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Bourogne

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Bourogne
Bourogne
La Bourbeuse à Bourogne.
Blason de Bourogne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité Grand Belfort
Maire
Mandat
Baptiste Guardia
2020-2026
Code postal 90140
Code commune 90017
Démographie
Gentilé Bourignais
Population
municipale
1 792 hab. (2021 en évolution de −6,86 % par rapport à 2015)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 44″ nord, 6° 55′ 11″ est
Altitude Min. 327 m
Max. 427 m
Superficie 13,71 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Montbéliard
(banlieue)
Aire d'attraction Belfort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtenois-les-Forges
Localisation
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Bourogne
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Bourogne
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Bourogne
Liens
Site web bourogne.fr

Bourogne est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Bourignais.

Géographie

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Elle est située à 11 km au sud-est de Belfort sur la route Belfort-Delle à proximité du point de jonction du canal de la Haute-Saône venant de Ronchamp et de celui du canal du Rhône au Rhin, encore en service. La rivière qui arrose Bourogne est « la Bourbeuse ».

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 160 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 10,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Novillard_sapc », sur la commune de Novillard à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Bourogne est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montbéliard[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 25 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[10]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,5 %), prairies (22,5 %), terres arables (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,1 %), zones urbanisées (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • Boronia (1222), Bölle (1303), Boreigne (1325), Bolle (1347), Boloigne/Boroingne/Bouroingne (1655), Bourogne (1793).
  • En allemand : Boringen ou Böll[14].

Faits historiques

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L'histoire et le développement de Bourogne sont liés à sa position géographique qui en a fait un lieu de passage fréquenté depuis les temps les plus anciens. La présence de l'homme préhistorique est attestée.

Époque gallo-romaine

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Les vestiges d'une villa gallo-romaine dont un fragment de mosaïque (conservé au musée de Colmar) ont été retrouvés sous l'église Saint Martin au cours de la réfection du clocher en 1736. Plus récemment, lors de fouilles préventives menées par l'INRAP, des trous de poteaux appartenant à une possible dépendance de la villa en question ont été trouvés rue de la Croze[15]. Ils ont pu être datés du IIIe siècle. Une voie romaine secondaire reliait le site de Bourogne à la voie romaine du Rhin reliant Mandeure (Epomanduodurum) à Augst (Augusta Rauricorum) ou Strasbourg (Argentorate) en passant par Kembs (Cambete). Cette voie secondaire reliait la voie romaine du Rhin à la voie romaine sous-vosgienne venant de Langres (Andemantunnum) passant par Rougemont le Chateau et allant vers Saverne (Tabernis)[16].

Époque mérovingienne

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L'époque qui laissa les traces les plus intéressantes est le haut Moyen Âge, avec le vaste cimetière barbare (dit aussi burgonde ou mérovingien) datant des VIIe et VIIIe siècles qui fut fouillé de 1907 à 1909. Au printemps 2004, des fouilles préventives, effectuées à la demande de la municipalité avant l'extension du cimetière, ont permis de découvrir des vestiges importants d'un habitat défensif datant du Ve ou VIe siècle. Les fondations de deux ateliers d'artisans et de trois fours à chaux ainsi que des traces d'occupation datant de l'âge du bronze ont été mis au jour.

La première mention du nom du village Boronia date de 1150. Jusqu'en 1347, le village est partagé entre le comté de Montbéliard et celui de comté de Ferrette, la Bourbeuse formant la limite entre les deux domaines. À cette époque aurait existé un château à Boringen nom germanisé de ce fief des Brinighoffen, vassaux du comte de Ferrette.

Au mois de septembre 1676, l'armée du général Duplessis-Pralin stationna à Bourogne avant la prise de Montbéliard le 8 novembre.

À la fin des Cent-Jours, le , les troupes du 8e corps d'observation du Jura, commandées par le général Lecourbe, affrontèrent les armées autrichiennes.

Pendant la guerre de 1870, le quartier général prussien était établi à Bourogne.

Le quartier Ailleret (terrain militaire des Fougerais) abrite le 1er régiment d'artillerie depuis 1997.

Héraldique

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Bourogne possède son propre blason, il est « d'azur à un mouton d'argent » surmonté de la lettre B. Il a été ratifié par la commission d'héraldique du 24 janvier 1959. Il se rapporte à l'influence qu'a revêtue autrefois l'importance de l'élevage des ovins sur le territoire de la commune.

Armes de Bourogne

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

d'azur au mouton passant d'argent, surmonté de la lettre B capitale d'or.

Politique et administration

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Administration territoriale

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La commune est rattachée successivement au canton de Delle, puis à celui de Grandvillars en 1970 et enfin à celui de Châtenois-les-Forges depuis 2015.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1953 1971 Louis Thomas    
mars 1971 mars 1995 Léon Mougin PS  
mars 2001 mars 2008 Jean Liborio    
mars 2008 26 mai 2020 Jean-François Roost PS  
26 mai 2020 En cours Baptiste Guardia[17]    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 1 792 habitants[Note 5], en évolution de −6,86 % par rapport à 2015 (Territoire de Belfort : −3,34 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
339615638627673715898907928
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8769269058921 1201 0311 0299541 014
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
899802805646646632648578770
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8388459061 2161 3531 4221 8871 9741 904
2021 - - - - - - - -
1 792--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé dans la commune voisine de Trévenans[22],[23].

Personnalités liées à la commune

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Le bourg a commencé à se développer tout doucement à partir de la mise en service de son port fluvial sur le canal du Rhône au Rhin commencé sous le Premier Empire et ouvert en 1833 et de la voie de chemin de fer Belfort-Delle vers 1876 mais c'est la création de la zone industrielle, au début des années 1970, qui fit du village agricole une petite ville riche de son industrie.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Martin.

Patrimoine culturel

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L'Espace Multimédia Gantner (EMG), qui est un centre consacré aux cultures multimédias, numériques et à la sensibilisation à l'art contemporain, fut créé, à l'origine, dans une ancienne ferme rénovée pour abriter la collection de lithographies dont le peintre Bernard Gantner a fait don à la commune de Bourogne. Il est conventionné Centre d’Art Contemporain par le ministère de la Culture depuis 2012. Ses missions en font un lieu de vie culturelle bien ancré dans le quotidien du village, tout en ayant une programmation artistique exigeante. L'Espace multimédia Gantner propose ainsi à tous les publics une exploration de la culture numérique à travers différentes activités : Expositions, concerts, ateliers multimédia, ressources documentaires, ressources en ligne… L'Espace multimédia Gantner est soutenu par le Ministère de la Culture et de la Communication, la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Franche-Comté, la Région Franche-Comté et la commune de Bourogne.

Le foyer rural Léon-Mougin, du nom d'un ancien maire (durant 30 ans) qui en fut le fondateur, comporte de nombreuses sections qui animent ce petit village de l'est de la France.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Louis Herbelin, « Essai sur la famille noble de Brinighofen et sa co-seigneurerie de Bourogne », Revue d'Alsace, t. 67,‎ , p. 304-324 (lire en ligne), t. 68, 1920, p. 56-88 (lire en ligne) (Remarque : Brinighofen s'écrit Brinighoffen depuis 1871)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montbéliard comprend deux villes-centres (Audincourt et Montbéliard) et 23 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Bourogne et Novillard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Novillard_sapc », sur la commune de Novillard - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Novillard_sapc », sur la commune de Novillard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Montbéliard », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bourogne ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868).
  15. Christophe Card, « Bourogne – Rue de la Croze », ADLFI. Archéologie de la France - Informations,‎ (lire en ligne [PDF])
  16. « Notions Générales - IV-Période Gallo-romaine », Revue d'Alsace, vol. Tome XXII, no 1,‎ , p. 9-10 (lire en ligne)
  17. élu le 26 mai 2020 selon l'Est Républicain du 3 juin 2020
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  23. Site officiel de l'HNFC.

17. Patrimoine culturel - EMG - références site web de Bourogne