Algrange
Algrange | |
Église catholique Saint-Jean-Baptiste. | |
Héraldique |
|
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Thionville |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Val de Fensch |
Maire Mandat |
Patrick Peron 2020-2026 |
Code postal | 57440 |
Code commune | 57012 |
Démographie | |
Gentilé | Algrangeois |
Population municipale |
6 087 hab. (2021 ) |
Densité | 875 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 21′ 36″ nord, 6° 02′ 56″ est |
Altitude | Min. 221 m Max. 405 m |
Superficie | 6,96 km2 |
Type | Grand centre urbain |
Unité urbaine | Thionville (banlieue) |
Aire d'attraction | Luxembourg (partie française) (commune d'un pôle secondaire) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Algrange (bureau centralisateur) |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
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Algrange (en allemand Algringen) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune d'Algrange se trouve sur la rive gauche de la Moselle, à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Thionville. Elle est limitée au sud par les communes de Nilvange et de Knutange, tandis qu'à l'est et à l'ouest, elle est bordée de deux plateaux dont un avec pelouse calcaire.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le village est installé dans une vallée étroite qui s'étire sur quatre kilomètres de long et qui est parcourue par la Schtinckbach, un petit affluent de la Fensch. Le fond de la vallée se trouve à une altitude qui avoisine les 250 mètres, alors que le point culminant situé sur le plateau atteint les 395 mètres.
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité 1 très faible[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 881 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse : Masses d'eau souterraine (MESO).
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Algrange est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thionville[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant douze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), zones urbanisées (23 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,6 %), terres arables (9,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]En francique lorrain : Oolgréngen[15] et Algréngen. En allemand : Algringen[16].
Mentions anciennes
[modifier | modifier le code]Cette localité est mentionnée sous les noms de[16],[17],[18] : Alkerengis et Alkeringas en 875, Alkeringis (1139), Algerenge (1205-1206), Alkringes (1239), Algringes (1293), Alcrange (1323), Algringen (1347 et 1605), Allgringen (1596 et 1762), Ollegrange (1685), Olgrange (1762), Allegrange (1793), Algrange ou Olgringen (1845).
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le suffixe -ange ou -enge (Algerenge, 1205-1206) est la forme donnée (renommage administratif) à la place du suffixe germanique -ing (« domaine »), lors de l'avancée du Duché de Bar vers 1200[19]. Le nom des villages ayant leur finale en -ing ou -ingen a été francisé par onomatopée en -ange ou -enge[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]Algrange dépendait de la province luxembourgeoise ; possession des abbayes Saint-Vanne de Verdun, Villers-Bettnach, Saint-Pierre de Metz et Justemont[21].
Cet endroit a dépendu de la seigneurie de Florange ; il fut après la confiscation de celle-ci réuni à la « landmairie prévôtale » d'Oetrange[22].
En 1817, Algrange, village de l’ancienne province des Trois-Évêchés (depuis 1659), avait pour annexe la ferme de Batzenthal. À cette époque, il y avait 228 habitants répartis dans 52 maisons et fermes[23].
Le moulin de Gourstal, donné en 1205 par Wirric, seigneur de Vallecour, à l’abbaye de Justemont.
Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Algrange est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. La première ligne de chemin de fer est ouverte le , suivi de peu par le premier bureau de poste, ouvert le . L'hôpital des mines et forges est ouvert le . Algrange connaît une période de prospérité au début du XXe siècle, grâce à ses quatre principales mines de fer (une dizaine de puits ouverts) et à l'usine sidérurgique Hütte Friede (S.M.K.) en partie sur le ban communal.
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent naturellement pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes gens tombèrent au champ d'honneur sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest, en particulier en France et dans les Flandres. Sujets loyaux de l'empereur, les Mosellans accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix, enfin retrouvée. Algringen redevient Algrange.
Algrange fut l'une des trois premières municipalités de Moselle, avec Hagondange et Amnéville, à être dirigée par un maire communiste, en 1923. Le Front populaire et les grèves de 1936 touchèrent la population algrangeoise. Les mines et la S.M.K. cessèrent alors leurs activités, les ouvriers étant en grève, comme dans le reste de la France.
La Seconde Guerre mondiale et le drame de l'Annexion marqueront longtemps les esprits. Beaucoup de jeunes gens incorporés de force dans les armées allemandes ne revinrent jamais. La commune sera libérée dès le [24] grâce à la IIIe armée de Patton.
Dans le Républicain Lorrain daté du , on pouvait lire qu'avec l'extension du Batzenthal, la ferme construite en 1726 serait appelée à disparaître, pour permettre l'extension du nouveau quartier résidentiel d'Algrange.
Une ligne de chemin de fer, qui desservait Algrange à partir de Hayange, a été fermée aux voyageurs le , et aux marchandises vers 1974.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2021
[modifier | modifier le code]En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
- total des produits de fonctionnement : 4 617 000 €, soit 744 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 3 964 000 €, soit 639 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 1 617 000 €, soit 261 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 1 412 000 €, soit 228 € par habitant ;
- endettement : 3 365 000 €, soit 543 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 16,55 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,34 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 70,96 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2019 : médiane en 2019 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 060 €[26].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2021, la commune comptait 6 087 habitants[Note 5], en évolution de −1,39 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[30] :
- Institut Biblique Baptiste
- École de garçons puis de filles rue Clemenceau
- Maison de la Sainte-Famille
- L.E.P.T. Saint-Vincent-de-Paul
- École maternelle La Lorraine
- École de la Mairie
- Écoles de la rue Wilson
- École du Chemin des Dames
- École maternelle rue de Londres
- Collège Évariste-Galois qui regroupe les communes de : Algrange et Nilvange
- École du Batzenthal
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[31] :
- médecins à Algrange, Nilvange ;
- pharmacies à Algrange, Nilvange, Hayange ;
- hôpitaux à Algrange.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Communauté de Paroisse Bienheureux Marcel Callo des Sources de la Fensch[32], Diocèse de Metz.
- Culte protestant, Vallée de la Fensch : Algrange, Hayange & Nilvange-Fontoy. Consistoire : réformé de Metz[33].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Restaurant.
- Camping à Thiomville.
- Hôtel à Knutange.
- Gîte de France à Avange, Hayange, Thionville.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité.
Friches industrielles des sites sidérurgiques et miniers :
- mine Burbach à Algrange ;
- mine Röchling et ensuite d'Angevillers ;
- mine Pennsbrunn et ensuite de Rochonvillers ;
- mines Witten I et II ;
- mine Moltke puis Sainte-Barbe et en dernier La Paix ;
- usine Hutte Friede Kneuttigen puis Société Métallurgique de Knutange (SMK) et Société Mosellane de Knutange (SMS) au 3/4 sur le ban d'Algrange.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Édifices civils
[modifier | modifier le code]- Vestiges préhistoriques et antiques.
- Façades néo-renaissances et néo-gothiques datant de l'Annexion.
- Fresque monumentale de Greg Gawra à la gloire des quatre mines et de ses travailleurs[34] : le plus grand mur peint avec le plus grand nombre de personnages ayant existé[35], sur Le Républicain Lorrain.
- Monument aux morts[36],[37] : Conflits commémorés : Guerre 1939-1945[38].
- Plaque commémorative de la SNCF.
- Stèle des mineurs des quatre mines[39].
- Pierre dite des Croates, 1650[40].
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Église catholique Saint-Jean-Baptiste, néo-gothique, 1892.
- Orgue Haerfper-Erman (1963) - François Delangue (1992)[41].
- Chapelle Saint-Antoine-de-Padoue[42] ; installée en 1920, destinée aux nombreux mineurs immigrés, italiens et polonais ; aménagée définitivement en lieu de culte en 1934
- Autel datant de 1754 à la chapelle.
- Temple protestant réformé, rue Foch construit entre 1890 et 1891[43].
- Église néo-apostolique, 1961, rue de Bous[44].
- Grotte de Lourdes, 1951[45],[46].
- Institut Pastoral Biblique Baptiste, Rue de Lorraine.
-
Temple protestant réformé.
-
Chapelle Saint-Antoine-de-Padoue.
-
Église néo-apostolique.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Claude Bodziuch, footballeur français, né en 1957 à Algrange.
- Baptiste Butto, handballeur français, né en 1987 à Algrange.
- Christian Eckert, homme politique français, né en 1956 à Algrange.
- Fabien Engelmann, personnalité politique, né en 1979 à Algrange.
- Eric Marochini, haut fonctionnaire du ministère de l'intérieur, Sous-Préfet, né en 1972 à Algrange.
- Gilbert Gruss (1943-2016), karatéka français, champion de France et d'Europe, du monde par équipe, entraineur de l'équipe de France, né à Algrange.
- Philippe Hinschberger, joueur et entraîneur de football français, né en 1959 à Algrange.
- Nikolaus Kyll (1904-1973), historien des religions allemand, né à Algrange.
- Michel Liebgott, homme politique français, né en 1958 à Algrange.
- Aurélien Salmon, joueur de basket-ball français, né en 1987 à Algrange.
- Fritz Sperling (1911-1958), homme politique allemand, né à Algrange.
- Adolf Wagner (1890-1944), Gauleiter et membre de haut rang du NSDAP, né à Algrange.
- Josef Wagner (1899-1945), Gauleiter et membre de haut rang du NSDAP[47], né à Algrange.
- Michèle Watrin (1950-1974), actrice française, née à Algrange.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules au marteau contourné d'argent posé en pal, chargé d'un dragon contourné d'or, les ailes éployées, la queue tortillée autour du manche du marteau, crachant des flammes du champ. |
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Détails | Le blason d'Algrange[48]. Le marteau est l'emblème du mineur et du forgeron sur un fond rouge symbolisant l'industrie métallurgique. Le dragon, emblème de feu, provenant des armes de l'abbaye Saint-Vanne de Verdun rappelle qu'une partie des terres d'Algrange était une ancienne possession de ce monastère. 1962 |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Albert Henry (Ledrich), Récits et nouvelles de Lorraine, imprimerie Echo de Thionville, 1952
- Patrimoine religieux de la commune, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
- Léonie Grandil, Monsieur l'abbé Schang, coopérative d'édition et d'impression à Metz, 1949
- Anciens algrangeois, Algringen zum Gedächtnis, , 136 p.
- Denis Germain, Burbach, quartier minier d’Algrange, mémoire de maîtrise de l’université de Metz, 1973.
- Vincent Gori, Algrange d’une guerre à l’autre 1918-1939, mémoire de maîtrise de l’université de Nancy, 1991, 240 p.
- Roland Sebben, Algrange : cité aux quatre mines, Éditions Fensch Vallée, , 346 p. (ISBN 2-908196-23-9).
- Roland Sebben, Retour à la France de la vallée de la Fensch, Partie Algrange, Éditions Fensch Vallée, , 156 p. (ISBN 2-908196-32-8).
- Roland Sebben, Algrange : cité du fer, Éditions Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2842537821).
- Ernest Niessen, Elle avait bonne mine… la mine d’Angevillers, Éditions Fensch Vallée, , 284 p. (ISBN 978-2-916782-18-8).
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Moselle
- Liste des nécropoles militaires en Lorraine
- Ligne de Knutange - Nilvange à Algrange-Rochonvillers
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Thionville comprend une ville-centre et onze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Algrange » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Algrange et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Thionville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440).
- Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Administration générale des postes, Dictionnaire des postes aux lettres, contenant les noms des villes, communes et principaux lieux habités de la France, Paris, Imprimerie Royale, 1845.
- Véronique Lucas-Ory, Dictionnaire des noms de Lieux de la Moselle, Archives & Culture, (ISBN 2350771636).
- Auguste Terquem, Etymologie du nom des villes et des villages du département de la Moselle, Metz, Lorette, (lire en ligne), p. 15.
- Avant 1766, province des Trois-Evêchés, bailliage de Thionville
- Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Volume 18, Imprimerie-Librairie V. Buck, 1863.
- Viville, Dictionnaire du département de la Moselle, 1817.
- 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994 (p. 14).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Communauté de Paroisse Bienheureux Marcel Callo des Sources de la Fensch
- Consistoire : réformé de Metz
- Fresque de Greg Gawra
- Rétrospective : «La Cité aux Quatre Mines», fresque de Greg Gawra à Algrange
- Monument aux morts
- Monument aux morts à côté de l'église Saint Jean Baptiste
- Monument aux Morts - Monument aux Morts 1939-1945
- Stèle à la mémoire de tous les mineurs décédés des mines algrangeoises
- La pierre dite " des Croates "
- Algrange, orgue de l'église Saint Jean-Baptiste
- Chapelle Saint-Antoine-de-Padoue
- Algrange, paroisse réformée
- Église néo-apostolique
- Liste de répliques de la grotte de Lourdes
- Algrange (grotte de Notre-Dame d’)
- Biographie sur historisches-centrum.de
- Armoiries et logo de la ville