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Famille de Duin

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Duyn / Duin (de)
Image illustrative de l’article Famille de Duin
armes

Blasonnement d'or à la croix de gueules[1]
Branches Duin-Conflens (Conflans)
Duyn de Bex
Période fin XIIe siècle-XVIe siècle
Pays ou province d’origine Comté de Genève
Allégeance Comtes de Genève / Archevêques de Tarentaise, puis Comtes de Savoie
Fiefs tenus Duingt
Vassaux D'Héré
Demeures Duingt
Charges Baillis, châtelains
Fonctions ecclésiastiques Évêque de Genève

La famille de Duin ou de Duyn est une ancienne famille de la noblesse d'extraction chevaleresque, originaire de Duingt ou Duin, dans le comté de Genève. Les premiers personnages portant ce patronyme sont mentionnés au cours du XIIe siècle, tout en supposant une apparition au siècle précédent.

La branche principale disparaît au XVe siècle, avec la transmission d'une partie des titres et des biens aux Mareschal de Saint Michel de Maurienne.

Le surnom patronymique Duin est la forme courante utilisée pour « désigner la famille seigneuriale »[2]. On trouve cependant dans la documentation les formes Duyn, utilisée notamment par Amédée de Foras[1] ou encore Duyng[3], mais plus rarement sous la forme du toponyme de la commune, Duingt[Note 1].

L'historien local, l'abbé Bernard (1967) souligne que « [les] Duin [...] ainsi écrits dans les vieux textes normalement, avant qu'on ne change l’i en y, comme ce fut un temps la mode »[5].

Le généalogiste Amédée de Foras mentionne, que selon d'anciennes chroniques, le futur saint Bernard, dit de Menthon serait né en 923 de l'union entre le baron Richard de Menthon et de Bernoline de Duyn[1],[6],[ReG 1]. Cette dernière serait, toujours selon ces traditions, la descendante d'un Olivier, dit comte de Genève, et compagnon de Charlemagne et de Roland[1],[7].

Cette légende remonte à un biographe et chanoine de Tarentaise, connu sous le pseudonyme de Richard de la Val d'Isère, la fin du XIVe siècle ou vers le début du XVe siècle[8],[9].

Les seigneurs de Duin tirent leur nom de la seigneurie de Duin, l'une des plus anciennes et des plus grandes du comté de Genève[2],[10]. Le comte de Foras souligne cependant qu'« il se présente pour la famille des seigneurs de Duyn une incertitude singulière, celle de leur véritable nom patronymique »[1]. L'abbé Bernard (1967), avance cependant une hypothèse, en prenant en compte une mention dans le Nécrologe de Talloires — {{{1}}} — ainsi que la mention d'un Nicolas de Duyn en 1241, dans l’Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (p.288), que les Duin seraient une branche cadette des Ternier, les nommant ainsi « Ternier dits Duin »[5].

Avec l'implantation de la famille à Conflans, une branche commence à porter ce toponyme comme patronyme[1]. En effet, dans un document de 1289, un Rodolphe de Conflans, dit de Duin, rend hommages à l'archevêque de Tarentaise pour son château de Conflans (castri Confleti)[11]. Il est dit fils de Jacques de Conflans[11]. Dans un nouvel acte de 1296, on retrouve ce Rodolphe de Duyn, dit fils de Jacques de Conflans[1]. Il s'agit des « Duin dits aussi Duin-Conflens, [...] possessionnés au Châtel-sur-Conflens », dont est issu l'évêque Guillaume de Duin-Conflens[12].

Le comte de Foras rappelle qu'il existe également une famille de Conflens, seigneur de Conflans, distincte[1], qui porte "tranché d'hermines et de gueules"[13]. Il évoque rapidement, sans s'y arrêter, une improbable souche commune[1]. Il conclut cependant qu'il « faudrait admettre, jusqu'à preuve nouvelle », que les seigneurs du Châtel-sur-Conflens devaient porter « ce dernier nom comme titre seigneurial et non comme patronymique »[1].

Seigneurs des rives du lac de Duin

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Les origines de la famille de Duin sont incertaines, toutefois la famille est maîtresse des deux châteaux de la paroisse, celui de Duingt dit de l'Esplanade, situé sur la colline surplombant le lac, et celui de Châteauvieux, installé sur une presqu'île, qui semble être le centre originel de la seigneurie de Duin[2],[10]. Le site de Duingt, protégé par deux châteaux, est un lieu de passage important sur la rive ouest du lac d'Annecy, empruntant une ancienne voie romaine secondaire, entre Genève et Moûtiers (vallée de la Tarentaise), passant par Annecy, et permettait aussi de contrôler la navigation sur le lac.

La seigneurie de Duin s'étend de la Provenche (Saint-Jorioz), jusqu'à Beauvivier et son port (Doussard), en passant par Ruange (Doussard, Chevaline et Lathuile)[14],[15]. La famille contrôle ainsi la partie sud du lac, appelée Petit lac ou lac de Duin (lacus de Duygno) et une partie de la rive gauche du Grand lac ou lac d’Annecy[16],[17]. Cette partie du lac relèvera d’ailleurs de la châtellenie[18].

Selon l'abbé Bernard, la famille des « Ternier dits Duin » devait posséder « le vidomnat sur les bords du lac d’Annecy depuis Veyrier, Menthon, Talloires inclus jusqu’au mandement de Duin inclus. »[19]. Il appuie son hypothèse sur l'existence d'un Aymon, dit vice-domnus sans autre précisions, mais que l'on pourrait associer à Aymon de Ternier, dans une donation à l'Hospice Saint-Nicolas de Montjoux de 1137 du comte Amédée III[19]. Ce personnage, et donc la famille des « Ternier dits Duin », pourraient avoir des « droits en Tarentaise puisque le prieuré de Talloires en a à Moûtiers, Belleville et Hautecour ; il est le protecteur des moines de son vidomnat »[19].

La famille fait de nombreux dons à l'abbaye de Talloires, mais aussi celle de Tamié. Ainsi un acte, daté de 1231 à 1233, « Raymond de Duin, femme et enfants, donnèrent à l'abbaye de Tamié la terre et le bois qu’ils avaient en Glaire et le droit de pêche au lac avec filets, sauf en Eau-Morte pour 100 sols », indique les droits possédés par la famille au bout du lac[5]. La rivière de l'Eau Morte semble marquer la limite de juridiction des deux abbayes dans la plaine du bout du lac d'Annecy[5].

La famille de Duin, tout comme celle de Menthon, implantée en rive est du lac, semble avoir pour sépulture l'abbaye de Talloires[20].

Vassaux des comtes de Genève

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De nombreux personnages portant les Cognomina — Duin(g), Duyn, Doint — apparaissent dans les documents des XIIe et XIIIe siècles présentés, en partie, dans le Régeste genevois (1866), notamment comme témoins des comtes de Genève[ReG 2]. Le comte de Foras « Il est incontestable que les Duyn sont une de nos plus vieilles familles chevaleresques de Savoie : il est donc très admissible qu'ils remontent aux rois de Bourgogne et même plus haut, quant à le prouver, c'est plus difficile. Les plus anciens documents les concernant remontent au XIIIe siècle. »[1]

Selon le Régeste genevois (1866), en 1198, Aimon de Duing ou Duin est témoin dans une information prise par les évêques de Genève, Nantelme, et de Sion, Nantelme d'Ecublens[ReG 3].

Raymondus Doint se porte caution, le , pour le comte de Genève de la somme de 1 100 sols, lors du traité de Desingy, placé sous l'arbitrage de l'archevêque de Vienne, Jean de Bernin[21],[ReG 4]. Ce traité impose au comte de Genève, Guillaume II de résider en son château d'Annecy afin de faire cesser ses querelles avec l'évêque de Genève.

Raimond, Pierre et Jaques de Duing sont témoins pour le comte de Genève, dans un traité de paix du , avec le baron Aymon II de Faucigny[ReG 5]. La même année un accord est signé entre Pierre, seigneur de Duing (Duyn), et ses frères Henri et Jean, né à Vuillerens, sous les auspices du Chapitre de Lausanne (Pays de Vaud)[ReG 6]. En 1252, Pierre de Duing est témoin lors de l'élaboration du testament du comte Guillaume II de Genève[ReG 7].

Dans le Pays de Vaud, la seigneurie de Vufflens dépend, vers 1235, des comtes de Genève[ReG 8] et, en 1250, elle est donnée en gage[Note 2] au seigneur Pierre de Savoie[ReG 8].

Extension régionale

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De fait de possessions placées dans le domaine d'influence de la famille des comtes de Savoie, une partie de la famille de Duin se met au service de ces princes dès le XIIIe siècle.

Vers le milieu du XIIIe siècle, on trouve comme seigneur de Vufflens Richard de Duin. Celui-ci se voit toutefois bientôt dépossédé d'une partie de son territoire en raison de la fondation, par Louis Ier de Vaud, de Morges (1286), ville neuve implantée sur un terrain qui, précédemment, appartenait à la seigneurie de Vufflens. Cette spoliation donne lieu à un procès[23].

En 1269, Richard de Duyng est témoin pour le comte Philippe Ier de Savoie[ReG 9].

Raoul/Rodolphe de Conflans, coseigneur de Duin, reconnait dans un acte du tenir en fief « tout ce qu'il possède à partir de la pierre appelée Boc de Tametz (Bout de Tamié) jusque vers Annecy et ailleurs » du comte Amédée II de Genève[24],[25],[26],[27]. L'acte précise que Raoul/Rodolphe de Conflans met à disposition du comte son fief en cas de conflit avec les comtes de Savoie[26],[27]. Le même cède, en 1296, pour 2 500 livres au comte de Genève une partie de la seigneurie et le château de Duin, mais conserve le château de Châteauvieux[28],[10],[29]. Les droits entre le comte et Pierre de Duin, coseigneur de Duin, sont précisés dans un accord en 1311[30].

En 1324, un Guillaume de Duin prête hommage pour la possession de la châtellenie savoyarde de Gras(s)bourg[Note 3], en Pays de Vaud, alors sous administration savoyarde[32]. Un Bertrand de Duin a été bailli de Vaud et avoué de Payerne en 1455[33].

François de Duin épouse Marguerite de Beaufort[2],[34]. Précédemment, le , Jacquemet de Beaufort, en échange de la seigneurie de Beaufort, avait obtenu la seigneurie de La Val d'Isère et acheté en 1346 le titre de « vicomte de Tarentaise » à Amédée V de Savoie, pour 2 000 florins[35]. Les Duin, par ce mariage, se retrouvent coseigneurs de La Val d'Isère ou de la Valdisère[34],[2].

En 1404, Antoine de Duin prête serment au comte de Savoie Amédée VIII[36]. Il se trouve co-seigneur de la seigneurie de Bex[36]. En 1431, Antoine de Duin épouse Marguerite de Blonay, à la suite de quoi il hérite du titre de seigneur de Bex[36]. Le château, qui prendra dès lors le nom de « château de Duin », est détruit en partie entre 1475 et 1476, au cours de la guerre de Bourgogne[36]. Les héritiers s'établissent désormais dans une maison du village, le château semble délabré dans la seconde partie du XVIe siècle[36].

Disparition de la branche aînée et héritage

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Robert de Duin, seigneur de Châteauvieux et de la Bâtie de Saint-Eustache, hérite de son frère, Bertrand, la seigneurie de La Val-d'Isère (avant 1473)[37]. Son fils aîné, Amédée, hérite des deux principales seigneuries du Genevois, puis son fils François[37]. Son cadet, Pierre, hérite de La Val-d'Isère[37]. Son fils, Janus, lui succède[37]. Il est l'héritier universel de son cousin germain François, qui meurt après 1510[37].

Janus de Duyn est fait écuyer (1490) du duc de Savoie Charles (II), puis grand-écuyer (1504)[34],[37]. Avec sa femme, Clauda Bonivard, ils n'ont qu'une fille, Louise, comtesse de Mansin[34],[37].

Sans postérité, Louise de Duin teste dans un premier temps en faveur de son mari (1523)[37], Thomas Valpergue, comte de Masin (di Masino), issu d'une ancienne famille piémontaise, puis « en faveur des nobles François et Pierre de La Forest », seigneurs de la Barre, cousins maternels[34],[37],[38], puis « leur substituant Jean Mareschal (fils d'Urbaine de Duin, sa tante), et Gaspard de Rovorée (fils de Marie de Duin, sa tante) »[37]. Son codicille de 1529 confirme ses dernières volontés[37].

Urbaine de Duin avait épousé Jean Mareschal, de la branche de Saint Michel de Maurienne[34], donnant naissance à la branche des Mareschal Duyn de la Val d'Isère[39]. Ses enfants héritent ainsi du titre de vicomte de Tarentaise[37].

Louise de Duin vend, alors qu'elle était éloignée, le château familiale de Châteauvieux à Philippe de Savoie[40], comte apanagiste du Genevois et premier duc de Nemours[41].

Marie de Duyn, cousine germaine de Janus, qui a épousé en troisièmes noces, Vincent de Thorens[42]. Elle nomme Claude-Nicolas de Thorens, baron de Grilly, comme héritier, avec l'autorisation « de porter le nom et les armes de Duyn »[16], d'où les formes Claude-Nicolas de Duyn de Thorens. Avec sa mort en 1565, la branche aînée disparait[16].

Héraldique

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Maison de Duin

Les armes de la famille de Duin se blasonnent ainsi : d'or à la croix de gueules[1],[43]

De Foras relève que François Augustin Della Chiesa donnait pour armes anciennes de gueules à deux bars adossés d'argent (Due barbi di argento curvi contrapposti in campo rosso)[1],[44].

L'Armorial de Rietstap (1884) énonce les armes suivantes[45] :

  • Duyn (de) de Bex (Savoie) : de gueules à deux bars adossés d'argent accolés en chef d'une tour d'or.
    Le château de Bex, dit de Duin, dans le canton de Vaud, possède une représentation de ces armes.
  • Duyn (de) de Vufflens (Genevois, province de Vaud) : d'or à la croix de gueules.

Cimier, selon Foras, probablement "un aigle naissant... de sable"[1].


Famille de Mareschal (de) Duyn (de) La Val d'Isère

Les armes de la famille de Mareschal (de) Duyn (de) La Val d'Isère ou Duyn Maréchal ou encore Duyn de La Val d'Isère se blasonnent ainsi : écartelé 1 et 4 d'or à la croix de gueules, écartelé 1 et 3 d'or, à la bande d'or, chargée de trois coquilles d'argent.[39],[38]

Amédée de Foras note que certains sceaux de cette famille au XVe siècle portaient le blason pur de Duin[1].

Personnalités

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Amédée de Foras relève que « La généalogie de cette famille est de « laborieuse tisseure » », citant les mots de l'évêque de Genève, Mgr Charles-Auguste de Sales[16]. Indiquant ainsi les difficultés à construire une généalogie pour cette famille et les différentes personnalités ayant porté le nom[16].

Titres, seigneuries et possessions

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Château de Châteauvieux.

Les Duin ont été seigneurs[1] :

Charges et offices

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Des membres de la famille ont occupé les charges de :

Des membres de la famille ont été châtelains de[64] :

Notes et références

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  1. Par exemple, dans des articles des Mémoires et documents du XIXe siècle de l'Académie de la Val d'Isère, des Mémoires du XIXe siècle de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie ou encore chez l'historien Georges Chapier (1907?-1975) qui indique dans un ouvrage « la famille de Duingt dont la noblesse remontait… »[4].
  2. La gagerie est un procédé par lequel un seigneur met en gage son fief en place d'une forte somme d'argent. Le bien entre immédiatement dans les possessions du prêteur. Si ce seigneur rembourse son prêt, il récupère son bien sinon il passe définitivement entre les mains de l'autre seigneur[22].
  3. Le château de Grasbourg se trouvait sur l'actuelle commune de Schwarzenburg[31].

Régeste genevois (1866)

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  1. Lullin et Le Fort 1866, REG 121 (lire en ligne), p. 37.
  2. Lullin et Le Fort 1866, Table alphabétique générale - DOU (lire en ligne), p. 475-476.
  3. Lullin et Le Fort 1866, REG 468 (lire en ligne), p. 129.
  4. Lullin et Le Fort 1866, REG 574 (lire en ligne), p. 155-156.
  5. Lullin et Le Fort 1866, REG 613 (lire en ligne), p. 163-164.
  6. Lullin et Le Fort 1866, REG 622 (lire en ligne), p. 166.
  7. Lullin et Le Fort 1866, REG 848 (lire en ligne), p. 211.
  8. a et b Lullin et Le Fort 1866, Table alphabétique générale - VIU (lire en ligne), p. 541.
  9. Lullin et Le Fort 1866, REG 1041 (lire en ligne), p. 254-255.
  10. Lullin et Le Fort 1866, Épiscopat de Guillaume de Conflans (lire en ligne), p. 306-350.

Références

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  1. a b c d e f g h i j k l m n o et p Foras 1878, p. 285.
  2. a b c d et e Histoire des communes savoyardes, 1981, p. 150.
  3. Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 201-208. ([PDF] lire en ligne)
  4. Georges Chapier, Châteaux savoyards : Faucigny et Chablais, vol. 5, Grenoble, Éditions Revue Les Alpes, , 410 p., p. 185.
  5. a b c et d Félix Bernard, L'Abbaye de Tamié, ses granges (1132-1793), Imprimerie Allier, , « La guerre des deux Bourgogne et l’intervention de Saint Bernard provoquent la fondation de Tamié et la naissance de la ville d’Annecy-le-Neuf », p. 162.
  6. Jean Prieur et Hyacinthe Vulliez, Saints et saintes de Savoie, La Fontaine de Siloé, , 191 p. (ISBN 978-2-84206-465-5, lire en ligne), p. 51-52.
  7. « Séance du 28 juin 1890 », Revue savoisienne, Académie florimontane (Annecy), Imprimerie d'Aimé Perrissin, 1890, p. 154 (lire en ligne).
  8. Histoire des communes savoyardes, 1981, p. 168-169, « Saint Bernard ».
  9. André Donnet, Saint Bernard et les origines de l'Hospice du Mont-Joux, Saint-Maurice, Œuvre Saint-Augustin, , 164 p. (lire en ligne [PDF]).
  10. a b et c Paul Guichonnet (dir.), Histoire d'Annecy, vol. 21, Éditions Privat, coll. « Pays et villes de France », (réimpr. 2000) (1re éd. 1987), 336 p. (ISBN 978-2-7089-8244-4), p. 72 (2000 (ISBN 2-70898-244-3)).
  11. a et b Jacqueline Roubert, « La seigneurie des Archevêques Comtes de Tarentaise du Xe au XVIe siècle », Mémoires, vol. 6, no 5,‎ , p. 153-157, « Les seigneurs de Conflans »
  12. Félix Bernard, L'Abbaye de Tamié, ses granges (1132-1793), Imprimerie Allier, , « La guerre des deux Bourgogne et l’interventionde Saint Bernard provoquent la fondation de Tamié et la naissance de la ville d’Annecy-le-Neuf », p. 212.
  13. Foras 1878, (lire en ligne), p. 148-152.
  14. a et b Histoire des communes savoyardes, 1981, p. 313-315, « Féodalité ».
  15. a et b Histoire des communes savoyardes, 1981, p. 306, « Ruange ».
  16. a b c d et e Foras 1878, p. 287.
  17. Pierre Duparc, Le comté de Genève, IXe, t. XXXIX, Genève, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, coll. « Mémoires et Documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 616 p. (lire en ligne), p. 437.
  18. Pierre Duparc, « Le premier siècle de l'abbaye d'Hautecombe », dans Collectif, Vie religieuse en Savoie : mentalités, associations / actes du XXXIe Congrès des sociétés savantes de Savoie, Annecy, 13-14 septembre 1986, Annecy, Académie salésienne - Congrès des sociétés savantes de Savoie, (lire en ligne), p. 204.
  19. a b et c Félix Bernard, L'Abbaye de Tamié, ses granges (1132-1793), Imprimerie Allier, , « La guerre des deux Bourgogne et l’interventionde Saint Bernard provoquent la fondation de Tamié et la naissance de la ville d’Annecy-le-Neuf », p. 164-165.
  20. Félix Bernard, L'Abbaye de Tamié, ses granges (1132-1793), Imprimerie Allier, , « La guerre des deux Bourgogne et l’intervention de Saint Bernard provoquent la fondation de Tamié et la naissance de la ville d’Annecy-le-Neuf », p. 215.
  21. Chapier, 2005, p. 316-319.
  22. André Perret, Les institutions dans l'ancienne Savoie : Du onzième au seizième siècle, Chambéry, Conseil départemental d'animation culturelle, , 87 p. (ASIN B0007AXLD6, lire en ligne [PDF]), p. 31, « La seigneurie et la gagerie ».
  23. Paul Bissegger, Les Monuments d'art et d'histoire du canton de Vaud V. La ville de Morges, Société d'histoire de l'art en Suisse, coll. « Monuments d'art et d'histoire de la Suisse 91 », (ISBN 3-909164-66-8), p. 15.
  24. « Acte LX », p.20, Répertoire de documents relatifs à l'ancien comté de genevois, publié dans Mémoires et documents publiés par la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, T5, 1891 (lire en ligne).
  25. Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 596 p., p. 278.
  26. a et b Gérard Detraz, « Réflexions à propos de la naissance du village de Duingt », Revue savoisienne,‎ , p. 69-76 (lire en ligne).
  27. a et b Matthieu de la Corbière, L'invention et la défense des frontières dans le diocèse de Genève : Étude des principautés et de l'habitat fortifié (XIIe - XIVe siècle), Annecy, Académie salésienne, , 646 p. (ISBN 978-2-901102-18-2), p. 316.
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  29. Chapier, 2005, p. 182.
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  47. Pierre Duparc, Le comté de Genève, IXe – XVe siècle, t. XXXIX, Genève, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, coll. « Mémoires et Documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 616 p. (lire en ligne), p. 225, 388.
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Bibliographie

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  • Georges Chapier, Châteaux savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, Éditions La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 182.
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  • Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 2, Grenoble, Allier Frères, (lire en ligne), p. 285-293.
  • Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois : Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne).
  • Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Éditions Cabédita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 70-71.

Articles connexes

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