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Espinasse (Puy-de-Dôme)

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Espinasse
Espinasse (Puy-de-Dôme)
Le bourg d'Espinasse sous la neige.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Éloy
Maire
Mandat
Michel Bancarel
2020-2026
Code postal 63390
Code commune 63152
Démographie
Gentilé Espinassois
Population
municipale
282 hab. (2021 en évolution de −3,75 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 19″ nord, 2° 42′ 43″ est
Altitude 680 m
Min. 598 m
Max. 774 m
Superficie 23,95 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Éloy-les-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Espinasse
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Espinasse
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Espinasse
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Espinasse
Liens
Site web espinasse63.com

Espinasse est une commune française de la région Auvergne-Rhône-Alpes, située dans le département du Puy-de-Dôme, au nord-ouest de l'arrondissement de Riom. Ses habitants sont appelés les Espinassois.

Petit village du pays des Combrailles, dans l'ancien canton de Saint-Gervais-d'Auvergne[Note 1], le bourg est niché dans un creux, à environ neuf kilomètres à l'ouest de la ville de Saint-Gervais-d'Auvergne.

Lors du Moyen Âge et de l'époque moderne, la région des Combrailles était d'une importance capitale au niveau territorial car elle était située au croisement de plusieurs seigneuries bourbonnaises, marchoises et auvergnates.

Elle a accueilli jusqu'à 1 220 habitants à la fin du XIXe siècle et a connu un déclin démographique jusqu'en 1990, déclin essentiellement lié à l'exode rural, avant d'observer, depuis la fin du XXe siècle, un phénomène de retour à la vie rurale, dont la commune semble bénéficier.

Géographie

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Carte d'Espinasse

Site et situation

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Espinasse signifiant buisson d'épines, la commune est entourée de bois de sapins, pins et épineux comme l'aubépine. Elle s'étend sur 2 395 hectares.

Se situant dans les Combrailles, elle se caractérise par un relief de type plateau-moyenne montagne avec des bosses et des creux. Situé à 681 mètres d'altitude, aucun cours d'eau ne traverse le bourg d'Espinasse même, mais la commune est parsemée de petits ruisseaux (le ruisseau de Chanteranne et l'Auzelle).

Espinasse est situé à 41 km au Sud de Montluçon et à 51 km au nord-ouest de Riom, les plus grandes villes à proximité. La commune est proche du parc naturel régional des volcans d'Auvergne à environ 30 km et à 43 km de Vulcania.

Le bourg est localisé à neuf kilomètres de distance à vol d'oiseau à l'ouest de la commune de Saint-Gervais-d'Auvergne.

Communes limitrophes de la commune d'Espinasse
Saint-Maigner Saint-Maigner
Saint-Julien-la-Geneste
Saint-Julien-la-Geneste
Bussières
Roche-d'Agoux
la commune d'Espinasse Saint-Julien-la-Geneste
Charensat
Biollet
Biollet Saint-Priest-des-Champs
Campagne d'Espinasse vue de la RD 13.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 939 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pionsat », sur la commune de Pionsat à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 917,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

La commune est en zone de sismicité de type 2 donc faible[7].

Voies de communication et moyens de transport

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Voies routières

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Depuis Saint-Gervais-d'Auvergne, on accède à la commune en prenant la route départementale 532 puis la RD 90 et pour finir la RD 62.

Quatre autres routes desservent également la commune : RD 13, RD 18, RD 516 et RD 528. Les autres routes sont à caractère communal ou vicinal[8].

L'embranchement autoroutier le plus proche, vers l'A89, est distant de trente-sept kilomètres. L'accès répertorié est la sortie 27, à Manzat.

Transports en commun

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Un service de ramassage scolaire dessert la commune ainsi qu'un service de transport à la demande appelé Bus des Montagnes[9].

La gare SNCF la plus proche était la celle de Saint-Gervais—Châteauneuf, mais celle-ci est fermée depuis la fin 2007. Depuis, une liaison TER assure le transport par bus.

Équipement automobile des ménages

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En 2007, 88,1 % des ménages résidant dans la commune disposaient au moins d'une voiture, soit 7,8 points de plus que la moyenne française et près de 2 points de plus que la moyenne des ménages du canton de Saint-Gervais-d'Auvergne. Par ailleurs, 41,3 % des ménages d'Espinasse possède au moins deux véhicules automobiles[10].

Au , Espinasse est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (53,7 %), forêts (23,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Type de peuplement

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La morphologie est de type village, à habitat groupé, contraint par un creux et encadré de plusieurs hameaux situés plus en hauteur. Le bourg, situé plus haut par rapport au fond du creux, permet l'évacuation de l'eau de pluie par des routes construites en pente avec des rigoles de chaque côté jusqu'aux ruisseaux.

Hameaux, écarts et lieux-dits

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On retrouve plusieurs hameaux, lieux-dits et écarts dans la commune : Bois du Mas, Bordas, Cacherat, Chanteranne, Chausserue, Croche-Bœuf, Croizet, Freidefont, Grelet, la Bourgeade, la Gardelle, la Goutte, la Ribeyrolle, la Villefranche, Lacot, Lafayette, Latroux, le Champ de Praciaux, le Grand Pré, le Mazet, le Moulin du Pont, le Puy, les Audats, les Fargeottes, les Neuf Boules, les Prugnes, les Rochettes, les Septières, les Suchères, Longvert, Ludieu, Montivernoux, Murat, Pierrebrune, Pramagnat, Riberolle, Riolbet, Villecitroux.

De manière traditionnelle, l'habitat est principalement composé de corps de fermes et fermettes (anciennes ou contemporaines) et de maisons (anciennes ou contemporaines) de commerçants et d'artisans. Plus récemment, la recherche de résidence secondaire, par des retraités, néoruraux ou Néerlandais, Belges et Britanniques, a permis la construction de nouveaux logements sur la commune, principalement dans les hameaux, ou le réaménagement d'anciens logements.

Maison des Gabelous

Ainsi, en 2007, la commune comprenait 276 logements, soit 30 de plus qu'en 1999. La part des résidences principales augmente et passe en huit ans de 50,8 % à 51,9 %. Sur les 276 logements, il y a 265 maisons individuelles et 11 appartements.

La proportion de résidents propriétaires est importante et en progression. En 2007, elle atteignait 82,5 % (contre 72,8 % en 1999). 80 % du parc résidentiel principal a été construit avant 1949. Plus de 77 % des résidences disposent au moins de quatre pièces. Le nombre moyen de pièces par logement est de 4,6[16].

Réalisation d'aménagements

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La construction de trois nouveaux logements et la rénovation de trois autres sont terminées. Ils sont mis en location depuis .

Résidence des Faux-Sauniers.

Espinasse vient de l'occitan Espinassa, nom vernaculaire du village. Ce même terme vient du latin spina signifiant épine avec un augmentatif -acea ou -acia. Espinasse serait donc un endroit plein de buissons épineux.

Ainsi, en nord-occitan, Espinasse se nomme Espinassa, terme générique de langue occitane qui désigne un lieu planté d'épineux, un endroit où abondent les buissons à épines comme les ronces[17].

Le nom de la commune a évolué au fil du temps, passant de Espinassa vers 1157 à Lespinaça vers 1260[18]. Puis il devint Epinasses vers 1793 et enfin Espinasse depuis 1801[19].

L'histoire d'Espinasse tient plus à ses hameaux qu'au bourg en lui-même.

Les seigneurs de Pierrebrune

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Le château de Pierrebrune à la moderne vers 1920.

Pierrebrune, hameau de la commune, est un ancien fief qualifié baronnie de Pierrebrune. Les principaux seigneurs d'Espinasse sont ceux de Pierrebrune dont le château, construit au XIIIe siècle, fut leur résidence. Toutefois, ceux de Pionsat, du Cheix (Biollet)… percevaient également des droits seigneuriaux sur certains villages de la paroisse.

Quelques seigneurs de Pierrebrune :

Au début du XIXe siècle, c'est Blaise Baron, notaire à Etubeix (Saint-Julien-la-Geneste), qui devint le propriétaire du château de Pierrebrune. Les membres de la famille Baron étaient notaires royaux et baillis de père en fils et travaillaient pour le compte des seigneurs de Pierrebrune[20].

Le hameau de la Villefranche

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Ce nom lui vient, probablement, de la mise en place d'une villefranche, c'est-à-dire un territoire exempt de droits féodaux.

En août 1261, Guillaume de Rochedagoux, dit de Biollet, s'associe le comte Alphonse de Poitiers[Note 3] pour l'établissement d'une ville franche. Cette dernière comprend la forêt de Chaumonteix, celle de la Nogeyre, le village de Monteylet avec ses appartenances et bois, le village de Gouttière (Goterra) avec ses appartenances et bois et une partie du village de la Chabassière (Chabacera).

Le résultat, sans doute, de la transaction a été l'installation d'un grenier à sel à la Villefranche pour la collecte de la gabelle. Ainsi, le chef-lieu du grenier à sel de Saint-Gervais était à Villefranche, autrement dit la Vialle en patois local.

Le sel se payant jusqu'à six fois plus cher en Bourbonnais qu'en Auvergne, un faux-saunage d'envergure se mit en place dans la région d'autant plus que si le grenier à sel de la Villefranche était surveillé, celui du Montel-de-Gelat était libre. Ainsi, la nuit, des faux-sauniers (souvent des troupes de soldats en permissions, peu payés, des bandits ou de simples laboureurs) défiaient les agents des brigades des gabelles ou gabelous pour passer du sel en provenance du Montel pour le Bourbonnais ou le Berry par, en ce qui concerne la commune, les bois de la Ballade (vers Cacherat) et le bois de Pierrebrune, qui offraient de multiples cachettes. Les gabelous poussaient des cris pour se reconnaître entre eux, ainsi que les faux-sauniers et les contrebandiers. Mais ces cris étant à peu près identiques, ils se confondaient parfois entre eux. Des bagarres et des meurtres avaient alors lieu.
Malgré les risques encourus, un voyage à pied ou à cheval permettait d'améliorer considérablement les conditions de vie des contrebandiers. Les zones frontières comme les Combrailles étaient surveillées. Espinasse avait donc une brigade des gabelles composée de sept employés appelés. La plupart n'étaient pas originaires de la région et venaient plutôt d'Issoire, de Montluçon, voire du Pays basque[21]'[source insuffisante].

Le hameau de Lafayette

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Autrefois, La Fayette était un fief qui appartenait probablement à la maison des Motier de la Fayette qui a contribué à l'indépendance des États-Unis. Il existait un château construit sur une butte qui a été détruit par les Protestants probablement vers 1567[22]. De plus, des souterrains, en direction du Moulin du Pont, permettaient au seigneur et à ses sujets de soutenir un siège ou de s'enfuir par les voies les plus rapides, le cas échéant[23].

Figure Blasonnement
Armes des Motier de La Fayette :

De gueules à la bande d'or et à la bordure de vair.

Le hameau de Ludieu

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En 1261, Ludieu (Loduyen) appartenait à Guillaume de Mazière, vassal de Guillaume de Roche d'Agoux, dit de Biollet, lui-même vassal du seigneur de Marcillat[24].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune d'Espinasse est membre de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy[12], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Éloy-les-Mines[25]. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26]. Jusqu'au , elle faisait partie de la communauté de communes Cœur de Combrailles[27].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[12]. Elle faisait partie du canton de Saint-Gervais-d'Auvergne jusqu'en [28].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Éloy-les-Mines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[12], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[28].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal d'Espinasse, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[29] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[30]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des candidats en lice est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 63,46 %[31].

Depuis 2020, le conseil municipal compte trois femmes.

Chronologie des maires

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La mairie est située à l'ouest de la place du village, au niveau de la route départementale 13.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1808 Gilbert Gory    
1808 1813 Annet Lecuyer    
1813 1815 Jean-Joseph Boutarel    
1815 1816 Paul Sanne    
1816 1818 Amable Nouhen    
1819 1830 Charles Marien Baron    
sept. 1830 1840 Claude Fribaud    
1840 1849 Charles Marien Baron    
1849 1875 Frédéric Gory    
1875 1877 Marien Martin    
1877 1885 Jean Chabry    
1885 1889 Marien Lecuyer    
1889 1893 François Carton    
1893 1895 Gilbert Martin    
1895 1904 Etienne Gory    
1904 1912 Annet Charvillat    
1912 1944 Eugène Charvillat    
1944 1959 Michel Carte    
1959 1975 Roger Laroche    
1975 2005 François Gardet    
2005 2020 Marc Gidel[32] GRS  
2020 En cours Michel Bancarel[33]    
Le bourg d'Espinasse vers le milieu du XXe siècle.

Autres élections

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Lors du scrutin du second tour de l'élection présidentielle française de 2017, 92 des 163 électeurs espinassois qui se sont exprimés, l'ont fait en faveur d'Emmanuel Macron, soit 56,44 %. Au premier tour, les votes se ventilaient ainsi :

Candidat Jean-Luc Mélenchon François Fillon Emmanuel Macron Marine Le Pen Benoît Hamon Jean Lassalle Nicolas Dupont-Aignan Nathalie Arthaud François Asselineau Philippe Poutou Jacques Cheminade
Voix 43 40 38 36 21 11 3 2 2 0 0
% 21,94 20,41 19,39 18,37 10,71 5,61 1.53 1,02 1,02 0 0
Source : Ministère de l'Intérieur

Lors du scrutin du second tour des élections législatives françaises de 2017, 95 des 134 électeurs espinassois qui se sont exprimés, l'ont fait en faveur de Christine Pirès-Beaune, soit 70,90 %. Au premier tour, les votes se ventilaient ainsi :

Candidat Christine Pirès-Beaune (SOC) Mohand Hamoumou (REM) Pascal Estier (FI) Stéphanie Flori-Dutour (LR) Stanislas Chavelet (FN) Franck Truchon (EXG) Henri Knauf (DIV) Christine Bourdier Buisson (DVG) Doris Valour (DLF)
Voix 49 34 28 21 13 1 1 0 0
% 33,33 23,13 19,05 14,29 8,84 0,68 0,68 0 0
Source : Ministère de l'Intérieur

Instances judiciaires et administratives

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Espinasse est dans le ressort de la cour d'appel de Riom. La commune est dans le ressort des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand et du tribunal de proximité de Riom. Le conseil de prud'hommes est lui aussi à Riom[34].

L'imposition des ménages et des entreprises à Espinasse en 2009[35]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 6,28 % 0,00 % 8,33 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 9,32 % 0,00 % 12,26 % 4,77 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 54,23 % 0,00 % 23,95 % 10,92 %
Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 18,27 % 8,70 % 3,76 %

Au , Espinasse n'est jumelée avec aucune commune[36].

Population et société

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Le bourg en 1911.

Démographie

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En 2008, la population communale se composait de 322 habitants dont 35,6 % d'actifs et 18,1 % d'élèves ou d'étudiants. Les retraités représentaient 39 % du total. Le déclin démographique a débuté dès le début des années 1890 pour s'arrêter vers le début des années 1990. Le nombre d'habitants a stagné pendant environ 10 ans, puis la venue de nouveaux résidents en provenance d'autres communes, d'autres départements ou d'autres pays a favorisé le retour de la croissance démographique, qui reste assez faible cependant.

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

En 2021, la commune comptait 282 habitants[Note 4], en évolution de −3,75 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8378237351 0211 0251 0181 1241 2001 182
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1521 1561 0821 0821 1171 1391 1911 2201 105
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1571 024974952903771739633593
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
543507411355274285320301293
2021 - - - - - - - -
282--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,3 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 138 hommes pour 155 femmes, soit un taux de 52,90 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,6 
14,7 
75-89 ans
15,2 
27,2 
60-74 ans
22,2 
25,4 
45-59 ans
25,9 
12,8 
30-44 ans
12,7 
9,9 
15-29 ans
8,9 
9,2 
0-14 ans
12,4 
Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,1 
7,4 
75-89 ans
10,2 
17,7 
60-74 ans
18,6 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,4 
30-44 ans
17,4 
18,6 
15-29 ans
17,2 
17 
0-14 ans
15,3 

État matrimonial en 2007 et composition des ménages

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Marié(e) Veuf(veuve) Divorcé(e) Célibataire
45,6 % 12,9 % 5,9 % 35,7 %
Source : Chiffres clés de l'INSEE 2007

Le nombre de ménages passe de 125 en 1999 à 143 en 2007. Le nombre moyen de personnes par ménage est passé sur la même période de 2,3 à 2,2.

L'école communale.

Mobilité résidentielle sur cinq ans

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Depuis 2002, 18,2 % de la population provient d'une autre région ou de l'étranger. 65,5 % des résidents n'ont pas déménagé tandis que 6,1 % des résidents ont changé de logement tout en restant au sein de la commune.

Enseignement

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La commune d'Espinasse dépend de l'académie de Clermont-Ferrand et l'école primaire de la commune dépend de l'Inspection académique du Puy-de-Dôme. Pour le calendrier des vacances scolaires, Espinasse est en zone A.

La commune dispose d'une école primaire inscrite dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Charensat et de Biollet. Elle s'est inscrite dans le cadre des actions pour les écoles rurales du plan de relance économique de la France de 2008-2009[42].

La scolarisation en collège public s'effectue à Saint-Gervais-d'Auvergne, tandis que les lycées publics généralement fréquentés sont ceux de Riom (lycée Claude-et-Pierre-Virlogeux) et de Montluçon (lycées Madame-de-Staël et Paul-Constans).

Des infirmières, en provenance d'autres communes, exercent de manière libérale à domicile. Les médecins les plus proches sont ceux de Charensat, de Saint-Gervais-d'Auvergne et de Pionsat. Les pharmacies les plus proches sont celles de Saint-Gervais-d'Auvergne et de Pionsat. Pour les soins nécessitant des structures d'accueil mieux équipées, les patients sont généralement acheminés vers le centre hospitalier de l'arrondissement de Riom (CHAR) situé au no 1 du boulevard Étienne-Clémentel à Riom.

La station thermale la plus proche d'Espinasse est située à Châteauneuf-les-Bains. Elle traite en particulier les rhumatismes tels que l'arthrite et l'arthrose[43].

Depuis 2010, la commune possède un défibrillateur à côté de la mairie.

Vue d'Espinasse depuis le chemin dit du Moulin.

Sports, tourisme et loisirs

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Il existe une table de tennis de table située à proximité de l'école.

Le tourisme rural connaît un essor depuis une dizaine d'années dans la région. Quatre gîtes de France et une table et chambres d'hôtes sont présents sur le territoire de la commune et peuvent accueillir jusqu'à 25 personnes au total[44].

Un circuit de randonnée mène au Puy de Chazelle et les chemins qu'empruntaient auparavant les contrebandiers du sel peuvent être parcourus, mais il vaut mieux être muni d'une carte des sentiers du Puy-de-Dôme.

L'asinerie Volc'Ânes[45], située à Longvert, propose des randonnées dans le parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.

La chasse est une activité assez pratiquée dans la commune avec l'existence d'une société qui délivre les cartes de chasse pour la saison et organise les chasses en groupe. La chasse individuelle est également pratiquée. Le gibier est composé principalement de sangliers, de chevreuils, de lièvres, de faisans et de perdrix. La chasse au renard est également pratiquée car il est considéré comme nuisible, en décimant les poulaillers et le gibier volant, et il est présent en très grand nombre sur la commune, ce qui pourrait provoquer l'apparition de maladies au sein de l'espèce.

Le quotidien La Montagne propose une édition locale aux communes de l'arrondissement de Riom. Il traite des faits divers, de la politique, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national et international.

Les stations de radio nationales sont disponibles ainsi que les programmes de France Bleu Pays d'Auvergne et Radio Arverne[46].

La chaîne France 3 Auvergne est disponible dans la région. La chaîne privée Clermont Première était également disponible et traitait des infos locales, de l'histoire régionale, des personnalités locales, de gastronomie, de musique, etc. Cette dernière n'existe plus.

Un bulletin municipal est édité chaque année et disponible sur le site internet de la commune[47].

Pour le culte catholique, Espinasse dépend de la paroisse Sainte Marie en Combrailles au sein du diocèse de Clermont[48].

En 2007, on dénombrait 114 personnes en activité, soit 30 % d'actifs ayant un emploi et 5,6 % de chômeurs correspondant à des taux d'activité de 64 % et de chômage de 15,8 %.

Revenus de la population et fiscalité

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En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 13 079 , ce qui plaçait Espinasse au 30 437e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[49].

Évolution de la fiscalité sur le revenu depuis 2003 : nombre de foyers fiscaux, types et montant des revenus de référence
Année Nombre de foyers fiscaux Revenu fiscal de référence des foyers fiscaux Impôt net (total) Nombre de foyers fiscaux imposables Revenu fiscal de référence des foyers fiscaux imposables Traitements et salaires Retraites et pensions
Nombre de foyers concernés Montant Nombre de foyers concernés Montant
2009 180 2 799 466 82 145 60 1 715 436 67 1 319 383 97 1 570 444
2008 178 2 616 062 39 308 62 1 619 384 74 1 280 610 95 1 411 269
2007 182 2 618 421 53 212 64 1 602 471 84 1 284 467 91 1 376 439
2006 184 2 629 362 69 188 67 1 658 599 87 1 424 252 94 1 251 111
2005 183 1 930 582 68 393 59 1 136 659 87 1 419 994 90 1 109 979
2004 179 1 790 169 68 631 55 1 057 323 79 1 358 167 88 1 002 888
2003 177 1 718 569 66 804 49 969 594 77 1 271 834 84 917 495
Sources des données : ministère du Budget, des comptes publics et de la fonction publique - 2010[50]

En 2007, le taux de chômage à Espinasse était de 15,8 % contre 9,7 % en 1999.

Structure des emplois à Espinasse, selon le recensement de 1999
  Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers
Espinasse 23,1 % 11,5 % 0 % 11,5 % 30,8 % 23,1 %
Moyenne nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
Sources des données : Insee[51]

Secteur agricole

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Globalement, le nombre d'activités n'a cessé de décroître et celles encore présentes sont essentiellement liées au secteur agroalimentaire.

Il ne reste plus qu'une dizaine d'exploitations agricoles « classiques ».

Céréales et maïs sont les principales plantes cultivés dans la commune. La pratique de la polyculture résiste mais la diversification des semences est moins importante qu'il y a vingt ans. L'élevage subsiste encore et il est essentiellement bovin, avec des troupeaux de Charolaises pour la viande, et une petite production laitière est encore présente. Par contre, l'élevage ovin a quasiment disparu.

Entreprises

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Les anciennes carrières de granit des Rochettes.

La coopérative agricole et agroalimentaire française Axéréal Elevage (ex-Gauvin-Legrand), spécialisée dans les métiers de l'agriculture, est implantée dans la commune.

Artisanat et commerce

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Un café est présent au bourg.

Un boulanger ambulant dessert la commune régulièrement ainsi qu'un boucher, un épicier, un laitier et un fromager.

La commune bénéficie d'une agence postale communale ainsi que d'une salle informatique et multimédia située à proximité de l'école communale.

Culture et patrimoine

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Manifestations culturelles et festivités

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Un comité des fêtes organise des concours de pétanque, des concours de belote ainsi que des bals. Il est l'organisateur de la Fête des Foins qui existe depuis 1998 et qui a lieu au mois de juillet.

La brocante des vacances (depuis 2007) a lieu le dernier dimanche du mois de juin. Son édition de 2009 a accueilli plus de 120 exposants, soit près de deux fois plus que l'année d'inauguration.

Le Club de l'Amitié est le nom du club du troisième âge qui organise des concours de pétanque, des concours de belote, des lotos ainsi que des voyages.

Monuments et lieux touristiques

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L'église Saint-Martin d'Espinasse.

Monuments religieux

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L'église Saint-Martin, très ancienne, est en partie romane mais a été modifiée à la 2e époque ogivale. Un élément statuaire en pierre blanche peinte montre sainte Marguerite d'Antioche terrassant le dragon. Il date du XVe siècle[52]. Saint Martin est le patron de la paroisse mais elle est également sous la protection de saint Gal, second patron.

L'église a souvent été endommagée comme en 1793 où, à la suite du décret du de la même année relatif à l'abolition des cultes, les cloches sont fondues et transformées en canon (artillerie). Le clocher est donc démoli et n'est toujours pas reconstruit en 1817. C'est la commune qui décide, après délibérations du conseil municipal en 1817, de rebâtir le clocher. Elle contribue pour une large part à la remise en état de l'église. Le financement est complété par les dons volontaires faits par chaque propriétaire. En 1824, elle est toujours en très mauvais état et le curé Jaladon envoie une lettre à Monseigneur l'évêque de Clermont-Ferrand qui lui dit que « l'église a besoin de réparations urgentes, pour éviter un écroulement total. Une des deux chapelles étant tombées, elle doit être promptement relevée pour conserver l'édifice ».

La Mairie-Maison d'école vers 1929.

Le clocher a également été endommagé à deux reprises : en juin 1893 par un incendie dû à une grande sécheresse et en juillet 1897 par la foudre[53].

Monuments laïcs

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L'école communale, achevée le , était également une mairie. Le bâtiment s'appelait Mairie et Maison d'école, à l'époque.

Le site de la Résistance à Cacherat -Camp Gabriel Péri[54]- où fut accueilli, le , l'un des deux groupes des évadés de la prison du Puy.

Site de la Résistance à Cacherat.

Le château de Pierrebrune, datant du XIIIe siècle, rebâti à la moderne, fut la demeure des seigneurs d'Espinasse. En juin 1440, pendant la Praguerie, le roi Charles VII, qui venait d'Auzances et allait à Montaigut-en-Combraille, passa à Pierrebrune.

Héraldique

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La commune ne possède pas de blason.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. À la suite du redécoupage cantonal appliqué en 2015, la commune est rattachée au canton de Saint-Éloy-les-Mines. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
  2. Les Rochedragon ou Roche d'Agoux étaient les seigneurs de nombreuses localités en Bourbonnais, Nivernais, Gévaudan, AuvergneCombrailles et notamment de Roche-d'Agoux, Grolière (Charensat), Virlet, la Chaux (Saint-Maurice), Biollet, le Puy du Prat (Biollet).
  3. Toute la région des Combrailles appartenait, à cette époque, à Alphonse de France, comte de Poitiers et d'Auvergne, frère du Roi Saint Louis.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Espinasse et Pionsat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Pionsat », sur la commune de Pionsat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pionsat », sur la commune de Pionsat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Zonage sismique de la France
  8. Carte routière de la région d'Espinasse sur Mappy.
  9. SIVU Bus des Montagnes de la région de Saint-Gervais-d'Auvergne
  10. Équipement automobile des ménages (1999 et 2007), Insee.
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Logement à Espinasse, Insee.
  17. (fr + oc) Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie occitane, Bordeaux, Éditions Sud Ouest, coll. « Sud Ouest université », (ISBN 2-87901-215-5), p. 75-76.
  18. Histoire illustrée de la ville et du canton de Saint-Gervais d'Auvergne, Ambroise Tardieu et Augustin Madebène, à compte d'auteurs, Puy-de-Dôme, 1892 ; réédité par l'Office d'édition du livre d'histoire, Paris, 1997, contenant l'histoire de la ville et du canton, des personnages dignes de mémoire, et des familles locales (ISBN 2-84178-127-5), p. 166.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Selon la brochure du 60e anniversaire du Cercle Amical des Anciens Élèves d'Espinasse, page 5 « Pierre Brune ».
  21. Selon la brochure du 60e anniversaire du Cercle Amical des Anciens Élèves d'Espinasse, page 6 « La Villefranche ».
  22. Histoire illustrée de la ville et du canton de Saint-Gervais d'Auvergne, Ambroise Tardieu et Augustin Madebène, à compte d'auteurs, Puy-de-Dôme, 1892 ; réédité par l'Office d'édition du livre d'histoire, Paris, 1997, contenant l'histoire de la ville et du canton, des personnages dignes de mémoire, et des familles locales (ISBN 2-84178-127-5), p. 181.
  23. Selon la brochure du 60e anniversaire du Cercle Amical des Anciens Élèves d'Espinasse, page 6 « La Fayette ».
  24. Selon la brochure du 60e anniversaire du Cercle Amical des Anciens Élèves d'Espinasse, page 6 « Ludieu ».
  25. Arrêté no 16-02964 du 19 décembre 2016 « prononçant la fusion des communautés de communes « Saint-Eloy Communauté », « de Pionsat » et « Cœur de Combrailles » étendue aux communes de Servant, Menat, Teilhet, Neuf-Eglise et Virlet […] à compter du  », et arrêté rectificatif no 16-02981 du 22 décembre 2016, parus au recueil des actes administratifs no 63-2016-065 [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, 23 décembre 2016 (consulté le 23 décembre 2016), p. 114-126 et 140-142.
  26. « CC du Pays de Saint-Eloy (No SIREN : 200072080) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  27. « CC Coeur de Combrailles (No SIREN : 246300917) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  28. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  29. Article L. 252 du Code électoral.
  30. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme (consulté le 12 juillet 2014).
  33. Article La Montagne du 17/06/2020, site de La Montagne (consulté le 20 juin 2020).
  34. « Annuaire d'Espinasse », sur annuaires.justice.gouv.fr, Ministère de la Justice (consulté le ).
  35. Impôts locaux à Espinasse, taxes.com
  36. Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, site du Ministère des affaires étrangères (consulté le 29 août 2010).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Espinasse (63152) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Puy-de-Dôme (63) », (consulté le ).
  42. Une École Numérique Rurale à Espinasse sur le site YouTube
  43. Station thermale de Châteauneuf-les-Bains sur le site de Châteauneuf-les-Bains
  44. Gîtes de France et Chambres d'Hôtes à Espinasse sur le site des Gîtes de France
  45. Site de Volc'Ânes
  46. Liste des fréquences radio, site du Conseil supérieur de l'audiovisuel (consulté le 5 juin 2011).
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  48. La paroisse Sainte Marie en Combrailles sur le site du diocèse de Clermont
  49. CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl, site de l'Insee (consulté le 9 février 2012).
  50. L'impôt sur le revenu : les déclarations nationales, Ministère du Budget, des comptes publics et de la fonction publique, 2010 (consulté le 30 mai 2012).
  51. Espinasse sur linternaute.com (consulté le 9 juin 2011).
  52. L'église Saint-Martin sur le site de l'Office de Tourisme des Combrailles
  53. Selon la brochure du 60e anniversaire du Cercle Amical des Anciens Élèves d'Espinasse, page 13 « À propos de l'église ».
  54. Camp Gabriel Péri sur le site du Musée de la Résistance en Zone 13

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Ambroise Tardieu et Augustin Madebène, Histoire illustrée de la ville et du canton de Saint-Gervais d'Auvergne, Puy-de-Dôme,

Articles connexes

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Liens externes

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