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Bellencombre

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Bellencombre
Bellencombre
Carte postale de la ville vers 1910 : la Poste
Blason de Bellencombre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Communauté Bray-Eawy
Maire
Mandat
Thierry Prévost
2020-2026
Code postal 76680
Code commune 76070
Démographie
Gentilé Bellencombrais
Population
municipale
588 hab. (2021 en évolution de −13,15 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 30″ nord, 1° 13′ 37″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 199 m
Superficie 12,91 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Bellencombre
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Bellencombre
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Bellencombre

Bellencombre est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

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Localisation

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Bellencombre est un bourg périurbain normand du Pays de Bray, situé au pied de la forêt d'Eawy dans la haute vallée de la Varenne, à mi-chemin entre Rouen et Dieppe, desservi par la route départementale 154 qui relie Saint-Saëns à Torcy-le-Grand et Dieppe, et aisément accessible des autoroutes A28 et A29.

Communes limitrophes

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Rose des vents Saint-Hellier Ardouval Rose des vents
La Crique N Ventes-Saint-Rémy
O    Bellencombre    E
S
Rosay

Hydrographie

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La commune est drainée par plusieurs bras de la Varenne, affluent de la Béthune et de l'Eaulne et donc sous-affluent du fleuve côtier qui confluent l'Arques.

Une source naturelle se trouve cent mètres après la sortie du village, route de Dieppe[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 933 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 19 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Bellencombre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,4 %), prairies (26,1 %), terres arables (20,1 %), zones urbanisées (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 334, alors qu'il était de 317 en 2014 et de 309 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 84,4 % étaient des résidences principales, 5,5 % des résidences secondaires et 10,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,5 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bellencombre en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,5 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (68,4 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Bellencombre en 2019.
Typologie Bellencombre[I 2] Seine-Maritime[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 84,4 87,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,5 4 9,7
Logements vacants (en %) 10,1 8,2 8,2

Le nom de Belencunbre apparaît à la fin du XIe siècle[13], Ecc. de Bellencombria en 1179, Ecc. de Belencunbre au XIIe siècle, Ecc. de Belemcumbre après 1364, Bellencombre en 1666[14], Bellencombre en 1715 (Frémont)[15].

Le nom viendrait du gaulois pour René Lepelley[16], qui ne précise cependant pas de quelles racines il s'agit, et signifierait l'« endroit couvert par les arbres ».

L'élément -encombre qui a servi à former Bellencombre, dériverait du vieux français combre « barrage » précédé du préfixe en- et de l'adjectif bel « beau ». Sa signification toponymique est obscure pour François de Beaurepaire[17].
Le mot « encombre » doit sans doute être ici considéré comme un synonyme de l'ancien français combre, barrage destiné notamment à arrêter et retenir le poisson.
Le mot combre est attesté au XVe siècle au sens de « barrage pratiqué dans le lit d'une rivière » et est mentionné en latin médiéval sous la forme combrus au VIIe siècle au sens d'« abattis d'arbres ». La racine en serait combr d'un gaulois *Kombero qui a un correspondant en celtique insulaire, le gallois kymmer, au sens différent de « rencontre de cours d'eau ». Même mot que le français encombre, encombrer.

Une monnaie gauloise a été retrouvée en 1840 près du château de Bellencombre, et, vers 1836, des hachettes en silex et en bronze ainsi que des monnaies gauloises[18]. Selon l'Abbé Cochet, « Les bois montrent une grande quantité de terrassements qui proviennent pour la plupart d'anciennes ferrières, forges ou mines de fer présentement abandonnées ; mais si les extractions de fer, communes dans ce canton, remontent jusqu'aux Gaulois et aux Romains, comme le démontrent les tuiles, les poteries et les médailles, elles descendent aussi jusqu'au Moyen Âge : on a des preuves de l'existence de forges et de mines de fer dans ce pays depuis le XIVe jusqu'au XVIIe siècle[18]. »

Dans l'antiquité, le même secteur était occupé par des constructions romaines, dont on a retrouvé les vestiges d'une salle pavée en pierre de liais[18].

Le lieu était également habité au haut Moyen Âge, puisqu'on signalait à la fin du XIXe siècle avoir trouvé deux cimetières francs situés sur une colline près de l'église, où se trouvaient des ossements, des vases et des armures[18].

Une importante motte castrale supportant les vestiges d'un château-fort édifié en silex aux alentours de 1030 ou 1040[19], qui dut porter primitivement le nom de Warinna, probablement emprunté à celui de la rivière La Varenne, et qui devient le siège de la famille des Warenne au Moyen Âge qui après la conquête de l'Angleterre en 1066, deviennent comtes de Surrey[20].

Le prieuré d'Augustins dit Prieuré de Toussaint, fondé en 1130 par le seigneur de la Grande Heuze. L'église initiale, dédicacée en 1135 est reconstruite dans la première moitié du XIIIe siècle. Le prieuré était une léproserie en 1264 et était desservie par des chanoines réguliers[21],[18].

Époque contemporaine

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L'église romane qui se trouvait dans l'enceinte du château a été détruite en 1863 et remplacée par l'édifice actuel[18].

Politique et administration

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La commune de Bellencombre, instituée par la Révolution française, a absorbé en 1813 celles de Les Authieux, La Grande-Heuze et de Saint-Martin-sous-Bellencombre[22].

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Bellencombre[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Bellencombre est intégrée au canton de Neufchâtel-en-Bray.

Intercommunalité

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Bellencombre était le siège de la Communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002.

Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , le projet de schéma départemental de coopération intercommunale présenté par le préfet de Seine-Maritime le prévoit l'éclatement du Bosc d'Eawy entre plusieurs structures résultant de la fusion d'intercommunalités préexistante, et Bellencombre est depuis le , membre de la communauté de communes Communauté Bray-Eawy.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1898 1907 Jules Auvray    
1907 1911 Alexandre Quenouille    
1911 1918 Henri Papin    
1918 1925 Gaston Thirel    
1926 1935 Antoine Duvivier    
1935 1936 Pierre Leverdier    
1936   Gaston Buron    
1937 1940 André Pessy    
1940 1945 Gaston Buron    
1945 1953 Eugène Duvauchel    
1953 1959 Étienne Frechon    
1959 1965 Julien Boucher    
1965 1981 René Thionville    
1981 2001 Hubert Lefebvre    
mars 2001 2014[24] Bernard Caux   Retraité de l’ONF
mars 2014[25] En cours
(au 23 août 2022)
Thierry Prévost   Électricien
Vice-président de la CC du Bosc d'Eawy (2014 → 2016)
Vice-président de la Communauté Bray-Eawy (2017 → )
Réélu pour le mnadt 2020-2026[26],[27]

Équipements et services publics

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La commune s'est dotée en 2022 d'une nouvelle mairie, installée dans les anciens locaux de la Gendarmerie nationale rachetés par la commune en 2016[28], après des travaux de réaménagement menées en 2021[29], aisément accessible sur la route entre Saint-Saëns et Bosc-le-Hard et disposant d'une agence postale communale[30].

Le Centre des impôts est menacé de fermeture en 2023, l'accueil du public pouvant désormais être assuré par la Maison France Services[31].

Un marché hebdomadaire a lieu le vendredi matin, sur le parking de la nouvelle mairie[32].

Enseignement

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La commune dispose du groupe scolaire David-Douillet, qui accueille à la rentrée 2020-2021 des enfants de La Crique à la suite de la dissolution du SIVOS qui scolarisait les enfants de Beaumont-le-Hareng, La Crique, Val-de-Scie. L'école comptera alors 4 classes[33].

Solidarité, petite enfance et action sociale

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Le centre social Caravelles[34] est l'une des 43 structures labellisés Maisons France Services de la Seine-Maritime le [35].

Une maison d'assistantes maternelles, Les Ptits princes de la forêt, s'installe en 2021 dans des locaux loués par la commune[36].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 588 habitants[Note 2], en évolution de −13,15 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2502522779119278648581 025953
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
944939938858831791731720732
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
726696677589642621600678673
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
652654648640638662641637687
2015 2020 2021 - - - - - -
677596588------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Pierre et Saint-Paul, construite sur les plans de l'architecte rouennais Georges Simon, de style néo-roman et achevée en 1867 en bichromie de pierres blanches et de briques rouges[40].
  • Ancienne chapelle du prieuré de Tous-les-Saints (Saint-Martin-sous-Bellencombre).
    Reconstruite au XIIIe siècle, sa nef est détruite pendant la Révolution française et son clocher vers 1810. Les contreforts du chœur sont repris en brique et un début de démolition intervient en 1967[21],[41],[42].
  • Vestiges du château médiéval de Bellencombre[43] construit par Guillaume de Varenne aux alentours de 1030 ou 1040, dont la motte castrale est située en haut d'une petite côte près de l'église, et qui a été démembré à partir de 1833[19]. Ils font l'objet de fouilles archéologiques en 2020[44], après un débroussaillage du site par des caprins[45]. Le château remanié au XVIe siècle et restauré au XIXe siècle, a conservé de son origine médiévale un donjon carré sur motte, enfermé dans une grande enceinte flanquée de tours[46].
L'abbé Cochet en faisant la description suivante en 1871 « Cette forteresse, demeure des Warenne, conquérants de l'Angleterre, remonte au XIe siècle, avec des -retouches du XVIe siècle. Elle se compose encore d'une grande enceinte fossoyée, remparant d'énormes murs en tuf, en pierre et en grès. Plusieurs tours rondes flanquent les murs, que domine un donjon carré, assis sur un tertre élevé. Ce château était encore entier en 1833, avec son pont, sa herse, ses portes et ses fenêtres. Ii a joué un rôle militaire à toutes les époques. Quoique en ruine depuis 25 ans il est encore des plus intéressants. Ses murs ont 7 mètres d'épaisseur[18]. »
  • Château de la Grande Heuzé, qui aurait été fondé au Xe ou au XIe siècle. Le logis est du XIIIe ou du XIIIe siècle et remanié à plusieurs époques[47].

Personnalités liées à la commune

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  • Guillaume de Varenne, propriétaire au Moyen Âge du château de Bellencombre, fait construire en Angleterre un autre château près de Lewes[19].

Héraldique

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Blason de Bellencombre Blason
Écartelé : au 1er d'azur à trois houseaux courts de sable*, au 2e de gueules fretté d'or, au 3e d'or à trois marteaux de gueules, au 4e d'azur au chevron d'argent accompagné, en chef, de deux molettes d'éperon d'or et, en pointe, d'une rose d'argent tigée et feuillée de sinople[48].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur azur).
Le blason écartèle les armes des familles de La Heuze, de Moÿ, de Martel et Godart de Belbeuf.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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  • Pierre-François Frissard, Plan de Dieppe et de ses environs, avec texte explicatif à l'usage des étrangers, Paris, Carilian-Cœury, , 54 p. (lire en ligne), p. 51-54.
  • Alexandre-Auguste Guilmeth, Histoire communale des environs de Dieppe : contenant les cantons de Longueville, Tôtes, Bacqueville, Offranville, Envermeu et Bellencombre, Paris, Delaunay, , 2e éd., 300 p. (lire en ligne), p. 239-272, lire en ligne sur Gallica.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Raphaël Tual, « Une source réputée, mais pas sans danger : Une source naturelle jaillit de la roche, sans avoir subi aucune intervention. Les habitants considèrent qu’elle est pure, mais les autorités sanitaires appelle à la prudence. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Bellencombre et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Archives de Seine-Maritime, 55 H.
  14. Archives de Seine-Maritime, II B 387, 388.
  15. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 69.
  16. Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen, 1993.
  17. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
    Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
    .
  18. a b c d e f et g Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 8-10, lire en ligne sur Gallica.
  19. a b et c Laurent Hellier, « Château de Bellencombre. Déjà deux ans de nettoyage en attendant les fouilles archéologiques : Le château médiéval de Bellencombre pointe le bout de son nez derrière la dense végétation. L'association de sauvegarde présidée par Lionel Gaudefroy nettoie les lieux. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Les remparts de Bellencombre (Seine-Maritime) », sur remparts-de-normandie.eklablog.com, (consulté le ).
  21. a et b « Prieuré d'Augustins dit Prieuré de Toussaint », notice no IA00022874, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Les maires de Bellencombre », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. « Un travail honnête… », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  25. Romain Savary, « Thierry Prévost élu au premier tour : Pour 11 des 15 communes du canton de Bellencombre, un tour a suffi à connaître l'ensemble des conseillers municipaux. Dans le chef-lieu de canton, le maire sortant a été battu. », Le Réveil,‎ (lire en ligne).
  26. Stéphanie Petit, « Municipales 2020 : Thierry Prévost présente sa liste à Bellencombre : Thierry Prévost maire sortant de Bellencombre est candidat à sa succession. Il accueille de nouveaux colistiers pour les élections municipales 2020. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « À Bellencombre, Thierry Prévost est élu pour un deuxième mandat : À Bellencombre, Thierry Prévost repart pour un deuxième mandat de maire. Il a décidé de s'entourer de trois adjoints. L'équipe travaille sur la nouvelle mairie », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Stéphanie Petit, « Près de 400 000  pour la nouvelle mairie de Bellencombre : En 2016 la gendarmerie a quitté Bellencombre (Seine-Maritime), la mairie a racheté les bâtiments. Elle envisage d'y installer la mairie et la poste. Coût du projet : 407 000  TTC. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Stéphanie Petit, « A Bellencombre, les travaux pour transformer l'ancienne gendarmerie en mairie commencent début janvier 2021 : Dès janvier 2021, les travaux devraient commencer dans l'ancienne gendarmerie de Bellencombre. La mairie et poste communale emménageront quelques mois plus tard », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Pauline Defoix, « Élus et administrés ravis par la nouvelle mairie de Bellencombre : L'ancienne gendarmerie de Bellencombre, située route de Saint-Saëns a afin été réhabilitée pour y accueillir la nouvelle mairie. L'ensemble des usagers semblent satisfaits. », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Stéphanie Petit, « La perception de Bellencombre est-elle vouée à disparaître ? : Après le centre des impôts de Neufchâtel-en-Bray, c'est au tour de celui de Bellencombre d'être menacé. Plusieurs élus ont voté des motions de soutien pour la perception. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Pauline Defoix, « Le marché hebdomadaire fait son retour chaque vendredi à Bellencombre : Sur le parking de la nouvelle mairie, le marché, à l'arrêt depuis plus d'un an et demi a fait son retour vendredi 26 juillet avec plusieurs camelots », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. S. P., « Cap sur les travaux en 2021 : Réfection de la nouvelle mairie en lieu et place de l’ancienne gendarmerie, installation de réserves pour la défense incendie et autres travaux sont inscrits au budget 2021 de Bellencombre. Précisions », Le Réveil de Neufchâtel, édition Pays de Bray, no 3707,‎ , p. 18.
  34. Stéphanie Petit, « À Bellencombre, Caravelles adopte une direction collégiale dès la rentrée : Caravelles donne du poids aux habitants du territoire, acteurs des actions mises en place. Ainsi, la direction est chamboulée au profit d'une direction plus collégiale. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Stéphanie Petit, « A Bellencombre, Caravelles devient Maison France Services dès le 1er janvier 2020 : Dès janvier 2020, Caravelles fera partie des 43 nouvelles Maisons France Service de la Seine-Maritime. Un label conforme aux services actuellement proposés. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Stéphanie Petit, « À Bellencombre, une maison d'assistantes maternelles ouvrira ses portes d'ici fin 2021 : Noëlle et Vanessa souhaitent ouvrir une maison d'assistantes maternelles près de la perception à Bellencombre. Les professionnelles espèrent accueillir les enfants d'ici fin 2021 », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », Observatoire du patrimoine religieux (consulté le ).
  41. Photographie de Philippe des Forts : « Vue extérieure côté sud-ouest », notice no APDSF2844, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  42. Photographie de Philippe des Forts : « Piscine », notice no APDSF2846, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture (fonts baptismaux)
  43. Site de l'association du Château de Bellencombre.
  44. « A Bellencombre : quatre archéologues sont au chevet du château : À la demande de Nicolas de Warren, descendant des anciens propriétaires du château et sous l'égide de la Drac, quatre archéologues indépendants étudient les ruines du château. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Stéphanie Petit, « A Bellencombre, une vie de château pour les chèvres : Deux chèvres naines et un bouc ont une vie de rêve. Ils vivent et travaillent au château de Bellencombre. Leur mission : débroussailler l'édifice et son terrain. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 148.
  47. « Château », notice no IA00022887, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « 76070 Bellencombre (Seine-Maritime) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).