal La Provence, etc. Le sport est aussi évoqué avec le club de foot local, le Sporting Marseillais, évoquant l'OM et les problèmes de paiement du stade rénové[10].
Les tactiques électorales controversées mises en scène dans la série sont elles aussi puisées dans le monde réel. C'est le cas des alliances entre deux partis politiques ayant pour but de remporter des élections. À l'image du personnage de Robert Taro s'alliant avec le personnage de Duprez, tête de liste socialiste, afin de remporter les élections municipales de la ville de Marseille, il est fréquent que les candidats politiques français procèdent à des alliances bipartisanes afin de remporter des élections, notamment à l'issue du premier tour d'une élection[11],[12],[13],[14],[15]. Les tactiques électorales illégales mises en scène dans la série sont elles aussi inspirées de la réalité. C'est le cas de la fraude électorale dont use le personnage de Lucas Barrès[16],[17]. Celui-ci, avec le support du mafieux Ange Cosini, fait murer les portes de certains bureaux de vote la veille des élections. Il diffuse aussi des bulletins de vote non conformes dans les secteurs votant majoritairement pour Taro, invalidant ainsi leurs votes. L'usage de tactiques électorales illégales a en effet été observé dans la réalité, comme en témoigne la jurisprudence du Conseil constitutionnel[18]. C'est aussi le cas des manipulations illégales de votes, observées dans la réalité[19],[20],[21], et toujours orchestrés par Barrès, lorsque celui-ci, à l'aide de Cosini, influence illégalement des votes dans les cités marseillaises. S'il n'use pas de tactiques illégales, le personnage de Robert Taro, quant à lui, recourt à des vices de procédure lorsqu'il évince un candidat tête de liste la veille des élections.
Accueil critique
[modifier | modifier le code]L'accueil de la série par la presse française est extrêmement négatif. Pierre Langlais pour Télérama juge que cette première série française produite par Netflix est un « ratage tellement énorme qu'il en deviendrait presque fascinant » et qu'au lieu du thriller attendu, le public se retrouve devant un « soap maladroit »[22]. Le jugement est tout aussi sévère pour Le Monde, qui évoque un « accident industriel », une « bouse », qui « ressemble à une série des années 1990 » et dans laquelle les acteurs ne sont pas dirigés, les dialogues ne fonctionnent pas et qui prend « les spectateurs pour des imbéciles »[23]. L'AFP écrit que « le casting prestigieux peine à installer une intrigue, desservie par ses dialogues »[24]. Pour Ouest-France, la campagne promotionnelle de la série ne propose que « du vent et un malaise palpable », flairant « l'ambition manquée et un projet bancal »[25]. Le journaliste de Télé 2 semaines, Alain Carrazé, parle d'une « catastrophe », comparant la série à un « gros épisode de Plus belle la vie » ou à une « vieille saga de l'été des années 1990 »[26]. Même critique pour L'Express, qui compare également la série à « une saga de l'été des années 1990 », plombé par son propos « très mélodramatique », une caractérisation des personnages trop chargée, un déséquilibre entre l'intrigue politique et l'intrigue familiale ainsi qu'une tendance « à multiplier les rebondissements plutôt que de creuser les émotions »[27]. Les Inrockuptibles évoque une « catastrophe accumulant les clichés ». L'hebdomadaire décrit une série « aussi surfilmée que vide de sens et de capacité à émouvoir », mâtiné d'« un soupçon d’accent local raté, une dose de soleil brûlant, le tout arrosé d'un sexisme de base parfaitement vulgaire »[28]. Le Figaro parle également de « ratage » et d'un « vulgaire mélo », comparant la série à une sorte de « Dallas phocéen érotico-démodé ». La faute à une « narration linéaire, formatée, dans la veine des sagas d’été des années 1990 », à la « vulgarité assommante des dialogues », des acteurs en roue libre et une mise en scène dans laquelle la ville « reste abstraite malgré de sublimes vues aériennes »[29]. Beaucoup de ces mêmes critiques font références à des dialogues graveleux et vulgaires, compilés sur un tumblr[30]. Le site AlloCiné, ayant recensé dix critiques presse, attribue à la série une moyenne de 1,7⁄5[31].
La presse étrangère ne se montre guère plus enthousiaste. Pour The Hollywood Reporter, Marseille « est très américain, mais dans le mauvais sens du terme », ajoutant que le produit est « calamiteux sur de nombreux points ». Le magazine américain incrimine des dialogues « mal assemblés » et « des fioritures musicales rappelant les telenovelas espagnoles ». Le journal allemand Die Zeit pointe les clichés véhiculés par la série et écrit que « les intrigues secondaires n'apportent pas plus de réalisme que l’histoire principale mais consolident les stéréotypes ». Le personnage joué par Benoît Magimel y est décrit comme « fatigant » et « finalement assez transparent ». La version italienne de Vanity Fair note que la série « ne tient pas la comparaison avec House of Cards, tant dans la qualité de sa production que par l'originalité de l'histoire » tandis que le journal anglais The Times parle d'un « thriller politique graveleux ». Le quotidien suisse Le Temps compare la série à « du TF1, millésime 1990 », ajoutant que « Marseille ne sent pas le large, ni le Sud, mais la poussière et la crème grasse, comme chez les vieux sous la pendule d'argent. Une odeur sèche et douce à la fois, rassurante, ennuyeuse ». Pour La Libre Belgique, la série « semble errer sans but ». Le journal note : « les dialogues sont répétitifs et parfois terriblement rabâchés. Boursouflée comme la grenouille de la fable, aussi digeste qu’une pièce montée pour mariage mégalomane, Marseille manque à la fois de fond et de conviction. Une chose reste incompréhensible : cette propension à inscrire au cœur de chaque épisode des résumés de ce qui vient de se dire entre deux personnages. Comme si le public avait le QI d'un bulot… »[32]. Le journal néerlandais NRC Handelsblad, s'il souligne la crédibilité des acteurs et de leurs personnages, incrimine un récit qui ne parvient pas créer d'excitation et pointe la fadeur des dialogues[33].
Face à toutes ces critiques, Gérard Depardieu doute que le public les lise[34]. De son côté, le scénariste Dan Franck a dénoncé les libertés des réalisateur et producteur vis-à-vis de son scénario de la saison 1, dont il dit s'être senti « dépossédé »[35], et il a exigé de n'être mentionné au générique que comme « créateur », renonçant à être crédité pour la direction artistique, le scénario et les dialogues[36].
Les critiques de la saison 2 sont légèrement meilleures, déclarant que l'aspect nanardesque est gommé, de même que les scènes de sexe complaisantes et l'accent de Magimel, mais pointent l'insipidité de la réalisation et du récit, certains journalistes en regrettent même les aspects involontairement comiques[37],[5],[38].
Accueil du public
[modifier | modifier le code]La série reçoit un meilleur accueil des internautes votants puisqu'elle obtient la note de 7,1 sur 10 sur IMDb[39], 3,2 sur 5 sur Allociné[40], et 3,3 sur 5 par des utilisateurs votants de Netflix[41] et les premiers spectateurs lors de la projection en avant-première au palais du Pharo ont plutôt apprécié[42],[43].
Le premier épisode, diffusé en clair sur TF1 le , a rassemblé 4,4 millions de téléspectateurs (soit 19,8 % de part d’audience), ce qui classe TF1 leader de la soirée, malgré le mauvais accueil critique. Le second épisode rassemble lui 3,94 millions (soit 18,8 % de part d'audience)[réf. nécessaire].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Pour sa série Marseille, Netflix conclut un partenariat inédit avec TF1 », sur lesechos.fr (consulté le )
- Marseille : l'intégralité de la saison 1 diffusée en février sur TF1 Séries Films, article de Allociné le 30/02/2017.
- « LA SAISON 2 DE MARSEILLE, DISPONIBLE SUR NETFLIX LE 23 FÉVRIER DÉCOUVREZ LES PREMIÈRES IMAGES DES NOUVEAUX ÉPISODES. », sur [fr] Netflix Media Center (consulté le )
- Marseille, première série en France pour Netflix, article de DailyMars le 28/08/2014.
- « Marseille, saison 2 : c'est moins nul, mais pas nécessairement mieux », sur Télérama,
- « Les petits secrets de Netflix pour augmenter votre consommation de séries »
- « Gaudin ironise sur Depardieu, "l'autre maire" de Marseille »,
- « Ville de Marseille », sur www.facebook.com (consulté le ).
- « Marseille en lettres hollywoodiennes ! », sur LaProvence.com (consulté le ).
- « Marseille : 5 bonnes raisons de regarder la saison 2 sur Netflix », sur Première,
- La Voix du Nord, « Alliances électorales à Maubeuge: une guerre des Verts à l'horizon? », sur La Voix du Nord (consulté le )
- Le Parisien, « Au MoDem, le casse-tête des alliances électorales - Le Parisien », sur m.leparisien.fr (consulté le )
- La-Croix.com, « PS à la Rochelle: alliances électorales délicates et tensions sur l'économie », sur La Croix (consulté le )
- « Souhaits d’alliances des Français pour les régionales : le sondage qui devrait inquiéter la gauche », sur Atlantico.fr (consulté le )
- « Christine Boutin veut former une alliance électorale avec l'UMP pour 2014 », sur Le Monde.fr (consulté le )
- « A Thionville, les coulisses de la fraude électorale aux «petits vieux grabataires» », sur Mediapart (consulté le )
- « Fraude électorale aux municipales de 2008 à Carcassonne : deux jours de procès », sur Lindependant.fr (consulté le )
- NEXINT, « Synthèse du Conseil constitutionnel regroupant des faits avérés de fraude électorale en France », sur www.conseil-constitutionnel.fr, (consulté le )
- « Manipulations illégales de votes: jurisprudence 3 »
- « Manipulations illégales de votes: jurisprudence 1 »
- « Manipulations illégales de votes: jurisprudence 2 »
- « Carton rouge pour Marseille, le premier navet "maison" de Netflix », Télérama, 27 avril 2016.
- Marseille – Et soudain, c'est le drame sur lemonde.fr du 28 avril 2016
- Marseille : La série de Netflix flinguée par la critique sur ozap.com le 27 avril 2016
- Marseille de Netflix, que de la com' sur ouest-france.fr du 25 avril 2016
- Marseille, la série de Netflix : "une saga d'été des années 1990 !" sur europe1.fr du 2 mai 2016
- Séries: le Marseille de Netflix, très loin de House of Cards sur lexpress.fr du 1er mai 2016
- Pourquoi Marseille est une catastrophe accumulant les clichés sur lesinrocks.com du 4 mai 2016
- Marseille de Netflix, autopsie d'un ratage sur tvmag.lefigaro.fr du 5 mai 2016
- Tumblr Marseille La Série
- « Critique presse : Marseille » [vidéo], sur Allociné (consulté le ).
- Aïe, la série Marseille se fait aussi flinguer à l'étranger sur telerama.fr du 6 mai 2016
- (nl) Netflix-serie : Marseille kan niet tippen aan House of Cards
- Public, Face aux mauvaises critiques de la série Marseille, Gérard Depardieu sort encore la sulfateuse
- « Marseille : "J'ai ressenti la dépossession de mon scénario" confie Dan Franck, scénariste de la saison 1 », sur 20 Minutes,
- « "Marseille" arrêtée : pourquoi la série de Netflix a viré au fiasco », sur capital.fr,
- « Marseille : une saison 2 en dessous du niveau de la mer », sur Le Point,
- « Marseille saison 2 : finies les bouffonneries, bonjour l'ennui », sur Les Inrocks,
- Marseille, (lire en ligne)
- AlloCine, « Critiques de Marseille », sur AlloCiné (consulté le )
- « Marseille : les abonnés de Netflix aiment la série », sur ZDNet France (consulté le )
- "La Provence" : Marseille sur Netflix : critiques et public pas vraiment d'accord....
- BFM TV que vaut vraiment la nouvelle série de Netflix
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Nathalie Chifflet, « Marseille, le zéro de la série 100 % française », Le Républicain lorrain N° 1568, Groupe Républicain Lorrain Communication, Woippy, , p.3, (ISSN 0397-0639)
- Propos recueillis par Nathalie Chifflet, « Florent Emilio Siri : Depardieu et Magimel ensemble, un rêve »», Le Républicain Lorrain N° 1568 , Groupe Républicain Lorrain Communication, Woippy, , p.16, (ISSN 0397-0639)
- Propos recueillis par Elisabeth Perrin, « Je déteste les hommes politiques. Gérard Depardieu est les héros de Marseille, diffusée sur TF 1 Séries Films, avant l'arrivée de la saison 2 sur Netflix », Le Républicain Lorrain N° 2214, Groupe Républicain Lorrain Communication, Woippy, , p.16, (ISSN 0397-0639)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
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