Cordéac
Cordéac | |
Cordéac au début du XXe siècle. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Isère |
Arrondissement | Grenoble |
Commune | Châtel-en-Trièves |
Intercommunalité | Communauté de communes du Trièves |
Statut | Commune déléguée |
Maire délégué Mandat |
Victor Vecchiato 2017-2020 |
Code postal | 38710 |
Code commune | 38125 |
Démographie | |
Gentilé | Cordéaçous |
Population | 207 hab. (2014 ) |
Densité | 7,7 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 49′ 41″ nord, 5° 50′ 20″ est |
Altitude | Min. 579 m Max. 2 793 m |
Superficie | 27 km2 |
Élections | |
Départementales | Matheysine-Trièves |
Historique | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | Châtel-en-Trièves |
Localisation | |
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Cordéac est une ancienne commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Elle a fusionné au avec l'ancienne commune voisine de Saint-Sébastien pour devenir la nouvelle commune de Châtel-en-Trièves.
Géographie
[modifier | modifier le code]À proximité de cette commune se situe le barrage du Sautet. Ce village calme et reposant est une voie d'accès au Dévoluy.
Lieux-dits
[modifier | modifier le code]Chalanne, les Guions, Chenalbonne, les Berlions, les Gauthiers, Ribeyre, Malvaisin, les Achards, les Gachets, les Pellissiers, les Fossés, Trachet.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Saint-Sébastien, Mens, Saint-Jean-d'Hérans, Pellafol
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[1]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[2],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 207 habitants, en évolution de +0,98 % par rapport à 2009 (Isère : +3,89 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]- Vestiges du bourg fortifié de Puy-Boson et du château fort sur motte de Puy-Boson, du XIIe siècle[5].
- Château fort sur motte de Troussepaille, du XIIIe siècle[5].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 675.