Bentayou-Sérée
Bentayou-Sérée | |||||
L’église Sainte-Catherine. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Adour Madiran | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Teulé 2020-2026 |
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Code postal | 64460 | ||||
Code commune | 64111 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bentayounais | ||||
Population municipale |
108 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 23′ 39″ nord, 0° 03′ 50″ ouest | ||||
Altitude | Min. 218 m Max. 345 m |
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Superficie | 8,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Bentayou-Sérée (prononcé [bɛ̃taju seʁe]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Bentayou-Sérée se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 32 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 20 km de Morlaàs[3], bureau centralisateur du canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Maure (1,4 km), Lucarré (2,0 km), Castéra-Loubix (2,7 km), Luc-Armau (3,1 km), Lamayou (3,3 km), Momy (3,5 km), Pontiacq-Viellepinte (3,8 km), Villenave-près-Béarn (3,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Bentayou-Sérée fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Vidouze, Castéra-Loubix, Lamayou, Luc-Armau, Lucarré, Maure, Momy et Pontiacq-Viellepinte.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Louet, le Carbouère, le ruisseau Camgrand, le ruisseau de Lanamia, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Louet, d'une longueur totale de 44,3 km, prend sa source dans la commune de Gardères et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Castelnau-Rivière-Basse, après avoir traversé 22 communes[8].
Le Carbouère, d'une longueur totale de 17,3 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet sur le territoire communal, après avoir traversé 10 communes[9].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 093 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vic-en-Bigorre à 10 km à vol d'oiseau[13], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 937,3 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bentayou-Sérée est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), forêts (18,2 %), prairies (4,8 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]- Bellocq[6]
- Bentayou[6]
- Broucat[6]
- Bruscat[24],[25]
- Carrère[6]
- Crabé[6]
- Dousse[6],[25]
- Geuré[6]
- Grange Jolis[26]
- Habé[6],[25]
- Hourcade[6]
- Manaud[6]
- Mauhourat[6]
- Pédepau[6]
- Peyré[6]
- Poundet[6]
- Pouts[6]
- Prat[6]
- Régach[6]
- Roumigou[6]
- Rousseu[6]
- Saint-Jean[27],[25]
- Seignouret[6]
- Sérée[6]
- Souldat[6]
- Tendrou[6]
- Tougayé[6]
- Tugayé[6]
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales 47 et 48.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Bentayou-Sérée est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le ruisseau de Carbouère et le Louet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2008 et 2009[30],[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 77,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[32].
Risque technologique
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[34].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Bentayou et Sérée
[modifier | modifier le code]Le toponyme Bentayou apparaît sous les formes Bentaio (XIIe siècle[25], cartulaire de Morlaàs), Bentayoo (1385[25], censier de Béarn[35]), Ventayou, Bentanhou et Saint Jean de Bentayou (respectivement 1547[25], 1614[25] et 1675[25], réformation de Béarn[36]) et Bentayon (1737[25], dénombrement de Maure[37]).
Pour Michel Grosclaude[38], Bentayou provient probablement d'un mot gascon signifiant « lieu exposé au vent ».
Son nom béarnais est Ventajor-Serèr[39] ou Bentayou-Serè[40].
Le toponyme Sérée, ancien village de Bentayou, apparaît sous les graphies Sere et Sainte-Catherine de Séré (respectivement 1602[25] et 1675[25], réformation de Béarn[36]) et Sercé (1801[41], Bulletin des lois).
Michel Grosclaude propose pour origine[38], le nom de personne et de métier gascon serèr, « sellier ».
Autres toponymes
[modifier | modifier le code]Le toponyme Bruscat, désignant une ferme, apparaît sous la forme Brusquat en 1615[25] (réformation de Béarn[36]).
Dousse, noté Dosse en 1614[25] (réformation de Béarn[36]), est un hameau de la commune.
Habé est le nom d'une ferme de la commune, déjà citée en 1614[25] (Haube) dans la réformation de Béarn[36].
Saint-Jean, ancien écart de Bentayou, est mentionné en 1682[25] (réformation de Béarn[36]), tout comme les Tucoulets.
Histoire
[modifier | modifier le code]En 1385, Bentayou comptait vingt-huit feux et Sérée huit. Les deux communes dépendaient alors du bailliage de Montaner. Sérée s'est uni à Bentayou en 1845.
Les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]Paul Raymond[25] note que Bentayou était membre de la commanderie hospitalière de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Bentayou-Sérée fait partie de quatre structures intercommunales[42] :
- le SIVOM du canton de Montaner ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal à vocation scolaire du Palay ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Le gentilé est Bentayounais[43].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].
En 2021, la commune comptait 108 habitants[Note 6], en stagnation par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle de Bentayou, encore séparé de Sérée, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[41].
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]-
La mairie à Bentayou.
-
L'église de Bentayou côté chevet.
-
L'église de Sérée.
-
Retable de l'église de Sérée.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Les vestiges d'un ensemble fortifié[48] du XIe siècle et d'un édifice fortifié[27] du XIVe siècle témoignent du passé ancien de la commune[49].
Une ferme[24] du XIXe siècle est visible au lieu-dit Bruscat. Une grange[26] de la même époque est référencée au lieu-dit Grange Jolis. Ces maisons et fermes sont inscrites à l’Inventaire général du patrimoine culturel[50]
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L'église Sainte-Catherine[51], à Bentayou, date partiellement du XIIe siècle. On y trouve un ensemble classé par le ministère de la Culture à titre d’objet[52].
À Sérée, l'église Saint-Laurent[53], quant à elle, date en partie du XVIIe siècle. Ces deux églises recèlent du mobilier[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60],[61],[62],[63],[64],[65],[66],[67],[68],[69],[70],[71],[72],[73],[74],[75],[76],[77],[78],[79], des verrières[80], des bas-reliefs[81], des tableaux[82],[83], des statues[84],[85],[86] et des objets[87],[88],[89],[90],[91],[92],[93],[94],[95] inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Équipements
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[33].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Bentayou-Sérée » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Bentayou-Sérée ».
- Stephan Georg, « Distance entre Bentayou-Sérée et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bentayou-Sérée et Morlaàs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Bentayou-Sérée », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale de Bentayou-Sérée », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Louet ».
- Sandre, « le Ruisseau de Carbouère ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Bentayou-Sérée et Vic-en-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bentayou-Sérée », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Bentayou-Sérée », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Bentayou-Sérée », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La ferme du XIXe siècle », notice no IA00027146, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- « La grange du XIXe siècle », notice no IA00027153, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'édifice fortifié du XIVe siècle », notice no IA00027148, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les risques près de chez moi - commune de Bentayou-Sérée », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Manuscrits du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes, Béarn, Pau/Serras-Morlaàs/Pau, Edicions reclams & Édition Cairn - 2006, 416 p. (ISBN 978-2-35068-005-7 et 2-35068-005-3).
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sérée », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « L'ensemble fortifié du XIe siècle », notice no IA00027492, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Présentation de la commune », notice no IA00027150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les maisons et fermes inscrites », notice no IA00027145, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Sainte-Catherine] », notice no IA00027152, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L’ensemble classé de l’église Sainte-Catherine », notice no PM64000737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Laurent », notice no IA00027149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le mobilier de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000074, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le mobilier de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000056, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le prie-Dieu de l’église Sainte-Laurent », notice no IM64000093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le fauteuil de célébrant de l’église Sainte-Laurent », notice no IM64000092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le lutrin de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le coffre de fabrique de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La commode armoire de l’église Saint-Laurent », notice no 1992/05/29, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les fonts baptismaux de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000088, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal en noyer de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000087, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal en châtaignier de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les fauteuil et bancs de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le gradin d’autel de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L’ensemble du maître-autel de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000075, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'armoire aux saintes huiles de l'église Sainte-Catherine », notice no IM64000072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La clôture de chœur de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000071, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les fonts baptismaux de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000070, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000068, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L’autel secondaire de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L’ensemble de l’autel secondaire de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les lambris de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000065, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable architecturé de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle à ailes de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L’ensemble du maître-autel (autel et gradins) de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L’ensemble du maître-autel de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les verrières de l'église Sainte-Catherine », notice no IM64000057, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les bas-reliefs de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau représentant le Christ en croix avec la Vierge et saint Laurent diacre, dans l’église Saint-Laurent », notice no IM64000081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau représentant le Christ en croix avec saint Jean la Vierge sainte Madeleine et sainte Catherine d'Alexandrie, dans l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues représentant saint Laurent diacre et saint Pierre, dans l’église Saint-Laurent », notice no IM64000080, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statuettes en pendant de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000078, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La Vierge à l’Enfant de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000073, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les chasuble, manipule et voile de calice (ornement violet) de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les chasuble, manipule et voile de calice (ornement noir) de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix de procession de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000095, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le coffre de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000094, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix d’autel de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les six chandeliers d’autel de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000083, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les luminaires de l’église Saint-Laurent », notice no IM64000082, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix d’autel de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les quatre chandeliers d’autel de l’église Sainte-Catherine », notice no IM64000063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.