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La Tour-Blanche-Cercles

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La Tour-Blanche-Cercles
La Tour-Blanche-Cercles
Le bourg de La Tour-Blanche.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Daniel Bonnefond
2020-2026
Code postal 24320
Code commune 24554
Démographie
Population
municipale
555 hab. (2021)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 57″ nord, 0° 26′ 47″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 211 m
Superficie 23,18 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ribérac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Tour-Blanche-Cercles
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La Tour-Blanche-Cercles
Liens
Site web la-tour-blanche-cercles.fr

La Tour-Blanche-Cercles est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Cercles et La Tour-Blanche.

Géographie

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Généralités

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La commune nouvelle regroupe les communes de Cercles et de La Tour-Blanche, qui deviennent des communes déléguées le [1]. Son chef-lieu se situe à La Tour-Blanche.

Carte
Carte des communes constitutives de La Tour-Blanche-Cercles.

Communes limitrophes

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La Tour-Blanche-Cercles est limitrophe de huit autres communes.


Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Tour-Blanche-Cercles est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6, date du Kimméridgien supérieur, composée de sable, grès et calcaires bioclastiques à oolithes polypiers et huîtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 734 - Nontron » et « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de La Tour-Blanche-Cercles.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 114 mètres et 211 mètres[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 23,18 km2[10],[Note 2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par le Buffebale, appelé Julie dans sa partie amont, et divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[14],[15],[Carte 2].

Le Buffebale, ou la Julie dans sa partie amont, d'une longueur totale de 10,72 km, prend sa source dans le nord-est de la commune au lieu-dit la Bonnetie (territoire de l'ancienne commune de Cercles) et se jette dans l'Euche sur la commune de Saint-Just[16]. Il arrose le territoire communal sur plus de huit kilomètres, dont près de trois kilomètres, en quatre tronçons, en limite de Chapdeuil et de Saint-Just.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 3].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 943 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol à 8 km à vol d'oiseau[22], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,3 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].

Au , La Tour-Blanche-Cercles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[27],[28].

Villages, hameaux et lieux-dits

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Outre les bourgs de Cercles et de La Tour-Blanche proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés dans Cercles#Villages, hameaux et lieux-dits et dans La Tour-Blanche#Villages, hameaux et lieux-dits.

Le parc agrivoltaïque de La Tour-Blanche comporte 8 312 panneaux photovoltaïques sur une superficie de 8,6 hectares ; mis en service en 2021, il peut produire annuellement 6,4 GWh[29].

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de La Tour-Blanche-Cercles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

La Tour-Blanche-Cercles est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[32]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[33],[34].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Tour-Blanche-Cercles.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[35]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. 24,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[37]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[38].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[30].

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées : La Tour-Blanche et Cercles.

De 2019 à 2024, une campagne de fouilles archéologiques a permis d'étudier un cluzeau au lieu-dit Chez Tézy à Cercles ; il en ressort qu'il date de la période du XIIe au XVe siècle et qu'il ne servait pas de refuge mais de souterrain agricole[39].

La Tour-Blanche-Cercles est une commune nouvelle créée le pour une prise d'effet au [40].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune de La Tour-Blanche-Cercles dépend de l'arrondissement de Périgueux[1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Ribérac[1] et de la 3e circonscription législative[41].

Intercommunalité

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À sa création en 2017, elle fait partie de la communauté de communes du Pays Ribéracois[1], renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

Administration municipale

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Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes[40] (onze pour chacune des ex-communes, soit un total de vingt-deux). Le maire de la nouvelle commune est élu début 2017. Les maires des anciennes communes deviennent maires délégués de celles-ci.

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[42]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[43], soit dix-neuf[44].

Communes déléguées

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Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
La Tour-Blanche
(siège)
24554 CC du Périgord Ribéracois 8,11 408 (2016) 50


Cercles 24093 CC du Périgord Ribéracois 15,07 197 (2016) 13

Liste des maires

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Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2017 mai 2020 Paul Malville SE Retraité
Ancien maire de La Tour-Blanche (1977-2016)
mai 2020 En cours Daniel Bonnefond    

Équipements et services publics

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En 2023, dans le domaine judiciaire, La Tour-Blanche-Cercles relève[45] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 555 habitants[Note 4], en évolution de −8,26 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2015 2016 2017 2018 2019 2021
605605595585574555
(Sources : Insee à partir de 2015[46].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Le Football-club Pays de Mareuil, en Régionale 3, fusionne à l'été 2022 avec Les Merles blancs du TSMB/Verteillac pour former un nouveau club : le Football-club La Tour/Mareuil/Verteillac (FCLTMV)[47].

En 2016, sur le territoire correspondant à La Tour-Blanche-Cercles dans sa configuration de 2017, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[48], les actifs représentaient 202 personnes, soit 33,4 % de la population municipale. Il y avait 26 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 12,8 %.

Établissements

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Au , sur ce même territoire, la commune comptait 80 établissements[49], dont trente-neuf au niveau des commerces, transports ou services, dix-neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix dans la construction, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois dans l'industrie[50].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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Patrimoine religieux

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Carte géologique de La Tour-Blanche-Cercles » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  2. « Réseau hydrographique de La Tour-Blanche-Cercles » sur Géoportail (consulté le 30 mars 2023)..
  3. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de La Tour-Blanche-Cercles », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 734 - Nontron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Tour-Blanche-Cercles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  14. « Fiche communale de Cercles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. « Fiche communale de La Tour-Blanche », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. Sandre, « le ruisseau le buffebale »
  17. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  22. « Orthodromie entre La Tour-Blanche-Cercles et Saint-Martial-Viveyrol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  23. « Station Météo-France « Saint-Martial Viveyrols » (commune de Saint-Martial-Viveyrol) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Saint-Martial Viveyrols » (commune de Saint-Martial-Viveyrol) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  26. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. Clément Bouynet, « Des moutons autour de panneaux photovoltaïques », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14.
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de La Tour-Blanche-Cercles », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  33. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  34. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  37. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
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  39. Anaïs Auzanneau, « La fin de cinq ans de fouilles dans ce cluzeau », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 9.
  40. a et b « Arrêté portant création de la commune nouvelle de La Tour-Blanche-Cercles », sur Préfecture de la Dordogne (recueil des actes administratifs), (consulté le ), p. 119-123.
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  42. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 17 septembre 2020.
  43. [PDF] La loi « Communes Nouvelles » expliquée aux élus Qu'est-ce qui change ?, août 2019, p. 3.
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  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Sylvain Desgroppes, « Après la fusion, place à la construction », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 29.
  48. Commune de La Tour-Blanche-Cercles (24554) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4, sur Insee, consulté le 8 juillet 2019.
  49. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  50. Commune de La Tour-Blanche-Cercles (24554) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 octobre 2019.
  51. [PDF] Vivre en Périgord, magazine du Conseil général de la Dordogne, n° 26 de juillet 2010, p. 18. Consulté le 23 juillet 2010.
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  53. « Ruines du donjon », notice no PA00083025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
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  55. Émilie Delpeyrat, « Piégée dans le château en feu », Sud Ouest édition Dordogne, 13 octobre 2015, p. 12-13.
  56. Marquis de Fayolle, « Neuvième excursion archéologique », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1896, tome 23, p. 415-416 (lire en ligne)
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  59. .« Château de Roumailhac », notice no PA00083024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
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  61. Inventaire général du patrimoine culturel, « Manoir de la Calonie », notice no IA24000860, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  62. « Colombier », notice no IA24000973, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  63. Inventaire général du patrimoine culturel, « Colombier », notice no IA24000979, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  64. Inventaire général du patrimoine culturel, « Colombier », notice no IA24000966, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  65. « Halle », notice no IA24000891, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  66. a et b « Moulin à blé dit moulin de la Coulaude », notice no IA24001009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  67. Inventaire général du patrimoine culturel, « Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no IA24000851, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  68. Église Saint-Pierre et Saint-Paul, Observatoire du patrimoine religieux, consulté le .
  69. a et b Église Notre-Dame de la Recluse, site de La Tour-Blanche-Cercles
  70. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 294.
  71. Inventaire général du patrimoine culturel, « Prieuré, actuellement église paroissiale Saint-Cybard », notice no IA24000835, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  72. « Église Saint-Cybard », notice no PA00082459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  73. [PDF] Cimetière - Cercles, DREAL Aquitaine, consulté le 23 mai 2020.
  74. Inventaire général du patrimoine culturel, « Chapelle Notre-Dame-de-Pitié dite chapelle des Blanquets ou chapelle de la léproserie », notice no IA24000959, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 mai 2020.
  75. [PDF] Ancienne carrière de Jovelle, GEREA - INPN, SPN-MNHN Paris, consulté le 23 mai 2020.
  76. Victoria Garmier, « Le parc prend son envol », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, 22 mai 2020, p. 10.
  77. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 105.