[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Épieds (Aisne)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Épieds
Épieds (Aisne)
Vue sur le bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Château-Thierry
Intercommunalité CA de la Région de Château-Thierry
Maire
Mandat
Didier Crenet
2020-2026
Code postal 02400
Code commune 02280
Démographie
Gentilé Spicarien(ne)s
Population
municipale
410 hab. (2021 en évolution de +6,77 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 06′ 26″ nord, 3° 26′ 44″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 222 m
Superficie 18,66 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Château-Thierry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Château-Thierry
Législatives 5e circonscription de l'Aisne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Épieds
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Épieds
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Épieds
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Épieds
Liens
Site web https://epieds02.fr/

Épieds est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Épieds est située à environ 55 min de Paris et 40 min de Reims, qui sont les deux plus grandes métropoles les plus proches.

La plus grande ville près d'Épieds est Château-Thierry, située à environ 10 min de la commune.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Beuvardes, Bézu-Saint-Germain, Brécy, Chartèves, Coincy, Mont-Saint-Père et Verdilly.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Ordrimouille, le cours d'eau 01 de la commune de Beuvardes[1], le cours d'eau 01 de la commune d'Epieds[2], le fossé 01 de la Cour Saint-Mard[3], le fossé 01 de la Gouttière[4], le fossé 01 de Moucheton[5], le fossé 01 de Pimart[6], le fossé 01 de Trugny[7], le fossé 02 de la Cour Saint-Mard[8] et le fossé 02 du Point du Jour[9],[10],[Carte 1].

L'Ordrimouille, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Ourcq à Nanteuil-Notre-Dame, après avoir traversé cinq communes[11].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Épieds[Note 1].

Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : l'étang de la Logette, d'une superficie totale de 10,1 ha (8,7 ha sur la commune) et l'étang de Trugny (2,5 ha)[Carte 1],[12].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blesmes à 8 km à vol d'oiseau[15], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,0 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Au , Épieds est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Château-Thierry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,4 %), forêts (31,3 %), prairies (14,8 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %)[22].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits, hameaux et écarts

[modifier | modifier le code]
Le célèbre[pourquoi ?] lieu-dit Courpoil, près d'Épieds, dans le "bas" de l'Aisne.

La commune compte plusieurs hameaux[23] :

  • Courpoil ;
  • Trugny ;
  • Château de Moucheton.

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 177, alors qu'il était de 172 en 2013 et de 159 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 88,2 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Épieds en 2018 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,1 %) supérieure à celle du département (3,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,8 % en 2013), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Épieds en 2018.
Typologie Épieds[I 2] Aisne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 88,2 86,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,1 3,5 9,7
Logements vacants (en %) 6,7 9,8 8,2

Le nom de la localité est attesté sous les formes Spicarium juxta villam que dicitur Espiers (1110) ; Espies, Espiers-en-Brie (1342) ; Espiers-en-Tardenoys (1344) ; Espierz (1347) ; Espiez (1432) ; Espied (1593) ; Espieds (1709)[24].

L'origine du nom est le mot latin spicarium, « grange où l'on entasse le blé », un dérivé de spica (épi en latin)[25].

Homonymie avec Épieds (Eure), Épieds (Maine-et-Loire) et Épieds-en-Beauce.

Première Guerre mondiale.

La commune se trouve dans la zone des combats de la bataille de Château-Thierry, notamment le , qui intervient dans le cadre de la seconde bataille de la Marne de 1918.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Château-Thierry du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de l'Aisne.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Château-Thierry[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes de la Région de Château-Thierry, créée fin 1995.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe), promulguée le , redéfinit les compétences attribuées à chaque échelon territorial et prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants.

Dans ce cadre, cette communauté de communes fusionne avec d'autres petites intercommunalités pour former le la communauté d'agglomération de la Région de Château-Thierry, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1875 après 1876 M. Carré[28]    
         
2001 mars 2014 Pierre Agron[29]    
mars 2014 octobre 2016[30] Thierry Martel SE Employé
Décédé en cours de mandat
janvier 2017[31],[32] En cours
(au 9 septembre 2023)
Didier Crenet   Réélu pour le mandat 2020-2026

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 410 habitants[Note 3], en évolution de +6,77 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
420442448350418414458473481
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
429393379359376369365383350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
350323268256266227220232201
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
206192175232332332353350386
2014 2019 2021 - - - - - -
384409410------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Médard.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Saint-Médard, construite aux XIIe et XIIIe siècles et constituée d'une nef avec deux bas-côtés, d'un transept et d'un chœur est classée aux Monuments Historiques depuis 1920[36]. Le chœur et le transept, de style gothique primitif, datent du XIIe siècle, la nef et ses bas-côtés, ornés de beaux chapiteaux, sont plus récents, et le clocher a été construit au XIIIe siècle. Elle comprend la dalle funéraire, sans effigie, d'Antoine de Berthomeuf, seigneur de Moucheton, datant de 1772[37], ainsi qu'une autre pierre tombale, divisée aujourd'hui en deux parties dans le sens de la longueur, indiquant la sépulture d'un ancien curé de la paroisse, décédé en 1620[38]. On note également une statue de la Vierge à l'enfant en pierre du XIVe siècle[39].
  • Le château de Moucheton, élevé à la fin du XVIe siècle et remanié en style troubadour au XIXe siècle, résidence privée de la famille d'Ainval : les façades et les toitures du château, ainsi que les bâtiments de la ferme et le moulin, construits au XVIIe ou au début du XVIIIe siècle sont classés aux monuments historiques depuis 1992. Ils sont construits en moellons et enduits au plâtre gros selon les procédés de construction de la Brie, et témoignent de l'évolution d'un petit domaine seigneurial de la fin du XVIe siècle au milieu du XIXe siècle[40]. Selon Salch la première construction daterait du XIIIe siècle[41].
  • Deux lavoirs, l'un situé au village, l'autre au hameau de Trugny[42].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique d'Épieds » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Épieds - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Épieds - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Aisne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Sandre, « le cours d'eau 01 de la commune de Beuvardes »
  2. Sandre, « le cours d'eau 01 de la commune d'Epieds »
  3. Sandre, « le fossé 01 de la Cour Saint-Mard »
  4. Sandre, « le fossé 01 de la Gouttière »
  5. Sandre, « le fossé 01 de Moucheton »
  6. Sandre, « le fossé 01 de Pimart »
  7. Sandre, « le fossé 01 de Trugny »
  8. Sandre, « le fossé 02 de la Cour Saint-Mard »
  9. Sandre, « le fossé 02 du Point du Jour »
  10. « Fiche communale d'Épieds », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  11. Sandre, « l'Ordrimouille »
  12. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. « Orthodromie entre Épieds et Blesmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Blesmes » (commune de Blesmes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Blesmes » (commune de Blesmes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Château-Thierry », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. « Ses rues et hameaux », La commune, sur mairie-epieds02.fr.gd (consulté le ).
  24. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 98.
  25. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, page 104.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « Les maires de Épieds », sur francegenweb.org (consulté le ).
  28. Almanach-Annuaire historique, administratif et commercial de la Marne, de L'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, de 1875, p173.
  29. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  30. « Thierry Martel, maire d'Épieds est décédé à 49 ans », sur L'Union, (consulté le ).
  31. « Élections municipales complémentaires », Actualités 2017, sur mairie-epieds02.fr.gd (consulté le ).
  32. « Membres du conseil municipal élus en janvier 2017 », Vice communale et intercommunale, sur mairie-epieds02.fr.gd (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « L'église », notice no PA00115658, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Dalle funéraire d'Antoine de Berthomeuf, seigneur de Moucheton », notice no PM02000407, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. « Son église », Découvrir Épieds, sur mairie-epieds02.fr.gd (consulté le ).
  39. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM02000406, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. « Château et ferme de Moucheton », notice no PA00116007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 34 (cf. Épieds).
  42. « Ses lavoirs », Découvrir Épieds, sur mairie-epieds02.fr.gd (consulté le ).