Kaikaifilu
Kaikaifilu hervei
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Sous-embr. | Vertebrata |
Classe | Sauropsida |
Ordre | Squamata |
Super-famille | † Mosasauroidea |
Famille | † Mosasauridae |
Sous-famille | † Tylosaurinae ? |
Kaikaifilu est un genre éteint de grands mosasauridés ayant vécu durant l'étage Maastrichtien de la fin du Crétacé supérieur dans ce qui est actuellement le nord de l'Antarctique. Une seule espèce est connue, Kaikaifilu hervei, décrite en 2017 à partir d'un spécimen très incomplet découvert dans la formation de López de Bertodano, situé dans l'Île Seymour, dans la péninsule Antarctique. Le taxon est nommé ainsi en référence au Coi Coi-Vilu, une divinité aquatique et reptilienne de la cosmologie mapuche. Les premières observations effectués sur le spécimen holotype le classent comme un membre de la sous-famille des Tylosaurinae. Cependant, des observations ultérieurs remarquent plusieurs caractéristiques qui montrent que cet attribution est problématique.
En se basant sur le crâne de Taniwhasaurus antarcticus, celui de Kaikaifilu aurait eu une longueur située entre 1,1 et 1,2 m. La taille corporelle maximale de l'animal serait donc d'environ 10 m de long, faisant de Kaikaifilu le plus grand mosasaure identifié dans l'hémisphère sud. Si son attribution au tylosaurinés reste valide, il serait aussi l'un des plus grands représentants connu. Une des caractéristiques distinctives de Kaikaifilu est qu'il possède une dentition de type hétérodonte, un trait peu présent chez les mosasaures et nullement trouvable chez les autres tylosaurinés.
Les archives fossiles montrent que Kaikaifilu à vécu dans des eaux dont les températures peuvent avoir chuté en dessous de zéro. La formation de López de Bertodano montre aussi que l'animal partageait son habitat avec une variété d'autres animaux, notamment des invertébrés, des poissons, des plésiosaures et également d'autres mosasaures. Datant de l'extinction Crétacé-Paléogène, Kaikaifilu figure parmi les derniers mosasaures connus avant leur disparation.
Découverte et dénomination
[modifier | modifier le code]L'unique spécimen actuellement connu de Kaikaifilu hervei, catalogué SGO.PV.6509, fut découvert en par une expédition paléontologique chilienne dans des lits datant du Maastrichtien supérieur de la formation de López de Bertodano, situé dans l'île Seymour, dans la péninsule Antarctique. Le matériel fossile inclut plusieurs parties fragmentaires du crâne, de la mandibule, 30 dents isolés et d'un humérus gauche partiel[1],[2],[3]. L'analyse ontogénétique menée sur les fossiles montre qu'ils proviennent d'un individu adulte[2],[3]. En 2012, soit un an après la découverte, un chapitre d'un ouvrage scientifique y est consacrée à la description de ce spécimen. L'analyse menée par Rodrigo A. Otero le considère comme un mosasaure du sous-groupe des tylosaurinés, mais ce dernier reste incertain quant à savoir s'il s'agit d'un représentant d'un taxon déjà nommé ou non, laissant ce spécimen inderterminée[1]. Ce n'est que moins de trois ans plus tard, en 2015, qu'une nouvelle révision anatomique confirme que les restes appartiennent bel et bien à un nouveau genre et espèce[2], qu'Otero et ses collègues le décrivent et le nomment officiellement en 2017[3]. Le nom de genre Kaikaifilu vient du mapudungun et est une référence directe au Coi Coi-Vilu, une divinité aquatique et reptilienne provenant de la cosmologie mapuche. L'épithète spécifique hervei est nommé en l'honneur de Francisco Hervé (en), un géologue chilien ayant apporté une importante contribution à la connaissance de la géologie du Chili et de la péninsule Antarctique[3],[4]. Peu de temps après la publication de l'article, Otero signale que lui et ses collègues ont accidentellement utilisée dans leur description une image non libre de droits, une erreur qui à par la suite été changée par une autre image entièrement originale pour leur travaux[5].
Description
[modifier | modifier le code]Telles qu'elles sont conservées, les parties préservées du crâne holotype de K. hervei totalisent environ 70 cm de long. En se basant sur le crâne de Taniwhasaurus antarcticus, un tylosauriné du Campanien également connu d'Antarctique, la longueur totale du crâne de Kaikaifilu se situerait à entre 1,1 et 1,2 m. Une telle longueur crânienne en fait de lui le plus grand mosasaure connu de l'hémisphère sud, ainsi que l'un des plus grands tylosaurinés identifiés à ce jour[3],[4]. Cependant, en raison de l'incertitude concernant son attribution aux tylosaurinés, cette dernière affirmation reste sujet à débat[6],[7]. Bien qu'aucune estimation de la taille corporelle n'ai été donné dans la description officiel du taxon en 2017, le communiqué de presse l'accompagnant indique que l'animal aurait atteint environ 10 m de long[4].
En raison de la mauvaise conservation de l'holotype, peu de descriptions formelles de son anatomie ont été faites, les chercheurs notant l'état de leur conservation. Même certaines parties crâniennes conservées sont incomplètes, empêchant ainsi toute évaluation définitive. Le frontal s'étend vers l'avant et entre les narines externes, étant en contact avec le foramen pinéal[2],[3]. Ce dernier est légèrement concave latéralement et a une petite carène le long de sa ligne médiane. Sa suture avec le prémaxillaire et le préfrontal est étendu axialement et sans interdigitation. En arrière de la suture maxillaire-préfrontal, le frontal montre des rugosités abondantes sur sa surface dorsale. Sa suture avec le pariétal est fortement interdigitée dans la ligne médiane, devenant comme des flancs droits latéralement et ayant un processus postéro-latéral du frontal envahissant le pariétal. Deux petites crêtes apparaissent près de la marge postéro-médiale du frontal. Le pariétal s'étend latéralement, étant proportionnellement plus court que large. Le ptérygoïde semble être pointé dans la direction rostrale, ce qui est inhabituel parmi les mosasaures. Sur la base des portions conservées dans différents blocs fossiles, le postorbitofrontal s'étendrait dorsalement sur toute l'orbite. Contrairement à son contemporain Moanasaurus, K. hervei est caractérisé par la possession d'une constriction pré-orbitaire du rostre[3].
Malgré le fait que la mandibule soit mal préservé, les estimations pensent que plus de 15 dents devrait être présents dans les os dentaires. Certaines dents préservés sont interprétés comme des dents de remplacement poussant sous la dent fonctionnelle. Contrairement aux autres tylosaurinés, une dentition de type hétérodonte est observée chez Kaikaifilu. Les dents complètement développées, bien qu'étant différentes sur divers points de la mâchoire, incluent notamment des points communs. Ils sont de forme coniques, possèdent des surfaces labiales et linguales ayant des stries douces étendues de la base au sommet, ne possèdent pas de carènes (bords tranchants) antérieures dentelées et ont profil latéral de forme triangulaire avec des couronnes à peine recourbées vers l'arrière. Quatre types de dents sont connues au sein de l'animal : des dents coniques de taille moyenne sans aucune facette d'usure ; des dents coniques de taille moyenne avec deux ou trois facettes d'usure sur leurs faces externe et interne ; des très grandes dents coniques sans aucune facette d'usure ; et de petites dents relativement émoussées en forme de « D » et possédant un émail mou (qui représentent probablement des dents en croissance)[2],[3]. Le seul autre mosasaure connu pour avoir une dentition hétérodonte est le mosasauriné Eremiasaurus, datant également de la fin du Maastrichien, mais provenant de l'actuel Maroc[8].
L'humérus partiel de Kaikaifilu est très robuste et représente la partie proximale de cette dernière[2],[3]. La tête articulaire possède un processus pré-glénoïdien haut, rectangulaire et large dorso-ventralement[2], étant une des autapomorphies identifiés au sein de ce taxon[3]. À son tour, la crête pectorale est également proéminente et les deux structures sont séparées de la glène par des rainures respectives[2],[3].
Classification
[modifier | modifier le code]Dès l'officialisation de la découverte du spécimen SGO.PV.6509 en 2012, les descriptions préliminaires le classaient déjà dans la sous-famille des Tylosaurinae, mais ne pouvaient cependant pas déterminer si ce dernier était un représentant d'un nouveau taxon ou pas[1]. Comme les fossiles sont fragmentaires et incomplets, presque toutes les caractéristiques communes du groupe ne sont pas présentes sur ces derniers, rendant impossible à attribuer directement Kaikaifilu au sein des Tylosaurinae. Néanmoins, une des caractéristiques présentes, à savoir l'exclusion du frontal de la marge de l'orbite, est visible chez ce spécimen[3]. La première analyse phylogénétique concernant ce spécimen fut réalisée en 2015, alors que le genre était toujours non nommé. Toutes les méthodes de consensus strict placent SGO.PV.6509 au sein des Tylosaurinae, mais pas toujours dans le même positionnement, la première analyse le situant dans une position basale à Taniwhasaurus spp. et la seconde en tant que taxon frère de Tylosaurus[2]. Dans l'étude le décrivant officiellement, toutes les analyses effectuées le récupèrent également en tant que tylosauriné, avec des résultats similaires, seul le cladogramme le plus parcimonieux le classant comme le plus basal du groupe[3].
Le cladogramme suivant est modifié à partir de l'analyse phylogénétique menée par Otero et al. (2017), montrant le placement proposé de Kaikaifilu au sein des Tylosaurinae[3] :
◄ Mosasauroidea |
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
À partir de 2019, soit deux ans seulement après sa description officielle, l'attribution de Kaikaifilu au Tylosaurinae est remise en question. Les auteurs notent que certaines caractéristiques observées ne semblent pas correspondre voire contredisent à la définition du groupe. De plus, la nature très fragmentaires des fossiles empêchent les mêmes auteurs d'y effectuer de nouvelles classifications phylogénétiques incluant Kaikaifilu[6],[7].
Paléoécologie
[modifier | modifier le code]Kaikaifilu est connu des dépôts datant de la fin du Maastrichtien de la formation de López de Bertodano, situé dans l'Île Seymour, dans la péninsule Antarctique[1],[2],[3]. Ce lieu comprend des couches de l'extinction Crétacé-Paléogène, qui a été témoin de la disparition de certains des derniers mosasaures restants comme Kaikaifilu. La formation est constituée d'une couche de limons et d'argiles à grains fins de 1 100 m d'épaisseur parsemés de grès. Diverses sections contiennent des fossiles de mollusques et de crustacés, suggérant qu'il faisait partie d'un ancien fond marin. L'environnement de dépôt de López de Bertodano était divisé en deux sections principales ; un estuaire peu profond et un plateau continental plus profond, qui avaient tous deux leur propre faune d'invertébrés[9],[10]. Situé dans le cercle polaire à environ 65°S[11], les températures des profondeurs d'eau moyennes à grandes auraient été d'environ 6 °C en général, tandis que les températures de surface de la mer peuvent avoir chuté en dessous de zéro et des icebergs peuvent s'êtres formée à certains moments[12],[13].
La formation de López de Bertodano est déjà connu pour la découverte d'autres genres de mosasaures, notamment Moanasaurus, Mosasaurus, Liodon, Plioplatecarpus[14], ainsi que des restes provenant de tylosaurinés indéterminés. La validité de certains de ces genres sont contestée car ils sont principalement basés sur des dents isolées[3],[4],[15]. Prognathodon et Globidens devraient également être présents sur la base des tendances de distribution des deux genres dans le monde, bien que des fossiles concluants n'aient pas encore été trouvés[14]. D'autres reptiles marins de cette formation incluent des plésiosaures du groupe des élasmosaures comme Aristonectes, Marambionectes, Morturneria et un autre représentant indéterminé[16],[17]. Les plésiosaures de cette formation auraient d'ailleurs été des potentiels proies pour Kaikaifilu, qui, en raison de sa grande taille, aurait sans doute été un superprédateur[4]. L'assemblage de poissons de la formation de López de Bertodano est principalement dominé par Enchodus et les ichthyodectiformes[18]. Une grande faune d'ammonites est connue de ce site, incluant le genre en forme de trombone Diplomoceras (en)[10].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- (es) Rodrigo A. Otero, « Anifidades morfológicas entre dientes de mosasaurios (Squamata, Mosasauroidea) del Maastrichtiano de Antártica y Chile central », dans Mario Lepe, Juan Carlos Aravena et Rodrigo Villa-Martínez, Abriendo Ventanas al Pasado. Libro de Resúmenes del III Simposio - Paleontología en Chile, Punta Arenas, Centro de Estudios del Cuaternario y Antártica del Instituto Antártico Chileno, , 196 p. (OCLC 1318661175, lire en ligne), p. 146-149
- (es) Rodrigo A. Otero, David Rubilar-Rogers et Carolina S. Gutstein « Un nuevo mosasaurio (Squamata, Mosasauroidea) del Cretácico Superior de Antártica » () (lire en ligne)
—XIV Congreso Geológico de Chile - (en) Rodrigo A. Otero, Sergio Soto-Acuña, David Rubilar-Rogers et Carolina S. Gutstein, « Kaikaifilu hervei gen. et sp. nov., a new large mosasaur (Squamata, Mosasauridae) from the upper Maastrichtian of Antarctica », Cretaceous Research, vol. 70, , p. 209-225 (DOI 10.1016/j.cretres.2016.11.002, S2CID 133320233)
- (en) University of Chile, « A giant predatory lizard swam in Antarctic seas near the end of the dinosaur age », sur ScienceDaily,
- (en) Rodrigo A. Otero, « Corrigendum for “Kaikaifilu hervei gen. et sp. nov., a new large mosasaur (Squamata, Mosasauridae) from the upper Maastrichtian of Antarctica” [Cretaceous Research, 70 (2016) pp. 209–225] », Cretaceous Research, vol. 72, , p. 188 (DOI 10.1016/j.cretres.2016.12.020 , S2CID 132580330)
- (en) Paulina Jiménez-Huidobro et Michael W. Caldwell, « A New Hypothesis of the Phylogenetic Relationships of the Tylosaurinae (Squamata: Mosasauroidea) », Frontiers in Earth Science, vol. 7, , p. 47 (DOI 10.3389/feart.2019.00047 , Bibcode 2019FrEaS...7...47J, S2CID 85513442)
- (en) Samuel T. Garvey, « A new high-latitude Tylosaurus (Squamata, Mosasauridae) from Canada with unique dentition » (MS), University of Cincinnati, (lire en ligne )
- (en) Aaron R. H. Leblanc, Michael W. Caldwell et Nathalie Bardet, « A new mosasaurine from the Maastrichtian (Upper Cretaceous) phosphates of Morocco and its implications for mosasaurine systematics », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 32, no 1, , p. 82-104 (DOI 10.1080/02724634.2012.624145, JSTOR 41407709, Bibcode 2012JVPal..32...82L, S2CID 130559113, lire en ligne)
- (en) Eduardo B. Olivero, « Sedimentary cycles, ammonite diversity and palaeoenvironmental changes in the Upper Cretaceous Marambio Group, Antarctica », Cretaceous Research, vol. 34, , p. 348-366 (ISSN 0195-6671, DOI 10.1016/j.cretres.2011.11.015, S2CID 128828799)
- (en) James D. Witts, Vanessa C. Bowman, Paul B. Wignall, J. Alistair Crame, Jane E. Francis et Robert J. Newton, « Evolution and extinction of Maastrichtian (Late Cretaceous) cephalopods from the López de Bertodano Formation, Seymour Island, Antarctica », Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeoecology, vol. 418, , p. 193-212 (ISSN 0031-0182, DOI 10.1016/j.palaeo.2014.11.002, S2CID 129879097)
- (en) David B. Kemp, Stuart A. Robinson, J. Alistair Crame, Jane E. Francis, Jon Ineson, Rowan J. Whittle, Vanessa Bowman et Charlotte O'Brien, « A cool temperate climate on the Antarctic Peninsula through the latest Cretaceous to early Paleogene », Geology, vol. 42, no 7, , p. 583-586 (DOI 10.1130/g35512.1 , Bibcode 2014Geo....42..583K, S2CID 28580206)
- (en) Vanessa C. Bowman, Jane E. Francis et James B. Riding, « Late Cretaceous winter sea ice in Antarctica? », Geology, vol. 41, no 12, , p. 1227-1230 (DOI 10.1130/G34891.1, Bibcode 2013Geo....41.1227B, S2CID 128885087, lire en ligne [PDF])
- (en) Thomas S. Tobin, Peter D. Ward, Eric J. Steig, Eduardo B. Olivero, Isaac A. Hilburn, Ross N. Mitchell, Matthew R. Diamond, Timothy D. Raub et Joseph L. Kirschvink, « Extinction patterns, δ18 O trends, and magnetostratigraphy from a southern high-latitude Cretaceous–Paleogene section: Links with Deccan volcanism », Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeoecology, vol. 350-352, , p. 180-188 (DOI 10.1016/j.palaeo.2012.06.029, Bibcode 2012PPP...350..180T, S2CID 17170919, lire en ligne [PDF])
- (en) James E. Martin, « Biostratigraphy of the Mosasauridae (Reptilia) from the Cretaceous of Antarctica », Geological Society, London, Special Publications, vol. 258, no 1, , p. 101-108 (DOI 10.1144/gsl.sp.2006.258.01.07, Bibcode 2006GSLSP.258..101M, S2CID 128604544)
- (en) Pablo Gonzalez Ruiz, Marta S. Fernandez, Marianella Talevi, Juan M. Leardi et Marcelo A. Reguero, « A new Plotosaurini mosasaur skull from the upper Maastrichtian of Antarctica. Plotosaurini paleogeographic occurrences », Cretaceous Research, vol. 103, no 2019, , p. 104166 (DOI 10.1016/j.cretres.2019.06.012, hdl 11336/125124 , S2CID 198418273, lire en ligne)
- (en) Jose P. O'Gorman, Juan I. Canale, Paula Bona, David E. Tineo, Marcelo Reguero et Magalí Cárdenas, « A new elasmosaurid (Plesiosauria: Sauropterygia) from the López de Bertodano Formation: new data on the evolution of the aristonectine morphology », Journal of Systematic Palaeontology, vol. 22, no 1, (ISSN 1477-2019, DOI 10.1080/14772019.2024.2312302, S2CID 268899920)
- (en) José P. O'Gorman, Karen M. Panzeri, Marta S. Fernández, Sergio Santillana, Juan J. Moly et Marcelo Reguero, « A new elasmosaurid from the upper Maastrichtian López de Bertodano Formation: new data on weddellonectian diversity », Alcheringa: An Australasian Journal of Palaeontology, vol. 42, no 4, , p. 575-586 (DOI 10.1080/03115518.2017.1339233, S2CID 134265841, lire en ligne)
- (en) Alberto L. Cione, Sergio Santillana, Soledad Gouiric-Cavalli, Carolina Acosta Hospitaleche, Javier N. Gelfo, Guillermo M. Lopez et Marcelo Reguero, « Before and after the K/Pg extinction in West Antarctica: New marine fish records from Marambio (Seymour) Island », Cretaceous Research, vol. 85, , p. 250-265 (DOI 10.1016/j.cretres.2018.01.004, hdl 10915/147537 , S2CID 133767014)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Julie Lacoste, « Découverte d’un lézard marin géant vivant il y a 66 millions d’années en Antarctique », sur Sciences et Avenir,
- Ressources relatives au vivant :