[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Ozenx-Montestrucq

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Ozenx)

Ozenx-Montestrucq
Ozenx-Montestrucq
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Alain Lenglet
2020-2026
Code postal 64300
Code commune 64440
Démographie
Gentilé Ozenxois
Population
municipale
383 hab. (2021 en évolution de +0,26 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 34″ nord, 0° 47′ 43″ ouest
Altitude Min. 69 m
Max. 188 m
Superficie 16,34 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Orthez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ozenx-Montestrucq
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ozenx-Montestrucq
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Ozenx-Montestrucq
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Ozenx-Montestrucq
Liens
Site web https://www.ozenx-montestrucq.fr/

Ozenx-Montestrucq (prononcé [ozɛ̃ks mɔ̃tɛstʁyk] ; en béarnais Aussencs-Montestruc ou Ausséncs-Mountestruc) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Ozenx-Montestrucq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 52 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 28 km de Mourenx[3], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orthez[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Laà-Mondrans (2,2 km), Lanneplaà (3,0 km), Loubieng (3,3 km), Castetner (4,0 km), L'Hôpital-d'Orion (4,0 km), Biron (5,4 km), Orthez (5,5 km), Orion (6,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Ozenx-Montestrucq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Castetbon, L'Hôpital-d'Orion, Laà-Mondrans, Lanneplaà, Loubieng, Orion, Orriule et Orthez.

Paysages et relief

[modifier | modifier le code]

Le bourg de Montestrucq culmine à 180 mètres d'altitude et offre de beaux points de vue sur les coteaux environnants et au-delà sur la chaîne des Pyrénées.

De nombreux bois existent dans les deux villages traversés par le Saleys et autres ruisseaux. Ils accueillent des réserves de chasse. On y trouve quelques palombières au milieu des arbres.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Ozenx-Montestrucq.

La commune est drainée par le Saleys, l’Arriougrand, l'Ozenx et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Saleys, d'une longueur totale de 48,7 km, prend sa source dans la commune d'Ogenne-Camptort et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Carresse-Cassaber, après avoir traversé 13 communes[8].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 251 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 6 km à vol d'oiseau[12], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 211,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17],[Carte 2] :

  • le « château d'Orthez et bords du gave », d'une superficie de 4 300 ha, un agrosystème favorable à la présence de Chiroptères[18] ;
  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[19].

Au , Ozenx-Montestrucq est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orthez, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (31,6 %), terres arables (24,4 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), forêts (21,9 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

[modifier | modifier le code]
  • Anglade ;
  • Montestrucq : le Nord ; le Bourg ; Lasserrade ; les Marges ;
  • Ozenx : l'Église, Cap de Coste, Haut d'Ozenx.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 23 et 265.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Ozenx-Montestrucq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Saleys. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009 et 2018[26],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ozenx-Montestrucq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 55,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[28].

Le toponyme Ozenx apparaît sous les formes Osenx (XIIe siècle[29], cartulaire de Sorde[30]), Osencs (1282[29], cartulaire d'Orthez[31]), Ossenx (1385[29], censier de Béarn[32]), Ozencxs (1476[29], notaires de Castetner[33]), Ozenxs, Osencxs et Oussenxs (respectivement 1536[29], 1556[29] et 1568[29], réformation de Béarn[34]) et Ossenxs (1568[29], titres de Larbaig).

L'hydronyme ruisseau d'Ozenx apparaît en 1538[29] sous la forme arriu d'Osencxs (1538, réformation de Béarn[34]).

Le toponyme Montestrucq apparaît sous les formes Montastruc (1385[29], censier de Béarn[32]), Montatrucq (1793[35] ou an II) et Montestruc (1801[35], Bulletin des lois).

Montestrucq pourrait être la contraction de "mont astrùc" : mont favorisé par les astres[36].

Anglade est mentionné dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque en 1863[29].

Le nom béarnais de la commune est Aussencs-Montestruc[37] ou Ausséncs-Mountestruc[38].

Paul Raymond[29] note que la commune d'Ozenx comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Ozenx comptait tout comme Montestrucq 45 feux et les deux communes dépendaient du bailliage de Larbaig. Au XVIe siècle, Montestrucq fut le chef-lieu d'un bailliage comprenant, outre la commune, l'Hôpital-d'Orion.

Ozenx et Montestrucq se sont réunies le , en application de la loi Marcellin (qui engendrera 38 fusions de communes dans le département des Pyrénées-Atlantiques[39]).

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires d'Ozenx-Montestrucq
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Joseph Sarthou    
2001 2007 Francis Lalanne    
2007 2008 Joseph Sarthou    
2008 2014 Joseph Sarthou    
2014 2020 Hélène Marteuilh    
2020 En cours Alain Lenglet PS  
Les données manquantes sont à compléter.

Rattachée au canton de Lagor jusqu'en 2015, la commune fait partie désormais du canton du Cœur de Béarn.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Ozenx-Montestrucq fait partie de cinq structures intercommunales[40] :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 383 habitants[Note 7], en évolution de +0,26 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
362336336373387389376383352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
333354362322318328311285297
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
283268286236247238225211200
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
224204363374376370354351385
2017 2021 - - - - - - -
382383-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'activité agricole y est dominante.

La commune fait partie de la zone d'appellation du fromage Ossau-Iraty.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]

À Ozenx, la maison La Sale remaniée au XIXe siècle est la maison d'abbadie de l'abbaye laïque[45], une tour carrée coiffée d'une toiture à l'impériale en zinc y est adossée[46]. L'homme politique Léon Bérard y a séjourné[45]. D'autres sources localisent plus probablement cette maison d'abbadie en bordure du ruisseau l'Ozenx, près de l'ancienne église et du moulin disparu[47].

La maison Godelimac abritait une source renommée au XIXe siècle, aux vertus thérapeutiques contre l'eczéma[48].

Une usine à chaux a fonctionné au début du XXe siècle à Montestrucq. On peut en voir les vestiges, deux tours, au chemin dit de Coyla[49].

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre[50], à Ozenx, fut construite entre 1888 et 1905 en remplacement d'une église située trop près du ruisseau l'Ozenx (dont on peut voir encore un pan de mur)[47]. Le maître verrier toulousain Louis-Victor Gesta, bien connu dans la région et au-delà, l'a équipé de vitraux en 1900. Trois de ces fenêtres embellissent le chœur. Deux personnages religieux sont représentés sur de longues et étroites fenêtres, tandis qu'un oculus au milieu projette un rayon de lumière sur le crucifix au-dessus du tabernacle[51]. Le long bâtiment à nef et le clocher au-dessus du porche d'entrée recouvert d'ardoise sont des éléments architecturaux typiques de la région[51].

L'église Saint-Jean-Baptiste, à Montestrucq, a été restaurée entre 1945 et 1950. L'élément marquant de l'église est son clocher-porche massif recouvert d'ardoise, avec deux entrées cintrées. Typique de certaines églises de la plaine de Navarrenx, il est équipé de deux contreforts solides. Des traces d’anciennes ouvertures et de meurtrières suggèrent que le clocher est un vestige de l’ancienne place forte de Montestrucq. Autrefois l'emplacement surélevé était certainement entouré de murs et de fossés. Le reste du bâtiment est recouvert de tuiles canal. L'intérieur de l'église abrite des fonts baptismaux en marbre avec un couvercle en cuivre, un bénitier en forme de coquillage, un chemin de croix en plaques de plâtre polychrome[52] et trois vitraux signés des ateliers Mauméjean Paris-Hendaye, certainement installés lors de la restauration de l'église[53].

Dans le bourg de Montestrucq, à la croisée de chemins, sont érigés deux calvaires dont un crucifix, ayant servi pour des processions et datant du XXe siècle[53].

Équipements

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école primaire, située dans le bourg de Montestrucq. Elle fait partie d'un regroupement pédagogique avec les écoles de Làa-Mondrans et Loubieng, dit des Quatre moulins. On y trouve un point lecture ouvert à tous.

Un fronton de pelote basque a été réhabilité dans le cadre du réaménagement du bourg. Un terrain de pétanque, une aire de pique-nique y ont été créés. Le sentier pédestre Sur la voie de Vézelay, boucle de 8,5 km, permet de cheminer sur les coteaux de Montestrucq[54].

Une mairie ainsi qu'une salle communale existent dans chacun des villages.

Une base ULM, Air Montestrucq, se trouve sur la route de Narp.

Un château d'eau a été construit dans le bourg de Montestrucq en 1967. Il est alimenté par la source Gréchez située à Lanneplaà.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Ozenx-Montestrucq » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ozenx-Montestrucq », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Ozenx-Montestrucq et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Ozenx-Montestrucq et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Ozenx-Montestrucq », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale d'Ozenx-Montestrucq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Saleys ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Ozenx-Montestrucq et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Ozenx-Montestrucq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « site Natura 2000 FR7200784 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Orthez », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Ozenx-Montestrucq », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  29. a b c d e f g h i j k et l Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  30. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  31. Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du XIVe siècle au XVIIe siècle - Archives de la mairie d'Orthez
  32. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  33. Notaires de Castetner - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  34. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  35. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montestrucq », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  36. (oc) Simin Palay, Dictionnaire du béarnais et du gascon modernes (Bassin de l'Adour), embrassant les dialectes du Béarn, de la Bigorre, du Gers, des Landes et de la Gascogne maritime, Pau, Marrimpouey Jeune, , 575 + 667 (lire en ligne), Tome 1, p. 91
  37. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  38. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  39. « Historique des communes | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  40. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. a et b « Abbaye laïque d'Ozenx-Montestrucq - Visites en Aquitaine », sur web.archive.org, (consulté le ).
  46. « Tour de l'abbaye laïque d'Ozenx-Montestrucq - Visites en Aquitaine », sur web.archive.org, (consulté le ).
  47. a et b « Les abbayes laïques », Bulletin n°2 de Mémoire du canton de Lagor et des vallées,‎ (lire en ligne).
  48. « Ozenx-Montestrucq - Visites en Aquitaine », sur web.archive.org, (consulté le ).
  49. Les carrières et les usines à chaux Lameignère : de la Peyrèrre médiévale à l’usine à chaux, 8 siècles d’histoire industrielle à Orthez, JEDP 2017. Association Histoire et patrimoine du pays d'Orthez. http://geolval.fr/images/Geoval/actualites/2017/09_Septembre/patrimoine/JDP2017-LAMEIGNERE.pdf.
  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
  51. a et b « Vitraux de l'église Saint-Pierre d'Ozenx - Visites en Aquitaine », sur web.archive.org, (consulté le ).
  52. « Église Saint-Jean - Visites en Aquitaine », sur web.archive.org, (consulté le ).
  53. a et b « Les cultes et lieux de culte », Bulletin n°10 de Mémoire du canton de Lagor et des vallées,‎ (lire en ligne).
  54. « Sur la voie de Vézelay », sur coeurdebearn.com (consulté le ).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :