Capdenac-Gare
Capdenac-Gare | |||||
Eglise Notre-dame des Voyageurs. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Villefranche-de-Rouergue | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Grand-Figeac | ||||
Maire Mandat |
Stéphane Bérard 2020-2026 |
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Code postal | 12700 | ||||
Code commune | 12052 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Capdenacois | ||||
Population municipale |
4 407 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 218 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
17 791 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 34′ 21″ nord, 2° 04′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 156 m Max. 421 m |
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Superficie | 20,21 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Capdenac-Gare (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Figeac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lot et Montbazinois (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | www.capdenacgare.fr | ||||
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Capdenac-Gare est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie. C'est la neuvième ville du département.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Saint-Julien d'Empare, inscrit en 1977.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La commune de Capdenac-Gare se trouve au nord-ouest du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Bas Quercy[1].
Ses principales caractéristiques sont d'être une ville récente (elle a fêté ses 150 ans en 2011) et de s'être développée à partir d'une gare ferroviaire.
Selon certaines études, Capdenac-Gare devrait être dans le département du Lot comme sa ville jumelle Capdenac. La question de son rattachement au département voisin fait l'objet de débats depuis plusieurs années[2].
Elle se situe à 59 km par la route[Note 1] de Rodez[3], préfecture du département, à 30 km de Villefranche-de-Rouergue[4], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Figeac[I 1].
Les communes les plus proches sont[5],[Note 2] : Capdenac (46) (1,4 km), Sonnac (3,4 km), Lunan (46) (3,5 km), Lentillac-Saint-Blaise (46) (3,9 km), Cuzac (46) (5,0 km), Saint-Félix (46) (5,3 km), Felzins (46) (5,6 km), Figeac (46) (5,7 km), Naussac (5,8 km).
Figeac (Lot) |
Capdenac (Lot) |
Lentillac-Saint-Blaise (Lot) |
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Faycelles (Lot) |
N | Asprières | ||
O Capdenac-Gare E | ||||
S | ||||
Causse-et-Diège | Naussac | Sonnac |
Hydrographie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Lot, la Diège, le ruisseau de Cerles, le ruisseau de la Garrigue et par divers petits cours d'eau[6].
Le Lot prend sa source à 1 272 m d’altitude sur la montagne du Goulet (nord du mont Lozère), dans la commune de Cubières (48), et se jette dans la Garonne à Monheurt (47), après avoir parcouru 484 km et traversé 129 communes[7].
La Diège, d'une longueur totale de 19,1 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve et se jette dans le Lot à Capdenac-Gare, après avoir arrosé 5 communes[8].
La ville de Capdenac-Gare se situe au creux d'un large méandre du Lot, en rive gauche à sa confluence avec la Diège, à la limite entre les départements de l'Aveyron et du Lot.
Cette situation dans la plaine alluviale lui donne un relief local faible, dans une zone où le Lot est parfois fortement encaissé dans sa vallée et où cette topographie peut entraîner des contraintes fortes sur le passage des voies de communications.
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Le Lot à Capdenac-Gare en novembre 2012.
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Réseaux hydrographique et routier de Capdenac-Gare.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 939 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Constant-Fournoulès à 17 km à vol d'oiseau[11], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 058,4 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Capdenac-Gare comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[15], le « Cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont 8 dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[16] , et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[15], la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 ha), qui s'étend sur 36 communes dont 8 dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[17].
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Carte de la ZNIEFF de type 1 de la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Capdenac-Gare est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Capdenac-Gare, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[19],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,1 %), prairies (29,2 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), zones urbanisées (13,9 %), terres arables (3,5 %), eaux continentales (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %)[22].
Planification
[modifier | modifier le code]La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Pays de Figeac, dont le périmètre a été fixé en 2011, le projet a été arrêté par le comité syndical en 2015 puis, après enquête en mai 2016, approuvé en décembre 2016. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Figeac - Quercy - Vallée de la Dordogne, qui associe deux communautés de communes, notamment la communauté de communes Grand-Figeac (nouvelle), dont la commune est membre[23].
La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[24].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le tissu urbain du centre-ville, accolé au sud de la gare, est organisé selon un plan quadrillé. L'urbanisation plus récente, vers le sud et vers l'est, est principalement constituée de lotissements allant jusqu'aux coteaux fermant le bord sud de la plaine alluviale.
La commune de Capdenac-Gare se compose de :
- La ville de Capdenac-Gare
- Le village de Saint-Julien-d'Empare
- Le village de Livinhac-le-Bas
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La gare se trouve dans la zone nord-ouest du méandre, assurant la jonction entre la ligne de chemin de fer qui suit la vallée du Lot vers l'ouest, celle partant vers l'est et traversant la rivière peu après la gare, et enfin celle partant vers le sud. Le réseau routier principal suit, assez logiquement, les voies de chemin de fer pour relier la commune aux autres villes des alentours.
Transports
[modifier | modifier le code]Axes ferroviaires
[modifier | modifier le code]La gare de Capdenac est en activité depuis 1858.Elle fut la plus importante gare de triage d'Aveyron et le premier employeur de la commune durant près d'un siècle, placée au centre d'une étoile ferroviaire à cinq branches, avec au départ de Capdenac les lignes :
- Capdenac-Toulouse ;
- Capdenac-Rodez ;
- Capdenac-Brive ;
- Capdenac-Aurillac ;
- Capdenac-Cahors (aujourd’hui désaffectée).
Axes routiers
[modifier | modifier le code]Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagements
[modifier | modifier le code]Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Capdenac-Gare est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[25],[26].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Lot et de la Diège. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[27]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Lot aval 3[28], approuvé le 6 avril 2010[29].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[30].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[25]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[31]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[32]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[33].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières et ferroviaires importantes et la présence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].
Dans le département de l'Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[35].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Capdenac-Gare est classée à risque faible[36].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]La commune de Capdenac-Gare (autrefois commune de Saint-Julien-d'Empare) est peuplée au moins depuis le Néoltihique, comme l'atteste la présence du dolmen de la Garrigue dit aussi du Causse Blanc.
Antiquité
[modifier | modifier le code]Son histoire commence dès l'époque gallo-romaine. En effet, des travaux dans l'axe de l'actuelle rue Carnot, en 1947, ont permis la mise au jour d'une portion de voie en dalles de granit, solidement bâtie à travers la plaine, attribuable à l'époque romaine (la mairie conserve des pavés extraits de celle-ci). Cette Voie Romaine, venant très probablement de Rodez, se dirige vers la rivière du Lot. Cela permet aux chercheurs de supposer qu'elle s'orientait vers une traversée par un gué dont on n'a pas encore retrouvé la trace.
Après la Révolution
[modifier | modifier le code]Création en 1790 des communes de Saint-Julien-d'Empare et de Livinhac-le-Bas, dans le canton d'Asprières. En 1834 la commune de Saint-Julien-d'Empare absorbe la commune de Livinhac-le-Bas.
XIXe siècle : création de la gare
[modifier | modifier le code]L'histoire de la ville de Capdenac-Gare débute en 1857, alors que Charles de Morny, demi-frère de l'empereur Napoléon III qui règne alors à Paris, est à la tête de la Compagnie d'Orléans. C'est lui qui est à l'origine du tracé de la voie ferrée et du choix du lieu-dit Tinsou dans la commune de Saint-Julien-d'Empare pour l'emplacement de la gare. La compagnie d'Orléans authentifiera la dénomination de Capdenac-Gare en 1859. Le chemin de fer s'arrêtait, au départ, à Tinsou. Venant de Montauban, destiné à atteindre par le Lot le bassin houiller d'Aubin-Decazeville en pleine expansion, ce trafic s'opère alors par la rivière. Le charbon partait du bassin par le Lot puis était amené jusqu'à Tinsou et partait ensuite en train vers Montauban. Le développement de la station va être extrêmement rapide. En 1859, la gare occupe déjà 13 hectares. C'est en 1860 que la ligne ira jusqu'à Rodez. En 1862, est inaugurée la ligne de Brive à Capdenac, après que Gustave Eiffel a conçu le pont métallique qui enjambe le Lot.
Expansion de la nouvelle ville
[modifier | modifier le code]Parallèlement au développement de la gare, la nouvelle cité de Capdenac-Gare se construit. Ainsi, la nouvelle ville est bâtie sur une vaste plaine, qui parait quasi-désertique, à l'exception de quelques hameaux isolés (tels la Boudonie ou la Peyrade), sur le cadastre dit napoléonien. Pour loger les employés et les ouvriers qui travaillaient à la gare, la Compagnie d'Orléans fait construire une série de bâtiments baptisés "casernes". En 1866, la commune de Saint-Julien-d'Empare atteint les 2 092 habitants. La même année, la maison Raynal et Roquelaure va faire ses premiers pas. M. Raynal était devenu le gérant du Buffet de la Gare et M. Roquelaure était son chef cuisinier. La renommée de leurs produits dépassa rapidement les limites de la commune. C'est alors qu'est créée l'entreprise de conserves alimentaires que nous connaissons toujours aujourd’hui. Le 7 juillet 1884, le conseil municipal demande que le chef-lieu de la commune soit transféré à Capdenac. Le 16 mai 1891, Capdenac est érigé en commune[37]. La commune de Saint-Julien-d'Empare devient alors Capdenac-Gare. La commune continue son développement et en 1899, on construit une église plus importante que la précédente : Notre-Dame-des-Voyageurs.
XXe et XXIe siècles
[modifier | modifier le code]Capdenac-Gare devient chef-lieu du canton en 1922 aux dépens d'Asprières. Durant l'occupation allemande lors de la Seconde Guerre mondiale, Capdenac est un foyer de résistance. Des enfants juifs sont cachés par deux sœurs, Denise Bergon et Marguerite Roques, dans le couvent Notre-Dame-de-Massip à Capdenac[38],[39]. De nombreuses actions de résistance ont eu lieu. Un groupe important du maquis de Montmurat fait sauter l'aiguillage du Soulier, immobilisant ainsi les convois nazis en direction de Paris. Ce groupe est intercepté par les Allemands et exécuté.
En 2007, soit 150 ans après sa création, Capdenac-Gare est une ville jeune et comptait en 2021 4407 habitants.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Capdenac-Gare est membre de la communauté de communes Grand-Figeac[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Figeac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[40].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Montbazinois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[41].
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Capdenac-Gare dans l'intercommunalité en 2020.
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Capdenac-Gare dans le canton de Lot et Montbazinois en 2020.
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Capdenac-Gare dans l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue en 2020.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections de 2020
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal de Capdenac-Gare, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[42], pour un mandat de six ans renouvelable[43]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 27[44]. Les vingt-sept conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 29,62 %, issus de la seule liste candidate, conduite par Stéphane Berard[45]. Stéphane Berard, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [46].
Les neuf sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Grand-Figeac sont alloués à la liste de Stéphane Berard[45].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Cette ville est jumelée à Hudești en Roumanie depuis 1993.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].
En 2021, la commune comptait 4 407 habitants[Note 6], en évolution de −2,97 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'agglomération de Capdenac regroupe Capdenac-gare et la municipalité de Capdenac dans le Lot.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Capdenac-Gare possède quatre écoles : les écoles maternelles publiques Beau Soleil et Chantefable, l'école élémentaire publique Pierre Riols et l'école maternelle et primaire privée Jeanne d'Arc. Il y a aussi deux collèges : le collège public Voltaire et le collège privé Saint-Louis. Capdenac-Gare a adopté le dispositif passerelle dans une école maternelle et dispose d’une crèche : La Farand'Olt.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Capdenac-gare dispose de nombreux atouts dans le domaine culturel : d'abord un cinéma, Atmosphère, à la programmation variée. Ensuite des associations, dont la principale Derrière Le Hublot[54], spécialisée dans les arts de la rue, est reconnue comme Scène conventionnée d'intérêt national -art en territoire[55]. Les Nuits & les Jours de Querbes, association spécialisée dans la littérature et le jazz contemporains, née à Asprières, et transférée à Capdenac en 2020. Ces deux associations proposent un festival, l'un à la Pentecôte, l'autre début août et une Saison. On doit aussi citer Courants d'art, pour l'art contemporain, Cap'Musique pour l'apprentissage musical, le Caveau de la gare
Santé
[modifier | modifier le code]La ville de Capdenac-Gare dispose d’une maison de santé pluriprofessionnelle nommée Madeleine Brès.
Sports
[modifier | modifier le code]On trouve à Capdenac-Gare de nombreux équipements. Il y a trois gymnases, dont un exclusivement pour les sports de raquettes, une piscine, un terrain de football et de rugby, un mini skate-park, trois terrains de tennis, un terrain de minigolf et des espaces pour jouer à la pétanque. On trouve aussi un parc équipé d'installations pour les enfants, ainsi que des circuits pour la marche et le vélo. Capdenac-Gare possède de nombreux clubs sportifs : football, rugby, tennis, vélo ou même tir.
Médias
[modifier | modifier le code]Trois journaux quotidiens couvrent l'actualité locale : Centre Presse (Aveyron), La Dépêche du Midi et Midi libre.
Cultes
[modifier | modifier le code]Deux églises sont recensées : l’église Notre-Dame-des-voyageurs, place du 14 juillet, à Capdenac-Gare, et l'église Saint-Julien de Saint-Julien-d’Empare.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 162 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 4 340 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 030 €[I 2] (20 640 € dans le département[I 3]). 42 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (% dans le département).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 7,1 % | 8,9 % | 9,2 % |
Département[I 5] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 516 personnes, parmi lesquelles on compte 76,8 % d'actifs (67,6 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 23,2 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 2 171 emplois en 2018, contre 2 122 en 2013 et 2 186 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 724, soit un indicateur de concentration d'emploi de 126 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,6 %[I 8].
Sur ces 1 724 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 835 travaillent dans la commune, soit 48 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 82,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 13,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]364 établissements[Note 10] sont implantés à Capdenac-Gare au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 11].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 364 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
84 | 23,1 % | (17,7 %) |
Construction | 45 | 12,4 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
89 | 24,5 % | (27,5 %) |
Information et communication | 5 | 1,4 % | (1,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 13 | 3,6 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 12 | 3,3 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
37 | 10,2 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
52 | 14,3 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 27 | 7,4 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,5 % du nombre total d'établissements de la commune (89 sur les 364 entreprises implantées à Capdenac-Gare), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[56] :
- Raynal et Roquelaure, entreprise agroalimentaire (146 m€)
- Laboratoire Nutergia, fabrication d'aliments homogénéisés et diététiques (65 m€)
- Fives Machining, fabrication de machines-outils pour le travail des métaux (49 m€)
- Ulene, supermarchés (20 M€)
- Entreprise Capraro Et Compagnie, construction de réseaux pour fluides (19 m€)
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]La commune possède un tissu industriel varié avec plusieurs secteurs d’activités, parmi les principales entreprises industrielles, on peut citer :
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans le Bas Quercy, une petite région agricole occupant l'extrême-ouest du département de l'Aveyron[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la combinaisons de granivores (porcins, volailles)[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 56 | 31 | 21 | 11 |
SAU[Note 13] (ha) | 902 | 808 | 790 | 424 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 56 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 31 en 2000 puis à 21 en 2010[59] et enfin à 11 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 80 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[60],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 902 ha en 1988 à 424 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 39 ha[59].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Julien de Saint-Julien-d'Empare.
- Église Notre-Dame-des-Voyageurs de Capdenac-Gare.
- Depuis juin 2024, la commune possède une réplique de la Tour Eiffel mesurant 28 mètres.
Château de Saint-Julien d'Empare
[modifier | modifier le code]Le château de Saint-Julien d'Empare fut construit au Moyen Âge. À l’origine, il était constitué d’un corps central entre quatre tours d’angle, dont trois subsistent aujourd’hui. Ces tours portent encore des éléments architecturaux qui rappellent leur caractère fortifié : corbeaux, meurtrières, etc. L’ouvrage était entouré de fossés aujourd’hui comblés, mais dont la trace subsiste encore à l’ouest du site.
Château de La Coste
[modifier | modifier le code]Ce château du XVIIe siècle désormais en ruine domine le petit hameau de La Coste.
Galerie Photos
[modifier | modifier le code]Équipement culturel
[modifier | modifier le code]La ville possède un cinéma et une médiathèque.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- randonnées dans les alentours de la ville. Il y a des circuits pour différents niveaux (des faciles et moins faciles...).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Lucien Berne (1912-1993) : résistant français, Compagnon de la Libération ;
- Gilles Poux (né en 1957) : maire de La Courneuve (1996-2024), né à Capdenac-Gare.
Héraldique
[modifier | modifier le code]De gueules à un vieux pont de trois arches d'argent sur une onde du même, surmonté d'un léopard lionné d'or, chapé fascé d'or et de sinople de six pièces. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- De Saint-Julien-d'Empare à Capdenac : 1850-1950 : album souvenir / cartes postales réunies et présentées par l'Office de tourisme de Capdenac, Capdenac, Office de tourisme, , 104 p., ill., couv. ill. ; 30 cm (BNF 34977645)
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jacques Dournes), Capdenac : Los Aures, Asprièras, Balaguièr, Bolhac, Causse-e-Diège, Foissac, Naussac, Salas, Sonnac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Capdenac, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 240 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-23-8, ISSN 1151-8375, BNF 36688708)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Site du Grand-Figeac
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
- Les distance sont mesurées ici à vol d'oiseau entre chefs-lieux de communes.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
- Laetitia Bertoni, « Une récente étude propose que Capdenac-Gare devienne Lotoise », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
- « Distance entre "Capdenac-Gare" et "Rodez" », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre "Capdenac-Gare" et "Villefranche-de-Rouergue" », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Capdenac-Gare », sur villorama.com (consulté le ).
- « Fiche communale de Capdenac-Gare », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « le Lot ».
- Sandre, « la Diège ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Capdenac-Gare et Saint-Constant-Fournoulès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Constant » (commune de Saint-Constant-Fournoulès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Constant » (commune de Saint-Constant-Fournoulès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Capdenac-Gare », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Cours moyen du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Capdenac-Gare », sur insee.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Figeac », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Le SCOT du pays de Figeac – Projet d’aménagement et de développement rural »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur grand-figeac.fr (consulté le ).
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- [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur aveyron.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Capdenac-Gare », sur Géorisques (consulté le ).
- [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron – risque d’inondation », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
- « Dossier PPRI », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
- [PDF]« Arrêté préfectoral d’approbation du PPRI », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le ).
- « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène », sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
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- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Capdenac-Gare », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Transport de matières dangereuses », sur aveyron.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque de rupture de barrage », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
- [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
- « no 23650 - Décret qui transfert le chef-lieu de la commune de Saint-Julien-d'Empare (canton d'Asprières, arrondissement de Villefranche, département de l'Aveyron) du village de Saint-Julien à celui de Capdenac-Gare : 16 mai 1891 », Bulletin des lois de la République française, Paris, Imprimerie nationale, xII, vol. 42, no 1401, , p. 604 (lire en ligne).
- Capdenac-Gare. L'histoire extraordinaire du couvent de Massip
- Notre-Dame-de-Massip durant la Seconde Guerre mondiale (WWII)
- « Communauté de communes Grand-Figeac (nouvelle) - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
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- Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
- « Election des conseillers municipaux et du maire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la DGCL (consulté le ).
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- « Résultats du 1er tour pour Capdenac-Gare », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « Les maires de Capdenac-Gare », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Site internet de Derrière Le Hublot ».
- « Capdenac-Gare. Derrière le Hublot Scène conventionnée d’intérêt national », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
- « Entreprises à Capdenac-Gare », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Capdenac-Gare - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
- Notice no PA00093988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture