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Oricourt

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Oricourt
Oricourt
Haute-cour du château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Villersexel
Maire
Mandat
Séverine Courvoisier
2020-2026
Code postal 70110
Code commune 70396
Démographie
Population
municipale
38 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 46″ nord, 6° 23′ 37″ est
Altitude Min. 278 m
Max. 393 m
Superficie 3,65 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villersexel
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Oricourt
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Oricourt
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Oricourt

Oricourt est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Son territoire comprend une colline sur le flanc nord de laquelle le village est construit. Son altitude varie de 278 à 393 mètres, la mairie se situant à 344 mètres. La commune fait partie des collines pré-jurassiennes et comprend une grande partie de forêt.

L'histoire de la commune est marquée par la présence d'un fief. Elle est connue pour son château fort ; le tourisme y est assez développé.

Géographie

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Le territoire communal dans son contexte local.

Oricourt se trouve au sud-est de l'arrondissement de Lure. Elle est située au sud de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté, dans l'est de la France. Les villes les plus proches sont Lure (12 km), Vesoul (17 km) et Héricourt (27 km)[1].

Communes limitrophes

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Rose des vents Montjustin-et-Velotte Arpenans Rose des vents
N
O    Oricourt    E
S
Oppenans Aillevans

Topographie

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Le village est bâti sur les hauteurs d'un petit massif. L'altitude varie de 278 à 393 mètres[1].

Hydrographie

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Le ruisseau du Pré de la Croix s'écoule au nord de la commune et rejoint le Lauzin qui longe la commune à l'ouest, ensemble ils vont ensuite se jeter dans l'Ognon . Une source d'eau potable est captée[1].

Oricourt est construite sur le plateau de Haute-Saône, sur un sol daté du Trias supérieur et moyen recouvert d'alluvions du Quaternaire près des cours d'eau[2]. La commune se trouve dans le voisinage immédiat du bassin houiller keupérien de Haute-Saône, notamment exploité pour son gypse, son sel gemme (sous forme de saumure) et sa houille à Vy-lès-Lure, Gouhenans, Mélecey ou encore Saulnot[3], elle est construite sur le gisement de schiste bitumineux de Haute-Saône daté du Toarcien[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 136 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 10,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villersexel Sa », sur la commune de Villersexel à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 037,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,4 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Faune et flore

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Villersexel est couverte d'une forêt de feuillus comprise entre l'étage collinéen et l'étage montagnard du massif du Jura. La commune compte 8 espèces indigènes (Platanthera bifolia, Orchis mascula, Lathyrus, Neottia nidus-avis , Himantoglossum hircinum, Anacamptis pyramidalis, Anacamptis morio, Sus scrofa Linnaeus et Capreolus capreolus)[12].

Au , Oricourt est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), prairies (31,8 %), zones agricoles hétérogènes (24,9 %), terres arables (0,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie et urbanisme

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Oricourt est un village de campagne qui fait partie du SCOT du pays des Vosges saônoises[18].

En 2016, le nombre total de logements à Oricourt était de 24 dont 18 résidences principales, 3 résidences secondaires et logements occasionnels et 3 logements vacants. La commune totalisait 21 maisons et 1 appartement[A 1]. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 94,4 %, en 2016. Il n'existe pas de logements HLM[A 2].

Risques naturels et technologiques

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La commune est installée sur une zone sismique de niveau 3. Il existe des risques géologiques localisés à cause de la présence de cavités minières (possibilités de mouvements de terrains miniers). Il existe également des risques liés au transport de matières dangereuses[19].

Transport et voies de communications

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La commune est située à proximité du passage de la LGV Rhin-Rhône, la gare la plus proche est celle de Belfort - Montbéliard, située à 38 km. La gare de Lure est établie à 12 km, sur la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville[1].

La commune est traversée par la départementale 123 reliée à un axe plus importants : la départementale 486 qui relie la double-voie expresse E54 et la nationale 19 à l'autoroute A36[1].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Orrecortis (1157), Aureacurtis et Aurea corte (1170), Oirecour et Oricort (1256)[20], Oricourt (depuis 1793)[21].

Ernest Nègre voit dans le nom d'Oricourt l'anthroponyme germanique Alricus, suivi de cortem[20] issu du latin classique cohort « cour de ferme, domaine » ; Oricourt signifierait donc le « domaine d'Alricus ».

Le nom d'Oricourt fut porté par la famille de seigneur propriétaire du château fort[B 1].

Le chancelier Rollin, seigneur d'Oricourt, peint en 1443 par Rogier van der Weyden.

La première mention d'Oricourt dans les textes date de 1156[20]. En 1170, un différend éclate entre Gaucher d'Oricourt et l'abbaye de Bellevaux ; Amédée II de Montfaucon intervient alors comme médiateur et se porte garant de Gaucher[B 1].

Le fief d’Oricourt était très réduit au XIIIe siècle, et comportait le territoire des communes actuelles d'Oricourt, Oppenans, plus une partie d'Aillevans, Arpenans, Borey et Moimay[réf. nécessaire].

En 1406, les terres appartiennent à Jean de Blamont issue d'une famille originaire de Lorraine ayant fait des alliances dans le comté de Bourgogne. Ces terres intègrent par la suite la seigneurie de Montjustin[B 1],[B 2]. Nicolas Rolin, chancelier du duc de Bourgogne, en devient propriétaire en 1435.

Temps modernes

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Des terriers sont rédigés en 1464, 1548 puis de 1607 à 1614 pour établir les droits des seigneurs et des habitants dans la circonscription du village[B 2].

Époque contemporaine

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Une carrière exploitée du calcaire daté du Jurassique au milieu du XIXe siècle[B 2].

Oricourt a été réuni à Aillevans en 1807 et est redevenue une commune en 1819[21].

Politique et administration

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Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Villersexel.

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Elle fait partie depuis 1790 du canton de Villersexel[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton s'est agrandi, passant de 32 à 47 communes.

Intercommunalité

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La commune s'est associée avec d'autres dès 1965 dans le cadre d'un syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM), prédécesseur de l'actuelle communauté de communes du Pays de Villersexel, dont elle demeure membre.

Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 André Lonchampt    
mars 2008[22] mai 2020 Sylvain Morisot    
mai 2020[23] En cours
(au 6 juin 2020)
Séverine Courvoisier    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 38 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
186185194202200190210178180
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
177176173159150140126122117
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
122115107888982755949
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
384329262828313138
2017 2021 - - - - - - -
3838-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Le château a accueilli en son premier festival de jazz de l'association BledArt[27].

En 2016, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 21 personnes, parmi lesquelles on comptait 81,0 % d'actifs dont 52,4 % ayant un emploi et 28,6 % de chômeurs contre 10,5 % en 2011[A 3].

On comptait trois emplois dans la zone d'emploi, chiffre stable depuis 2011. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 11, l'indicateur de concentration d'emploi est de 27,3[A 4]. Le taux d'activité parmi les 15 ans ou plus a atteint 48,6 % en 2016[A 4].

Au , Oricourt comptait trois établissements, le premier dans l'agriculture (l’élevage bio du Sépoix[28]), le deuxième dans le commerce divers et le troisième dans le secteur administratif[A 5].

L'agriculture communale est dominée par le polyélevage tandis que les alentours sont davantage orientés vers l'élevage bovin pour la production de lait de vache[29].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le château médiéval

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Le château d'Oricourt, datant des XIIe, XVe, XVIIIe et XIXe siècles[30], propriété privée[31], est le château fort le mieux conservé de Franche-Comté[32].

Entouré par de profonds fossés, il est protégé par deux enceintes complétées de deux hautes tours carrées de plus de 25 mètres, d'une tourelle intermédiaire, de la tour dite « des latrines » et d'un moineau. La première enceinte enserre la basse-cour avec ses bâtiments de ferme, et la deuxième la haute-cour avec ses habitations primitives. Dans cette dernière, on trouve des caves, une boulangerie, des galeries, une tourelle d'escalier, un puits de 2 mètres de diamètre et 22 mètres de profondeur, une citerne, une vaste salle à manger et une chapelle dont la restauration et l'ouverture au public est programmée. Le donjon, primitivement bien plus haut qu'aujourd'hui, a été transformé au XVIIIe siècle avec le percement de grandes fenêtres et la construction d'une immense charpente et toiture très aiguë.

Hors les murs côté village se situe le colombier du château, bâti en 1690 et comportant encore l'ensemble de ses boulins en torchis, accessibles grâce à une échelle tournante récemment restaurée. Il a remplacé un premier pigeonnier situé en contrebas de la forteresse à proximité de la "cuve", rare puisoir médiéval encore en eau aujourd'hui, qui alimentait le potager du château.

Le plus illustre propriétaire que le château ait connu fut Nicolas Rolin, chancelier de Bourgogne, au XVe siècle, fondateur des hospices de Beaune et immortalisé par Jan Van Eyck dans : « La Vierge du chancelier Rolin » conservé au Louvre.

Maison ancienne.

Construite au milieu du XIXe siècle en deux temps, sur une place aplanie par les habitants de l'époque, elle dispose d'un clocheton élevé en 1900, couvert en ardoise (originellement en "écaille de poisson"), et surmonté d'un magnifique coq. Elle a abrité l'école communale jusque dans les années 1960.

Les maisons anciennes

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Le village est constitué de plusieurs maisons anciennes, datant de la fin du XVe au XIXe siècle[33]. En 2002, l'une d'elles a reçu pour sa restauration le premier label délivré par la fondation du Patrimoine en Franche-Comté. L'ancien four banal, transformé en habitation, a été construit en 1687 parallèlement au second colombier.

Les fontaines et les puits

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Il demeure trois fontaines dans le village: la grande Fontaine du Centre, du XIXe siècle[33], bâtie en grès de différentes couleurs et remise en eau en 2016 par le biais d'une souscription, la Fontaine de la Perrotte, datant de 1882, construite en grès rose et malheureusement ruinée, et la Fontaine du Bas, en fonte, installée en 1902 et toujours en eau aujourd'hui. Un puits de marque Dragor sur la place du village, a été installé en 1932 à proximité de la mairie.

Les calvaires

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Grande croix du centre.

Sur une base chanfreinée datant probablement du XVIe siècle, la grande croix du centre a été refaite en pierre en 2009, en remplacement et sur le modèle de la croix précédente en bois. La croix de la Perrière, en fer forgé, a vu sa base octogonale de pierre refaite en 2010. Cette même année, la croix du Mont actuelle a remplacé une simple croix de bois. Les trois calvaires ont été restaurés en 2009 et 2010[33].

Personnalités liées à la commune

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Armes de la famille d'Oricourt.
  • Famille d'Oricourt, qui portait pour armes : « D'argent à trois jumelles de gueules » et avait pour devise « Ancré d'Oricourt »[34].

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  4. a et b EMP T5 - Emploi et activité.
  5. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014.

Références aux ouvrages en bibliographie

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  1. a b et c L. Suchaux 1866, p. 131.
  2. a b et c L. Suchaux 1866, p. 132.

Autres sources

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  1. a b c d et e « Carte IGN de Oricourt » sur Géoportail..
  2. « Montbéliard : carte géologique », sur ac-besancon.fr (consulté le ).
  3. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  4. Marcel Lanoir, Carburants rhodaniens : les schistes bitumineux, notamment dans la Haute-Saône, vol. 7, coll. « Les Études rhodaniennes », (lire en ligne), p. 328.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Oricourt et Villersexel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Villersexel Sa », sur la commune de Villersexel - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Villersexel Sa », sur la commune de Villersexel - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. INPN, « Inventaire du patrimoine naturel d'Oricourt », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Oricourt : État des risques naturels, miniers et technologiques », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 902.
  21. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, publiée le 23 janvier 2013, consultée le 18 juillet 2013
  23. « Séverine Courvoisier élue maire », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Musique - Jazz au Château d’Oricourt samedi 10 septembre : Sept heures de jazz non-stop », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  28. « 2.500 poules à l’élevage du Sépoix », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  29. « Orientation technico-économique de la commune », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Le Château », notice no PA00102236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Colette et Jean-Pierre Cornevaux restaurent le château d’Oricourt depuis 35 ans », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Le couple a sauvé le château des oubliettes et l’a remis sur une carte touristique avec 12.000 visiteurs par an. Ce qui lui vaut une belle quatrième place des sites les plus visités de la région. Le château est classé site historique en 1913, puis monument historique en 1984. « Nous avons conservé l’existant », note Jean-Pierre avec satisfaction. « Restaurer, c’est sauvegarder », ajoute Colette. L’objectif n’était pas de reconstruire à neuf l’édifice, ni d’en faire le lieu d’animations tapageuses. « Ce n’est pas Disneyland ».
  32. « Un édifice enraciné au Moyen-Âge », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Édifié vers le milieu du XIIe siècle sur le bord d’un plateau, face à la plaine de Lure, Oricourt est un château fort à double enceinte (basse cour et haute cour) (...) Oricourt est actuellement le château fort le mieux conservé de Franche-Comté. Un lieu pédagogique et une architecture originale à découvrir ! ».
  33. a b et c « La souscription est lancée pour la fontaine », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  34. R. de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté, Besançon, Paul Jacquin, , 848 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 592.