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{{Sources à lier|date=juin 2010}}
{{Confusion|Gigaku}}

{{Infobox Patrimoine culturel immatériel de l'humanité
| Nom     = Gagaku
| Image   = Ladies of the mikados court performing the butterfly danceJ. M. W. Silver.jpg
| Légende = Dames de la Cour impériale exécutant la « danse du papillon ».
| Pays    = {{Japon}}
| Région  = Asie et Pacifique
| Liste   = représentatif
| ID      = 00265
| Année   = 2009
}}

Le {{japonais|'''gagaku'''|雅楽||''musique raffinée, élégante''}}
est la [[musique japonaise traditionnelle]] autrefois jouée à la cour impériale.
Il comporte des chants ou non
({{japonais|vocal|声楽|''seigaku''}} ou {{japonais|instrumental|器楽|''kigaku}}),
et est dansé ou non.
On l'oppose souvent au {{japonais|''zokugaku''|俗楽}}, « populaire »<ref>{{ouvrage
| lang    = en
| titre   = Kenkyusha's New Japanese-English Dictionary
| éditeur = Kenkyusha Ltd
| lieu    = Tokyo
| année   = 1991
| isbn    = 4-7674-2015-6
}}.</ref>.

Les quatre style du ''gagaku'', marqués par des différences d'instrumentation et de styles, reflètent la distinction, dans la Chine du {{-s|VIII}} à laquelle il doit son héritage, 
entre poèmes rituels (''dà yà''), et poèmes profanes (''xiao yà'')
<ref>
On remarquera que ces deux mots, ''dà yà'' et ''xiao yà'', comportent le même
caractère {{langue|zh|雅|trans=yà}}.
</ref>.c'est le Japon qui a crée les mangas 

== Histoire ==
Le gagaku s'introduit au Japon au {{s-|V}}, de la [[Chine]] et de la [[Corée]].
Dès [[701]], est créé {{japonais|l'office du gagaku|雅楽寮|''gagaku-ryō''}}, au sein du  {{japonais|département impérial des affaires nobles|治部省|jibushō}}.

=== Réforme de Heian et apogée du gagaku ===
[[Fichier:Bugak002.jpg|vignette|redresse=0.75|''[[Ninshō]]'', officiant dirigeant la cérémonie.]]
Dès le début du {{s-|IX}}, [[Époque de Heian#Périodisation|au tout début de l'Êre de Heian]], 
{{quoi|et des difficultés financières qui s'y rattachèrent}}, une réforme musicale est appliquée : 
# L'ensemble de gagaku est restreint à 5 instruments:''[[shakuhachi]]'', grand ''[[hichiriki]]'' (hautbois basse), ''[[kugo]]'' (harpe d'origine coréenne), ''[[biwa]]'' à cinq cordes, ''[[hitsu]]'' (koto à 25 cordes). Les  percussions [[hōkyō]] sont supprimées.
# S'établissent deux systèmes modaux : ''ryō'' japonais ([[Mode (musique)|mode]] de sol) et ''ritsu'' (mode de ré), et leurs transpositions. {{En quoi|La technique instrumentale et vocale est également fixée}}.
# Les pièces sont {{comment|classées en fonction de leur provenance}}. Le répertoire de ''kangen'' est divisé en ''uhō'' et ''sahō'', celui de ''bugaku''  en ''umai'' et ''samai''.
# La musique [[Shintoïsme|shinto]] est réorganisée. Instruments continentaux et autochtones sont associés. Les chants dansés sont divisés en trois parties.
# Des Japonais composent.

Jusqu'à la fin du {{s-|X}}, le gagaku est en pleine expansion et devient peu à peu la musique de prédilection de la noblesse. De nombreuses pièces sont composées et beaucoup d'artistes sont réputés, dont les empereurs [[Saga (empereur)|Saga]] et [[Nimmyō]]. C'est à cette époque qu'apparaissent les genres d'''utamono'' : ''[[saibara]]'' et ''[[rōei]]''. En 1013, [[Fujiwara no Kintō]] en compile un peu plus de 800 poèmes sous le titre : {{japonais|''[[Wakan rōeishū]]''|和漢朗詠集||« Recueil de chants japonais et chinois »}}.

=== Déclin de Kamakura à Muromachi ===
Le {{s-|XIII}} voit le gagaku décliner, en même temps que la famille impériale. L'origine de ce déclin est liée à l'arrivée au pouvoir de la classe militaire (le ''[[bakufu]]'') qui trouve plus à son goût la musique autochtone telle que le ''dengaku'' ou encore le ''sarugaku'' qui donneront naissance au [[nô]] et au ''[[heikyoku]]'', rejetant ainsi les formes musicales de l'aristocratie.

Les troubles d'{{japonais|''[[Guerre d'Ōnin|Ōnin no ran]]''|応仁の乱||1467-1477}} entraînèrent la dispersion des musiciens et une partie du répertoire fut perdue. Cependant, la tradition du gagaku fut conservée, d'une part grâce à la noblesse qui continua de jouer des instruments de l'époque Heian et, d'autre part, par quelques temples et sanctuaires tels que le [[Shi Tennō-ji]] d'[[Osaka]], Kasuga à [[Nara]], [[Ise (Mie)|Ise]] dans la [[préfecture de Mie]], [[Izumo (Shimane)|Izumo]] dans celle de [[Préfecture de Shimane|Shimane]].

=== Renouveau d'Edo et Meiji ===
[[Fichier:Kagura 1.jpg|vignette|Danseurs à Ise.]]

Au début du {{s-|XVII}}, [[Tokugawa Ieyasu]] rassemble les ''gakunin'' et fonde un ensemble de gagaku pour la famille impériale à [[Kyōto]] et un autre pour sa propre famille à [[Tokyo|Edo]]. Lors de la [[restauration de Meiji]] (1868), la famille impériale fusionne les deux ensembles créés par Ieyasu en fixant sa capitale à [[Tōkyō]] et donne ainsi naissance à [[Maître des cérémonies (Japon)|l'actuel ensemble de la famille impériale]].

=== Période contemporaine ===
Après la [[Seconde Guerre mondiale]], des compositeurs japonais tentent de s'inspirer du gagaku et de lui emprunter des éléments en y associant leur culture musicale occidentale, notamment pour en rénover le genre mais sans parvenir à enrichir à nouveau le répertoire traditionnel. Affaire d'initiés jusqu'au début du {{s-|XX}}, le gagaku arrive réellement dans le monde occidental après la Seconde Guerre mondiale, grâce à l'organisation de {{citation|tournées}}. Elle influencera des compositeurs occidentaux tels que [[Benjamin Britten]] ou [[Olivier Messiaen]].

== Genres ==
Le gagaku se divise en quatre genres, un rituel et trois profanes, comprenant chacun plusieurs styles.

=== Gagaku religieux, le ''mikagura'' ===
La musique de gagaku est liée au culte des ancêtres de la famille impériale, le [[shinto]]ïsme. Elle est exécutée en présence de l'empereur lors des célébrations à la Cour impériale ou d'un de ses représentants lors des célébrations devant les autels des sanctuaires shintoïstes tels que ceux d'Izumo, d'Atsuta ([[Nagoya]]), d'Ise ou de Kasuga, du coucher du soleil jusqu'à l'aube. Cette [[musique shintoïste|musique cérémoniale]] est exécutée à l'occasion de certaines fêtes déterminées {{incise|comme le ''Yamato-mai'' le 22 novembre (célébration des morts) ou l’''Azuma-mai'' aux [[équinoxe]]s}} et n'est pas à confondre avec l'{{japonais|''o-[[kagura]]''|御果蔵}}, musique folklorique jouée dans les sanctuaires à l'occasion de fêtes régionales et mimant des [[Mythologie japonaise|récits mythologiques]] qui se composent de chants, danses et ensembles différents de ceux du gagaku.

La célébration de {{japonais|''mikagura''|御神楽}} se divise en trois parties :
* l'accueil des divinités descendant sur terre ;
* une partie plus longue pendant laquelle les hommes offrent des présents aux dieux et les distraient par des chants humoristiques ;
* un adieu aux divinités qui remontent au ciel par des chants composés de poèmes folkloriques assemblés et non créés à cet effet.

Les textes des chants, transmis oralement de façon héréditaire, contiennent de nombreuses [[onomatopée]]s au sens obscur et aucune [[prière]] ou [[louange]].

Le ''mikagura'' se compose de deux types de chants. Les chants sacrés, dont le [[Chœur (musique)|chœur]] est accompagné de ''kagurabue'', ''hichiriki'', ''wagon'', et ''shaku'', et les chants dansés joués par les instruments suivants : ''ryūteki'' ou ''komabue'', ''hichiriki'', ''wagon'', ''shaku'', ainsi qu'un chœur (voir plus bas pour les instruments).

Parmi la vingtaine de musiciens, cinq ''ondo'' (trois instrumentistes et deux chefs de chœur), dirigés par un ''ninchō'' (officiant), donnent les intonations reprises en alternance par le chœur divisé en deux, au même titre que l'ensemble, et marquent le rythme au moyen de ''shaku''. Entre chaque partie, le ''ninchō'' explique le but du culte et de la danse.

=== Gagaku profane ===
==== ''Kangen'' ====
Le {{japonais|''kangen''|管絃}} est une musique instrumentale, pour ensemble, classée en deux catégories selon son origine :
* {{japonais|''uhō''|右方}} : originaire de Corée et de [[Mandchourie]] dont les couleurs dominantes des costumes sont le vert et le jaune ;
* {{japonais|''sahō''|左方}} : originaire de Chine et du sud de l'Asie ayant le rouge pour couleur dominante dans les costumes.

Bien que ces deux catégories possèdent une structure musicale identique ([[hétérophonie]]) comme dans le ''bugaku'', elles se différencient en fonction de l'utilisation du ''[[shō]]''. Dans l{{'}}''uhō no gaku'', les ''shô'' ne jouent que la mélodie, ce qui entraîne un contraste entre la ligne mélodique et un rythme dynamique. D'autre part, dans le ''sahō no gaku'', la tenue des notes aiguës donne une impression de statisme.

==== ''Bugaku'' ====
{{Article détaillé|Bugaku}}

Le {{japonais|''bugaku''|舞楽}} est une musique d'accompagnement de danses classée en deux catégories en fonction de son origine : {{japonais|''samai''|左舞}}, originaire de Chine, dansé sur le ''sahō'' ; et {{japonais|''umai''|右舞}}, originaire de Corée, dansé sur l'''uhō''. Ces catégories sont associées par paires. Contrairement à autrefois, une seule pièce, coupée par des pièces instrumentales ou vocales, est dansée par spectacle.

Les [[costume]]s des danseurs sont très colorés. Ils portent également une coiffe, une arme (sabre, lance ou bouclier) et peuvent même se parer d'un [[masque]] caricatural variant selon le sujet.

Une pièce de ''bugaku'' se divise en trois parties selon le principe d'esthétique japonaise temporelle, le ''[[jo-ha-kyū]]'' : introduction, développement (littéralement « émiettement ») et final rapide. Ce principe se retrouve aussi dans le [[nô]].
# Lors de l'introduction, les instruments à vent jouent un canon à l'unisson (''oibuki'') accompagnés d'un rythme de percussion libre, ce qui leur permet d'adapter la durée de cette partie en fonction du temps que les danseurs mettent à rejoindre la scène depuis le foyer.
# Ensuite vient la pièce à danser à proprement dire qui constitue la partie centrale (''tōkyoku''). Le tempo devient régulier mais reste lent (''nobe-byōshi'', en quatre-deux).
# Lorsque le tempo s'accélère, la partie conclusive s'amorce. Le rythme devient alors rapide (''haya-byōshi'', en deux-deux) ce qui annonce la fin de la pièce.

==== ''Utamono'' ====
L{{'}}''utaimono'' ou {{japonais|''utamono''|謡物}} représente le gagaku chanté. Il est classé en deux catégories qui diffèrent selon la langue des poèmes. Les {{japonais|''[[saibara]]''|催馬楽}} sont écrits en japonais. La structure du ''saibara'' dépend de la longueur du poème et comporte donc deux ou trois sections s'amorçant chacune par une intonation du chef de chœur qui joue en même temps du ''shaku'' sur un rythme à quatre temps. Le chœur reprend ensuite à l'unisson. Les instruments du ''saibara'' sont le ''ryūteki'', le ''hichiriki'', le ''shō'' sans harmonies, le ''biwa'' et le ''sō no koto''.

Les {{japonais|''[[rōei]]''|朗詠}} sont écrits en chinois. La pièce de ''rōei'' est divisée en trois parties et jouée sur un rythme libre et non mesuré. Les instruments du ''rōei'' sont le ''ryūteki'', le ''hichiriki'', le ''shō'' sans harmonies.

== Instruments ==
[[Fichier:Gifujyou5846.JPG|vignette|redresse=0.5|''Shō''.]]
[[Fichier:Koto_by_Fumie_Hihara_2016.png|vignette|Joueuse de koto.]]

À l'origine (époque de Nara), l'ensemble de gagaku était constitué d'une trentaine d'instruments dont le nombre diminuera à la suite de la réforme musicale du {{s-|IX}}. Les musiciens de métier sont appelés {{japonais|''gakunin''|楽人}}.

[[Instrument de percussion|Les percussions]] :
* {{japonais|''kakko''|羯鼓}} : tambour à baguettes frappé par le chef de chœur avec le rythme accéléré caractéristique du gagaku. Il est utilisé pour le ''sahō'' et le ''samai'' ;
* {{japonais|''san no tsuzumi''|三の鼓}} : tambour plus grand que le ''kakko'' qui indique le premier temps des mesures et est utilisé dans l{{'}}''uhō'' et l{{'}}''umai'' ;
* {{japonais|''shakubyōshi''|笏狛子}} : claquette de bois ;
* ''[[Shōko (instrument)|shōko]]'' ou {{japonais|''shōgo''|鉦鼓}} : petit gong en bronze existant en trois formats et indiquant le premier temps d'une petite périodicité. Il est utilisé dans le ''kangen'' et le ''bugaku'' ;
* {{japonais|''[[taiko]]''|太鼓}} : grand tambour à maillet utilisé en trois formats différents : ''dadaiko'', ''tsuridaiko'' et ''ninaidaiko''. Il indique le premier temps d'une grande périodicité et est utilisé en ''kangen'' et ''bugaku''.

[[Instrument à vent|Les vents]] :
* {{japonais|''[[hichiriki]]''|篳篥}} : instrument à vent à double anche, comme le hautbois, utilisé dans tous les genres de gagaku ;
* {{japonais|''[[kagurabue]]''|神楽笛}} ou ''yamatobue'' : flûte autochtone utilisée pour les chants sacrés du ''mikagura'' ;
* {{japonais|''[[komabue]]''|高麗笛}} : flûte d'origine coréenne utilisée pour les chants dansés du ''mikagura'', l{{'}}''uhō'' et l{{'}}''umai'' ;
* {{japonais|''[[ryūteki]]''|龍笛}} ou {{japonais|''ōteki''|横笛}} : flûte d'origine chinoise utilisée pour les chants dansés du ''mikagura'', le ''sahō'', l'''utamono'' et le ''samai'' ;
* {{japonais|''[[shō]]''|笙}} : orgue à bouche à dix-sept tuyaux (dont deux rendus muets par la réforme) qui donne la ligne mélodique (''ipponbuki'') dans l'''utamono'' et onze ''aitake'' (harmonies fixes) dans le ''sahō'' et le ''bugaku''.

[[Instrument à cordes|Les cordes]] :
* {{japonais|''[[Biwa (instrument)|gakubiwa]]''|琵琶}} : luth à quatre cordes utilisé en ''saibara'' et en ''kangen'' ;
* {{japonais|''[[Koto|gaku-sō]]''|楽箏}}, ''sō'' ou ''sō no koto'' : cithare à treize cordes utilisée en ''saibara'' et en ''kangen'' ;
* {{japonais|''[[yamatogoto]]''|大和琴}} ou {{japonais|''wagon''|和琴}} : cithare à six cordes utilisée en ''mikagura''.

== Déroulement de la représentation ==
[[Fichier:Bugak001.jpg|vignette|{{japonais|''Ringa''|林歌}}.]]

Le gagaku est assimilable aux autres arts japonais tels que le ''[[chadō]]'', et le ''[[kyūdō]]'', notamment, qui conduisent à acquérir par une voie, une maîtrise de soi par l'acquisition de techniques d'exploration spirituelle. Ainsi, les exécutants ne disposent d'aucune liberté d'improvisation ou d'interprétation, chaque élément étant fixé, d'où le caractère rituel et cérémonial des représentations.

Les spectacles de gagaku sont présentés lors de cérémonies, de fêtes ou de banquets impériaux ou bien lors de cérémonies religieuses. Aux ''gakunin'' se joignent des membres de l'aristocratie. À l'origine destiné à des représentations en plein air, de nos jours il est de plus en plus fréquent d'en écouter à la salle de musique du palais impérial de Tōkyō.

== Musicologie et répertoire ==
La première théorie musicale, importée de Chine en [[735]] par [[Kibi no Makibi]], est très différente de la première théorie musicale japonaise créée en [[877]] par le moine Annen et nommée ''shittanzō''. À l'ère Heian apparaissent deux systèmes modaux : ''ryō'' japonais (mode de sol) et ''ritsu'' (mode de ré) à partir du ''ryō'' chinois (mode de fa), et leurs transpositions qui fixent ainsi six modes différents : ''ichikotsu'' (mode de sol sur ré), ''sōchō'' (mode de sol sur sol), ''taishiki'' (mode de sol sur mi), ''hyōjō'' (mode de ré sur mi), ''oshiki'' (mode de ré sur la) et ''banshiki'' (mode de ré sur si).

Le répertoire se divise, en fonction de sa provenance ou de son style, en deux groupes : le ''tōgaku'' ou {{japonais|''sagaku''|左楽||musique de gauche}} dont les compositions sont de style ou originaire de Chine (particulièrement celle des [[Dynastie Tang|Tang]]) et du royaume de Rinyū, et le ''komagaku'' ou {{japonais|''ugaku''|右楽||musique de droite}} dont les pièces sont de style ou d'origine coréenne (royaumes de [[Baekje]] ou [[Balhae]]). Il aurait existé 160 mélodies de gagaku selon le ''[[Wamyō ruijushō]]'' (vers [[934]]).

Le compositeur [[Olivier Messiaen]] en a fait une évocation musicale dans le quatrième de ses ''[[Sept haïkaï]]''.

== Notes et références ==
{{Références}}

== Voir aussi ==
=== Bibliographie ===
* {{ouvrage | auteur1 = [[Augustin Berque]] | directeur1 = oui | titre = Dictionnaire de la civilisation japonaise | éditeur = Éditions Hazan | année = 1994 | pages totales = 538 | isbn = 2-85025-348-0}}.
* {{ouvrage | auteur = [[Louis Frédéric]] | titre = Le Japon. Dictionnaire et civilisation | éditeur = Éditions Robert Laffont | collection = Bouquins | année = 1999 | pages totales = 1470 | isbn = 2-221-06764-9}}.
* {{ouvrage | auteur = Pierre Landy | titre = Musique du Japon | éditeur = Éditions Buchet-Chastel | collection = Les Traditions musicales | année = 1970 | pages totales = 309 | isbn = 2-7020-1638-3}}.
* {{ouvrage | auteur = [[Akira Tamba]] | titre = La Musique classique du Japon. Du {{s-|XV}} à nos jours | champ libre = livre et CD | éditeur = Publications Orientalistes de France | année = 2001 | pages totales = 175 | isbn = 2-7169-0323-9}}.
* {{ouvrage | auteur = Akira Tamba | titre = Musiques traditionnelles du Japon des origines au {{s-|XVI}} | éditeur = Éditions Actes Sud | collection = Musiques du Monde | année = 1995-2001 | pages totales = 157 | isbn = 2-7427-3511-9}}.
* {{ouvrage | auteur = [[François-René Tranchefort]] | titre = Les Instruments de musique dans le monde | tome = 2 | éditeur = Éditions du Seuil | année = 1980 | pages totales = 254 | isbn = 2-02-005689-5}}.

=== Liens externes ===
* {{lien web | url = https://ich.unesco.org/fr/RL/le-gagaku-00265 | titre = Le gagaku] inscrit au [[patrimoine culturel immatériel de l'humanité]] de l'[[Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture|UNESCO]] en 2009 | site = ich.unesco.org | consulté le = 8-3-2022}}.
* {{article | lire en ligne = https://web-japan.org/nipponia/nipponia22/fr/feature/feature06.html | titre = Reportage spécial gagaku | périodique = Nipponia | numéro = 22 | année = 15 septembre 2002 | consulté le = 8-3-2022}}.
* {{lien web | langue = en | url = https://www.kunaicho.go.jp/e-culture/gagaku.html | titre = Gagaku (Japanese Imperial Court Music) | site = kunaicho.go.jp | éditeur = [[Agence impériale]] | consulté le = 8-3-2022}}.

{{Palette|Musique japonaise|Patrimoine culturel immatériel de l'humanité au Japon}}
{{Portail|musiques du monde|Patrimoine culturel immatériel|Japon|Danse}}
[[Catégorie:Musique japonaise|Gagaku]]
[[Catégorie:Musique traditionnelle]]
[[Catégorie:Musique shintoïste]]
[[Catégorie:Patrimoine culturel immatériel de l'humanité au Japon]]
[[Catégorie:Danse au patrimoine culturel immatériel de l'humanité]]

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