Juan Yust
Juan Yust dans Anales del toreo: reseña histórica de la lidia de reses bravas: galería biográfica de los principales lidiadores: razón de las primeras ganaderías españolas, sus condiciones y divisas obra escrita por José Velázquez y Sánchez; e ilustrada por reputados artistas, Madrid, 1888. | |
Présentation | |
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Nom de naissance | Juan Yust |
Apodo | Juan Yust |
Naissance | Séville |
Décès | (à 38 ans) Madrid |
Nationalité | Espagnol |
Carrière | |
Alternative | 4 avril 1842 |
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Juan Yust, né à Séville (Espagne) le et mort à Madrid le [1], est un matador espagnol.
Présentation
[modifier | modifier le code]Il fait son apprentissage de becerriste et de novillero dans la cuadrilla de Luis Rodríguez qui le pousse à devenir espada[2].
En 1829, Yust débute à Madrid comme banderillero. Mais malgré les encouragements de Rodríguez, il reste banderillero jusqu'en 1842, année où il prend son alternative le 4 avril, dans les arènes de Madrid où il remporte un vif succès. On le compare déjà à Paquiro. Mais sa gloire ne dure que quelques mois. Le , il est saisi de douleurs au ventre, dont l'origine est peut-être une ancienne blessure mal soignée. Il meurt le lendemain[3]. Il laisse une veuve que son ami Juan Lucás Blanco, devenu chef de sa cuadrilla, épouse par la suite[2].
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Robert Bérard (dir.), Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, , 1056 p. (ISBN 2-221-09246-5)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Diccionario Biográfico Español
- Bérard 2003, p. 616
- Bérard 2003, p. 962
Lien externe
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- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Juan Yust sur Portal taurino