[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Cordéac

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cordéac
Cordéac
Cordéac au début du XXe siècle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Commune Châtel-en-Trièves
Intercommunalité Communauté de communes du Trièves
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Victor Vecchiato
2017-2020
Code postal 38710
Code commune 38125
Démographie
Gentilé Cordéaçous
Population 207 hab. (2014 en augmentation de 0.98 % par rapport à 2009)
Densité 7,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 41″ nord, 5° 50′ 20″ est
Altitude Min. 579 m
Max. 2 793 m
Superficie 27 km2
Élections
Départementales Matheysine-Trièves
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Châtel-en-Trièves
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cordéac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cordéac
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte topographique de l'Isère
Cordéac
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte administrative de l'Isère
Cordéac

Cordéac est une ancienne commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle a fusionné au avec l'ancienne commune voisine de Saint-Sébastien pour devenir la nouvelle commune de Châtel-en-Trièves.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Vue générale de l'Obiou et du Châtel.

À proximité de cette commune se situe le barrage du Sautet. Ce village calme et reposant est une voie d'accès au Dévoluy.

Chalanne, les Guions, Chenalbonne, les Berlions, les Gauthiers, Ribeyre, Malvaisin, les Achards, les Gachets, les Pellissiers, les Fossés, Trachet.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Saint-Sébastien, Mens, Saint-Jean-d'Hérans, Pellafol

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 2008 Bruno Turc    
2008 2014 Josette Garcin    
2014 En cours Victor Vecchiato SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[1]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[2],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 207 habitants, en évolution de +0,98 % par rapport à 2009 (Isère : +3,89 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
576583546540536529476437418
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
402377318275291280321245227
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2014 -
209168155184193209205207-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[4].)
Histogramme de l'évolution démographique

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]
L'église au début du XXe siècle.

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]
  • Vestiges du bourg fortifié de Puy-Boson et du château fort sur motte de Puy-Boson, du XIIe siècle[5].
  • Château fort sur motte de Troussepaille, du XIIIe siècle[5].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  2. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  3. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  5. a et b Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 675.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :