Exosun
Exosun | |
Création | 25 juin 2007 : immatriculation |
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Disparition | 13 janvier 2018 : liquidation |
Fondateurs | Frédéric Conchy et Jean-Noël de Charentenay |
Forme juridique | Société par actions simplifiée[1] |
Siège social | Martillac France |
Activité | Équipement de centrales solaires |
Produits | Trackers solaires |
Société mère | ArcelorMittal |
Effectif | 73 au 30 avril 2015 (effectif moyen annuel déclaré) |
SIREN | 498664762 |
Site web | exosun.fr |
Chiffre d'affaires | 20 878 100 € au 30 avril 2015 - comptes plus récents non disponibles |
Résultat net | 478 300 € au 30 avril 2015 |
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Exosun est une entreprise française qui produit des trackers solaires. Créée en 2008, elle est maintenant présente sur trois continents et appartient à ArcelorMittal depuis début 2018.
Histoire
[modifier | modifier le code]L'entreprise est fondée en 2007 par Frédéric Conchy et Jean-Noël de Charentenay[2]. En 2012, elle réalise une levée de fonds de 12 millions d'euros auprès d'Omnes Capital, de Grand Sud-Ouest Capital, d'Aquitaine Expansion et de l'Ademe[2].
En 2016, confrontée à une concurrence accrue, elle réduit ses effectifs en France tout en se développant à l'étranger[3]. En 2018, elle est reprise par ArcelorMittal après avoir été placée en redressement judiciaire à l'été 2017[4] alors qu'elle avait réalisé un chiffre d'affaires de 25 millions d'euros sur 2016-2017[5].
Le 3 janvier 2018, la société est placée en liquidation judiciaire et cédée[6].
L'acheteur est le numéro un mondial de la sidérurgie : ArcelorMittal, Les activités d’Exosun seront intégrées au sein d’ArcelorMittal Projects, la division dédiée aux projets d’infrastructures dans les domaines de l’énergie et de la construction[7].
Activités
[modifier | modifier le code]L'entreprise, basée à Martillac (Gironde), produit des trackers solaires utilisés sur des centrales solaires photovoltaïques de grandes dimensions pour suivre la course du soleil[4]. Elle est présente en France, aux États-Unis et en Afrique du Sud[2],[8].
Elle a comme partenaire Exoès (en), issue d'un accord avec le bureau d'étude Amoès, qui développe des technologies de récupération de chaleur[9],[10].
Références
[modifier | modifier le code]- Sirene (registre national des sociétés).
- Pascal Rabiller, « Comment Exosun a réussi sa révolution solaire », sur latribune.fr, (consulté le )
- « Exosun supprime près du tiers des emplois à son siège », sur lechodusolaire.fr, (consulté le )
- AFP/Archives/Philippe Huguen, « Solaire: ArcelorMittal reprend la société Exosun », sur capital.fr, (consulté le )
- Jean-Philippe Pié, « Exosun en discussion pour un adossement industriel », sur greenunivers.com, (consulté le )
- « Exosun : identité + cession + liquidation », sur www.societe.com (consulté le )
- le moniteur.fr - 9 janvier 2018
- Orianne Esvan, « Exosun : Le fabricant de trackers vise l'export », sur lejournaldesentreprises.com, (consulté le )
- « Exosun et Exoès en synergie dans le CSP », sur plein-soleil.info, (consulté le ).
- Alexandre Simonnet, « Exoès renforce ses liens avec ses partenaires, Amoès et Exosun », sur greenunivers.com, (consulté le ).