[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Montamisé

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Montamisé
Montamisé
L'église Notre-Dame.
Image illustrative de l’article Montamisé
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Grand Poitiers
Maire
Mandat
Corine Sauvage
2020-2026
Code postal 86360
Code commune 86163
Démographie
Gentilé Montamiséens
Population
municipale
3 698 hab. (2021 en évolution de +4,26 % par rapport à 2015)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 37′ 18″ nord, 0° 25′ 29″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 144 m
Superficie 31,71 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Montamisé
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chasseneuil-du-Poitou
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montamisé
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montamisé
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Montamisé
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Montamisé
Liens
Site web montamise.fr

Montamisé est une commune du Centre-Ouest de la France située au nord-est de Poitiers, dans le département de la Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont les Montamiséens et les Montamiséennes.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune est située en plein cœur du département de la Vienne, à 6 km au nord de Poitiers et à 7 km du Futuroscope.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Biard à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par le réseau Vitalis.

La commune est desservie par la ligne 22 en desserte locale et par les lignes scolaires S35, S70, S71, S72 et S80 du réseau de transports en commun Vitalis[8].

Au , Montamisé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montamisé[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,9 %), forêts (34,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), zones urbanisées (8,6 %), prairies (5,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

Elle fait partie du Grand Poitiers.

Montamisé est constituée d’un bourg, situé sur une hauteur et de neuf hameaux principaux dispersés aux quatre coins de la commune : Charassé, Ensoulesse, Fontaine, la Germonière, la Richardière, le Petit Nieul, Mortiers, Sarzec et Tronc.

Les lieux-dits de la commune sont les suivants : Montrouge, Les Traits d'Ensoulesse, Le Chiron Ferré, Corsec (anciennement Coursec[15]), La Roche de Bran, Les Écuries de Corsec, Valembert, La Brialière, Le Grand Recoin, Les Royères, La Jouerie, Les Bruères, Montigny, La Gachetrie, Chaudronne, Les Fousserettes, La Gravière[16].

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montamisé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Montamisé est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[19]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[20], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [21],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montamisé.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[23]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 51,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2001 et 2010, par la sécheresse en 1990, 2002, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].

La légende de l’origine du nom Montamisé

[modifier | modifier le code]

On raconte qu’autrefois, le village était entouré d’une riche rivière large et profonde. Le pays, bien arrosé, comptait nombre de cultures riches de prairies. Le village dominait la vallée riante et les habitants vivaient heureux dans la prospérité.

Mais il existe toujours de « méchantes gens » et la rivière lésait leurs intérêts, d’autres étaient jaloux de leurs voisins dont les terres leur paraissaient mieux placées et plus aptes aux cultures.

Tant et si bien qu’un jour, un groupe de mécontents se mit en marche vers la source de la rivière. L’eau jaillissait claire et abondante entre des rochers. Ils jetèrent du « vif argent » au pied de ces rochers et bientôt, ceux-ci se creusèrent. L’eau, peu à peu, s’enfonça dans les cavités. La rivière s’assécha et disparut complètement pour devenir souterraine.

Cette action néfaste entraîna la ruine du village. Les cultures demandant de l’humidité devinrent impossible à pratiquer à cause de la sécheresse qui désormais régnait partout. Le soleil brûlait les récoltes, les fermiers vendirent leurs bêtes. Beaucoup quittèrent le village abandonnant leur maison. Seuls quelques-uns demeurèrent réfugiés sur la colline aride à laquelle on accédait par une côte rude. Le hameau fut appelé « Monte à la misère », nom qui paraît-il se déforma au cours des siècles pour devenir « Montamisé ».

Aujourd’hui la rivière coule toujours, sous terre, et au fil des temps, on a creusé de nombreux puits le long de son cours.

L'approche scientifique du nom

[modifier | modifier le code]

Le nom proviendrait de Montamiserius qui signifie la butte de Tamiserius, un anthroponyme gallo-romain[27].

Révolution française

[modifier | modifier le code]

La commune de Montamisé est créée en 1790 dans le département de la Vienne, le district de Poitiers et le canton de Dissay. En 1801 elle passe dans l'arrondissement de Civray pour revenir dans celui de Poitiers avant 1806. En 1801 écrite Montamiser elle fait partie du canton de Saint-Georges qui devient en 1961 Saint-Georges-lès-Baillargeaux puis en 1973 du canton de Poitiers-2 et à la suite d'un nouveau découpage en 1982 du canton de Poitiers-7[28].

Montamisé accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme le brûlement des titres féodaux[29].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Avec la révolution de février 1848 et le retour de la République, un arbre de la liberté (un cèdre du Liban) est planté[30].

Le , le château de la Roche de Bran, qui servait de refuge aux maquisards du groupe Anatole, est incendié par les marins de la Kriegsmarine en garnison aux carrières de Migné-Auxances. Sept résistants meurent sous la torture[31].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
novembre 1944 novembre 1947 Auguste Sauvant    
novembre 1947 mars 1971 Charles Choisie   Charron
mars 1971 mars 1977 Roger Gault   Radioélectricien
mars 1977 mars 1979
(démission)
Odette Garaud SE Institutrice
mars 1979 mars 2001 Jean-Marie Thomachot[33] DVG Architecte
Vice-président du district de Poitiers [Quand ?]
mars 2001 octobre 2013[34]
(démission)
Christian Martineau DVG Agriculteur
Réélu en 2008
novembre 2013[35],[36] En cours Corine Sauvage DVG Technicienne en ressources humaines
Réélue en 2014[37] et 2020
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives

[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics

[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[38].

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

En 2021, la commune comptait 3 698 habitants[Note 5], en évolution de +4,26 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
738715669726774846900935977
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9831 0341 0028981 0611 1421 1301 030993
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
987984930910880824865779890
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8869611 3001 7872 1642 6152 9613 2793 562
2021 - - - - - - - -
3 698--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 97 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

La commune appartient à la Communauté d’agglomération de Poitiers qui connait un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999- 2006 (Ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de + 16,5 % et celle de Châtellerault de + 5,0 %[42]. La population de la commune devrait donc continuer à croitre.

Cependant, la population du Grand Poitiers[43] n'a quasiment pas augmenté entre 2007 et 2012 (141 986 habitants en 2007 pour 142 751 habitants en 2012). Le dynamisme démographique concerne surtout les communes limitrophes de la capitale poitevine. Ainsi, c’est un le cas de Montamisé qui profite de sa proximité avec la forêt de Moulière et le Futuroscope. La progression sur 5 ans supérieure à 10 %. Montamisé continue de s'urbaniser rapidement que ce soit dans le bourg ou ses hameaux.

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[44], il n'y a plus que 14 exploitations agricoles en 2010 contre 17 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 24 % et sont passées de 1 262 hectares en 2000 à 1 567 hectares en 2010[44]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[45].

53 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 28 % pour les oléagineux (3/4 pour le colza et 1/4 pour le tournesol), 3 % pour le fourrage et 8 % restent en herbes[44].

L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie (130 têtes réparties sur cinq fermes)[44].

Un marché (marché de producteurs locaux) a lieu une fois par semaine, le vendredi après-midi, sur la place des Tamisiers.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Montamisé et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Lignes de bus - Site de la mairie de Montamisé » Accès libre
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Montamisé », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Montamisé ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Jean-François LIANDIER, « Histoire de la famille Taveau de Morthemer » [PDF] (consulté le )
  16. Habitant à Montamisé, une liste des lieux dits est disponibles sur le tableau de présentation au niveau de la mairie
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Montamisé », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montamisé », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  27. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 186.
  30. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 216.
  31. Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. (ISBN 2-7171-0838-6), p. 208 et 232
  32. Les maires de Montamisé, sur montamise.fr (consulté le 17 décembre 2018)
  33. « La nouvelle vie de Jean-Marie Thomachot », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  34. « Le maire démissionne : "A qui profite le crime?" », Centre Presse,‎ (lire en ligne).
  35. « Corine Sauvage est élue maire », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  36. « Corine Sauvage reste maire de Montamisé », sur Le 7, (consulté le ).
  37. « Corine Sauvage réélue maire », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  38. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
  43. INSEE 2014 : les chiffres sont ceux des populations totales. C'est-à-dire celles retenues pour établir les subventions que l'État verse aux communes. Pour obtenir la population totale, l'Insee ajoute la population « comptée à part » à la population municipale. Cette population comprend les personnes qui ont conservé une résidence dans une autre commune que celle où ils sont recensés. Ce sont les lycéens ou étudiants qui habitent Poitiers en période scolaire et rentrent chez leurs parents le week-end et/ou pendant les vacances. Ce sont aussi les personnes hospitalisées ou en établissement de convalescence, les militaires, les religieux et les personnes sans domicile fixe
  44. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  45. Agreste – Enquête Structure 2007
  46. Table des Manuscrits de dom Fonteneau, T. 6, p. 103.