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Sainte-Dode

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Sainte-Dode
Sainte-Dode
Église Sainte-Dode.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Astarac Arros en Gascogne
Maire
Mandat
Hervé Tujague
2020-2026
Code postal 32170
Code commune 32373
Démographie
Gentilé Sainte-Dodais
Population
municipale
219 hab. (2021 en évolution de +0,46 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 25′ 16″ nord, 0° 21′ 51″ est
Altitude Min. 179 m
Max. 340 m
Superficie 18,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mirande-Astarac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sainte-Dode
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sainte-Dode
Géolocalisation sur la carte : Gers
Voir sur la carte topographique du Gers
Sainte-Dode
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Sainte-Dode

Sainte-Dode (Senta Dora en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, l'Osse, la Bataillouze, le ruisseau de la Bassoue et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Sainte-Dode est une commune rurale qui compte 219 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 892 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Sainte-Dodais ou Sainte-Dodaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Sainte-Dode, inscrite en 2007, et le temple protestant, inscrit en 2015.

Géographie

Localisation

Sainte-Dode est une commune de Gascogne située dans l'Astarac à 5,5 km à l'est de Miélan.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Bazugues, Miélan, Montaut, Mont-de-Marrast, Sadeillan et Saint-Michel.

Communes limitrophes de Sainte-Dode[1]
Bazugues Saint-Michel
Miélan Sainte-Dode Montaut
Sadeillan Mont-de-Marrast

Géologie et relief

Sainte-Dode se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Sainte-Dode.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Baïse, l'Osse, la Bataillouze, le ruisseau de la Bassoue et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[5].

L'Osse, d'une longueur totale de 120,3 km, prend sa source dans la commune de Bernadets-Debat et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Andiran, après avoir traversé 36 communes[6].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

  • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 878 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirande », sur la commune de Mirande, mise en service en 1971[12] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 791,1 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 31 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[16] à 13,5 °C pour 1991-2020[17].

Milieux naturels et biodiversité

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[18] : le « bois de Sainte-Dode » (84 ha), couvrant 2 communes du département[19], et le « lac de Miélan » (195 ha), couvrant 3 communes du département[20].

Urbanisme

Typologie

Sainte-Dode est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[I 1],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,8 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), forêts (13 %), prairies (0,2 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Sainte-Dode est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baïse et l'Osse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999 et 2009[27],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Dode.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 118 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 118 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Toponymie

Histoire

Le comte d'Astarac Guillaume Ier était très pieux. Il avait donné l'église Sainte-Aurence à l'archevêque d'Auch. Il céda le monastère de Sainte-Dode qu'il avait fondé en 1034 à l'abbaye de Simorre et l'abbaye de Pessan l'année suivante[30]. Le monastère a été transformé en prieuré puis est passé dans le premier tiers du XVIIe siècle aux Jésuites d'Auch[31]. Ces derniers ont détruit les bâtiments du prieuré pour construire une maison à l'aspect de château appelé Beauregard. Ils le gardèrent jusqu'à leur expulsion de France, en 1764. L'église a conservé du bâtiment initial roman la porte latérale sud, datant probablement du XIIe siècle.

Sainte-Dode, avec Miélan, était une des nombreuses enclaves de la Jugerie de Rivière-Verdun jusqu'à la Révolution.

Politique et administration

Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2014 Jean-Pierre Ricaud[32]    
mars 2014 En cours Hervé Tujague PS Agriculteur
Suppléant au Conseil Départemental
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34]. En 2021, la commune comptait 219 habitants[Note 6], en évolution de +0,46 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
688649820853892883841804774
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
731776738720682634579551523
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
514503441436415412395361354
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
322285260264238232223213219
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 94 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 209 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 360 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 4,5 % 3 % 8,9 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 109 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3 % d'actifs (72,3 % ayant un emploi et 8,9 % de chômeurs) et 18,8 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 37 en 2013 et 38 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,3 %[I 10].

Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 78,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

23 établissements[Note 9] sont implantés à Sainte-Dode au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,8 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 23 entreprises implantées à Sainte-Dode), contre 12,3 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture

La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 40 28 19 20
SAU[Note 11] (ha) 1 316 1 324 1 252 1 054

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 40 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 28 en 2000 puis à 19 en 2010[39] et enfin à 20 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[40],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 316 ha en 1988 à 1 054 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 53 ha[39].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Portail roman.
  • L'église Sainte-Dode est une église avec un portail de style roman datant du XIIe siècle (Logo monument historique Inscrit MH (2007)).
  • Le temple protestant édifié en 1900, aujourd'hui désaffecté, inscrit monument historique en 2015[41].
  • Château de Beauregard. Propriété privée, ne se visite pas.
  • Motte castrale du Castéras.
  • Château de Champagne. Le bâtiment principal a disparu en élévation ; seule subsiste une partie des communs. Propriété privée, ne se visite pas.
  • Château des Couteaux. Propriété privée, ne se visite pas.
  • Motte castrale de Las Crouts de Gardo, motte rectangulaire en partie fossoyée.

Personnalités liées à la commune

Culture populaire

Cette commune est le lieu géographique où est situé la chronique Les Feux de Labours des humoristes du Duo des Non.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Sainte-Dode » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Sainte-Dode » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sainte-Dode » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sainte-Dode » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Sainte-Dode » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  4. « Fiche communale de Sainte-Dode », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  5. Sandre, « la Baïse »
  6. Sandre, « l'Osse »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  12. « Station Météo-France Mirande - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Sainte-Dode et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France Mirande - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Orthodromie entre Sainte-Dode et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sainte-Dode », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF le « bois de Sainte-Dode » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF le « lac de Miélan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Dode », sur Géorisques (consulté le )
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  26. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  27. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Dode », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  30. Raoul Deloffre, Jean Bonnefous, Églises, châteaux et fortifications du Gers occidental, p. 45, Atlantica éditions, Biarritz, 2003 (ISBN 9782843946387) ; p. 423
  31. Voir panneau d'information à l'entrée de l'église.
  32. Site de la préfecture - Fiche de Sainte-Dode
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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