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Marcé-sur-Esves

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Marcé-sur-Esves
Marcé-sur-Esves
Église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
Gérard Dubois
2020-2026
Code postal 37160
Code commune 37145
Démographie
Gentilé Marcéens
Population
municipale
243 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 01′ 54″ nord, 0° 39′ 18″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 112 m
Superficie 10,99 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Descartes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Marcé-sur-Esves
Géolocalisation sur la carte : France
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Marcé-sur-Esves
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
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Marcé-sur-Esves
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Marcé-sur-Esves

Marcé-sur-Esves est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Communes limitrophes

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Marcé-sur-Esves est limitrophe des communes suivantes[1] :

Communes limitrophes de Marcé-sur-Esves
Draché, Sepmes
La Celle-Saint-Avant Marcé-sur-Esves Civray-sur-Esves
Descartes

Hydrographie

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Réseau hydrographique de Marcé-sur-Esves.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 9,66 km, comprend un cours d'eau notable, l'Esves (5,477 km), et deux petits cours d'eau pour certains temporaires[2],[3].

L'Esves, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source à 135 m d'altitude à Betz-le-Château[4]. et se jette dans la Creuse à Descartes, à 44 mètres d'altitude[5], après avoir traversé 12 communes[6]. Sur le plan piscicole, l'Esves est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 1 099 hectares ; son altitude varie entre 50 et 112 mètres[8].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Épain à 16 km à vol d'oiseau[11], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 745,6 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Au , Marcé-sur-Esves est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[16]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76 %), forêts (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Marcé-sur-Esves est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 28,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 134 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 38 sont en aléa moyen ou fort, soit 28 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

Toponymie et hydronymie

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  • Marcé : la première mention de Marcé est sous la forme Marciacus (capitulaires de l'Abbaye Notre-Dame de Noyers) qui signifie : relatif à (Suffixe -acum, d'origine celtique) Marcius, nom romain ou gallo-romain. Soit, le domaine de Marcia ou Marcius. La transformation de -acus en est courante dans le Centre -Ouest de la France[24]
  • Esves : Ce nom évoque ève : eau en Poitevin ou Essève : canal d'assainissement en ancien français[25].

XVIIe et XVIIIe siècles

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Marcé-sur-Esves a fourni (au moins) deux émigrants à l'Amérique française :

  • Stèle à la mémoire de Claude Sauvageau
    Claude Sauvageau, né à Saint-Martin-de-Marcé (ancien nom de Marcé-sur-Esves) en 1646. Il épouse Jeanne Legendre, une fille du Roi, en 1669 au Cap-de-la-Madeleine (Québec)[26]. En 1993 le conseil municipal de Marcé et des descendants de Claude Sauvageau, très nombreux au Québec, ont fait dresser une stèle près de l'église de Marcé avec une plaque à sa mémoire[27].
  • Pierre Menon, marié à Marie-Louise Mangin en 1760 à Fort Vincennes, (Vincennes (Indiana), aujourd'hui)[28].

1940-1944 : l'Occupation allemande et la Résistance

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Pendant cette période, Marcé, situé à proximité immédiate de la Ligne de démarcation est concerné par les actions des réseaux de passeurs et des résistants en particulier par les groupes de l'Abbé Henri Péan, curé de Draché, de Marie-Thérèse de Poix à Sepmes et d'André Goupille de la Haye-Descartes (Indre-et-Loire). Alphonse Cathelin et l'Abbé François-Xavier Schmidt, curé de Marcé-sur-Esves y participèrent notamment comme passeurs. Ils étaient présents lors de la réception du parachutage de la nuit du 3- à Sepmes, des armes leur étaient destinées. Alphonse Cathelin est arrêté le et déporté, l'Abbé Schmidt réussit à s'échapper[29].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Gérard Dubois DVD Retraité - Conseiller général puis départemental
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 243 habitants[Note 2], en stagnation par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
300270250310293322346340324
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
351344334291302299314305302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
315311307277271303299287294
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
299289276252232227238244229
2014 2019 2021 - - - - - -
245240243------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,1 % la même année, alors qu'il est de 27,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 113 hommes pour 128 femmes, soit un taux de 53,11 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,91 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,4 
8,8 
75-89 ans
12,6 
21,2 
60-74 ans
18,9 
28,3 
45-59 ans
22,8 
15,9 
30-44 ans
11,0 
12,4 
15-29 ans
14,2 
13,3 
0-14 ans
18,1 
Pyramide des âges du département d'Indre-et-Loire en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,2 
7,9 
75-89 ans
10,2 
17,3 
60-74 ans
18,1 
19,8 
45-59 ans
19,1 
17,9 
30-44 ans
17,2 
18,5 
15-29 ans
17,5 
17,6 
0-14 ans
15,6 

Enseignement

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Marcé-sur-Esves se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La Pierre de Faon

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Cette construction est située près de la ferme de la Pierre à proximité de la route de la Celle-Saint-Avant à Sepmes, appelée aussi chemin rural n°7. Il s'agit d'un bloc de maçonnerie d'environ 3 m de côté, seul vestige d'un monument dont le parement, probablement en blocs de grand appareil, a disparu[36]. En 2017, il semble bien moins haut et se trouve caché par des buissons. Il est sans doute à mettre en relation avec l'hypothétique voie romaine de Poitiers à Amboise par Sepmes. Il est généralement interprété comme une pile romaine du IIe ou IIIe siècle[37]. Ces piles soutenaient des monuments divers comme des statues et ont souvent servi de monuments funéraires. La Pierre de Faon est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1938[38].

On pourrait aussi risquer fanum (petit temple) comme étymologie de Faon, même si cela ne préjuge pas de la nature du monument[39].

La commune compte également l'église paroissiale Saint-Martin.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  3. « Carte hydrologique de Marcé-sur-Esves », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Source de l'Esves » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
  5. « Confluence de l'Esves avec la Cruese » sur Géoportail (consulté le 28 novembre 2015)..
  6. « Fiche Sandre - l'Esves », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  7. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. Institut national de l'information géographique et forestière, "Répertoire géographique des communes", [lire en ligne].
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Marcé-sur-Esves et Saint-Épain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Saint-Épain », sur la commune de Saint-Épain - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Saint-Épain », sur la commune de Saint-Épain - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Marcé-sur-Esves ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tours », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Marcé-sur-Esves », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 147.
  25. André Pégorier, Les noms de lieux en France, IGN, (lire en ligne).
  26. Laurier Duchesne, Ancêtres et familles en Nouvelle-France, Tempere, Atramenta, (lire en ligne), p. 26-27 (tome 4).
  27. « Généalogie Claude Sauvageau », sur Généalogie du Québec et d'Amérique française (consulté le ).
  28. Jean-Louis Charlot, « Ces pionniers qui ont fait l'Amérique française », La Renaissance Lochoise,‎ (lire en ligne).
  29. Dutardre, Jean-Gilles,, La vicomtesse Marie-Thérése de Poix (1894-1970) : au cœur de la Résistance, Chinon, Anovi, , 32-33 p. (ISBN 978-2-914818-81-0, OCLC 911260513, lire en ligne), p. 138.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marcé-sur-Esves (37145) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département d'Indre-et-Loire (37) », (consulté le ).
  36. Jacques Seigne, « Les piles funéraires gallo-romaines », dans Élizabeth Zadora-Rio (dir.), Atlas Archéologique de Touraine : 53e Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, Tours, FERACF, (lire en ligne).
  37. Jacques Dubois, Archéologie aérienne : Patrimoine de Touraine, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 208 p. (ISBN 2-84910-264-4), p. 88.
  38. Notice no PA00097862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales, Paris, Errance, coll. « les Hespérides », , 224 p. (ISBN 2-87772-332-1), p. 137.